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Le soir où tout a basculé

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Lue : 8335 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 29/12/2018

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Bonjour, je m’appelle Hervé, trente ans, veilleur de nuit, à l’hôpital de la ville. Je suis marié depuis cinq ans avec Marlène, une ravissante blonde, d’une beauté à couper le souffle. Aujourd’hui, elle fête ses vingt cinq ans.
Pour l’occasion, je décide de l’inviter dans un restaurant branché de la ville, avec terrasse couverte ou se trouve une piste de danse. Quand je dis branché, il est très branché, puisque à l’étage, il y a des chambres, exploitées illégalement, ou ont lieu des rencontres. La plus part du temps, ce sont des femmes mariées qui passent le plus clair de leur temps, à tromper leur mari avec de jeunes inconnus. Toutes les chambres disposent d’une glace sans tain, ou des voyeurs peuvent, moyennant finances, suivre les ébats de ces couples.
Il est bien évident, que tout ceci, ne me concerne pas, ma femme étant d’une fidélité à toute épreuve.

Pour cette soirée, ma femme est vêtue d’une tenue assez sexy. Jupe courte, chemisier rouge, assorti à des escarpins de huit centimètres, qui fait ressortir sa magnifique poitrine. Pas de soutien gorge. Elle n’en a pas besoin.
Je lui propose de lui mettre un coup de queue, mais devant son refus, je n’insiste pas. On a toute la nuit pour ça.
Il est vingt et une heures quand nous arrivons au restaurant. Les hommes toisent Marlène du regard, les femmes se retournent sur son passage.
Je ne suis pas jaloux, je les comprends.
Le serveur nous installe à une table réservée pour la circonstance, hors de portée des regards indiscrets. Nous seul avons une vue partielle sur le bar.

-Alors ma chérie, sympa le bar. Tu veux un verre ?
-Je prendrai bien un whisky, mon amour.

En faisant signe au garçon, je remarque au bar deux jeunes hommes, de type méditerranéen, regardaient en nôtre direction. En fait, ils regardent ma ravissante épouse, qui à croisé haut ses longue jambes.
A peine la première gorgée avalée, que l’un d’eux se dirige vers nous.

-Bonsoir, dit-il, je me prénomme Luigi, puis-je inviter madame à danser.
-Bonsoir, répond ma femme en m’interrogeant du regard.
-C’est ton anniversaire ma chérie, vas-y, d’autant que je suis un piètre danseur.

Sans se démonter, Luigi la prend par la taille, et l’entraine sur la piste de danse.
Je me déplace pour mieux voir la piste, et là, surprise. Ma femme a passé ses bras autour du cou de son cavalier, tandis qu’il l’a tient par la taille. Ils dansent joue contre joue, et chaque fois qu’ils changent de côté, leurs lèvres se frôlent. La danse terminée, le jeune italien ramène Marlène au bar, toujours en la tenant par la taille.
Ils rejoignent le deuxième latino, au bar.
Je regagne ma place, quand ma femme emmène les deux inconnus à la table.

-Je te présente Mario, le copain de Luigi, me dit-elle.
-Enchanté, dit Mario.
-Enchanté, que je réponds le regard froid.
-Tu leur offres un whisky mon chéri ? Pour moi aussi, je les accompagne.

Ma femme ne supporte pas l’alcool, et en est à son troisième verre. Quand je sais que, quand elle a bu, elle a tendance à se faire embarquer par le premier venu, ça m’inquiète un peu. D’autant, que ces deux jeunes loups, ne la lâchent pas. Luigi prends ma femme par la taille, et l’emmène au bar.

-Vous en faites pas, me rassure Mario en me tapant sur l’épaule.

Il m’envoie un sourire, puis va les rejoindre.
Luigi s’est assis, alors que Marlène se tient debout, près de lui. Mario s’accoude au bar, face à elle. Sans savoir s’il était vu, Luigi glisse une main entre les cuisses de Marlène, qui écarte légèrement ses jambes. Ses mains montent le long de ses longues jambes, en redescendent avec le string. Puis la main remonte. Je vois le corps de ma femme se mettre à onduler. Luigi est tout simplement en train de lui branler la chatte, tandis que Mario à ouverts le chemisier, et lui pelote les seins, excite les bouts. Pendant qu’elle jouit, elle tire Mario à elle, lui prend goulument les lèvres. Puis Luigi se lève, l’embrasse dans le cou, lui glisse quelques mots à l’oreille. Ma femme acquiesce de la tête.
Et là, c’est la stupeur. Le trio passe devant moi, en m’ignorant complètement, et monte à l’étage. Je suis cloué sur ma chaise, sans pouvoir me lever.
Sentant ma détresse, le gérant de l’établissement, me propose de voir les ébats de mon épouse, et ce, gratuitement.
Devant le miroir sans tain, on entend tout ce qui se passe à l’intérieur de la chambre. Je reste impuissant devant les images qui défilent devant mes yeux.

Marlène est à genoux sur le lit, entièrement nue, la croupe cambrée, la chatte offerte aux doigts vicieux du jeune italien. Malgré les circonstances, je la trouve d’une beauté affolante.
Luigi lui demande de se mettre à quatre pattes, de bien écarter ses jambes, tandis qu’il se place derrière elle, légèrement de côté. Lentement, il lui gratte la chatte, lui doigte le clito entièrement décalotté. Mon épouse se cambre sous l’odieuse caresse.

-Houa…hou…gémit-elle.
-T’aimes ce que je fais à ta petite chatte?
-Oh oui Luigi…c’est bon…
-Ton mari ne te fait jamais ça.
-Non…il ne sait pas faire…

J’en prends plein la gueule. Pourtant, je fais de mon mieux quand je la caresse, mais je dois mal m’y prendre. Et Luigi d’en rajouter.

-Il ne sait pas faire ça ? Pourtant ce n’est qu’un doigt. Tu le sens sur ton clito. Je vais te faire jouir comme ça, tu veux ?
-Oh oui Luigi, vas-y…doigte mon petit bouton, fais moi jouir…

Je vois le majeur de ce salaud tourner sur le clito de mon épouse. Je n’avais jamais remarqué qu’il était aussi proéminent. Luigi repart de plus belle.

-Quand tu seras bien mouillée, je vais te mettre ma queue, tu vas adorer.
-Mais je suis déjà toute mouillée…vas-y, tu peux me la mettre si tu veux.
-Tu veux tromper ton mari avec un inconnu ? Dis-moi que tu veux le tromper.
-Oui je veux le tromper. Au point ou j’en suis. J’ai besoin de sentir d’autres mains sur mon corps et la queue d’un autre mâle dans ma chatte…vas-y…

Je n’y crois pas. C’est ma femme qui demande qu’on la baise. Elle veut qu’une autre queue que la mienne, pénètre sa chatte…et quelle queue.
Je commence à regretter de l’avoir emmenée dans ce bar.
Pendant ce temps, Mario s’installe devant mon épouse, la bite en pleine érection, entièrement décalottée. Il l’oblige à ouvrir la bouche, et de le sucer. Puis il glisse sous son corps, jusqu’à ce que sa queue soit au contact de sa chatte. Lentement, mon épouse s’empale sur elle. La croupe bien cambrée, elle offre un autre orifice de son anatomie à Luigi, qui n’en demandait pas tant.
Il avance son énorme bite contre son petit trou, et le pénètre.

-Ouah, dit-il, elles ne sont pas belles nos queues. Meilleures que celle de ton mari, hein.
-Oh oui, parvient à dire ma femme, la bouche pleine. Elles sont beaucoup plus grosses…la sienne est si petite.

C’est vrai qu’ils sont mieux montés que moi, mais ce n’est pas une raison pour faire des comparaisons humiliantes. Impuissant, j’assiste à la soumission de ma femme. Ils la prennent dans les positions les plus odieuses. Tantôt la chatte empalée sur la bite de Luigi, ou le petit trou pénétrée par la queue de Mario, pour finir en double pénétration. Comme si elle n’en avait pas assez, ils l’obligent à se mettre sur le dos, jambes écartées, puis la branle de leurs doigts, jusqu’à ce que sa chatte se vide de sa cyprine. Marlène n’en finit pas de gémir de plaisirs.

J’en ai assez vu et entendu. Vers minuit, je décide d’aller faire un tour, histoire de m’aérer. Je m’assieds sur un banc, pense à mes relations au lit avec Marlène. Je m’aperçois, qu’en fait, je ne l’ai jamais satisfaite, et je ne lui en veux pas, si d’autres que moi, lui donne du plaisir, même si je me sens humilié.
Après mure réflexion, je retourne au bar. Personne. J’interroge le barman, qui me dit qu’ils sont allés prendre un verre ailleurs.
Blessé dans mon honneur, je décide de rentrer chez moi.
Je m’aperçois que la porte n’est pas fermée.
« Tiens, Marlène serait-elle rentrée »
Je m’approche de la chambre, attiré par des soupirs qui proviennent de la chambre. Je pousse la porte, et découvre mon épouse avec ses deux amants, au lit, en train de se faire prendre dans une torride double pénétration.

-Enfoirés d’italiens…vous aimez niquer les françaises, surtout celles qui sont mariées, pour humilier leur mari…bande de salauds…mais c’est tellement bon.
Je retourne m’asseoir au salon, je suis désespéré, humilié.
Je l’imagine se faire baiser, se faire enculer. Tailler des pipes, tout avaler. J’entends tout, surtout quand elle hurle de plaisir.

-Allez salope, avale…tu aimes nôtre jus…comme te faire baiser, ou te faire enculer, tu aimes aussi, petite pute.

Les orgasmes défilent à une cadence infernale.

-T’en veux encore ou tu en as assez
-Oh oui j’en veux encore…allez-y, prenez-moi partout, j’ai trop envie.

Après un ultime orgasme, j’ai du m’assoupir.
Je suis tiré de mon sommeil, vers six heures de matin, par une tape sur l’épaule. C’est Luigi.

-Allez mon gars, on s’en va. Elle est super bonne ta femme. Elle aime les grosses queues. Tu devrais aller la rejoindre, je crois qu’elle te réclame. Elle a des tas de choses à te raconter. A la prochaine, tchao.

Je suis sidéré quand ma femme me raconte comment elle s’est fait prendre par ces deux inconnus, et ce dans les moindre détails.
Comme ils se sont amusés avec elle, comme elle leur a taillé des pipes, avaler tout leur jus, et nettoyer le gland avec sa langue. Comment ils l’ont baisée, enculée, parfois les deux è même temps, en double. Comme ils riaient quand elle atteignait l’orgasme, quand ils lui demandaient de comparer ma quéquette, avec leur grosse queue. Sans parler de leurs couilles, énormes.
Enfin, comme ils l’ont fait hurler de plaisir.
Elle me demande aussi, si Luigi et Mario pourront passer à la maison, quand je travaillerais la nuit. Au moins trois fois par semaine.
Je tiens tellement à elle, que malgré ma blessure, j’accepte.
En faible homme que je suis, je ne la repousse pas, quand elle se blottit et s’assoupit dans mes bras. Une façon de se faire pardonner peut être.
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Histoire de Aurore34

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Commentaires du récit : Le soir où tout a basculé

Le 28/01/2019 - 17:40 par mangouste
A mettre sur la liste des "LOPETTES". Et un de plus.

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