Les fantasmes de la jeune Marie-Pierre 1

Je m'appelle Marie-Pierre, c'est vendredi, il est 17h00, le téléphone sonne. Je n'ai pas le temps de répondre, je suis en train de me préparer. Ce soir, j'ai rendez-vous avec des copines, nous sortons en ville. Mes parents vont répondre. L'appel est pour moi, surprenant, toutes mes copines m'appellent sur mon portable habituellement. C'est monsieur Lapointe, où plutôt Mathieu comme il préfère que je l'appelle. C'est vrai que nous n'avons pas une si grande différence d'âge, il est dans la jeune trentaine et je viens tout juste d'avoir 18 ans. Il est mal pris, il aurait besoin de mes services de baby-sitter pour la soirée, il a un souper important avec des clients. Son ex devait venir chercher Samuel, leur petit garçon de 5 ans, mais elle s'est désistée à la dernière minute.

Ça fait longtemps que je n'ai pas eu de nouvelles d'eux, au moins un an je crois, depuis leur séparation. J'ai longtemps gardé le petit Samuel, depuis que j'ai 14 ans, il est adorable. J'aimais beaucoup cela, ils me payaient bien, le garçon était charmant et je dois avouer que Mathieu, le père, a été mon premier fantasme d'adolescente. Puis, l'an dernier, ils se sont séparés. Elle est partie vivre à Montréal, lui a gardé la maison familiale à Québec. Ils n'avaient pas sollicité mes services depuis, je croyais en fait qu'ils étaient tous parti vivres ailleurs.

Mathieu est le premier homme sur qui j'ai fantasmé. J'avais toujours hâte d'arriver à leur domicilie afin de le voir. J'adorais quand c'est lui qui me donnait les consignes d'usage avant leur départ. La façon qu'il avait de me regarder et de me parler me faisait flancher les genoux. Contrairement aux jeunes garçons de mon âge à l'époque, il était grand, viril et dégageait une confiance en lui très assumée et naturelle qui me plaisait beaucoup. Il était bien sûr totalement inaccessible pour la jeune ado que j'étais. Sa femme était très jolie, elle me rendait un peu jalouse je dois dire. Je me demande pourquoi elle l'a quitté. La première fois où je me suis masturbée, c'était après une soirée de babysitting, Mathieu était venu me reconduire chez moi en voiture, dès que je suis arrivée dans ma chambre, je m'étais imaginée qu'il me faisait l'amour. C'est là que j'ai joui pour la première fois.

Après cet épisode, presque à chaque fois que je gardais chez les Lapointe, dès que le petit s'endormait, je m'installais sur le sofa du salon et je me masturbais en pensant à Mathieu, ça m'excitait de le faire dans ce lieu un peu inapproprié. Je me suis toujours demandé si je lui plaisais. J'ai souvent remarqué qu'il semblait jeter des regards furtifs dans mon décolleté lorsque je me penchais mais je n'en étais pas certaine, j'étais bien trop jeune pour lui de toute façon. Au fil du temps, je découvrais mon pouvoir de séduction et je faisais parfois subtilement exprès de me pencher devant lui en laçant mes souliers ou en ramassant les jouets par terre par exemple, ça m'émoustillait de penser qu'il pouvait fantasmer sur mes seins. Dès mon jeune âge, j'avais une forte poitrine. J'ai toujours été la fille avec les plus gros seins de l'école et ils ont toujours paru davantage volumineux car je suis plutôt mince, beaucoup croient d'ailleurs à tort que j'ai eu une augmentation mammaire. Aujourd'hui, j'ai beaucoup de succès auprès des garçons mais je ne suis pas une fille facile disons, je n'ai eu qu'un seul vrai petit copain, nous avons couché quelques fois ensemble. Je n'ai jamais atteint l'orgasme avec lui, il n'était pas très doué au lit, nous nous sommes laissé il y a 2 mois.

Au son de la voix de Mathieu, je n'ai même pas réfléchi, je n'ai pas pu résister, j'ai accepté de le dépanner avec plaisir. Il me dit qu'il rentrera vers 11h, je pourrai toujours aller rejoindre les copines au club en fin de soirée. Je dois me dépêcher, il doit quitter dans 30 minutes. Je n'ai pas le temps de me changer, je suis habillée pour sortir dans les bars, jupe courte et camisole moulante. J'adore m'habiller sexy pour sortir et mettre en évidence mes seins qui sont ma fierté. J'espère qu'il ne sera pas offusqué par ma tenue un peu trop sexy pour le babysitting, je mets tout de même un petit cardigan de laine pour adoucir mon look et cacher un peu ma poitrine qui est très provocante dans ma camisole super ajustée.

Ma mère accepte de me prêter sa voiture, je viens tout juste d'avoir le permis de conduire. J'arrive chez lui, il m'accueille à la porte avec un large sourire, il n'a pas changé depuis la dernière année, il est toujours aussi craquant mais intimidant. Samuel est très content de me voir. Mathieu doit faire vite, il me donne les instructions d'usage en me spécifiant que pour se faire pardonner de m'avoir appelé à la dernière minute, il m'a déjà ouvert une bouteille de vin que je peux boire à ma guise. Il embrasse son fils et part en vitesse.

Samuel et moi mangeons et je passe une soirée plutôt agréable à jouer à toutes sortes de jeux avec lui. Une fois qu'il est au lit, je décide d'entamer la bouteille de vin que Mathieu m'a gentiment offerte. J'écoute la télé pour passer le temps et bientôt, la bouteille est au trois quart vide. Je commence à avoir la tête qui tourne, j'arrête de boire car je dois prendre le volant plus tard pour aller retrouver les filles en ville. Il est bientôt 10h, il ne doit pas rentrer avant 11h. Je décide donc de m'allonger sur le divan, je me mets à penser à lui et à me caresser. Je soulève ma courte jupe, je n'ai qu'à tasser légèrement ma petite culotte en dentelle afin que mes doigts rencontrent mon clitoris que je masturbe lentement. J'atteins rapidement une sensation d'excitation qui promet de me conduire directement à l'orgasme, je ne peux retenir de petits gémissements de plaisir. Je m'imagine en train de lui faite une fellation puis qu'il me pénètre tendrement. Je me demande comment est son membre, je l'imagine bien dur et de bonne dimension.

Soudainement la porte s'ouvre, il est déjà de retour. Je me rassois sur le sofa d'un seul bond, juste à temps. Une seconde plus tard, il m'aurait surpris la main sous la jupe. Je devine mon visage qui rougit, il ne s'est rendu compte de rien. Il me questionne sur le déroulement de la soirée avec Samuel, tout en se servant une coupe de vin. Il m'offre la dernière coupe que j'accepte. Nous discutons de tout et de rien, il me demande si j'ai le droit de boire de l'alcool maintenant, je lui explique que je viens d'avoir mes 18 ans, je suis majeure, il est rassuré, il ne voulait pas avoir de problème avec mes parents qu'il connait bien. Je ne porte plus mon cardigan, je remarque qu'il jette de subtils regards sur ma poitrine tout au long de notre entretien, les hommes ne peuvent s'en empêcher, il n'y fait pas exception. Nous sommes assis face à face, moi sur le sofa, lui sur un fauteuil. Il est maintenant temps que je quitte, je me lève et me dirige vers le vestibule. J'ai encore en moi ce même désir d'adolescente, je rêve qu'il m'embrasse passionnément, mais jamais je n'oserais l'approcher, j'ai les genoux qui tremblent juste d'y penser, il n'a sûrement rien à faire d'une jeune comme moi!

Au moment où je passe près de lui, sans trop savoir pourquoi, la grande quantité d'alcool que j'ai bu facilitant sûrement, j'étends subtilement ma main pour lui effleurer la cuisse. Qu'est-ce que je viens de faire, comment réagira-t-il ? Il ne fait aucun doute que ce n'était pas un accident. La seconde suivante semble durer une éternité. On dirait qu'il n'attendait que ça! Il m'embrasse aussitôt. Je crois rêver et suis en même temps très nerveuse, le fantasme de ma vie est en train de m'embrasser passionnément! Nous nous embrassons debout dans le living. Il est évident que nous n'en resterons pas là, nous avons tous les deux très envie d'aller jusqu'au bout.

Nous nous caressons longuement en nous embrassant, il a des fesses dures comme le rock. Il ne se gêne pas pour prendre les miennes non plus, il me complimente d'ailleurs sur mon petit cul et mes énormes seins qui le "font bander depuis toujours". Je n'étais pas seule à fantasmer donc!

Nous nous étendons sur l'épais tapis du salon à l'abri du regard des voisins qui pourraient nous voir par la fenêtre. Il est couché sur moi et m'embrasse mais rapidement il se dirige vers ma jupe. Nous sommes encore tout habillés. Il soulève ma courte jupe et retire lentement ma petite culotte pour poser sa langue directement sur mon clitoris, je suis déjà trempée. Pendant qu'il alterne entre ma fente et mon petit bouton de plaisir avec sa langue, je me caresse les seins par-dessus ma camisole. Je suis excitée comme jamais je ne l'ai été, il n'en faut pas plus pour qu'un puissant orgasme s'empare de moi, le premier que j'expérimente avec un homme! Tout mon corps tremble, je n'ai aucune envie de me retenir, je me laisse entièrement aller au plaisir de la chair et pousse une série de cris de jouissance aux décibels démesurés.

Il se relève affichant un large sourire de satisfaction, je lui souris en retour en lui disant que jamais je n'avais jouis de la sorte, il me dit que je jouirai encore, je ne paie rien pour attendre. Il est debout devant moi, je suis déjà à genoux sur le tapis, il m'ordonne de baisser son pantalon et de le sucer, ce que je ferai avec bonheur. Je sors son engin de son pantalon pour constater que son pénis est beaucoup plus gros que celui de mon ex-petit copain, Mathieu est un vrai homme. Je le prends avec ma main, elle n'en fait pas le tour. Je le masturbe pendant que je lui lèche les couilles, je place sa queue juste au-dessus de mon visage en la branlant, elle en couvre presque la moitié en largeur! Je le suce, je serre mes lèvres au maximum autour de son pénis en effectuant le mouvement de va-et-vient et tente de l'introduire le plus profondément possible dans ma bouche. Il adore ça, il me complimente sur ma technique. Il me demande de la prendre au complet dans ma bouche, j'essaie, je suis incapable, elle est trop grosse, il rigole sachant que je ne pouvais y arriver. Il me dit de le regarder dans les yeux en le suçant, il veut contempler mon jolie visage pendant que je lui fais une pipe, je m'exécute, je veux tout faire pour lui plaire. Je poursuis ma fellation avec ardeur en ne quittant pas son regard, je lui suis soumise, c'est ce qu'il veut, il peut faire de moi son jouet sexuel ce soir.

Il se retire de ma bouche et se recule de quelques pas pour fermer les rideaux. Je retire lentement ma camisole pour lui dévoiler mes seins, il s'approche pour retirer lui-même mon soutien-gorge. Il prend aussitôt mes nichons à pleines mains en laissant échapper un "wow". Il les porte à sa bouche, les lèche, les caresse. Il joue avec mes seins avec l'émerveillement d'un gamin devant un plat de sucreries pendant que je masturbe doucement sa verge. Mes seins ont toujours été une zone très érogènes, je suis enflammée, je lui murmure à l'oreille que je veux qu'il me pénètre.

Il me saisit brusquement par la taille pour que j'enroule mes jambes autour de lui et il me soulève avec une aisance déconcertante. De toute évidence, mes 45 kilos ne lui offre pas une grande résistance. Il me transporte jusqu'à la cuisine où il m'allonge sur la table. Il est debout devant moi, je me caresse les seins pendant qu'il me tire vers lui et m'écarte les jambes au maximum. Malgré la grosseur peu commune de sa bite, son introduction dans ma chatte se fait sans encombres, je le désir tellement en moi. Il me pénètre, mes mains agrippent chaque côté de la table et mes seins ballotent doucement pendant qu'il exerce le mouvement de va-et-vient. L'excitation monte rapidement en moi, lui aussi est très allumé. Il accélère de plus en plus ses mouvements et bientôt, il me pistonne avec beaucoup plus de vigueur. L'élasticité de mon vagin est sollicité au maximum, il m'emplit complètement et mes seins se balancent maintenant de tous les côtés sous l'effet du pilonnage intense que je subi. Il n'en fallait pas plus, je jouis pour la deuxième fois. Mes cris aigus qui résonnent dans toute la maison l'excite, il redouble d'effort et me défonce littéralement pendant que je malaxe mes seins pour maximiser l'intensité de mon orgasme puis il ralentit la cadence pour me permettre de savourer ce moment de plénitude post orgasmique.

Il me remet debout face à lui contre la table de cuisine, je l'embrasse mais il a d'autres idées en tête, il me retourne promptement dos à lui, je penche le haut de mon corps au-dessus de la table afin qu'il puisse avoir accès à mon sexe. Il se réintroduit en moi, cette position m'excite fortement, il me prend ainsi pendant quelques seconde mais sans avertissement il me met un doigt dans l'anus. Sous l'effet de la surprise, mon vagin se contacte autour de sa grosse queue, augmentant mes sensations. Il me met bientôt un deuxième doigt dans le derrière en continuant de me labourer la chatte. Il cesse bientôt ses mouvements de bassin et se concentre à me déflorer le cul avec ses deux doigts, la sensation, au début légèrement douloureuse, devient agréable. Une sensation différente, plus bestiale mais très jouissive monte en moi. Il retire ses doigts et positionne son pénis à l'orée de mon anus. Par chance, il est couvert de cyprine. Il pousse pour faire entrer son phallus entre mes fesses, il n'y a que la moitié du gland qui entre. Il me suggère de me détendre et de relâcher toute tension musculaire, ce que je fais. Il crache un peu de salive sur sa queue et l'enfonce dans mon petit cul. Ça y est, il me sodomise. Je me suis complètement couché le tronc sur la table pour faciliter la pénétration, mes seins sont aplatis sur la surface et mes mains agrippent les côtes de la table pendant qu'il fait de lents mouvements dans mon rectum. Éventuellement, sa verge est complètement en moi, j'ai l'impression qu’elle remonte jusqu'à ma gorge! Il m'encule avec plus de vigueur, je reste immobile pour éviter la douleur. Ses cris de satisfaction et d'excitation pendant qu'il me dévierge l'anus me remplisse de joie, je suis comblée de lui procurer ce plaisir. Il agrippe ma jupe toujours en place comme poignée pour faire faire à mon petit derrière le mouvement de va-et-vient. Il me défonce bientôt le cul sans retenu et me traite de petite salope au passage, il me dit qu'il n'a jamais sodomisé un si petit cul. J'ai l'impression d'être embrochée comme une pièce de viande en méchoui. Je ne m'attendais pas à être enculée ce soir.

Après un moment, il me relève toujours en gardant sa bite dans mes fesses et me ramène au salon. Il me couche sur le dos par terre et continue me sauter dans le cul. Je suis soulagée quand il se retire enfin. Il s'assoie à califourchon sur mon ventre et place son pénis entre mes seins. Je le devine très excité et fébrile à l'idée de jouir bientôt. Je ramène mes nichons pour envelopper son membre et le masturber, ma poitrine, vu sa grosseur, peut facilement accueillir sa verge. Je le branle d'un mouvement rapide de va-et-vient avec mes seins. Il me prend alors une poignée de cheveux à l'arrière de la tête avec sa main et la soulève vers l'avant au maximum de sorte qu’elle est perpendiculaire au reste de mon corps, je peux ainsi bien voir son gland sortir et s'engouffrer entre mes seins. Il me maintient la tête ainsi, me demande d'accélérer la cadence de mes tétons sur sa queue et m'ordonne d'ouvrir la bouche, il me dit qu'il va me l'emplir de sperme. Je n'ai jamais vu de sperme, mon ex petit copain était toujours venu dans le condom, je n'ai jamais non plus été très attirée à l'idée de le recevoir dans la bouche et de l'avaler, cela m'a toujours un peu dégoûté. Au risque de lui déplaire je garde la bouche fermée et accélère considérablement la vitesse de ma branlette espagnole. Il pousse un cri de jouissance très puissant suivi rapidement par un jet de sperme qui m'atteint le visage de plein fouet. Il me dicte de continuer mes mouvements avec mes seins ce que je m'applique à faire sans faute. Il tire davantage ma tête vers l'avant pour qu’elle soit mieux positionnée face à l'éjaculat qui se poursuit. Une autre giclée de semence atterrit sur ma face. Je suis plutôt dédaigneuse de cette substance blanchâtre et visqueuse aussi je me ferme la bouche et les yeux au maximum en affichant un air de dégoût. Une troisième salve frappe la cible, je ne peux me tourner la tête pour éviter son éjaculation, il me la maintient en place fermement avec sa main qui empoigne toujours mes long cheveux châtains roux. Un autre jet tout aussi abondant que les trois premiers heurtent mon joli minois, j'ai maintenant quatre épaisses lignes de foutre qui me barrent le visage de haut en bas. Je pourrais stopper le mouvement de mes seins sur sa bite mais je n'ose pas, je suis maintenant résiliée à accueillir tout son flot de sperme en pleine face.

À travers ses cris de jouissance rauques, il me traite de désobéissante et encore de petite salope. Une cinquième giclée de semence entre dans ma narine avec une grande vélocité, je n'ai plus qu'une seule narine pour respirer. Une autre ligne de foutre s'étale sur ma joue. J'ai l'impression qu'il n'arrêtera jamais de venir, je maintiens mes yeux et ma bouche intensément fermés et continue de la masturber entre mes deux seins. Mon visage est maintenant immergé de son épais liquide chaud et visqueux. Il expulse plusieurs autres gerbes de sperme directement sur mon visage, dans mon cou et sur ma poitrine. Lorsqu'enfin les salves diminuent d'intensité et que j'entrevois la fin de ce déversement massif sur ma figure, le trop plein de semence coule et obstrue ma seule narine libre m'empêchant de respirer et me forçant à ouvrir la bouche pour respirer. Une quantité appréciable de sperme trouve alors son chemin dans ma bouche et Mathieu en profite pour y enfourner sa queue du même coup. J'ai l'impression d'être son esclave sexuelle, il engendre avec sa main qui tient mes cheveux un mouvement de fellation. Par chance, le foutre a fini de sortir de sa bite énorme. Sa main m'oblige à continuer de le sucer, il m'ordonne de garder mes lèvres bien serrées autour de son phallus et de sa main libre il dégage mes narines afin que je puisse respirer. Malgré mes précautions, j'ai finalement beaucoup de semence dans la bouche. Son pénis demeure pendant un long moment à sa taille maximale pendant que je le nettoie minutieusement avec ma bouche. Je n'ai d'autre choix que de laissé le sperme présent dans ma cavité buccale couler lentement le long de ma gorge et l'avaler. Il insiste pour que je continue ma pipe jusqu'à ce que son membre soit complètement ramolli, ce que j'exécute pendant de longues minutes, les yeux toujours fermés, recouverts d'une épaisse couche de son liquide séminale gluant. Le sperme qui recouvre tous les recoins de mon visage commence à sécher, c'est le prix à payer pour ne pas l'avoir laissé éjaculer dans ma bouche. Il me demande si la prochaine fois je serai plus obéissante, je lui fais signe que oui de la tête pendant que je lui lave la verge avec ma bouche. Il me traite de petite dévergondée et retire finalement son pénis.

Je reste couchée au sol, surprise par la fin un peu humiliante de notre première relation amoureuse. Avec les copines, on avait déjà regardé des vidéos porno sur internet, on y voyait souvent les filles recevoir du foutre au visage mais jamais en quantité comme je viens de me faire déverser, j'ai l'impression de m'être fait venir dessus par dix hommes. Si c'est comme ça qu'il aime, je ferai comme il le veut, la prochaine fois, j'avalerai tout son sperme s'il le faut. Il me lance alors une serviette pour essuyer mon visage recouvert de semence séchée en me remerciant pour cette belle soirée. J'ai hâte qu'il me rappelle à nouveau pour lui prouver que je suis à la hauteur. Je vais maintenant aller rejoindre les copines en ville et tout raconter à ma meilleure amie Isabelle.