ACCUEIL > Hétéro > Récit : Ma femme, Eva

Ma femme, Eva

-1

Lue : 4089 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 07/10/2012

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

Depuis qu'elle a disparu il y a 10 ans, je me souviens de tous ces moments où nous vivions une romance, salée, sans doute, mais combien agréable. J'ai en tête quand elle se masturbait devant moi qui tenait ma bite en la regardant se faire du bien. Une fois elle m'en voulait parce que mon jet de semence était tombé hors de sa chatte, juste au moment de son orgasme. Et quand après m'avoir sucé elle prenant le sperme avec contentement dans sa bouche gourmande de ma liqueur. J'ai encore en mémoire le goût de sa cyprine fluide sous ma langue.
Depuis je me contente seul. Surtout sous la douche, comme elle quand elle prenait le jet juste sur son abricot ou son cul, selon l'inspiration du moment. Elle jouissait toujours ainsi le matin tôt pour la première fois de la journée. Je pouvais la baiser ensuite sans problème : elle s'était dérouillé la chatte.

Donc ma main est ma seule compagne de jouissance. Je rêve toujours de sa présence. Je me masturbe souvent en mettant des fois un doigt dans le cul. Comme elle me faisait souvent. Rien que d'en parler, je bande.
Il y a peu un événement est intervenu : une nouvelle et jeune voisine a remplacé les anciens locataires. Elle est venu se présenter un soir : Éva, une grande belle brune. En signe de bienvenue, je lui ai servi un verre d'apéritif. Assise presque en face de moi je voyais ses cuisses appétissantes s'ouvrir lentement pour se fermer quand elle voyait que je regardais. J'avais enfin envie d'une femme. J'ai su de suite que mes 50 ans ne la rebutait pas quand je lui ai parlé de ma femme, mon vieil amour de son âme et son corps, surtout son corps.

Je sentais que je bandais en me dévoilant ainsi. Sans doute prise par ma nostalgie, elle venait me donner un simple baiser sur les joues. Et puis, simplement tout est arrivé, elle s'est offerte à moi comme pour me consoler, sans penser à elle, sauf qu'elle y a prit du plaisir.

Quand sa bouche quitté ma joue, je l'ai faite dévier sur ma bouche. Ma langue a passé la barrière de ses lèvres pour trouver sa langue. Un vraie langue, bien vivante qui supportait mes mouvements. Mon instinct de mâle a eu le dessus. J'ai eu envie d'elle aussitôt.

Je me suis assis près d'elle. Mon baiser, notre baiser devenait le début de quelque chose. Je craignais qu'elle me quitte quand j'ai touché à peine sa poitrine. Éva tendait sa poitrine vers moi. Je pouvais passer ma main sous le débardeur pour trouver des seins nus durcis par le désir. Avec mon pouce je tripotais ses tétons.
De son coté, elle aussi défaisait ma chemise pour caresser ma poitrine. Sa main commençait à parcourir mon corps : des mains de femmes depuis le temps. Ma bite s'en rendait compte en étant plus grosse de seconde et seconde. J'avais plus qu'un envie, un besoin, une nécessité de son sexe. J'allais vite entre ses cuisses qui s'ouvraient comme un don.Je cheminais sur sa chatte que je trouvais plus qu'humide. Elle aussi avait envie de moi ou de jouir, je n'en sais rien.

Je me retenais comme je pouvais, je n'allais pas la baiser ainsi. Je voulais lui donner un premier orgasme sans mon membre dans son con. Comme en adoration devant elle, à genoux, j'arrivais à lui enlever le slip puis, passer ma tête en sentant son odeur de femelle en chaleur arriver jusqu'à moi. Maintenant j'allais lui bouffer la chatte. Sa jupe ne pesait plus rien quand elle la faisait passer sur ma tête.

Ma bouche en entier sur sa bouche du bas, nous faisions bon ménage. Je léchais partout, surtout juste sous le sexe, sur le périnée. J'avais le choix entre le haut ou le bas. Je me souvenant d'avant : j'allais perdre ma langue du coté de son anus. Il me semblait presque trop doux pour un petit trou. Et sans forcer j'arrivais à y entrer presque toute ma langue. Éva gémissait, ouvrait encore plus ses jambes, me les passait sur mes épaules, elle se donnait toute. Chacun sait que quand on a le cul, on a la femme. Elle s'étirait totalement, son pubis tendu vers moi. Je pouvais même en profiter pour lui mettre deux doigts dans son sexe élastique.

Assez rapidement, tout compte fait, elle partait vers ces rivages ensoleillés de l'orgasme.
Viens me donner ta bite, que je te suce.
Attend un peu, je veux passer entre tes seins d'abord.
Oui, et si tu jouis, donne moi ton sperme dans la bouche, que je te goûte. Son maillot enlevé, elle se trouvait le torse nu, alors que j'enlevais mon pantalon et la suite. Je sentais mes couilles venir contre son ventre d'abord et presque ses seins ensuite. Je regardais, comme elle ma bite coincée entre sa gorge : j'allais et venais, comme elle qui m'aidais à prendre mon pied. Dans le dernier sursaut de jouissance, j'avançais ma bite vers sa bouche ouverte. Je lâchais mon sperme pour la première fois dans sa bouche. Éva attendait mon dernier jet pour tout avaler.

Je remarquais à cet instant seulement que sa main droite s'agitait sur le clitoris. La garce, elle faisait comme ma femme : elle se branlait sans pudeur devant moi qu'elle avalait. J'aurais du débander, mais sachant ce qu'elle se faisait, je ne pouvait faire moins que la baiser.
Nous avons changé d'endroit. Sur le lit, c'était plus confortable. Elle était encore plus chaude que ma femme, à moins que son esprit soit descendu sur elle.
Baises moi, j'en meurs d'envie, fous moi ta queue.
Où ? Dans le cul ou le con.
Dans le con pour le moment.

Je passe sur Éva, elle écarte les jambes, les passe sur mes reins, me tend son bas ventre. Elle se donne totalement. Je la pénètre lentement, très lentement. Je veux que nous profitions ensemble de la baise. Quand je suis profondément dans son vagin, elle me caresse les fesses avant de piquer un doigt dans mon cul. Je sursaute devant ce plaisir oublié. Que dire de cette étreinte sinon que nous prenons notre pied ensemble. Je sens deux fois ses contractions autour de ma queue. Le tout accompagné de gros mots distinction de bonne baiseuse.
Elle est une garce, une salope, une putain des ruelles, une vache, une fille qui aime se faire mettre qui aime la baise.

J'approuve ce qu'elle dit sur elle. Surtout quand elle me fait mettre sur le dos, qu'elle se lève pour se faire planter ma queue dans son cul : elle se branle encore. Et moi je me laisse faire, emprisonné par ses fesses, ma queue loin dans son ventre, dans ses boyaux. Je vois ses seins ballottés par ses mouvements saccadés au débuts puis carrément le galop d'un cheval vers la fin. Mon orgasme déchaîné dévaste mon service trois pièces. Il me semble qu'elle se fini quand je suis mou.
Elle en jouit avant de me reprendre encore une fois dans sa bouche. C'est meilleur pour elle après la sodomie. Pour moi c'est encore une érection de plus. Je ne pensais jamais pouvoir bander encore. Mais là il ne lui reste plus qu'à retirer encore ma moële de la queue. Elle se tourne : nous nous finissons en 69, la meilleure au monde pour un baisser de rideau.

Ce n'est que le lendemain matin qu'elle me demande de rester la journée avec moi. Tant pis pour le quand dira-t-on. Elle tient à me garder pour baiser la journée et la nuit suivante, sauf que depuis trois mois ,elle est encore chez moi, en ayant résilié le bail de son logement : elle baise de mieux en mieux. Je la baise toujours autant. J'en ai oublié ma femme, sexuellement elle est fort bien remplacée.
15 vote(s)


Histoire de fabrissa

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : Ma femme, Eva


Aucun commentaire pour le moment

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :