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Le marchand d'illusions 4

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Lue : 1405 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 22/09/2012

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Le patron jouisseur. Chapitre 4

Avant d’arriver au canapé Grégoire laisse tomber son pantalon et son slip « éminence » et laisse apparaitre un éminent sceptre congestionné, sans doute à l’étroit depuis le début des essayages et des photos. Son visage se détend et, rayonnant, il vient présenter sa queue aux belles dimensions sur laquelle le vagin de Julie devra pourtant se contracter après le passage du super gode dans sa cramouille défoncée.
Marie souffle, grâce à Julie elle vient d’obtenir un sursis. Mais Grégoire veille, se retourne et articule:
-Tu es assez grande pour savoir t’installer. Essaie les commandes, c’est facile. Le bouton vert pour aller plus vite, le bleu pour faire plus fort, le jaune pour ralentir, le rouge pour freiner et le noir pour ébranler les billes. Essaie, ça vaut tous les discours. Dans un quart d’heure tu supplieras comme Julie.
Elle devra y passer. Si elle recule ce sera pour mieux sauter ou se faire sauter. Elle envisage avec crainte le moment où travaillée par le vibromasseur de son siège gonflable, après Julie et comme Julie, elle réclamera la lance à incendie de Grégoire pour calmer ses sens. Puisqu’elle devra y passer, elle se résout à enjamber le demi-cylindre et s’accroupit sur la protubérance en forme de phallus. Elle se penche pour viser et quand ses lèvres entrent en contact elle se ravise:
-Il faut que je fasse un pipi sinon je vais inonder mon tapis. Je reviens.
Grégoire emprisonné dans la bouche dévoreuse de Julie admet ce départ. Il a mieux à faire que de batailler avec Marie. Elle se soumettra, alléchée comme Julie par la promesse d’embauche. Et cette nana là lui mangera aussi la queue avant de se faire emmancher par sa bite chaude. De toute façon il n’a qu’une queue et ne peut baiser qu’une nénette à la fois. Il s’abandonne donc aux travaux d’approche très habiles de la plus jeune. Julie suce divinement bien et branle en même temps la lance réclamée. Encore un peu et Grégoire lui enfoncera son gourdin dans la fournaise; il faut battre le fer quand il est chaud, et tamponner un vagin lorsqu’il bout. J’ai compris désormais quel rôle Julie m’a attribué. En attendant de se faire mettre par devant et par derrière si elle le souhaite par Grégoire, son futur patron elle se met le doigt dans l’œil, je ne lui offrirai pas la bague de fiançailles et je ne demanderai pas sa main. Je n’ai donc aucune raison de voler au secours d’une fille qui supplie un étranger juste rencontré de la pénétrer. Le hasard m’a rendu service en m’éclairant sur sa conduite, le hasard m’a mis en position de voyeur: je regarde, j’observe attentivement, je suis un cours pratique d’éducation sexuelle. La porte de la cuisine s’ouvre, entre Marie qui roule des yeux. Aimé un index en travers de la bouche lui fait signe de se taire. Elle sort de son état de surprise intense et murmure.
-Depuis quand êtes-vous là? Vous regardez par cette fenêtre. Tu as vu, je n’ai rien fait de mal.
Pourquoi sent-elle le besoin de se défendre? Elle a subi bien des attouchements, était sur le point de s’empaler sur un vibromasseur, a chauffé Julie, qui sait comment elle allait continuer. Peut-elle s’en vanter devant son compagnon. Aimé revoit toutes ces scènes, reste muet, incapable de dire un mot pendant deux ou trois minutes durant lesquelles je lis sur le visage de Marie un profond désarroi. Elle vient de réaliser qu’Aimé ne saute pas de joie et ne la félicitera pas pour le spectacle offert ou pour la promesse d’embauche liée à un chantage sexuel. Si le futur patron est aussi familier avant l’embauche, que ne se permettra-t-il pas après la signature du contrat. Et des femmes qui se soumettent aussi facilement avant la présentation du contrat, résisteront-elles ensuite à ce séducteur qu’elles considèrent comme un bienfaiteur? Aimé a légitimement des doutes sur l’avenir de son couple. Tout allait si bien, Marie était un exemple de fidélité et de complicité, mais jusqu’où se laissera-t-elle entraîner par ce beau parleur? Soudain elle réalise l’étendue des dégâts elle lit ces interrogations dans les yeux d4aimé, elle craint le pire. Dehors, Grégoire bite en main s’apprête à visiter la grotte de Julie. Elle s’est agenouillée sur le canapé et tend sa croupe en creusant son dos. Deux fortes mains tirent sur ses fesses pour offrir un accès facile à la tige du pompier.
-Marie, je t’attends, prête nous tes mains, viens m’aider à embrocher ta copine. Il t’en faut du temps pour pisser.
Aimé soudain débite
-Vas-y. File. Aujourd’hui, si tu veux te racheter, fonce et, par tous les moyens, fous-moi ce gaillard à plat. Quand il quittera la maison il ne devra plus lui rester une goutte de sperme dans les couilles. Epuisez-le. Bien entendu tu ne nous as pas vus. Surtout pas un mot à Julie.
-Tu veux que…. Mais tu ne m’en voudras pas? Tu as dit « par tous les moyens »?
-Videz-le.
Incrédule, mais angoissée Marie répond à l’appel de Grégoire
-Voilà, j’arrive, gare à toi!
C’est un avertissement gratuit sur un ton égrillard. Elle oublie le siège gonflable et rejoint le couple.
-Quoi, il te faut de l’aide. Ta trique est pourtant bien raide, dure comme de la pierre, c’est par vice que tu m’invites à t’enfourner. Allons-y, beau mâle. Donne ta queue. Maintenant pousse, avance encore, recule un peu, pends de l’élan et force le passage. Bravo!
A deux mains elle pousse sur les fesses poilues du gars, il s’enfonce dans le puits d’un seul trait, Julie hurle. De surprise, de bonheur ou de douleur? Marie se glisse entre les jambes de l’homme, tournée vers nous, recule sur ses fesses, peu soucieuse de nous cacher son sexe, occupée à prendre en main le scrotum du bonhomme, à gratter la peau des bourses ou à presser les testicules. En même temps, à la renverse elle envoie un index couvert de salive dans la rondelle du garçon d’abord, puis au prix de contorsions dans l’anus de ma fiancée perdue. Massages internes ou externes, elle augmente l’énervement de ces deux amants improvisés. Le type s’agite, emporté par des élans fous, Julie remue ses fesses, arrondit son dos ou creuse ses reins pour favoriser l’accueil du soc qui laboure son sexe. Quand Grégoire grogne et crie victoire, Marie le maintient au fond du vagin. L’éjaculation surprend Julie qui se révolte
-Hé, gros porc, je sens tes jets de foutre. Tu n’as pas mis de protection? Connard.
-Ho, m’en as-tu laissé le temps? Je me retire…
La verge quitte le sexe pour tomber dans les doigts de Marie. Un liquide blanchâtre s’écoule, tombe dans les yeux de Marie. Celle-ci ne lâche pas le pénis mais le masturbe. Grégoire se réjouit de ce secours, reprend force, se laisse aller dans la bouche de Marie. Je connais la fougue de Julie lorsqu’elle
« soigne un petit oiseau », la rage de Marie pour se racheter est beaucoup plus efficace et en moins de deux le manche retapé de Grégoire se trouve en face de l’anus de Julie restée en position
-Vas-y, fais du tourisme, là tu pourras cracher ta sève sans danger. Encule-la.
-Ca fait mal! Ooooh, aaah
Grégoire n’osait pas en demander autant la première fois. Il peut se féliciter de l’arrivée de Marie. Et Marie tente d’arriver à ses fins en se livrant le moins possible. L’ardeur de Julie lui facilite la tâche, et c’est tant mieux. Elle administre des claques sur les fesses du représentant en lingerie et jouets sexuels. Dommage qu’elle n’ait pas vu de martinet dans les valises. Elle tape de bon cœur pour précipiter la prochaine éjaculation. Le bienheureux sodomite encouragé par les coups de l’une et les cris de douleur de l’autre va bon train dans les entrailles forcées, rabote joyeusement les parois des intestins. Il profite au maximum de cette aubaine.
-Ah! Ma belle, que tu es serrée de ce côté-là. Je ne vais pas tarder à lâcher la purée. Oh!…han…han, prends ça…han…et ça. Quel bon coup!
Il ne doute pas de traiter bientôt Marie comme cette petite dévergondée de Julie. Vraiment ces deux salopes ont le feu au cul, c’est une veine incroyable. Et crédules avec ça! Il va leur montrer ce qu’est un homme, un vrai. C’est du moins l’impression qu’il laisse en se calant confortablement au plus profond du trou à caca de la plus jeune. La face grimace, une nouvelle fois, il signale l’évacuation de sperme par un grognement et il devient raide et immobile, collé aux miches de la gamine. Il la remplit par tous les trous.
Cette fois Marie le laisse sortir.
-Ne bouge pas, je vous prends en photo. Attends je vais te nettoyer. Elle revient avec un saladier plein d’eau tiède, presque chaude pour ne pas créer de choc thermique, et un gant de toilette pour procéder à la toilette du manche souillé de sécrétions blanches veinées de brun. Elle lave, insiste, fignole, va et vient longuement avec un but précis, redonne finalement vie, rappelle le sang dans le corps caverneux. La bite enfle, redevient dure et raide, Marie frotte le gland contre la vulve encore inassouvie de Julie, énerve le garçon et la fille et choisit le moment propice pour expédier au fond du gouffre la matraque ragaillardie. Julie râle de satisfaction, Grégoire est fier de pouvoir mener cette nouvelle attaque. Il se sent désiré et en forme. Mais avec le temps, la chose devient plus laborieuse. Il lime, frotte les parois, cherche à toucher l’utérus, serre les nichons de la fille comme des poignées de maintien, lève ses fesses au plus haut pour frapper du plus loin, sur le parcours le plus long dans le tube rendu gluant et chaud par ses précédents dons de foutre. Il souffle fort, ralentit malgré lui la cadence, comme l’athlète qui ne sent plus ses jambes à la fin d’une longue course. Il peine, mais ne se dégonfle pas. Il gémit plus fort que sa proie, il cherche, pioche, se relance mais se sent vide.
-Qu’est-ce qui t’arrive, rigole Julie. Assieds-toi, je vais faire hue-coco.
Quand la fausse prude en aura-t-elle assez? Dos contre le dossier, jambes pendantes, Grégoire s’assied, tend les bras. Marie avec un haut le cœur, c’est le prix à payer, se penche sur le rameau rabougri, le reprend en bouche et le masturbe vivement. Grégoire pour échapper à la honte de la panne la laisse brouter, sent heureusement renaître son désir. Marie fait un miracle, le gland ressort du prépuce.
-Allez, Julie, à cheval.
Julie prend position, ses genoux reposent à l’extérieur des cuisses de l’homme, sa croupe s’abaisse. Marie tient d’une main ferme le pénis un peu mou jusqu’à sa disparition dans la moule affamée de l’amie et cette fois Julie lance la danse. Elle fait tourner ses hanches autour du bâton, monte et descend en vrille, force l’allure. Hélas elle perd le morceau. Mais Marie veille et sa main replace la chair molle entre les lèvres de la vulve. Julie roule sur la boule, ne monte plus pour la garder au chaud. Le travail dure, Julie gagne un orgasme en se démenant comme une diablesse, s’arrête puis reprend sa course au plaisir. Grégoire émet une ou deux giclées, juste de quoi mouiller l’entrée du vagin, puis demande une pause. Que Marie chevauche le siège gonflable pendant qu’il retrouve des forces. Le spectacle redressera sa queue, hélas un peu paresseuse aujourd’hui. Mais Marie à son tour aura sa ration, foi de Grégoire. Le porte-monnaie est vide mais il prétend encore faire des dépenses.
-Mais tu me laisses en rade? proteste Julie.
Elle se passe une main à l’intérieur des cuisses, la regarde et déclare:
-Repose-toi, Marie prend ton temps. Je vais me vider et me nettoyer le con et le cul.

À suivre: Nudité propice
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Histoire de Veilleur

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