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Liposuccion 9

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Lue : 625 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 24/10/2013

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Mon ennemie d’hier devient mon alliée. Conserver l’amour de Julie demeure ma préoccupation. Le désir de vengeance de Victoire est son principal moteur. Peut-être se souvient-elle de m’avoir aimé il y a des années de ça. André a commis une erreur quand il lui a signifié qu’il rompait pour aller s’établir avec ma femme en Tunisie : il nous a rapprochés et à deux nous nous sentons plus fort pour redresser la situation. Nous avons mis en commun ce qu’il nous a donné à savoir. Les versions d’André diffèrent, il a voulu apaiser Victoire et lui a présenté une Julie complice. Avec moi, sans méfiance il a été moins affirmatif : il lui reste à convaincre Julie au cours de l’escapade en la compromettant : la victoire acquise il la fixera loin de nous, en Afrique du nord. Victoire ressent le besoin de parler, elle veut s’expliquer rétrospectivement comment elle s’est laissé entraîner dans le piège d’André :
-Ton idée de fête en l’honneur de ta femme est un tremplin à utiliser à fond. Les invitées viennent de l’aquagym et du salon. Elles sont toutes passées de la piscine dans les draps du maître-nageur. Il lève ses proies dans l’eau, repère celles qui cherchent une diversion. Je te parle de choses vécues. Je suis passée par là et j’ai vu d’autres épouses ou compagnes me succéder dans ses bras. Il ne se gêne pas pour amener ses conquêtes dans notre immeuble. Les femmes entre elles se livrent à des confidences à caractère intime. André n’est pas sourd, il est même aux aguets, il entend des moqueries, l’expression de petits soucis dans le ménage. Ici c’est un mari qui travaille trop, donc trop souvent absent. Là on se plaint d’un jaloux, ailleurs d’un coureur ou d’un buveur, ou encore d’un homme peu démonstratif, peu câlin. Au mieux il y a l’éjaculateur précoce ou l’impuissant, c’est du gâteau pour le chasseur. C’est dit parfois en plaisantant, mais certaines épouses laissent transparaître leur frustration avec aigreur. Le charmant garçon adapte sa conduite, soigne sa relation avec un cœur à consoler, un corps à révéler ou à réveiller. Il se montre serviable, prévenant et profite habilement de la faiblesse momentanée d’une épouse pour faire valoir sa capacité d’écoute.

Il sait attirer chez lui la personne mal dans sa peau. Il propose de réfléchir à deux pour trouver une solution à un ennui passager, car, dit-il, « Rien n’est grave, on peut toujours rebondir, vaincre la petite difficulté. » Il m’a eue de cette façon. Je suis devenue sa maîtresse peu après son arrivée dans la ville. Quand il a constaté que je rentrais seule de mon travail de serveuse au restaurant alors que Richard servait au bar plus longtemps, il m’a raccompagnée pour m’éviter les mauvaises rencontres dans le noir. A l’aquagym il m’a encouragée a vanté mes progrès. Flattée, un soir je suis montée voir l’installation de son appartement. Nous avons ouvert une bouteille de champagne à l’occasion de ma visite dans son nid. Nous avons bu, il m’a fait rire, il m’a embrassée. Il embrasse bien le chameau. C’était bon, plus passionné que les bisous à la sauvette de mon mari. Sa salive te paralyse comme un venin. Tu deviens « toute chose »

Après le champagne son baiser m’a grisée. Il m’a culbutée sur son lit, a relevé ma robe sur mon ventre, poussé de côté ma culotte. Je n’ai pas vu venir le coup : pan il me rentrait dedans. Ça aussi j’ai trouvé que c’était bon. Le lendemain il m’a cueillie à la sortie du restaurant. Je l’ai suivi, on a refait l’amour : c’est devenu une habitude. Il y a eu d’autres femmes. J’ai supporté cette concurrence en silence, heureuse de ramasser les miettes, d’avoir mon tour de temps à autre.
-Ma femme est entrée dans ce processus. Cependant il n’a pas encore atteint son but. Simplement, il semble sérieusement épris et il compte y parvenir prochainement.
- Julie a failli passer à la casserole il y a peu. Elle m’a raconté l’affaire. Selon ses dires elle aurait réagi quand elle a senti entrer la tête de sa bite. Elle a eu chaud
-Je sais, j’étais dans le placard et je filmais. Elle a joué avec le feu, un peu trop sure d’elle

Tu aurais dû sortir et casser la figure à André. Tu as laissé faire ? Pourquoi ?
-Julie est majeure, responsable de ses actes. Elle fait ce qu’elle veut. Par exemple je ne lui interdis pas d’aller se faire liposucer. Je ne peux pas plus lui interdire de prendre un amant. Evidemment si ses sens réclament cette solution, si de plus je le vois, j’en tirerai les conséquences : je la quitterai.
-Tu ne l’aimes plus ? Tu divorces ? Ouha ! Comme tu y vas. Pourvu que Richard n’apprenne jamais ma liaison. As-tu l’enregistrement ? Oui ? Bon, demain matin Julie travaillera au salon de coiffure, je veux voir la scène. On va se servir des vues pour animer la fête. A demain. Je ne te veux pas de mal. Il se pourrait qu’elle se lie à André. Je pourrais la remplacer ; je t’ai toujours aimé. Mais je serai loyale et je ferai tout mon possible pour t’aider.
Crois-tu que je doive maintenir la fête en l’honneur de Julie pour célébrer son courage et sa débrouillardise? Quand André t’a raconté qu’elle avait imaginé ce plan diabolique pour me quitter, j’ai décidé de renoncer.
-Calme-toi. Tu as entendu André : il est le cerveau de l’aventure, il compte surprendre Julie, la compromettre et la désespérer afin de pouvoir se présenter comme son sauveur. Réfléchissons. A deux nous devons trouver la solution. Anaïs sera aussi furieuse que moi. Ma sœur et moi allons faire le tour des invitées. De ton côté tu prépares un DVD, un morceau choisi rapide concernant chaque « copine » d’André. Vois aussi l’essentiel entre Julie et André, raccourci les longueurs, garde ce qui fournit matière à réflexion

Notre salon se remplit, Victoire et Anaïs se sont montrées efficaces. Souriante Julie assure l’accueil. En cuisine je prépare les tartelettes, biscuits, la brioche. J’ai ordre de me tenir à l’écart. Victoire fait dégager le centre de la pièce, dispose un fauteuil pour la reine du jour. Elle siégera en face, à coté de l’ensemble téléviseur et lecteur de DVD, pour gérer les discussions et les illustrations. Julie s’inquiète :
-Vous avez oublié d’inviter André ?
-Non, il se prépare. Anaïs et Monique iront le chercher en voiture, nous lui réservons un accueil digne de son rang. Pas de panique j’ai tout organisé. Sortons, les filles te préparent une surprise. Voyons si tout va bien en cuisine.

-Mon chéri tu as eu l’idée géniale d’engager Victoire en qualité d’organisatrice. Je me réjouis de votre bonne entente. Merci Victoire. Je ne pouvais rêver mieux avant mon séjour africain. Qu’est-ce que c’est ?
-Voilà, enfile cette cagoule aveugle. Nous te l’enlèverons quand tu seras bien assise. Tu pourras alors admirer un spectacle original, monté pour toi, ma chère cousine. Retournons au salon.

Victoire conduit Julie à son fauteuil, la fait asseoir. Je suis et m’assieds sur un coussin en retrait : Julie ne devra pas me voir.
-Que me faites-vous ? Victoire tu es pleine de fantaisie : mes bras et mes pieds sont liés aux accoudoirs et aux pieds. Je n’aime pas trop ça. Enlève cette cagoule. Je veux vous voir.
-Tout de suite, tu commandes ô reine, nous obéissons.

En arc de cercle, face à Julie douze femmes vêtues d’un string et d’un soutien-gorge tendent vers elle une main accusatrice à l’index pointé et scandent tout à coup :
-Voleuse, voleuse, voleuse d’homme.

C’est un refrain suivi d’une déclaration individuelle avec reprise du refrain
-Moi Victoire, je suis la maîtresse d’André, tu me voles mon amant
-Voleuse, voleuse, voleuse d’homme

Anaïs, Maud, Charlotte, Régine, Cathy, Ginette, Elodie, Amandine, Monique, à tour de rôle proclame leur appartenance à André et chaque fois les doigts désignent Julie et le refrain est repris en chœur.
Julie est atterrée.
-Ce n’est pas possible. Vous plaisantez, André ne peut pas avoir autant de maîtresses. Cessez votre blague. Et puis admettons que ce soit la vérité, je ne vous vole rien. Moi, je ne suis ni ne serai la maîtresse de cet homme. Je l’aime bien, mais je suis mariée et j’aime mon homme. Où est Jean, il vous le dira.

Neuf des dix filles s’assoient sur le tapis, Victoire debout reprend la parole :
-Il est en cuisine. Ce que nous avons à dire ne le regarde pas. Julie tu prends l’avion demain matin. Qui part avec toi ?

La réponse se fait attendre, la meneuse augmente l’embarras de Julie :
-Ton mari connaît-il la réponse à cette question ? Ne lui as-tu pas dit que j’étais, moi ta cousine, l’heureuse personne qui se voyait offrir sur ton argent en partie emprunté le transport, l’hôtel et la restauration ? Il y a cru et moi je l’ignorais. Alors faudra-t-il t’accompagner à l’avion pour savoir à qui tu fais ce cadeau magnifique.
-Cela ne regarde que moi. J’ai l’âge de choisir qui je veux, sans te consulter
-Très bien, tu as honte d’avouer devant nous que tu t’envoles avec quelqu’un de très cher. Car on ne fait pas une dépense de cette importance pour n’importe qui. Tu refuses de répondre ? Enlevez-lui sa blouse. Sans délier ses bras, découpez avec cette paire de ciseaux. Ginette, tu es couturière, évite de la blesser pour l’instant.

-Ginette, ne l’écoute pas. Ah ! Non, c’est un cadeau de mon mari. Bon voilà ma réponse : Jean a longtemps refusé parce qu’il s’opposait à la liposuccion. Il a finalement accepté il y a quelques jours de me servir d’accompagnateur. Hélas, j’avais déjà donné le billet d’avion à une autre personne.
-Une personne à laquelle tu tiens plus qu’à ton mari forcément puisque tu refuses de changer ta décision. Charlotte prends la paire de ciseaux et enlève-lui sa jupe. A cette allure nous verrons bientôt que la voleuse d’homme n’a aucun besoin de liposuccion et que c’est juste un prétexte pour passer quelques jours au soleil avec son amant.
-Ce n’est pas mon amant ! Tu mens. D’ailleurs tu m’as poussée à monter sur le billard.

-J’avais pris cette recommandation au sérieux. Depuis le prescripteur en personne a reconnu qu’il utilisait ce voyage uniquement pour se rapprocher encore plus de toi. Il a l’intention de s’établir avec toi en Tunisie, loin du mari que tu trahis.

-Mais cesse de raconter n’importe quoi. Je ne trahis pas Jean, je n’ai nullement l’intention de rester en Tunisie. Je n’ai pas davantage l’intention de vous voler votre amant ou ami. D’ailleurs votre farce commence à me fatiguer. Vos accusations contre André sont stupides. Vantez-vous auprès de vos maris d’avoir André pour amant, moi je vous trouve pathétiques.

-Eh ! Bien, il a fallu du temps pour dire que tu offrais un cadeau royal à André. Pour l’accusation de mensonge je veux ton collant. Anaïs et Cathy au travail. Découpez le collant. Tu as de jolies jambes. André doit prendre plaisir à les caresser. Qui ment et qui se vante ? Regarde ton téléviseur.

D’un doigt sur la télécommande je lance le DVD. Julie voit André couché sur Victoire, sous Anaïs, en levrette avec Maud, entre les fesses de Ginette. Toutes y passent, bien reconnaissables. La salle gronde. Ces femmes croyaient au grand amour, reconnaissent avoir partagé le même coureur, salaud, profiteur, cochon … Victoire continue l’échange avec Julie.
-Tu arrives, tu lui cours après et il fuit avec toi. Tu devrais comprendre quel genre d’homme tu es prête à suivre. En es-tu amoureuse ?

-Cherche dans le tiroir du living, il y a un billet d’avion : Aller-retour. Pourquoi aurais-je payé le retour si je voulais rester là-bas ? Sur place mon argent aurait été plus utile. Enfin je ne suis pas amoureuse d’André.
-Alors regarde ton écran. Tu lui offres une semaine de vacances, c’est déjà extraordinaire si tu ne l’aimes pas comme une folle. Regarde bien, est-ce qu’une femme embrasse n’importe quel homme comme tu le fais. Tu lui sautes au cou et vous échangez un long baiser. Cette gestuelle traduit bien un sentiment amoureux ou je n’ai jamais rien compris à l’amour. Tu as une totale confiance en André, vois comme tu dégustes sa salive au risque de choper une mononucléose infectieuse d’un bonhomme qui embrasse tout ce qui bouge. Tu as entendu parler de la maladie du baiser ? Ose encore dire que tu n’es pas amoureuse de lui, que tu ne le préfères pas à Jean.

Julie part en larmes. Victoire ne se laisse pas attendrir.
-Tu mens encore. Allez, faites sauter le soutien-gorge. Ne proteste pas. Regarde ce qui suit, tu es beaucoup moins pudique quand tu es chez André.

La séquence suivante révèle la scène du massage avec les attouchements à la limite de la caresse des parties intimes
-Il m’a fait la même chose, il m’a eue comme ça, aussi. Dit une voix. Moi aussi, moi aussi :

Il y a de l’écho dans mon salon aujourd’hui, le moi aussi part d’une extrémité de l’arc de cercle et va jusqu’à l’autre. André serait monomaniaque ou presque. La première fois pour la plupart a succédé à un massage
L’une annonce la suite probable, répétition de ce qu’elle a connu :
-Il va baisser sa culotte.. . Vous voyez, je vous l’avais dit. Julie, tu l’as laissé faire, comme moi. Ne dis pas que ça t’a déplu. ..Qu’on lui enlève sa culotte, allez les ciseaux. Salope ! Menteuse. Nous avons au moins le courage de reconnaître nos actes. Avoue, avoue…

La culotte disparaît malgré les cris effrayants de Julie. Victoire fait taire les cris de colère, demande un retour en arrière pour entendre les paroles d’André avant le massage ; elle souligne les phrases du dialogue entre André et Julie :
« -Chère Julie, tu es magnifique, splendide. --Tu m’as fait remarquer mes coussins de matière adipeuse.- -C’était pour te taquiner, je le regrette. Tu es parfaite.--Il y a mes seins. Ils commencent à tomber.--Ça ne se voit pas.--Défais les agrafes dans mon dos..- -Tu permets. Ils sont pourtant bien fermes. Les tétins réagissent au quart de tour. … Lève les bras, tes seins remontent, c’est bon signe. »
-Après cela tu juges nécessaire la lipo ? Ce n’est pas possible ! Par vice tu lui demandes de retirer ton soutien-gorge. Il n’est pas étonnant d’entendre ça puisque tu le provoques :
« -Julie, il serait préférable de baisser ta culotte. Je ne voudrais pas la tacher. De plus tes fesses réclament un massage vigoureux. Tu permets ? »
-Une honnête femme mariée trouve normal d’étaler son sexe et son cul devant un type qui vient de lui rouler une pelle. Elle fait semblant de ne pas savoir comment cela va se terminer. Tu es une salope ! Et André n’a plus qu’à demander :
« -Tu seras plus stable si tu écartes tes genoux. » pour que tu lui montres ton abricot. Tu n’en es toujours pas amoureuse ? Tu te fous de nous et de ton mari.
-C’est faux.
-La preuve : Tu attends qu’il te pénètre pour le repousser. Je cite : « - Non ! Pas ça, tu as promis. Arrête. Recule, retire ta verge. »
-André ne m’a pas prise ! Tu triches, c’est un montage truqué. Proteste Julie.
-Depuis quand une femme demande-t-elle à un homme de retirer sa verge s’il est resté dehors ? Tu me prends pour une bille. Dernier point : A la question d’André ; « Que pensera ton homme ? »tu réponds :« - Il n’en saura rien, il n’aura pas d’état d’âme ! » Et oui quand on trompe son mari, nous le savons toutes ici, il vaut mieux qu’il n’en sache rien.
-Victoire je ne te comprends plus. Tu sais que j’aime Jean
-Je sais que malgré tout tu prévois de le faire cocu. Tu insistes pour qu’André te suive. Je te cite encore : « ! Ce n’est pas juste, tu n’as pas le droit de me laisser tomber. Tu n’auras rien à payer, je prends tous les frais en charge. Je veux un homme pour me soutenir et me protéger. »
-Tu vois, mes intentions sont on ne peut plus pures !
-Tu n’as pas entendu la fin ? « - Je suis fou de toi. Donne-toi à moi au moins une fois. Ton mariage ne mourra pas d’un rapport que ton mari ignorera. Nous nous aimons et cela ne le regarde pas. Je le répète, il ne te mérite pas. Viens. Si tu m’aimes, si tu couches je viens à Tunis. Je le jure. Te dit André. A quoi tu répliques et tu fais cette promesse : « - Tu n’auras rien avant d’être dans l’avion ». Lui s’écrie « - Dans l’avion ? C’est sûr ? » Tu ne dis rien, or qui ne dit rien consent. Qu’en dites-vous les filles ?

La bronca qui suit va ameuter le quartier. Victoire triomphe, les invitées sont dans sa poche. Elle assène un dernier coup.
-Julie, qu’est-ce que j’ai en main ? Tu n’as pas besoin de toucher, regarde. Tu connais, il y a le même dans ton tiroir. C’est un billet d’avion, un aller-retour. Pour quelle destination ? Pour Tunis, oui ! Lis la date : c’est pour demain.
-Tu as volé le billet d’André. Tu n’en as pas le droit. Que veux-tu en faire ? Rends-le-moi.
- Pour l’offrir à Jean ? Eh ! Jean, sors de là, je te remets le billet qui te permettra de soutenir et protéger ta femme.

-Comment, Jean tu es là ? Tu as laissé cette garce me traîner dans la boue. Tu ne crois pas ce film truqué et toutes ces accusations. Je t’aime plus que tout. Dis tu me crois ? Quoi, tu ne m’aimes plus. Si je tenais le salaud qui a enregistré ces cochonneries.

-Que lui ferais-tu, ma belle ? Le salaud c’est moi, à la demande d’André. Comment aurais-je pu m’introduire dans son placard sans sa complicité ? Il ne sait pas que je suis ton mari. Il m’a confié la tâche de lui constituer des archives de ses meilleurs coups, il veut des souvenirs de ses maîtresses.

-Je ne suis pas sa maîtresse. Pourquoi m’as-tu filmée ?

-Tu as failli le devenir sous mes yeux. Il t’a mis un morceau avant que tu ne réagisses.

-C’est de ta faute, tu étais là et tu n’as pas bougé le petit doigt pour empêcher…

-Pour deux raisons. Un : Mon petit doigt tenait le caméscope. Deux : tu m’as répété à satiété qu’une femme dispose librement de son corps. Tu es libre de faire l’amour avec qui tu veux. Ne te gêne pas.

-Tu veux divorcer, tu m’as tendu un piège. Je sentais bien que quelque chose clochait entre nous.

-Comment pouvais-je rester indifférent à ta conduite. André me déclarait qu’il allait te soumettre, que l’idée de liposuccion venait de lui, qu’il se servait de ton désir de changer ton corps pour t’apprendre à accepter ses autres idées. Je t’ai crue perdue pour moi. J’ai respecté ta volonté d’agir à ta guise. Peux-tu me le reprocher ? J’ai repris ce billet. Si vous êtes complices, si André a trouvé du travail à Djerba, si vous avez prévu de vous installer en Tunisie, lui en qualité de masseur-baiseur et toi comme coiffeuse : il n’a qu’à payer son voyage de sa poche.
-Il t’a raconté des âneries. Je ne suis pas sa complice. Je vais te le prouver s’il vient. Mais viendra-t-il ?

Victoire a observé un long silence. Elle intervient, satisfaite du résultat :
-Anaïs et Monique, c’est l’heure. Ramenez l’oiseau, nous allons le faire chanter.
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Histoire de Veilleur

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