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Le miel et une abeille

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 12/04/2024

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LE MIEL ET UNE ABEILLE
C'était un matin, sur le coup de neuf heures.
Je suis enseignant dans la formation pour adultes. Dans le CMA où je bosse, on s'occupe de personnes qui n'ont pas forcément bien démarré leur vie et qui ont envie d'une seconde chance. Ils reprennent les études à 20, 30, 40 ans, voire plus, avec un projet précis et on est là pour les former. Moi je suis dans la mécanique.
J'étais en pleine rédaction de cours. J'ai entendu du bruit, et j'ai relevé la tête.
Je n'oublierai pas cette vision. A laquelle je ne m'attendais pas. Et qui m'a figé.
J'étais posé à une table. En face de moi il y avait un mur de casiers, ceux de mes collègues.
Mais pas que.
Il y avait aussi un spectacle charmant.
Des jambes de femme, dévoilées dans leur intégralité...Et un peu plus...Des bottes noires, luisantes, avec des talons aiguille, les gainant jusqu'au genou, des bas stay-up prenant la suite, jusqu'à deux fesses largement offertes, rondes et bien rebondies, dans une ligne horizontale, quasi totalement dévoilées parce que leur possesseur avait une jupe courte, qui avait largement remonté, alors que la fille, penchée en avant, mettait des pots dans un casier situé tout en bas. La jupe avait glissé sur le bas de son dos. Elle avait un string blanc, qui passait entre ses fesses et venait envelopper sa vulve.
Ca a duré quelques instants seulement, mais ça s'est répété par la suite. Elle avait un panier sous le bras, un panier en osier rempli de pots, et elle en disposait sur trois niveaux. Au premier, la jupe noire, et courte couvrait ses fesses, au second, elle commençait à remonter laissant voir...Un tiers de fesses. Au troisième, on pouvait tout voir.
Et c'était curieux parce que ces jolies jambes, bien faites, ces fesses pleines et galbées, cette longue chevelure, épaisse et soyeuse, me disaient quelque chose.
Et puis ça m'est revenu.
Stéphanie.
Six ans déjà.
Je venais d'arriver ici. C'était hier, et pourtant il me semblait que c'était il y avait une éternité.
Stéphanie était emploi aidé à l'époque. Un de ces multiples dispositifs mis en place par les gouvernements pour faire baisser les chiffres du chômage en créant des contrats pour ceux qui n'avaient pas de travail, en leur donnant du boulot pour 2, 3 ans, et puis plus rien...Alors évidemment, c'était un tremplin, à eux de rebondir...Mais ils n'en avaient pas toujours les moyens...
Stéphanie en était à sa troisième année, et elle avait l'espoir d'être embauchée sur un poste fixe au secrétariat. Espoir qui avait été balayé.
J'avais eu à faire à elle parce qu'il s'agissait de donner des papiers pour compléter mon dossier et m'ouvrir des droits.
Et j'étais tombé immédiatement sous son charme.
Elle était ultra-féminine, sensuelle et elle savait se mettre en valeur.
Et ses défauts étaient des atouts, comme par exemple un nez trop gros, qui lui donnait énormément de charme, renforçait celui d'un visage joliment dessiné, d'une bouche sensuelle, d'yeux pervenche, et de cette crinière qui captait la lumière et les regards. Elle s'habillait très près du corps, tailleur/jupe, des jupes courtes, pantalons très serrés, souvent du cuir, du vinyle, des escarpins avec des talons hauts, des bottes...Une sensualité discrète mais bien présente.
Se serait-il passé quelque chose, s'il n'y avait pas eu ce moment ?
Un début d'après-midi, je m'étais rendu dans les toilettes mixtes qui jouxtaient les bureaux administratifs. J'avais les mains grasses, je venais de dépanner une collègue dont le véhicule était en rade, en trifouillant dans son moteur.
L'endroit semblait vide. Je m'étais dirigé vers les lavabos et je m'étais savonné soigneusement les mains.
C'était à ce moment et parce que j'avais coupé l'eau que j'avais entendu les halètements. Réguliers.
J'avais d'abord pensé que quelqu'un se trouvait mal dans les toilettes. J'ai fait plusieurs formations de secourisme.
Je me suis précipité sur la droite.
J'ai été bien naïf.
Je ne risque pas d'oublier cette image, troublante, qui a tourné longtemps dans ma tête.
Stéphanie était appuyée contre le mur, à côté du WC, face à moi, et, les yeux mi-clos, elle se masturbait.
Ou alors je n'y comprenais plus rien.
Elle avait relevé sa jupe et l'avait ramenée à sa taille. Et descendu sa culotte, boule d'étoffe au niveau de ses genoux. Les jambes légèrement entrouvertes, elle faisait aller trois doigts dans un mouvement de haut en bas, régulier, rythmé, c'était la condition pour jouir. Elle démarrait sur sa toison, traversait son clitoris et ses lèvres, s’arrêtait un peu en dessous de celle-ci, amorçait le mouvement inverse, remontait, et redescendait à nouveau, arrivée à son point de départ. La chair de son sexe et ses pourtours, mais aussi ses doigts étaient luisants de sécrétions vaginales qui coulaient d'elle, et je voyais bien aussi que son sexe était dilaté d'excitation et de plaisir, ses lèvres sorties, son gland clitoridien durci et visible, la chair rose de son intérieur apparente...
Son souffle s'est fait plus court, et elle s'est tendue, poussant une sorte de cri, et éjaculant une grosse quantité de liquide qui est venue tremper pour partie ses cuisses, le reste partant sur le sol.
Ca a été à ce moment qu'elle a ouvert les yeux et qu'elle s'est rendue compte que j'étais là.
Je me suis dit que c'était de ma faute, que j'aurais du m'éclipser, ne pas rester à la regarder avec fascination. Un penchant typiquement masculin que de mater les femmes, leurs corps. Et en voir une se donner du plaisir. C'était une sorte de sommet.
J'ai eu un sentiment de culpabilité énorme, et je me suis dit qu'elle allait m'insulter, me traiter de voyeur.
Mais ce n'est pas du tout ce qui s'est passé.
Son regard a rencontré le mien. Il y avait quelque chose de chaviré dedans. Parce qu'elle venait de jouir, mais pas seulement. Elle m'a dit :
— Viens, j'ai des capotes dans mon sac. J'ai envie d'une queue...J'ai envie de me faire baiser...J'ai pas eu de partenaires depuis plusieurs mois, et j'en peux plus.
J'ai été un peu surpris...Et puis pas tant que ça...Stephanie était une fille vraiment très attirante, et je ne doutais pas que les hommes tournaient autour d'elle. Elle était hyper-attirante. Mais en la regardant, quand je discutais avec elle, je concevais aussi qu'elle était le genre de fille qui, justement parce qu'elle était attirante, faisait fuir les hommes. Qu'ils se disaient qu'ils ne parviendraient pas à la séduire, justement parce qu'elle était trop sexy, trop attirante...
Je me suis demandé aussi, mais plus tard, comment ça ce serait passé si ça avait été quelqu'un d'autre que moi. Peut-être que simplement, sans perdre sa contenance, elle se serait rajustée et serait partie sans mot dire.
Mais il y avait quelque chose qui passait entre elle et moi. Ca faisait un mois qu'on discutait, qu'on plaisantait...Il y avait des pré-requis, pour ainsi dire.
Je me suis approché d'elle. Elle avait son sac à main posé sur la cuvette, fermée, des toilettes. Elle s'est penchée latéralement pour attraper une boite de capotes...Je l'ai laissée faire quand elle est venue chercher ma queue dans mon pantalon, qu'elle l'a sortie. J'étais déjà bien raide. Elle a eu un sourire satisfait.
— Tu vois, c'est exactement ce qu'il me fallait. Une belle queue comme la tienne.
Elle a sorti un des emballages de la boite, l'a déchiré, et en a extrait une rondelle de latex qu'elle a posé sur mon gland dilaté avant de la faire descendre pour qu'elle enveloppe bien ma queue.
— Viens...
Je me suis avancé sur elle, elle a attrapé ma queue, et elle l'a guidée vers son ventre. J'ai senti que je glissais en elle, dans sa chaleur et son humidité. Dans cette position, je ne pourrais pas rentrer l'intégralité de ma queue en elle, mais c'était bien suffisant pour qu'elle ait du plaisir. D'ailleurs son long gémissement, simplement quand je l'ai pénétrée, en a bien été la preuve.
Des gémissements, il y en a eu d'autres, pendant que je bougeais en elle. Elle était en plein trip, accrochée à moi, s'abandonnant totalement. Mais j'avais du plaisir aussi. C'était bon d'être en elle, c'était bon aussi d'avoir ce moment avec elle. Elle me plaisait, je la trouvais hyper attirante, mais je n'aurais jamais espéré que quelque chose se passe entre nous. Le hasard faisait parfois bien les choses...
Au bout d'un moment, elle est devenue une machine à jouir. A bout de souffle, elle m'a dit:
— Je vais jouir!!
Elle aurait sans doute hurlé si on n'avait pas été dans un lieu public...J'allais et je venais en elle, et j'ai senti qu'elle se tendait et qu'elle jouissait, sa bouche ouverte aurait sans doute laissé échapper un cri dans d'autres conditions, mais elle a enchaîné une suite d'orgasmes, avant que je ne finisse moi aussi, en partie par contagion, par jouir. Elle m'avait arrosé d'éjaculations successives, et je me suis dit que j'avais la chance d'avoir des vêtements de rechange dans la voiture, parce qu'elle m'avait trempé, en éjaculant sur mes jambes, mais aussi sur mon pantalon, mon caleçon, baissés, les éclaboussures avaient même atteint mon T-shirt et ma veste.
Et elle a joui encore, agitée de soubresauts, pendant que mon sperme jaillissait, saccade après saccade, dans le préservatif, tout en tapant contre ses parois internes.
On s'est détachés l'un de l'autre dans la béatitude.
— Ah, elle a soupiré, j'en avais trop besoin...Vivre sans sexe...C'est pas possible pour moi...Je me caresse, c'est très bon, mais c'est meilleur à deux...
Elle m'a souri. Il y avait dans ce sourire de la béatitude mais aussi une sorte de pari sur l'avenir.
— J'aimerais bien qu'on se revoie. Comme ici et maintenant. Pour des moments de plaisir. Rien d'autre.
Je comprenais bien son message. Entre nous il y aurait du sexe, et rien d'autre. Mais ça me convenait. D'abord parce que le plaisir c'était important pour moi, je n'étais pas de ceux qui le considéraient avec mépris, ensuite parce qu'elle était magnifique, sexy, très attirante, et il y a des offres qui ne se refusent pas.
Je ne risque pas d'oublier les mois qui ont suivi. Il y avait, je n'en étais pas conscient au début, une sorte de compte à rebours puisque son contrat devait se terminer à la fin de l'année, même si elle espérait basculer sur un autre statut.
Ça a été assez particulier, parce que ce que je voyais au début de manière assez légère a pris une autre dimension au fil des jours et des semaines. Au fil des semaines, je suis devenu totalement accro à elle, ce qui se passait entre nous était devenu une véritable drogue. Et il est difficile de se sevrer d'une drogue.
Stéphanie aimait le sexe. Elle avait très envie de sexe. C'était une drogue pour elle. Chacun se shoote avec ce qui lui convient. Elle c'était le plaisir sexuel. Il lui fallait plusieurs moments par jour. J'avais d'abord pensé qu'elle était en manque, mais au contraire qu'on se voie et qu'on ait des rapports ensemble lui donnait de plus en plus envie. C'était une boucle folle. Plus elle en avait plus elle en voulait. Et elle m'avait entraîné dans sa spirale.
Elle était terriblement imaginative et surtout, elle ne reculait devant rien. Elle n'avait pas peur de tout ce qui aurait fait fuir ou aurait dégoûté d'autres filles.
Après cette première rencontre, je m'étais demandé si elle aurait envie qu'on se revoie ou si c'étaient des paroles en l'air. Dans la journée, il n'y avait rien eu. Ça avait été le lendemain qu'un premier SMS était arrivé, me proposant de la rejoindre au 3eme étage de l'aile E. Je savais qu'il y avait là des salles désaffectées. J'y avais été, me demandant à quoi m'attendre. Les bâtiments étaient encore déserts. J'avançais dans le couloir quand elle avait surgi d'une salle, m'attrapant par le bras et me tirant vers celle-ci. Le temps de l'apercevoir, un caleçon hyper-moulant, un top orange que tendaient ses seins sous un blouson...Elle avait pris ma bouche avant de la consacrer à ma queue, la sortant de mon pantalon, pour faire aller et venir ses lèvres dessus. Elle avait calé un préservatif dessus avant de se retourner, de s'appuyer contre une table après avoir baissé son caleçon et son slip, et de m'avoir dit:
— Viens!
Submergé par l'envie, j'étais venu dans son sexe déjà dilaté et ruisselant, et je l'avais fouillée...On avait joui très rapidement, mais que ce soit rapide n'impliquait pas que les orgasmes qu'on avait eu ne soient pas puissants. Au contraire.
L'ensemble avait duré une dizaine de minutes, et avait donné la mesure de ce qui devait se passer dans les jours à venir. Des moments de plaisir tout au long de la journée, quatre ou cinq fois, dans des lieux éparpillés à travers le grand édifice, brefs, mais qui n'en étaient pas moins intenses, Une autre manière d'appréhender le sexe, pour moi qui avais toujours été sur du temps long.
Elle me faisait un SMS, me donnait un lieu de rendez-vous. On a tout fait. Les salles désaffectées, les placards, les caves, les greniers, les toilettes bien sûr, les placards. Son poste lui donnait accès à un passe unique et donc elle pouvait aller partout.
A mesure que la fin de l'année approchait, je me demandais comment ça allait se dérouler. J'espérais qu'elle reste. J'appréciais énormément les moments qu'on passait ensemble, mais je rêvais d'autre chose. Qu'on puisse se voir en dehors de ces lieux et qu'on ait d'autres rapports sur un temps long.
Et puis, du jour au lendemain, tout s'était cassé. Elle avait disparu. Et je n'avais plus eu de SMS. Je lui en avais envoyé moi, sans réponse. Sa collègue, titulaire, que j'avais interrogée, avait eu une expression navrée, et m'avait dit qu'elle avait appris la veille que son contrat ne serait pas consolidé.
Et j'avais fait mon deuil de Stéphanie. Non sans difficulté. Je m'étais habitué à elle, à nos moments de plaisir. A travers ceux-ci, il s'était tissé un lien entre nous, peut-être à sens unique, mais il était vrai que le sexe pouvait être, aussi étrange que cela puisse paraître, un vecteur vers une relation plus profonde.
C'est souvent quand on n'a plus quelqu'un ou quelque chose qu'on se rend compte à quel point on tenait à lui.
Et voilà que, cinq ans après, Stéphanie était là devant moi, ses charmes offerts.
J'ai fait le lien avec le présentoir posé sur la table un peu plus loin qui annonçait une vente de miel avec différents miels, différents contenants, et des tarifs...LES RUCHERS DE STEPHANIE... Je n'avais pas pensé que...Et comment j'y aurais pensé...Stéphanie était déjà loin, et le temps dissout pas mal de choses.
Elle a sans doute senti mon regard sur elle, et elle s'est retournée. Elle m'a regardé, et il a fallu quelques secondes pour qu'il y ait un déclic. Il est vrai que cinq ans avaient passé, mais aussi que je m'étais laissé pousser la barbe. Elle aussi elle avait quelques années de plus, mais ça avait donné une autre dimension à son charme. Elle était toujours sensuelle, terriblement attirante et le plus de maturité qu'elle avait lui rajoutait indéniablement quelque chose qui la faisait encore plus troublante.
Je me demandais comment elle allait réagir. Je la voyais déjà visage fermé, partant sans dire un mot.
Ça a été tout le contraire. Elle m'a fait un immense sourire, et elle m'a dit:
— Je ne t'avais même pas reconnu...Pardon...
— Oh pas grave...J'ai changé...Et puis j'avais la tête baissée...
— Je t'en dois pas mal, de pardons...
Elle s'est approchée de moi...Elle était vraiment magnifique. Et toujours aussi attirante.
— Je suis partie du jour au lendemain et je ne t'ai jamais plus donné de nouvelles. J'ai tellement été à la fois humiliée et déçue...Je voulais couper court, ne plus avoir aucun rapport avec cet univers qui m'avait tellement fait de mal...Quand j'ai pensé aux promesses qu'on avait pu me faire...
C'est à ce moment-là que j'ai décidé de reprendre les ruches de mon père, et d'en faire mon métier. Il en avait 25, ce n'était pas son job, il était agriculteur. Je m'occupais des abeilles depuis que je suis toute petite, j'en ai installé d'autres, j'ai aussi planté des oliviers, je fais de l'huile, et j'ai une parcelle en bio...Je suis heureuse comme je suis, et je ne regrette rien au final.
— Moi si, je lui ai répondu. Nos relations, ce plaisir qu'on partageait, ce lien entre nous...
— Tu étais trop associé à cet univers...
Elle s'est figée un instant, avant de me dire :
— Je viens de finir de livrer le miel. Tu as envie qu'on fasse comme autrefois, là maintenant ?
— Tu veux dire que ?...
— Emmène-moi où tu veux...
Elle a posé le grand panier vide qu'elle tenait à la main près de l'autre, a attrapé son sac à main, et en a sorti une boite de préservatifs.
— Tu vois, comme au bon vieux temps. Je ne me suis pas stabilisée question partenaires, alors j'ai toujours une boite de préservatifs sur moi.
Elle en a pris un.
Juste à côté, il y avait des toilettes peu occupées. Un endroit parfait pour nous deux. On s'est glissés dans une cabine vide. Elle s'est mise devant moi, avec un grand sourire sur le visage, et elle a soulevé sa jupe. Dessous il y avait ce string blanc, dont la face antérieure était transparente, avant que le coton ne reprenne le pouvoir, laissant voir ce pubis que je connaissais bien, un triangle toujours bien taillé, et en dessous, ses lèvres qui gonflaient, écrasées contre le tissu. Il y avait aussi de l'humidité qui marquait la zone transparente.
J'ai descendu le string pour mettre son sexe à nu. Un regard sur ses lèvres charnues, sur son intérieur visible en ouverture, sur son gland clitoridien qui saillait...J'ai approché ma bouche de son sexe, et je suis venue la caresser de la langue. Un grand jet de mouille a coulé dans ma gorge...Je l'ai caressée du mieux que je le pouvais allant sur ses lèvres, à l'intérieur, la buvant en même temps...Elle avait toujours beaucoup mouillé...
Elle a déchiré l'enveloppe du préservatif, et elle est venue faire descendre la capote sur ma queue après l'avoir, en se penchant sur moi, sortie de mon pantalon.
— Tu as toujours une belle queue. Bien charnue, bien épaisse...Oh mon Dieu...Je me rends compte que ça m'a manqué tout ça...
Elle était toujours aussi habile pour caler du latex sur un membre. Deux secondes plus tard, elle prenait appui sur moi et tenant ma queue d'une main, elle se faisait descendre sur moi et me guidait pour que je rentre dans son intimité. J'ai senti que la gaine chaude et humide de son sexe me prenait...Comme autrefois...Ça me faisait drôle ce retour vers le passé que je n'avais jamais imaginé, jamais espéré...
Elle s'est finalement totalement assise sur moi, mon sexe avalé jusqu'à la garde...Fermant les yeux du plaisir de me sentir en elle...Un plaisir partagé...La sentir autour de moi...
— Je dois bien le dire...Je n'ai jamais trouvé aucun partenaire avec qui j'ai eu autant de plaisir que toi...C'était...Bien...
Je l'ai attrapée par le cul, et je l'ai faite monter et descendre sur ma verge...Elle a gémi...Du plaisir à l'état pur, le même plaisir que nous avions partagé autrefois et que je ne pensais pas retrouver. Cette redécouverte du corps de l'autre, du plaisir qu'on pouvait avoir ensemble nous faisait envisager, avec du recul, combien ça avait été bon et combien ça pouvait être bon. Je me suis dit que si on redémarrait aujourd'hui, ce serait sur d'autres bases, mais ce serait aussi encore meilleur. Parce que nous avions changé, que nous étions plus murs.
Mais il n'y aurait sans doute que cette fois unique avant que nous ne nous séparions à nouveau.
On a joui en s'embrassant, son orgasme libérant un jaillissement de cyprine qui nous a arrosés, le mien des jets copieux de sperme dans le préservatif.
Rajustés, la tête encore dans notre jouissance, on est revenus dans la salle commune.
— Pfff...Je me suis rendu compte de ce que j'ai perdu quand j'ai coupé les ponts avec toi.
— Si on revenait ensemble, sur d'autres bases, ça serait encore meilleur. Un nouveau départ, de nouveaux plaisirs avec gravés en nous les anciens, comme une merveilleuse base.
Elle m'a regardé, en empilant les paniers.
— Je ne sais pas...Je ne pensais pas te revoir. Je suis toute chamboulée. On s'efforce d'oublier le passé en se disant qu'il est moche...Il vous revient en pleine face comme un boomerang, et on se dit qu'il n'était pas si moche que ça.
Elle a fait monter son sac à main jusqu'à son épaule.
— Tu vois, je me rends compte d'une chose...Je n'aurais pas du tout rejeter en bloc...Et garder au moins une chose. Toi.
Elle partait. Elle s'est retournée.
— Tu as toujours le même numéro de portable ?
--Il n'a pas changé.
— Très bien.
Et elle m'a fait un sourire immense.
Je l'ai regardée s'éloigner. Une avancée gracieuse.
Ce moment, et tous ceux qu'on avait vécu cinq ans plus tôt ont tourné dans ma tête toute la journée. Et aussi le lendemain.
C'est sur le coup de midi qu'un SMS est arrivé.
Je t'attends ce soir chez moi. 223 avenue des Laurier-rose. 8 heures. On passera la soirée et la nuit ensemble. Si tu as envie. Stéphanie.
Un nouveau départ.
Je me suis dit que la vie réservait parfois de bonnes surprises et qu'elle pouvait être belle.


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Histoire de JamesB

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