Le réveillon 2

Sans trop savoir pourquoi, Léna masturbe le membre que Théo lui a placé dans la main. À chaque descente de son poignet, elle décalotte le dôme de chair. Elle reste un moment, le gland décalotté, pour l'observer avec attention. Les marbrures du cèpe royal et la couleur violacée la font déglutir. Puis en soupirant, elle reprend avec lenteur le branlage du membre grandement veiné, sans le quitter des yeux. Des gémissements se font entendre, Léna détourne sans regard, elle reste sans voix. Manon qui est assise à califourchon sur les genoux de Marcel, est empalée jusqu'à la garde sur sa bite. Elle grogne de plaisir en s'agitant sur le pieu qui est bien planté en elle. À côté du couple emboité, Lucie s'active sur la verge gorgée de sang de Paul, sa bouche monte et descend sur le pieu, en faisant geindre l'heureux élu. Soudain un bruit de verre cassé, se fait entendre, Lucas vient de culbuter Sophie sur le bord de la table, elle à la jupe retroussée, sa culotte traine sur le sol. Lucas lui pilonne le ventre en poussant des hans de bucheron.

Théo regarde sa femme se faire prendre bestialement par son pote, il hausse les épaules, en opinant de la tête puis dit :


-Léna, pourquoi que nous ne faisons pas comme eux, ils prennent du bon temps, pourquoi pas nous !


Sans répondre, Léna accélère le branlage, la verge est au top, elle vibre dans la main de Léna, qui l'agite de plus en plus rapidement. Théo souffle comme un dragon, il est au bord de l'éjaculation. Soudainement, Léna cesse de le masturber et dit en souriant :

- Voilà, j'ai fait le plus gros, à toi de faire le reste !


Théo n'en croit pas ses oreilles, il ne comprend pas ce que cherche Léna, il dit avec de l'écume au bord des lèvres :


-Mais continue, n'arrête pas, j'allait jouir !



Léna éclate de rire et répond :

-Finis-toi, tu as des mains, non !


Théo en rugissant réplique :

-Mais tu es une vraie salope, tu vas me le payer !


Il arrache brutalement le corsage et le soutien-gorge, que Léna avait acheté pour l'occasion, il la prend à bras-le-corps et la dépose sur le bord de la table. Léna, surprise, tente de se débattre, mais Théo est costaud, il la plaque sur la table, et pose sa bouche sur un mamelon qu'il aspire fortement. Léna se cabre, le bougre suce et tète le mat de chair avec une voracité inouïe. Le téton devient méconnaissable, tellement qu'il a grossi. Théo passe à l'autre et lui fait subir le même traitement. Léna cesse de se débattre, à chaque succion, elle pousse un petit gémissement qu'elle tente d'étouffer en se mordant le poignet. D'une main, Théo lui retrousse la jupe, passe sa main sur le bas ventre, et constate que la culotte de la récalcitrante est mouillée. Il lui dit en souriant :


-Ma salope, tu caches bien ton jeu hein, tu joues la sainte-nitouche, mais en réalité, tu veux ma bite, aller avoue !


Elle fuit son regard, sans lui répondre. Théo à vu juste, elle frissonne lorsque ses doigts passent plusieurs fois sur la partie humide. Il lui saisit la tête avec ses deux mains et l'embrasse fougueusement. En poussant un long soupir, Léna répond au baiser de Théo. Les langues se nouent comme deux reptiles qui cherchent à s'accoupler, un échange abondant de salive se fait. Théo bande comme un cheval, il se redresse et sans prendre son temps arrache violemment la culotte qui est maintenant trempée. De temps en temps, Léna jette un regard vers son mari qui l'a complétement oublié, trop occupé de besogner Sophie qui geint à chaque enfoncement du glaive dans l'étui de chair.


Théo se place face à Léna, il la regarde en lui écartant les cuisses, la faible lueur empêche de voir Léna rougir de honte. Théo avance sa tête entre les cuisses largement ouvertes, il hume les effluves odorantes qui s'échappent du puits d'amour. Il plaque sa bouche brulante sur les grandes lèvres qui pendent légèrement, et les aspire. Léna pousse un long râle en appuyant sur la tête de son amant. Elle se met à onduler doucement du bassin en continuant de geindre. Théo se gave du jus que la vulve très sollicitée rejette. Sa langue s'enfonce profondément dans l'antre brûlant et le fouille à la recherche du nectar précieux. La langue habile fait couiner Léna de plaisir. Elle se cabre lorsque, l'appendisse rugueux s'enroule sur son clito, et le titille férocement. Léna ne retient plus ses gémissements, elle grince des dents en même temps. C'en est trop pour la faible femme, qui se raidit, en envoyant dans la bouche de son amant son jus suave.


Théo, satisfait de la jouissance de son amante, se redresse en on ne sait par quelles acrobaties, il arrive à offrir à la bouche de Léna sa verge dure. La coquine se met à sucer le gland au préalablement décalotté, avec une telle ardeur que Théo en reste coit. La bouche chaude de Léna fait geindre Théo de bonheur. Il se raidit et dit :

-Oh ma chérie, je vais décharger, arrête je t'en prie !


Entre deux succions, Léna parvient à dire :


-Envoie, tout, oui tout, ne te retiens pas surtout, je veux boire ta semence mon salaud !


Théo, en se cabrant fortement, envoie tout ce qu'il a dans les couilles, dans la bouche de la demandeuse. La décharge puissante est très abondante, un filet de sperme s'échappe à la commissure des lèvres de Léna qui déglutie longuement, avant de tout avaler. Théo la regarde, surpris par la gourmandise de son amante. Léna prend soin de bien nettoyer le gland qui envoie encore quelques perles de rosées. Il descend de sa position pas très confortable, et se place entre les jambes de son amante. Il profite que sa verge est encore tendue, pour l'enfoncer profondément dans le ventre de Léna, qui pousse un grognement pendant la pénétration. Le diamètre important de l'engin la fait grimacer. Bien que dilatée, Léna agite son bassin en marmonnant :


-Oh putain que tu es gros mon chéri, mais c'est délicieux de recevoir un tel hommage, surtout d'un engin aussi gros !


L'amant s'accroche à ses hanches et la travaille à lui en faire perdre la tête. Les coups de reins puissants de Théo la défoncent comme jamais, elle ne l'a été. Dans la pièce, des hurlements se font entendre, les amants ne ménagent pas leurs efforts, les jouissances sont spectaculaires. Enfin, les couples se séparent et viennent former un cercle autour de Théo et Léna qui ne cesse de se faire pilonner la chatte à grands coups de reins. Lucas regarde la bite volumineuse de son pote, voyager dans le ventre de sa femme, il dit en souriant :

-Oh putain ce qu'elle prend ma salope d'amour, oh la vache comme elle se fait dilater, il semble qu'elle adore ça ma cochonne !
Comme c'est son anniversaire, rien n'est trop beau pour elle, mes amis, je vous demande de la combler de bonheur, faites la jouir jusqu'à ce que ma chérie demande grâce !


Immédiatement, Manon pose une main sur le corps fébrile de Léna, et le caresse en s'attardant sur sa poitrine. Marcel vient à la rescousse, les deux se partagent le travail. Ils entreprennent une palpation mammaire digne d'un pro. Les mamelons, sous les étirements et les pincements des deux manipulateurs doués, deviennent épais. Les bouches voraces s'en emparent pour leur faire prendre encore du volume. Léna est au bord de la syncope, pilonnée sauvagement par un soudard et tétée voracement par deux affamés, pousse de longs râles rauques. Soudain Théo se bloque, c'est en grimaçant et geignant, qu'il envoie dans le ventre de Léna plusieurs jets de sperme. La douce chaleur de la semence que reçoit la soumise en elle, la fait cabrer. Elle donne de grands coups de reins, l'empalement est total, les couilles de l'éjaculateur frappent fortement sa chatte en ébullition.




Lucie ne veut pas faire tapisserie. Elle passe sa main sur le ventre de Léna et lui saisit le clito. Elle le presse avant de le branler énergiquement. Léna semble être prise de frénésie, elle s'agite comme une forcenée en se cambrant comme un pont, ses yeux sont révulsés, un filet de bave s'échappe à la commissure de ses lèvres. Un terrible gémissement, sort de sa gorge, Léna jouit extrêmement fort. Lucie lui écrase le clito, les deux suceurs de nichons, font de même. Léna hurle, une deuxième jouissance la cloue sur la table. Enfin, les quatre délaissent la jouisseuse. Par curiosité, des têtes de penchent pour regarder de plus près la chatte au trou béant qui rejette le surplus de sperme. Paul n'en peut plus, il place sa queue contre l'orifice largement ouvert et sans difficultés, enfonce sa bite dans le ventre de Léna qui geint toujours. Quelques coups de reins suffisent pour que le bougre, déverse son jus visqueux au plus profond des entrailles de Léna, qui jouit en même temps que son baiseur. Marcel prend rapidement la place vacante, et avec une rage inouïe, pilonne le ventre si accueillant de l'insatiable. La verge de Marcel arrive à faire re-jouir Léna, elle sagite tellement, qu'elle rexpulse la verge de Marcel hors de son ventre. Le bougre ne peut retenir la semence, qu'il envoie sur le ventre de la jouisseuse.


Lucas regarde la chatte béante que les invités à tour de rôle ont défoncée, il ne peut s'empêcher de caresser le clito qu'il ne reconnait pas tant il est énorme. Il dit en souriant :

-Buvons un coup mes amis avant de reprendre les festivités, je croit que ma Léna chérie, n'en a pas eu assez, n'oubliez pas que c'est elle la reine aujourd'hui !