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Les aventures de Yolande et Joëlle (2)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 09/11/2022

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‌Après leur semaine mouvementée en club de vacances (voir épisode précédent), Yolande et Joëlle s'étaient retrouvées dans leur résidence habituelle, bien décidées à renforcer une amitié forgée dans le registre de la sexualité. Yolande n'avait pas encore repris le travail. Aussi les deux quinquagénaires programmèrent-elles quelques balades et surtout de longues séances de bronzage intégral sur le balcon bien orienté de Joëlle, histoire de ne pas perdre trop vite l'effet solaire dans l'enclos naturiste du club.
- Je n'ai jamais été autant bronzée, constatait Joëlle en se tapotant les seins sur son bain de soleil, où elle était allongée, et c'est malheureux qu'aucun mec n'en profite.
- Je ne te le fais pas dire. Il faut pas qu'on en reste là, confirma Yolande, à plat ventre, fesses orientées plein sud.
- Que veux-tu dire ?
- Il faut qu'on sorte, qu'on trouve des lieux de rencontre, là où il y a des mecs, quoi.
- D'accord, pas pas trop jeunes, hein ? On a donné la semaine dernière. Pas envie de passer pour une potiche.

Les deux matures devisaient sur le sujet, balançant entre le plaisir provoqué par l'action de corps jeunes et vigoureux, et la déception d'avoir été snobées ensuite par les mêmes. Elles évoquèrent diverses hypothèses pour tenter de rompre leur solitude sexuelle : la salle de fitness, le groupe de randonnées pédestres, l'initiation au bricolage et même un club de cuisine, mais vraiment rien d'emballant. C'est alors qu'elles entendirent une espèce de ronronnement au-dessus de la résidence. Après s'être interrogées sur la provenance du bruit, elles finirent par identifier une sorte d'ovni planant au-dessus de leur balcon, à une hauteur suffisante pour que Joëlle finisse par déclarer :
- Merde, c'est un drone. On est en train de nous filmer à poil.
Elles rentrèrent précipitamment dans l'appartement, mécontentes et inquiètes :
- On va se retrouver sur internet. C'est dégueulasse comme procédé.
Elles observèrent le drone de la fenêtre qui finit par disparaitre. Mais le mal était fait. Elles avaient été vues nues, et peut-être enregistrées.
- Si on ne peut même plus bronzer à poil sur son balcon, on va-t-on, grogna Joëlle.
- Il ne faut pas en rester là. Le voyeur ne doit pas être loin. On va enquêter, déclara Yolande.
******
L'investigation auprès du voisinage aboutit à un résultat rapide. Un club d'aéromodélisme figurait dans le secteur, avec des utilisateurs de drones de loisirs. Yolande et Joëlle y déboulèrent un soir et tombèrent sur un petit groupe en plein travail. Après s'être présentées, elles annoncèrent l'objet de leur visite, le regard sévère. Pris par surprise, le petit groupe, essentiellement des trentenaires et des quadragénaires avec une seule femme, fut obligé de reconnaitre qu'un de ses appareils survolait la résidence en question et que, bon, peut-être, il avait vu ce qu'il n'aurait pas dû voir. Mais que rien n'avait été diffusé sur le web, elles pouvaient être rassurées sur ce point.
- Montrez-nous les images, insista Joëlle.
La menace de poursuites fut un argument suffisant pour faire céder les fautifs. De mauvaise grâce, ils montrèrent sur un écran d'ordinateur les deux corps aussi pulpeux que bronzés, parfaitement identifiables, du moins par les visages.
- Effacez-nous ça tout de suite ! lança Yolande à la cantonade.

Ce qui fut fait. L'atmosphère se détendit. Luc, le quadra président du petit groupe, présenta ses adhérents au nombre d'une dizaine et les deux visiteuses furent invitées à trinquer. Marjorie, une petite brune au corps aussi pulpeux que les deux matures, et pas loin de leur âge, affirma les soutenir dans leur démarche mais qu'il ne fallait pas en faire un fromage. Elle-même bronzait souvent nue dans son jardinet et se trouvait à la merci de voyeurs, ce qui ne la dérangeait pas vu qu'elle était un peu exhib.
Hilarité dans le groupe, d'où pour Joëlle et Yolande la conclusion qu'elles avaient affaire à des gens plutôt "cool", pas coincés et au fond assez sympas. Et quand elles furent invitées à partager leur dîner, elles acceptèrent.
******
A leur surprise et leur ravissement, Joëlle et Yolande se retrouvèrent au centre des attentions du groupe. Elles purent faire connaissance avec ses membres, à commencer par le président Luc et celle qui devait être sa maitresse, Marjorie. Elles acceptèrent de sourire aux allusions grivoises d'un dénommé Clément, quadra barbu et jovial, qui ne tarissait pas d'éloges sur leur plastique généreusement montrée. Un autre, Rachid, trentenaire mince et nerveux, regretta ouvertement l'effacement de la vidéo car il en aurait bien conservé un exemplaire pour son compte personnel. Les deux matures en furent flattées, elles qui déploraient leur manque de séduction.

Au retour, elles commentèrent leur soirée dans un état d'esprit exactement contraire à celui qui les avait incitées à leur enquête :
- Finalement, ce drone, il a eu du bon. On a fait de belles rencontres. C'est quand même mieux qu'un club de cuisine, dit Joëlle.
- Ouais. Certains se sont bien rincé l'oeil et visiblement, on a plu, répondit Yolande.
- Je me suis fait déshabiller des yeux pendant toute la soirée par le dénommé Rachid, remarqua Joëlle.
- Et moi, figure-toi que le barbu, comment il s'appelle déjà, ah oui Clément, m'a fait du pied sous la table.
- Tu crois que ce sont des bons coups ?
- Sais pas. Peut-être. Mais pas d'illusion, hein ? Ils nous ont peut-être déjà oubliées.
*****
Ce qu'elles ne savaient pas, c'est qu'elles étaient tombées sur une collectivité de chauds lapins. Les femmes qui s'étaient intégrées dans ce club d'aéromodélisme étaient toutes passées à la casserole. Certaines vivaient désormais en couple avec les membres (très) actifs, à l'image de Marjorie avec le président Luc, la seule à être restée dans l'activité. Ne subsistaient que deux "célibataires", ceux-là même qui avaient considéré d'un oeil gourmand les deux matures, certes plus âgées qu'eux mais bénéficiant d'appâts prometteurs, comme ils avaient pu en juger grâce au drone. Quelque chose disait même aux dénommés Clément et Rachid qu'ils n'auraient pas besoin de forcer leur talent pour "consommer" ces corps pulpeux.

Dés le lendemain, Yolande et Joëlle reçurent l'invitation de Luc à venir s'initier à leurs travaux. Elles accoururent ventre à terre avec une tenue qui se voulait beaucoup plus sexy que la veille. Leur mini robe était trop courte et trop décolletée pour une initiation à l'aéromodélisme. Le résultat fut qu'elles se révélèrent l'objet d'un véritable siège de Clément et Rachid, les deux seuls hommes libres du groupe, à ce qu'elles apprirent. Et quand, après le dîner pris en commun, Luc invita les membres disponibles à venir passer la soirée chez lui, Joëlle et Yolande n'eurent pas besoin de se concerter pour accepter. Elles s'étaient fait peloter par deux mâles littéralement en rut pendant l'initiation au drone, avaient plus ou moins tapé sur leurs mains sans manifester un rejet manifeste et au bout du compte, ressenti dans la culotte une humidité qui pouvait être assimilée à l'envie de baiser. C'est en tout cas ce qu'elles se dirent en aparté :
- Qu'est-ce qu'on fait ? On y va ou pas ? murmura Joëlle à l'oreille de Yolande.
-Il faut savoir ce que l'on veut. On cherchait des relations, on les a.
- Les deux gars vont essayer de nous sauter.
- C'est clair. Mais moi, je baiserais bien ce soir. Tu n'en as pas envie ?
- Ben si. Tu prendrais lequel ?
- Celui qui a la plus belle bite... mais on le saura après.
Les deux amies pouffèrent de rire. Elles suivirent le mouvement et accompagnèrent le groupe réduit.

Luc et Marjorie sortirent une galerie d'alcools dans leur salon. Assises sur un canapé, Joëlle et Yolande furent aussitôt flanquées qui de Clément, qui de Rachid; qui n'eurent d'yeux que pour les cuisses largement découvertes par la mini robe, remontée haut du fait de la position assise. Si Rachid et Clément étaient visiblement chauds, c'était aussi le cas de Luc et de Marjorie sur un autre sofa. Tout en discutant d'aéromodélisme, ils se caressaient mutuellement, se bécotaient et firent finalement basculer la soirée lorsque la brune ouvrit la braguette de son amant, extrayant un pénis tendu qu'elle emboucha illico devant Joëlle et Yolande, médusée par son audace.

A peine avait-elle commencé à sucer que la main de Clément et Rachid entrait sous les minis des deux matures. Il était encore temps de réagir devant cette intrusion. De protester et de fermer les cuisses. Non seulement elles les ouvrirent en grand mais leur main se posa sur la braguette des deux peloteurs avant de fourrager à l'intérieur tout comme les deux mâles fourrageaient sous leur robe. Pantalons et culottes voltigèrent sur le plancher, bientôt suivis par robes, soutifs et tee shirts, tandis que les lèvres se joignaient dans des baisers passionnés. Joëlle et Yolande se surveillaient du coin de l'oeil. Le hasard avait mis la première dans les bras du barbu Clément, l'autre dans ceux du mince Rachid. Joëlle libéra un authentique marteau de couvreur et Yolande une espèce de corde à noeud, ce qui les rassura l'une et l'autre sur les arguments de leur chevalier servant d'un soir. Quand les quatre furent entièrement nus, prêts à commettre l'acte sexuel, Luc et Marjorie les avaient précédés. A genoux sur le canapé, la brunette exposait son cul plantureux aux assauts de son amant dans un clapotis très révélateur de leur frénésie érotique. Les deux autres couples s'interrompirent un court moment pour observer cette union qui donnait le signal d'une véritable partouze. Depuis le séjour en club de vacances, Joëlle n'était plus inhibée par cette situation et le spectacle des couilles ballottantes du président la mit en transes. Elle plongea sur l'imposant pénis du barbu pour s'en remplir les joues avec volupté pendant que l'autre lui frottait le clito.

Pendant ce temps, Rachid avait exhumé de son portefeuille deux préservatifs. Il tendit l'un à son alter ego et se coiffa de l'autre. Yolande l'attendait dans la même position que Marjorie : à genoux sur le canapé, cul offert.
- Allez viens, ne me fais pas languir, j'en meurs d'envie, lui souffla-t-elle.
Lorsqu'il enfonça sa queue ficelle (considérablement raidie) dans le tréfonds de la quinquagénaire, celle-ci poussa un "hou !" mêlant surprise et ravissement. Le ressenti de vide qui la perturbait depuis un moment venait d'être comblé par cette invasion profonde qui irradiait tout son être. En cet instant, qu'elle accompagna aussitôt de roulements de hanches, Yolande comprenait à quel point elle était dans le besoin de bite. A quel point le sexe masculin était destiné à entrer dans un sexe féminin, en l'occurrence le sien. Incité verbalement à se multiplier, Rachid répondit à la demande en faisant claquer la peau de son bas-ventre sur les fesses rebondies de la mature. Joëlle n'avait rien perdu de la scène, vautrée sur le canapé pendant que le barbu, à genoux au sol, dégustait sa vulve trempée. Le plaisir que lui procurait la langue large de Clément était accompagné par celui de voir son amie copieusement enfilée, comme un prélude à sa propre pénétration. Elle prit le barbu par les cheveux, découvrit sa bouche baveuse et ordonna :
- Baise-moi maintenant, je suis à point.

Quand il entra en elle, massif et conquérant, les exclamations de Joëlle rejoignirent celles de Yolande et Marjorie dans un concert très féminin de femelles copieusement baisées. Les trois hommes en avaient à la fois plein la queue et plein les oreilles, ce qui ne pouvait que les encourager à durer. Marjorie cavalait pieds au sol et dos à Luc, offrant à son amant assis le spectacle de sa croupe plantureuse en mouvement. Yolande, toujours prise en levrette, avait glissé une main entre ses jambes pour saisir les couilles ballottantes de Rachid, épaté par cette initiative très sexe. Joëlle avait croisé ses chevilles sur le dos de Clément et se servait de cet appui pour augmenter la pénétration. Toutes les trois baisaient avec enthousiasme et le faisaient savoir non seulement à leur partenaire mais aussi aux autres actrices de cette partouze qui n'en étaient que plus excitées.

Au fil des ébats, les positions changèrent avec une exploitation habile des trois canapés, aux ressources bien supérieures à un simple lit pour permettre la jonction des sexes encore plus jouissive. Joëlle et Yolande se retrouvèrent un temps côte à côte, le front sur le dossier et le cul en l'air, fouillées en parallèle par deux gaillards debout, cognant dur. D'un coup d'oeil, ils se retirèrent pour échanger leur partenaire, ce dont les deux matures ne s'aperçurent pas immédiatement. L'épaisseur de la bite de Clément alerta néanmoins Yolande qui, loin de s'en émouvoir, répondit en se cambrant et en se mordant les lèvres. L'essentiel pour elle était qu'elle fût baisée et peu importait par qui.

Quant à Joëlle, elle eut la surprise de sentir la langue de Rachid, qui s'était retiré, lui titiller l'anus. Elle comprit l'intention. Il voulait la sodomiser. Elle ne l'avait pas été depuis des lustres et avait oublié les sensations idoines. Mais elle était dans un tel état d'excitation qu'elle était prête à tout. Au reste, la nature de la queue de Rachid, longue et fine, se révéla appropriée à l'exercice. Le gland trouva vite sa place et telle une foreuse, s'enfonça sans faillir dans le rectum de la rousse. Elle en mordit le dossier du canapé pour ne pas crier tandis que l'autre, juché sur la pointe de ses pieds pour trouver le bon angle, poursuivait sa fouille. C'est dans cette posture que Joëlle, de mémoire, connut le premier orgasme anal de sa vie, ce qui provoqua l'éjaculation de Rachid qui ne s'était que trop retenu auparavant. Quasi simultanément, Clément gicla aussi car il n'en pouvait plus de ce cul splendide et virevoltant que Yolande agitait pour l'essorer. Les deux hommes se retrouvèrent assis par terre, queue flapie et oeil terne tandis que les deux femelles continuaient de savourer les effluves de leur orgasme, la main entre les cuisses.

Tous les quatre découvrirent alors le troisième couple, lui aussi dans la partie finale de son coït. Il avait choisi de l'accomplir couché sur le tapis de sol. Marjorie s'était écartelée en se tenant les pieds tandis que Luc la pilonnait, ses grognements se mêlant aux cris de plaisir de sa maîtresse. Joëlle était fascinée par les couilles battant les fesses de la brune, Yolande par le petit cul nerveux du président et ces visions puissamment érotiques de ce couple en pleine baise les incitèrent à prolonger de la main le plaisir qu'elles avaient reçues de deux belles bites. Quand Luc se raidit et quand Marjorie se cambra, tous deux au summum de leur jouissance, Joëlle ressentit même sous ses doigts un orgasme certes moins violent que dans le coït mais néanmoins savoureux. Elle venait de se découvrir voyeuse, tout au moins excitée par le spectacle d'un couple en pleine copulation. Sa vie sexuelle l'avait écartée d'une prise de conscience : à quel point l'organe mâle est dispensateur d'extase pour le corps d'une femme. Non qu'elle n'en ait pas joui elle-même (pas suffisamment cependant) mais de voir Marjorie s'exalter sous les assauts de Luc, ruer sous lui, aller à la rencontre de sa bite et l'entendre la célébrer, tout confirma Joëlle dans l'idée récente qu'elle était trop longtemps passée à côté du cul et qu'il était grand temps de rattraper le temps perdu. Ce n'était pas le moindre enseignement de cette folle soirée.
*******
Les semaines suivantes virent la rousse et la brune fréquenter assidûment le club d'aéromodélisme au point de devenir des assistantes plus que convenables pour les experts présents. Mais c'est évidemment la relation avec Clément et Rachid qui les intéressait au premier chef. D'un commun accord, elles décidèrent de ne se lier ni à l'un ni à l'autre afin de ne pas reproduire une vie de couple dont elles étaient revenues. Elles se partagèrent leurs amants ce qui convenait du reste aux deux intéressés, surtout quand les circonstances les mettaient tous les quatre en présence dans le même lit. Joëlle voulait du cul, tout comme Yolande, et elles en eurent à revendre. Cela provoqua certes quelques rumeurs désagréables dans leur résidence mais elles s'en moquaient. Elles avaient été sevrées suffisamment longtemps pour ne pas sacrifier leur vie sexuelle à la cinquantaine. Elles savaient qu'un jour ou l'autre, la lassitude de part et d'autre interviendrait. Il serait toujours temps de changer de club.
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Commentaires du récit : Les aventures de Yolande et Joëlle (2)

Le 10/11/2022 - 17:43 par DBHB24
Superbe récit, et très belle suite où les deux Héroïnes persistent et signent dans leurs quêtes de sexe...
Le 09/11/2022 - 22:37 par OlgaT
Voilà une excellente initiative. On pourrait qualifier ça de baise en réunion. Les membres de ce club savent s'envoyer en l'air!

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