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Le nouveau gynéco

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Lue : 18797 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 21/09/2008

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Ma femme vient de m’avouer un nouveau fantasme. Son ancienne gynéco a quitté notre région en vendant son cabinet et du même coup sa clientèle. Le nouveau gynéco est un homme d’une quarantaine d’années, aux dires de mon épouse, plutôt bel homme.

Hormis son physique avantageux, il semblerait que ce soit ses mains aux longs doigts fins qui aient attiré l’attention de mon épouse. Sans doute, le dernier examen gynécologique qu’il lui a fait passer, y est pour quelque chose. Toujours est-il que depuis, mon épouse m’a avoué nourrir un fantasme bien précis le concernant.
N’étant pas d’un naturel jaloux, je lui ai demandé de me raconter dans le détail, ce phantasme dans lequel ce cher docteur, profitant d’une consultation, la ferait jouir de ses doigts avant de se faire sucer et enfin la prendre sur la table d’examen gynécologique, ses pieds encore engagés dans les étriers de la table. C’est son récit que je me propose de vous relater.

Dans son fantasme, elle a rendez-vous pour sa consultation annuelle. Elle est la dernière cliente.
François, c’est son médecin, vient la chercher lui-même dans la salle d’attente, expliquant qu’il a dû laisser partir son assistante pour des problèmes familiaux urgents.

Ce dernier lui demande à peine rentrer dans son bureau, de quitter sa jupe et son slip, précisant qu’elle pouvait garder le haut si elle le désirait et de s’installer sur la table pour l’examen.
Habituée à ce genre de visite, mon épouse qui est obligée de tourner le dos au praticien pour se rapprocher de la table et d’une chaise que les patientes utilisent pour poser leurs vêtements, commence à se déshabiller.

Un grand miroir se trouve face à elle. Tandis qu’elle fait glisser sa jupe, elle se surprend à mater ses courbes, se positionnant de profil pour admirer le galbe de ses fesses encore fermes malgré ses 40 ans passés.
Tout en se penchant en avant pour s’attaquer à son string, elle se dit qu’à quarante ans passés, elle est encore appétissante. C’est alors que dans le miroir, elle surprend le regard du praticien posé sur son ravissant petit postérieur. Ce dernier ne lit plus mais a l’air de s’intéresser au spectacle qu’elle lui donne, attendant visiblement qu’elle ôte enfin, son minuscule string.

Dans la position où elle se trouve, il ne s’est pas aperçu qu’elle voit son petit manège. Toujours penchée en avant, elle ne peut s’empêcher de penser qu’il doit avoir déjà une vue imprenable sur son cul, sa raie et bientôt sa petite chatte totalement imberbe.

Au lieu d’être offusquée, elle se sent envahir par une bouffée de chaleur bienfaisante. Un long spasme lui tord le ventre pour se propager à son minou qui se ressert, lui procurant une sensation de bien-être incontrôlable. Elle réalise que le fait d’être matée, lui procure du plaisir pour ne pas dire du désir.

Forte de cette constatation, elle fait durer le plaisir en écartant légèrement les jambes, avant de faire glisser son string, permettant à son voyeur de bien la mater.

Comme elle le fait souvent, elle passe négligemment sa main sur sa chatte, pour séparer ses lèvres de son index, légèrement enfoncée dans sa fente.

Enfin, le ventre noué, elle se redresse et, monte sur la table pour s’installer, cuisses ouvertes, les talons posés dans les étriers d’examen.

François, en face d’elle, n’a pas bougé. Il n’a rien perdu du spectacle mais il fait mine d’être toujours occupé à lire le document qu’il tient en mains.

Mon épouse sait qu’il s’est copieusement rincé l’œil. Le fait qu’il fasse semblant de n’avoir rien vu, l’excite un peu plus.

Elle ouvre un peu plus ses cuisses, en feignant une démangeaison sous un de ses genoux. Dans cette position, elle se sent indécente, les cuisses ouvertes comme lorsqu’elle réclame la pénétration. Sa chatte se manifeste par des spasmes réguliers et elle sent son ventre s’humidifier pourtant François n’a rien fait de spécial à part la mater pendant qu’elle s’effeuillait.

Elle décide tout à coup de l’aguicher pour le faire sortir de sa réserve. Toujours allongée, elle se débarrasse prestement de son chemisier. Comme elle ne porte pas de soutien-gorge, elle se retrouve complètement nue, la poitrine à l’air. L’excitation aidante, ses tétons commencent à se raidir. Elle sent sa chatte maintenant inondée, prête à subir l’assaut du mâle, tandis que François se lève et s’approche, le regard rivé sur ses lèvres glabres.
Elle se connaît bien et sait qu’à ce moment précis, un léger filet de mouille doit commencer à se voir aussi, comme pour le tester, elle fait mine de refermer ses cuisses mais, François, comme s’il avait pressenti son geste, a déjà posé ses mains bien à plat sur ses cuisses. De cette manière, il l’empêche de poursuivre son mouvement.
Ce faisant, il lui dit :

- Rester ainsi Mme. Je vous assure que vous êtes vraiment ravissante. S’il vous plaît.

Touchée par ce compliment. Mon épouse ne résiste pas à la pression qu’il exerce sur la face interne de ses cuisses. Le compas s’ouvre comme une fleur ce qui procure une vue sans pareille sur les lèvres de sa chatte, déjà luisantes de ses sécrétions.
François la sentant dans de bonnes dispositions, pose une de ses mains sur son pubis puis se penche légèrement vers son minou, comme s’il avait vu quelque chose d’anormal.
En fait il est si près qu’elle a l’impression qu’il est en train de se délecter de son odeur intime.
Un sourire illumine son visage. Il écarte doucement de deux doigts l’entrée de sa vulve et, fait glisser un de ses doigts entre les lèvres intimes comme pour bien l’humidifier.

- Vous êtes trempée, vous savez ?
- Je ne sais pas, qu’en pensez-vous, ce n’est pas normal ?
- Si au contraire, c’est bien même.

Elle sourit elle aussi. Des fourmillements familiers lui parcourent les reins. Elle sent sa chatte se serrer dans un brusque spasme, expulsant un peu de liquide sur le doigt de son médecin.
Comme s’il attendait cette réaction, François, passe immédiatement son doigt dans la mouille et, le fait glisser dans l’entrée.

Enfin il commence à la pénétrer. Mon épouse sent qu’il n’a fait pénétrer qu’une partie de son doigt et qu’il est en train de le faire tourner à l’entrée comme pour apprécier l’élasticité des lieux. Il l’enfonce lentement en tournant, écartant les chairs. Il glisse facilement tant la mouille est déjà abondante.

Mon épouse comprime ses muscles vaginaux pour mieux le sentir mais déjà, le doigt ressort, lui laissant un sentiment de frustration, d’inachevé. Elle pensait qu’il allait l’enfoncer au maximum puis le faire tourner au fonds pour bien écarter ses chairs mais au lieu de cela le doigt est déjà ressorti.

Heureusement, il revient à la charge, accompagné d’un de ses congénères. Ses chairs s’ouvrent un peu plus. Elle sent mieux la pénétration qui cette fois-ci, se prolonge. Les doigts s’enfoncent en elle aussi loin qu’ils le peuvent. Une fois bien calés au fonds de sa chatte, ils se mettent à bouger, à tourner comme pour découvrir chaque centimètre de ce fourreau de chair.

Elle ne peut réprimer un nouveau spasme, plus fort, plus long aussi. Visiblement, François est satisfait se sentir son vagin réagir à l’action de ses doigts. Il lui demande :

- ça va ? je ne vous fais pas mal au moins ?
- non continuez votre examen. C’est bon !!!
- Je sens votre chatte me serrer les doigts, vous avez l’air d’apprécier on dirait.
- Oui, c’est bon. Continuez s’il vous plaît.

François n’avait pas du tout l’intention d’arrêter. Ses doigts continuent d’aller et venir dans la chatte de mon épouse. Elle se sent bien. Elle a chaud mais les vagues de plaisir qui lui labourent le ventre, la pousse à s’ouvrir un peu plus à la pénétration. Elle dégage ses pieds des étriers et, après avoir passé ses mains sous ses genoux, les tirent vers elle pour ramener ses jambes vers sa poitrine.

Elle est écartelée mais complètement offerte au médecin qui sourit en la voyant se tortiller au bout de ses doigts.
Son visage est si près de son membre qu’elle a l’impression qu’il va la sucer. Elle a d’ailleurs tellement envie de jouir qu’elle se met à espérer ses lèvres autour de son clitoris.

François sent à la manière dont les spasmes se prolongent et s’intensifient, que mon épouse est au bord de la jouissance. Elle bouge d’ailleurs le bassin d’avant en arrière pour aller à la rencontre des doigts. Un bruit indécent se fait entendre, sa mouille déborde littéralement et coule entre ses fesses en direction des draps blancs.
Elle sent bon le sexe et l’envie de lui lécher la moule le tenaille. Les effluves sexuelles lui montent aux narines, c’est trop bon.

Il se retient pourtant, sachant qu’il pourrait après qu’elle ait joui, la faire jouir encore, cette fois-ci en goûtant à son bouton d’amour, lequel ne demande qu’à être pris en bouche.
Il enfonce alors son majeur, le replie légèrement dans le trou de mon épouse, pour continuer à solliciter ce fameux point G. Ma femme n’en peut plus, elle ne se contrôle plus. Elle s’entend soupirer, crier, supplier de la faire jouir et tout à coup, le silence malgré sa bouche grande ouverte. Elle jouit. Elle jouit par tous les pores de sa peau. Ses tripes lui font mal tellement la jouissance est forte. Elle s’agrippe convulsivement aux draps, se redresse sur la table, tire encore plus fort ses genoux et laisse échapper un râle de bête blessée.

François profite de cette jouissance torride pour enfiler un troisième doigt profondément dans le ventre offert, comme pour marquer un peu plus sa possession. Mon épouse le laisse faire, trop heureuse de la jouissance qu’il vient de lui offrir. François, trois de ses doigts profondément ancrés dans son ventre, attends patiemment qu’elle récupère. Il a l’air d’apprécier l’abri de chair. Il recommence à bouger doucement dans le fourreau. Ma femme encore dans les vaps, réagit cependant en sentant les doigts bouger dans son ventre. Elle écarte un peu plus les cuisses comme pour lui donner le feu vert à la suite des réjouissances.

François se penche alors et commence à la lécher. Sa langue se fraye un passage entre les lèvres dégoulinantes de mouille, lèche ses propres doigts toujours figés dans le con accueillant pour finalement se focaliser autour du clitoris.

En deux coups de langue, il le débusque complètement de son fourreau et, le prend entre ses lèvres pour le sucer comme une petite bite.

Les doigts continuent leur travail et rapidement mon épouse sent de nouveaux spasmes lui tordre le ventre. Elle ne pensait pas pouvoir jouir à nouveau si rapidement mais pourtant, le plaisir est de nouveau là, fort, de plus en plus fort.

- Vous allez me faire jouir encore si vous continuez. Je sens que ça déjà.
- J’espère bien que vous allez jouir encore. Laissez-vous aller, donnez-vous complètement.

Le vagin serre à nouveau ses doigts comme dans un étau. Il sait que la jouissance revient. Il s’applique maintenant à sucer ce clitoris pour le faire exploser une nouvelle fois.

Ma femme lui agrippe les cheveux. Se redresse dans un dernier soubresaut et explose cette fois-ci en poussant un grand cri qu’elle essaie d’étouffer en mordant une de ses mains plongée à la hâte dans sa bouche.
Cette fois-ci, c’en est trop. Deux jouissances aussi vite, mon épouse perd pied et tombe dans un semi-inconscience. Elle sent encore vaguement, son médecin triturer sa chatte et son anus de ses doigts mais comme dans un rêve. Son corps reste désespérément inerte, sans force.

Dans sa léthargie, elle sent et entends qu’il s’est levé. Elle sent sa présence à côté d’elle. Il pose ses mains de chaque côté de ses joues pour lui faire tourner la tête vers lui. Elle essaie d’ouvrir les yeux, mais sans succès.
Quelque chose vient de se poser sur ses lèvres, c’est chaud, c’est gros. Un liquide coule sur sa bouche. Elle sort sa langue et goûte. C’est bon, gluant mais bon et chaud. On lui appuie doucement sur sa mâchoire inférieure pour lui faire comprendre d’ouvrir la bouche, ce qu’elle fait docilement.

Mon épouse se dit qu’elle lui doit bien çà après deux jouissances aussi fortes mais pour l’instant, elle n’est pas en état de le sucer comme il le mérite. Il va falloir qu’il se branle dans sa bouche en attendant qu’elle ait bien récupéré.
La masse de chair investit immédiatement les lieux. C’est vraiment gros. Mon épouse se dit qu’il doit être vraiment gâté par la nature car elle a du mal à le prendre en bouche. Il aurait dû la lui mettre au lieu de venir dans sa bouche.
Le choix a déjà été fait et il ne lui appartient pas de décider. Elle essaie de se faire aussi douce que possible tandis que François commence à aller et venir entre ses lèvres.

Elle entend de drôles de crépitements pendant qu’il coulisse dans sa bouche. Bien que diminuée physiquement, elle sent que sa queue est en train de grossir. Des spasmes de plus en plus forts raidissent régulièrement la tige de chair.
Va-t-il jouir déjà ? Peut-être a-t-il envie de jouir dans sa bouche ?

Mon épouse n’a pas le temps de se poser plus de questions que déjà, elle sent la queue se raidir dans un spasme annonciateur. Elle le fait rentrer le plus profondément qu’elle le peut au fonds de sa gorge et attends la première giclée de foutre. Enfin elle est là, épaisse, abondante. Elle déglutit rapidement et déjà une seconde giclée lui inonde la gorge. Elle déglutit encore. Heureusement, la 3ème est moins épaisse, elle l’avale et fait ressortir le membre en pleine érection. Une 4ème giclée se répand sur sa langue. Elle ouvre enfin les yeux. François au-dessus d’elle, la regarde. Un magnifique sourire de mâle comblé aux lèvres.

Elle a son énorme gland dans la bouche. La 5ème et dernière giclée arrive à son tour. Les dernières giclées de foutre sur sa langue, elle fait ressortir complètement la queue encore palpitante et ouvre la bouche pour montrer à son amant, sa semence épaisse sur sa langue. Elle s’apprête à l’avaler lorsqu’il se penche vers elle et l’embrasse à pleine bouche, partageant ainsi, la récolte de ses bourses.
Mon épouse ravit de cette initiative que je lui accorde, je l’avoue, rarement, ne peut s’empêcher de le remercier pour cette délicate attention.

- Merci d’avoir partager avec moi, cette dégustation. Peu d’homme en sont capables. J’y suis particulièrement sensible. Fais de moi ce que tu veux pour te remercier.
- Vous ne savez pas à quoi vous vous engagez.
- Qu’importe j’ai déjà confiance en vous.

François fort de cette carte blanche, retourne alors mon épouse sur le ventre, la fait glisser vers le bas de la table pour ne laisser que son ventre au bord de cette dernière, repousse les étriers et s’installe entre ses jambes.
Après son éjaculation, mon épouse se demande ce qu’il lui réserve car ce n’est vraisemblablement pas pour la prendre déjà qu’il l’a positionné ainsi, pourtant, elle le sent entre ses cuisses en train de lui ouvrir la chatte de ses doigts.

Elle se retourne et doit vite se rendre à la raison, François n’a pas débandé et il est prêt à l’investir de son gros chibre noueux.

Elle sent son gland à l’entrée de sa chatte. Elle n’est pas inquiète car se sait inondée par ses 2 précédentes jouissances. De plus, le fait de l’avoir fait jouir dans sa bouche, l’a passablement excitée. Elle est prête à l’accueillir aussi gros soit-il.

Un seul coup de reins, une seule poussée rectiligne et il est emmanché au plus profond d’elle-même. Elle n’a put réprimer un cri de surprise durant l’assaut. A peine au fonds, François se met tortiller des fesses pour bien épouser les chairs distendues. Ma femme souffle fort. Elle a un peu mal car le chibre est épais. L’intrusion a été brutal aussi, mais c’est elle qui lui a donné blanc seing. Elle est bien décidée à assumer.

Elle a envie qu’il bouge maintenant, qu’il la prenne tout en longueur, fort, puissamment, comme une chienne.
François semble avoir compris son désir car d’un seul coup il s’anime. Les mains posées sur ses hanches, il commence à la pilonner sans ménagement aucun. Dès le 2ème coup de reins, la machine s’est emballée pour une course effrénée. Il est puissant et chaque coup de bite la pourfend littéralement.

Ma femme s’agrippe aux draps. Elle subit l’assaut sauvage avec délice. Elle ne sait plus si ses coups de queue lui font mal ou au contraire la comble de plaisir. De toute manière c’était ça dont elle avait envie. Contrairement à beaucoup de mâles, François sort presque complètement de sa chatte et c’est de toute sa longueur qu’il le pénètre à chacun de ses retours dans son fourreau. Mon épouse est aux anges. Avant même qu’elle ne l’ai sentie, elle se met à jouir. Elle lui crie son plaisir, son plaisir d’être prise ainsi comme une bête.
- Oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. Je jouis encore. C’est trop fort. Merci. Merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.

Ma femme s’écroule, les bras en croix, vaincue une nouvelle fois par cette débauche de luxure. François ne faiblit pas. Il continue son pilonnage si bien qu’en peu de temps, le plaisir revient. Aussi vite qu’il a explosé, il est de nouveau là.

Mon épouse ne bouge pas. Elle sent seulement sa chatte réagir aux puissants coups de bite. Elle sent son ventre se tordre dans d’aussi puissants spasmes de plaisir. Elle repart immédiatement dans un nième jouissance. Les forces lui manquent cependant pour lu crier sa nouvelle jouissance. Elle se contente de râler en permanence mais cela semble convenir parvenir à son assaillant.

Enfin il s’arrête. Il n’a pas joui. Que fait-il ? Ma femme sent qu’il pose son gland un peu plus haut sur sa petite pastille brune. Il va la sodomiser. Elle a peur à cause de sa taille imposante mais tant pis. C’est elle qui lui a proposé de faire ce qu’il voulait de son corps. Il faut qu’elle assume ses promesses.

Elle espérait secrètement qu’il n’aille jusque là mais en même temps, elle sait très bien que les mâles adorent marquer leur territoire par cette possession ultime.
Elle essaie de se détendre au maximum. Elle attend la poussée fatale. Son anus palpite déjà en sentant l’épais gland en appui sur sa porte.

La perspective d’être sodomisée par un aussi gros mandrin lui a fait reprendre tous ses esprits.
Pour l’heure, tous ses sens sont en éveil. François lui écarte les fesses pour faire ressortir son anus et l’ouvrir délicatement. Il en profite pour appuyer sur la corolle, ciblant de son gland, le centre entrouvert.
Mon épouse sent le gland s’engager dans l’étroit conduit. Les plis de l’anus cèdent un à un. Le chibre couvert de mouille s’avance lentement mais sûrement. Les chairs s’écartent pour laisser passer le nouveau seigneur des lieux.
Ma femme a le feu au cul. La brûlure lui laboure les reins mais elle se sent fière d’avaler le gros mandrin entre ses fesses. Elle a hâte que la progression s’arrête aussi, d’un seul coup, elle recule à la rencontre de l’agresseur. Ses sphincters cèdent tout à coup et François s’enfonce dans son fondement jusqu’aux couilles.
Il ne bouge plus, laisse à mon épouse le temps de s’habituer à sa présence entre ses fesses. La douleur est passée. Seule persiste cette sensation d’un énorme pieu en elle. François la maintient fermement aux hanches. Il recommence à bouger très lentement d’abord pour accélérer progressivement.
Mon épouse a l’impression de se faire ouvrir en deux à chaque poussée qu’elle encaisse sans broncher.

- Vous êtes encore plus belle embrochée comme ça. Vous me faites un bien fou. Je vais jouir comme ça si vous voulez bien.
- Allez-y, j’espère être à la hauteur de votre plaisir. Défoncez-moi le cul, Docteur, maintenant j’en ai envie.

Ravi d’entendre de sa bouche une telle invite, François assure sa prise et, commence le pilonnage de son petit cul. Le mandrin, au début un peu à l’étroit, fait vite sa place dans le cul sexy de ma femme. Rapidement, il coulisse comme dans sa chatte, avec les mêmes bruits obscènes. A croire qu’elle mouille du cul comme de la chatte. François sort presque entièrement de l’anus, le laissant ouvert pour la poussée suivante. Il s’y engouffre sans ménagement et ce n’est pas pour déplaire à ma femme qui, tient ses fesses largement écartées de ses deux mains.
Elle l’invective dans des termes crus :

- Allez-y, plus fort. Cassez-moi le cul. J’adore çà. Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. Plus fort. J’ai envie de sentir votre foutre m’inonder les intestins. Déchargez dans mon cul, laissez-vous aller s’il vous plaît.
- On a le temps. J’adore sentir voir votre petit cul s’ouvrir pour ma queue. J’adore le voir ouvert à m’attendre. Vous êtes vraiment bonne.
- Salaud, j’en peux plus. Vous allez me défoncer l’anus si vous continuez comme çà. Finissez-moi, remplissez-moi de votre jus.

Au bout de longues minutes enfin, mon épouse qui s’était résignée à se laisser sodomiser jusqu’à ne plus sentir son anus, sentit que ce cher docteur raffermissait sa prise sur ses hanches. Ses coups de boutoir devenaient plus profonds. Il était sur le point de décharger. Elle se dit que cette fois-ci, l’expression « se faire casser le cul » avait pris tout son sens, tandis que le membre s’immobilisait enfin aux fonds de ses entrailles, expulsant nerveusement ses giclées de foutre dans ce qui avait été un étroit conduit.
François jouissait en silence, la queue profondément figée dans le fondement de mon épouse, les mains calées sur les hanches de mon épouse.

Ils restèrent un bon moment comme çà, soudés l’un à l’autre. François pour profiter encore un peu de l’antre accueillant, mon épouse en signe de gratitude pour le plaisir reçu peu avant.
Lorsqu’ils se séparèrent, mon épouse sentant le vide entre ses fesses, y porta instinctivement ses doigts. Son anus restait désespérément ouvert. Deux de ses doigts y pénétraient facilement. Du sperme commençait à s’écouler de l’ouverture béante, en direction de ses lèvres.

Elle était dans un sale état mais se sentait bien malgré tout, d’avoir su satisfaire cet homme à la puissante sexuelle hors du commun, se demandant s’il exigerait de la revoir après avoir tout obtenu d’elle dès la première fois.
En y repensant, cette éventualité lui fit un peu peur car serait-elle capable de subir à chaque fois, une telle tornade sexuelle. Sa chatte passe encore, mais son petit cul finirait par demander grâce, à coup sûr.
Perdue dans ses pensées, elle s’aperçut que le bon docteur s’était déjà rhabillé et, qu’il avait repris place derrière son bureau, très professionnel.

Son attitude tranchait singulièrement avec le tableau qu’offrait mon épouse, encore allongée sur la table gynécologique, les bras pendants, les fesses à l’air, entre lesquelles s’écoulait une bonne quantité de foutre, la mine défaite d’avoir tant joui.
Elle se redressa, mis un peu d’ordre dans sa coiffure et, après s’être calé un kleenex entre les fesses, se rhabilla rapidement.

François la regardait se rhabiller, un attendrissant sourire aux lèvres. Son attitude la rassura. Elle finit de se rhabiller et vint prendre place dans le fauteuil de consultation en face de lui. Un peu mal à l’aise, elle attendit que François prenne l’initiative. Ce dernier, en vrai gentleman, lui prit doucement les mains pour lui dire :
- Je n’ai jamais pris autant de plaisir en consultation. J’ose espérer qu’il en a été de même pour vous. J’attends avec impatience que vous appeliez pour un nouveau rendez-vous car aujourd’hui, je crains qu’aucun examen ne soit possible.
- Merci docteur, vous pouvez compter sur moi.

A la fin de ce récit, j’avais déjà joui deux fois entre les doigts de mon épouse adorée qui, voyant mon état d’excitation, me masturbait lentement pendant qu’elle parlait. A la fin, me sentant encore excité, elle me demanda de la prendre par derrière comme elle l’avait décrit dans son récit.

C’est avec un plaisir non dissimulé que je l’ai préparé pour finalement m’enfoncer entre ses reins satisfaisant une demande assez rare chez mon épouse. Comme dans son fantasme, elle s’offrit sans retenue à mon assaut, me demandant de la punir comme elle le méritait car elle avait tout plein de choses à se faire pardonner.

Ses paroles tandis que j’étais en train de la sodomiser, ce récit si précis, ces dialogues tellement emprunt de réalité, m’amenèrent vite à penser que ce fantasme n’en était peut-être pas un mais tout simplement la réalité.

Ne sachant pas comment m’avouer ce gros écart, mon épouse n’avait peut-être trouvé que cette échappatoire pour tester mes réactions.
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Histoire de ketty1912

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