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Le Routier 1 - Sexe à la supérette

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Lue : 1385 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 27/04/2020

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J’ai ralenti, et je me suis engagé dans la rue. J’ai débouché sur la place, et j’ai effectué ma manœuvre habituelle, pour amener le cul du camion devant la supérette.
Les deux propriétaires sont sorties. J’arrivais en milieu d’après-midi, le lundi, le mercredi, le vendredi, et je leur amenais des denrées.
—Ca va les filles ?
Cela faisait neuf ans que je les livrais. Elles avaient repris, ensemble, cette petite supérette, qui fonctionnait bien, située en plein cœur de ville. Elle avait son lot de clients, qui venaient, c’était la règle pour toutes les supérettes, chercher quelques bricoles, oubliées en achetant en super ou hyper…
Elles étaient deux, deux amies qui s’étaient associées. Maxine et Camille. Camille était la plus âgée, une femme d’une quarantaine d’années, brune, cheveux coupés très courts, avec de grands yeux bleus, et un corps aux formes pleines. Maxine avait visiblement dix ans de moins, une petite blonde avec elle aussi les cheveux coupés courts, plus menue.
Ensemble, on s’est mis à vider le camion des biens qui leur étaient destinés.
J’ai repensé à ce qui s’était passé entre Camille et moi l’année précédente. Une période qui avait duré six mois et qui avait malheureusement pris fin. Je le regrettais encore.
Difficile d’expliquer ce qui se passe entre deux personnes. Elle avait une bonne quarantaine d’années, et elle était attirante, sans aucun doute. Elle avait aussi un un bon contact. Il en faut pour être commerçant. Son mari était militaire. Quand on se parlait, il y avait quelque chose qui passait, et sans aucun doute, ses codes corporels le disaient aussi clairement. Son regard et la manière qu’elle avait, toujours, de me toucher. Mais je n’aurais pas imaginé que quoi que ce soit puisse se passer, même si elle me plaisait aussi. Son mari était parachutiste, il faisait partie du régiment installé un peu plus loin. Il était souvent là quand je livrais, il donnait un coup de main. C’était quelqu’un de sympa, et j’aurais d’autant moins imaginé avoir une relation avec son épouse pour cela.
La donne avait changé quand son mari était parti en Opex pour six mois. Elle me l’avait annoncé un lundi, son regard planté dans le mien. Une manière de me faire comprendre clairement qu’il y avait une fenêtre et qu’il fallait saisir l’occasion.
Je livrais tous les deux jours. Il n’y avait pas toujours son associée. C’est comme ça que le mercredi, ça s’était débloqué. Je l’avais aidée à décharger. Je lui avais fait signer tous les papiers. Puis elle m’avait dit :
—Je te paye un café, il n’y a personne.
Je l’avais accompagnée jusqu’à l’arrière-boutique. Mais on avait tous les deux que cette fois, ça allait être différent.
Elle marchait juste devant moi, un peu sur la gauche, et j’avais devant moi l’évidence qu’elle était vraiment désirable dans sa quarantaine épanouie. Et le frémissement de mon corps, la chaleur qui m’envahissait, ainsi que le durcissement de mon sexe me disaient clairement que, oui sans aucun doute, je la désirais… Elle était vraiment très attirante… Cheveux blonds qui coulaient sur ses épaules, un corps aux courbes magnifiquement féminines, ses seins tendant son pull léger comme ses fesses et ses cuisses tendaient son jean moulant.
L’arrière boutique était une vaste pièce avec des étagères, consacrées pour partie aux produits pas encore mis en rayon, et pour partie à la paperasse. Dans un coin, sur le vaste bureau, une cafetière finissait de faire couler le café qu’elle avait du mettre juste avant que j’arrive.
—J’ai envie que tu me baises ici et maintenant. J’y pense depuis plusieurs mois, c’est devenu une obsession. Je sais que je suis mariée, que c’est mal, mais je t’ai dans la peau. C’est ça le drame dans la vie… Avoir envie de quelqu’un alors qu’on est avec quelqu’un d’autre… Je m’entends très bien avec mon mari, mais en vingt ans, ce qui était sans doute une relation amoureuse est devenu une simple amitié. Avec des rapports sexuels inexistants. Je ne sais pas si je t’aurais regardé si j’étais heureuse et satisfaite. Peut-être que oui, peut-être que non. Il ne s’agira que d’un moment entre nous, mais j’ai très envie de ce moment. Ca te dit ou pas ? Je comprendrai parfaitement que tu dises non.
Elle avait dit ça en nous servant deux tasses de café et en m’en présentant une.
Il n’y avait eu nulle parole échangée entre nous. On avait bu notre café, en se regardant, sans détourner le regard de l’autre. Quand j’ai reposé ma tasse, sans un mot encore, elle avait posé également la sienne et s’était rapprochée de moi. Elle s’était collée à moi, écrasant ses seins et son ventre contre moi, et venant chercher ma bouche. Je sentais en elle un appétit, une frénésie, quelque chose qui avait été sans doute pas mal frustré ces derniers temps, et qui s’était canalisé, pour le positif ou le négatif, sur moi.
Mais je n’étais dans doute pas mieux loti. Divorcé l’année précédente, avec la terrible évidence que mon épouse et moi nous ne pouvions pas nous entendre, et que nous ne nous étions sans doute jamais entendus, même si nous l’avions cru dix ans plus tôt, je n’avais pas vraiment trouvé depuis un exutoire à mes envies et mes fantasmes, me contentant de regarder du porno et de me masturber fébrilement.
—J’ouvre dans une demi-heure, c’est le temps qu’on a devant nous, elle avait dit en reculant.
J’avais attrapé le bord de son pull léger, et je l’avais remonté vers le haut. Dessous, elle avait un soutien-gorge noir, avec une partie transparente, qui soutenait une poitrine lourde. A travers la transparence du tissu, j’ai vu ses aréoles larges, et des tétons que l’excitation avait fait tout durs, et qui tendaient la transparence d’une manière troublante.
—Prends mes tétons dans ta bouche, je suis très sensible par là.
Elle avait passé ses mains dans son dos, pour dégrafer son soutien-gorge. Ses seins étaient épais, mais, bien qu’elle soit dans ce que j’estimais être le milieu de la quarantaine, ils étaient bien fermes. Et puis il y avait, c’était vrai, ces tétons qui m’impressionnaient, dans leur épaisseur et leur dureté. J’ai plongé dessus de la bouche, pour les agacer de la pointe de la langue. C’était un plaisir aussi étrange que troublant de les faire glisser ces tétons l’un après l’autre, et de sentir qu’ils me remplissaient, et de venir passer ma langue dessus, mais aussi de la sentir réagir d’une manière aussi forte. Elle avait défait le bouton qui tenait son jean à sa taille, et glissé sa main dessous, dans le slip assorti dont j’apercevais un bout, après avoir descendu la fermeture-éclair de quelques centimètres. Elle se caressait dans un mouvement de haut en bas pendant que je continuais à honorer ses tétons. De son autre main, libre, elle est venue descendre la fermeture-éclair de mon pantalon, et elle a plongé à la recherche de ma queue. Elle a tâtonné, puis est parvenue à la sortir de mon caleçon… J’ étais au trois-quarts dur. Elle m’a caressé doucement.
—Ca faisait longtemps que j’avais pas eu une queue bien dure dans la main. C’est des choses qui te manquent, immanquablement. Des plaisirs simples, mais ô combien irremplaçables…
Elle m’avait caressé doucement, et je m’étais dit qu’effectivement, si le temps permettait de ne plus y penser, revenir à de tels plaisirs ne pouvait qu’inciter à conclure que oui, le manque avait été bien réel, même si on s’était anesthésié pour ne plus y penser.
—Je mouille tellement que j’ai l’impression de me pisser dessus. Viens, j’ai envie de sentir ta bite en moi…Il y a un vide qui dure depuis trop longtemps. Tiens, regarde…
Elle a désigné un présentoir de préservatifs sur la table. J’ai attrapé un étui, il y en avait cinq par étui.
—Je voudrais que tu me remplisses de sperme, et le sentir dégouliner jusqu’au fond de mes muqueuses…Mais il vaut mieux être prudents…
J’ai déchiré l’emballage et fait glisser le latex le long de ma queue. Ca me faisait tout drôle d’être enveloppé d’une capote, je n’en avais pas utilisé depuis très longtemps.
—Je mettrai de côté l’étui…Tu utiliseras le reste quand on se reverra.
C’était le gage, rassurant, qu’il n’y aurait pas qu’une fois unique. Car j’avais envie que ça dure, même si je ne me faisais pas d’illusions sur ce qu’était et ce que deviendrait notre relation…
J’ai glissé à genoux parce que je voulais la déshabiller, voir sa chair, voir son sexe. J’ai attrapé les pans de son jean, et je l’ai tiré vers le bas. La partie face de sa culotte était faite d’un tissu transparent, et on pouvait voir une chatte fournie et bouclée, ainsi que le haut de ses lèvres, un bout tordu. A partir du tissu opaque, on voyait que le tissu était trempé de sombre, ses liquides intimes qui étaient sortis d’elle, d’excitation. J’ai appuyé la pulpe de mes doigts sur cette zone, pour la caresser à travers sa culotte. Elle s’est cambrée et a gémi.
—Oh vas-y continue, caresse-moi. J’ai trop besoin de ça.
J’ai obéi, la caressant à travers le tissu fin, en partie trempé. J’ai poussé le tissu entre ses lèvres, le faisant rentrer dans sa muqueuse. Elle a poussé un petit gémissement.
—C’est bon comme ça, continue.
Obéissant, j’ai exercé plusieurs fois une sorte de poussée, qui amenait le tissu en elle, comme une caresse sur son intérieur. Elle a semblé apprécier, mais on savait tous les deux qu’on avait envie de plus. J’ai fini par attraper la culotte sur ses hanches, et la descendre pour dévoiler son sexe. Ca n’était pas le sexe d’une jeune femme de vingt ans, c’était un sexe qui avait vécu, qui avait pris du volume, de la chair, qui avait vu passer une ou plusieurs queues, et pas qu’une ou deux fois, qui s’était dilaté pour laisser passer un ou plusieurs gosses. Un sexe avec de grosses lèvres, qui s’étendaient loin et qui se gorgeaient de sang quand elle était excitée, un sexe qui, quand elle troublée, se dilatait vraiment, laissant voir loin son intérieur et un gros clitoris qui, sous mes yeux, s’allongeait, morceau de chair qui s’étendait en haut de ses lèvres, ligne de chair qui se dressait comme une queue masculine, épaisse et gorgée de sang. Du liquide suintait d’elle, et venait poisser ses aines et ses cuisses.
Elle a eu un sourire radieux quand j’ai approché ma queue de son sexe. Je comprenais bien son manque, son envie, très basique, de sexe. Moi-même, j’étais un peu dépassé par ce que je vivais, j’avais d’abord pris ça à la légère, et je ressentais un désir plus fort que je n’aurais pu l’imaginer au départ. J’ai amené ma queue tout près de son clitoris, et j’ai posé mon gland, tout gonflé, contre le clitoris que j’ai senti, au bout de ma chair, long, épais et chaud. Je me suis mis à le frotter vivement, surpris d’avoir eu l’idée de venir là, alors que la logique aurait voulu que je rentre en elle. Elle s’est mise à gémir longuement. Son sexe s’est dilaté, s’ouvrant encore plus, quasiment béant à présent, dont coulait un ruissellement ininterrompu de liquide. Elle a joui, se crispant, et libérant des sécrétions abondantes.
Cette expérience m’a tellement excité que je n’ai rien pu faire pour retenir la jouissance. De la chaleur et de la lumière ont rempli mon corps, pendant que je balançais ma semence dans le préservatif. Elle m’a jeté un regard de reproche avant de dire :
—Je voulais que tu viennes dedans !
—Je crois que ça ne sera pas un problème, je lui ai répondu.
Ca faisait plusieurs mois que je n’avais pas fait l’amour, et j’avais accumulé tellement de frustration et d’envie que je n’ai même pas débandé, restant tout raide. Je me suis glissé en elle, me sentant pris par son sexe, qui m’a entouré, et gainé, chaud et liquide. Je ne me l’étais jamais avoué vraiment, mais c’était à cela que je rêvais depuis un an, simplement être en elle, dans ce qu’il y avait sans doute de plus basique, mais de plus efficace. Une verge enfoncée dans la chaleur intense d’une vulve, qui la fouille longuement.
—Si tu savais comme j’ai pu rêver de ce moment, elle a soupiré. Je pensais que ça n’arriverait jamais. Le nombre de fois où je me suis branlée en imaginant ta queue en moi, me remplissant, glissant dans ma vulve. Je regrette qu’on n’ait pas fait ça plus tôt…
—Il faut souvent attendre le bon moment.
Mon regard a glissé sur le gros réveil blanc qui était posé sur la table. On avait encore un peu de temps. Elle était allongée en travers des dossiers qui se souviendraient sans doute de ce moment, et tous les deux, nous nous rapprochions de la jouissance. Elle a lâché plusieurs petits cris et s’est libérée, crachant de petits jets de jouissance, tandis que, pour la seconde fois, je jouissais dans le préservatif.
Quand j’ai reculé et que je suis sorti d’elle, elle a tendu la main vers moi :
—Non, n’enlève surtout pas la capote ! Je veux ton sperme !
Je suis revenu près d’elle, examinant son sexe, encore plus dilaté et coulant. Une béance. Elle a commencé par tendre les mains vers ma queue. J’étais tellement excité que je n’avais pas encore vraiment débandé. Le réservoir était saturé de sperme. Elle a fait délicatement rouler la capote le long de ma queue, puis l’a enlevé, en s’efforçant de ne rien perdre de la semence qui s’est accumulée dans le latex. Avec une mine gourmande, elle a dardé sa langue et elle est venue laper le sperme comme si c’était une substance précieuse. Elle a continué jusqu’à ce que le latex soit totalement sec. Puis elle a attrapé un gros rouleau d’essuie-tout, bien épais, sur la table.
—Je m’en sers quand on a des fuites de liquide, je ne pensais pas que je l’utiliserais pour mes propres sécrétions.
Elle a épongé sa chair, avant de remonter sa culotte, et son jean. Il y avait une expression que je n’avais jamais encore jamais vue sur son visage, elle était radieuse. Je me suis dit que le sexe était vraiment, j’aurais pu en dire autant pour moi, indispensable à l’épanouissement de l’individu. Et son manque comme un vide, une douleur.
On s’est rajustés tous les deux. Elle s’est tournée vers moi et m’a dit :
—Le mercredi, ça sera parfait. J’ouvre le magasin à seize heures, mais je peux être là bien plus tôt. Si tu as la possibilité d’arriver en avance… On décharge, tu vas te garer un peu plus loin. Il y a un grand parking en bas de la rue. Tu ne peux pas venir à la maison. Il y a mes enfants.
Le cadre était posé, les conditions acceptées. De toute façon, je n’étais pas exigeant. Je prendrais ce qu’elle me donnerait, et pour le temps qu’elle me le donnerait. Je soupçonnais bien que je devrais profiter de chaque moment, de chaque instant, et qu’il y aurait sans doute très rapidement un terme. Ce que nous vivrions ensemble, ce serait déjà bien. Je n’avais jamais espéré l’éternité, dans chacune de mes relations, simplement des moments intenses qui restent longtemps en moi.
On s’était retrouvés tous les mercredis, effectivement. J’arrivais de plus en plus tôt dans l’après-midi, m’arrangeant pour caler mes livraisons dans la matinée. Elle m’attendait, on commençait par décharger, j’allais me parquer sur le grand parking, puis je la rejoignais.
En quelques semaines, elle avait radicalement changé. Non seulement parce qu’elle était plus épanouie, plus souriante, mais parce qu’elle s’était féminisée. Je ne l’avais vue jusqu’alors qu‘avec des vêtements purement fonctionnels, jean basique, polo, T-shirt, chaussures plates, souvent baskets, je la découvrais féminine, semaine après semaine. Ca devait d’ailleurs surprendre pas mal de monde. Robes, jupes, jambes gainées de nylon, petits hauts frais et décolletés, des talons, plus de maquillage…
Ce qui me surprenait moi, sans doute le plus, c’était qu’il y ait entre nous quelque chose d’aussi intense, et qu’une relation aussi brève, et aussi forcément éphémère puisse me marquer autant.
Sans grande surprise, une semaine avant le retour de son mari, on venait de passer un moment intense ensemble, elle m’a dit :
—Bruno sera de retour dimanche prochain. Sa mission est terminée.
La nouvelle m’est tombée sur le coin de la tronche. Deux minutes plus tôt, elle était pliée en deux au dessus du bureau, ce bureau autour duquel nous avions beaucoup tourné, et je faisais aller et venir ma queue dans son anus, le regard accroché au bas de ses reins, à sa croupe charnue. Je n’imaginais pas, au moment où tout mon sperme était parti dans la capote, venant taper contre les parois du conduit étroit, que c’était la dernière fois.
—J’ai passé dix mois merveilleux, avec tous ces moments, mais je préfère qu’on en reste là.
Pressentant peut-être ce que j’allais, ou ce que j’aurais pu lui dire, elle a ajouté :
—Tu vas sans doute me répondre qu’on pourrait continuer à se voir le mercredi, que ça ne changerait rien. Quand il sera là, il sentira immédiatement qu’il se passe quelque chose. Il n’est pas stupide, même s’il ne me baise plus. Et puis chacun à ses limites. Les miennes, c’est que j’accepte de lui trouver un remplaçant pendant son absence, mais je ne veux pas le tromper quand il est là.
Tout était dit. Je suis parti ce soir-là, dans mon camion, en me disant qu’une page venait de se tourner, sans doute une des plus belles pages de ma vie, et que cela me rendait plus triste que je ne l’aurais imaginé.
Je ne repartais pas tout de suite. Mon patron m’avait contacté sur le coup de midi.
—Tu ne rentres pas à vide… Des bouteilles de vin… Le patron t’attend sur le coup de 19 heures… Il y a de quoi remplir le camion apparemment. Il te fait manger et dormir chez lui, et tu pars demain matin pour aller livrer à la plateforme de distribution de L…
C’était souvent comme ça. Le métier était imprévu, mais ça me plaisait bien que ce soit ainsi.
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Histoire de JamesB

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