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les suppositoires
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Celle-ci est l'histoire vraie de comment un beau jour d'août je me suis prise 2 suppositoires et un lavement par mon mari.
C'est le début du mois d'août. Nous sommes en vacances dans la maison familiale, dans l'arrière-pays de Perpignan. C'est une maison ancienne mais bien tenue, mes parents sont au rez-de-chaussée et nous occupons le premier étage. Mon mari a 45 ans, il est suisse, il est musicien et joue dans un orchestre parisien. Nous sommes mariés depuis 8 ans et nous avons une fille de 6 ans. Moi-même j'ai 40 ans, je suis prof d'allemand dans un lycée. Je suis brune, cheveux longs souvent attachés. Mon mari est plus clair, un peu plus grand que moi.
Ces vacances n'ont rien d'extraordinaire, on vient ici tous les ans, on connaît bien les lieux et nous avons nos habitudes. Nous allons à la plage tous les jours, nous sortons le soir, nous profitons de la famille et du repos de la campagne. Nous sommes arrivés depuis quelques jours. Avec mon mari ça va, nous avons une vie de couple qui s'aime, une vie sexuelle active. Ce matin-là en me regardant dans la glace en bikini (jaune avec des fleurs blanches), je me suis plainte à haute voix d'être ballonnée, d'avoir trop mangé les jours précédents et de regretter. Même à la plage dans l'eau, je me suis laissée aller à quelques commentaires sur mon ventre, qui d'ailleurs sont tombés dans le vide, puisque personne n'a jugé nécessaire de me répondre. Maintenant c'est l'après-midi, nous avons déjeuné à l'extérieur avec mes parents, ma mère nous a servi une bonne salade mais j'ai encore trop mangé de pain. Il fait très chaud, nous sommes remontés dans notre appartement, notre fille est partie jouer avec une voisine qui a une piscine. Avec mon mari, on se met au lit pour la sieste, comme tous les après-midis nous avons l'habitude de nous reposer entre 14 et 16h30 environ.
Tout est calme, on entend seulement les cicales dehors. Notre chambre est dans la pénombre. Je me jette sur le lit en petites-culottes et debardeur, mon mari est en shorts. En me blottant contre lui je m'exprime encore : "j'aurais pas dû manger autant, je suis constipée". C'est à ce moment que tout à changé. Mon mari s'est levé d'un air nerveux, il est allé vers la commode dans la pénombre, il m'a dit : "Ca suffit maintenant, j'en ai marre de t'entendre", j'étais très surprise, je ne savais pas ce qu'il fabriquait. Il est revenu à côté du lit avec une petite boîte, il m'a dit :"Allez, je vais te mettre un suppositoire" .... "quoi? d'où tu as ca?" je ne croiais ni à mes oreilles ni à mes yeux, maintenant je pouvais voir qu'il était en train d'en ouvrir un.
Cela faisait 30 ans que je n'avais pas recu de suppositoires, seulement dans ma petite enfance ma mère m'en avait mis quelques-uns et je détéstais ca.
Pendant que je pensais à tout ca mon mari s'impatientait. "Relève-toi, baisse ta culotte", je n'arrivais pas à croire qu'il était sérieux, lentement j'ai fait comme il m'a dit, j'ai baissé un peu ma culotte en attendant la suite. J'étais quand même un peu excitée à l'idée que mon mari me mette un suppo... mais il n'était plus là, il était parti dans la salle de bains à côté, le suppositoire dans la main et cherchait du lubrifiant. Nous n'en avions pas, alors il a pris un peu de crème lambda qui trainait, de la Nivéa, et il m'a dit que cela devait faire l'affaire. Il était revenu derrière moi, le suppo dans une main et la crème sur l'index de l'autre main. Je rigolais un peu, j'étais à plat sur mon ventre. Il m'a dit :" Relève tes fesses, rapproche-toi du bord du lit"... je faisais un peu comme il disait et un peu non, j'étais quand-même un peu réticente. Il m'a dit "Allez, arrête, plie tes genoux sous ton ventre, écarte tes fesses!" À ce moment sa voix était devenue très autoritaire, comme je n'avais pas l'habitude de l'entendre.
Je me suis demandée s'il était énérvé, j'ai fait comme il a dit. Je me suis cambrée, j'ai enfui mon visage dans les draps, j'ai écarté un peu mes fesses de mes 2 mains. Quelle situation. Il est venu chercher mon petit trou avec le doit aspergé de crème, il a rentré un peu son index, il a fait 2 ou 3 ronds, puis j'ai senti le suppositoire venir s'introduire. Mon anus s'est refermé de peur, Il a insisté, il a fait quelques allés-retours, puis il j'ai senti comment il rentrait et son doigt avec, assez facilement. Quelle sensation! Il e enfoncé tout son index, aussi profondement qu'il a pu, puis il l'a resorti et il a fait la même chose avec le majeur.
J'aimais ca. Je n'ai rien dit. Il m'a demandé si ca faisait mal, j'ai dit non. Il m'a demandé si je pensais que c'était assez profond, j'ai dit on verra. Il est parti se laver les mains dans la salle de bains. Il y avait du silences et les cicales qui chantaient dehors. Je me suis laissée tomber sur le lit à plat ventre, cul nu. En l'espace de 30-40 secondes, j'avais déjà l'impréssion que mon cul explose, je voulais me lever et courir aux toilettes, mais pas question. Il m'a dit : "Tu dois le garder 5 à 10 minutes, tiens!" Et il m'a balancé mon téléphone pour que je puisse regarder l'heure. Il est sorti de la pièce, je ne sais pas pourquoi. Je me demande s'il était fâché, excité, si je le repugnais. J'avais l'impression d'avoir un kiwi dans le cul, pourtant il était petit ce suppositoire.
D'où il avait ca, ou juste? Il avait ramené ca de Suisse, d'où il venait de passer quelques jours pour son travail? Pendant que je pensais à tout ca j'ai allumé la radio sur mon téléphone. France Info parlait de la cérémonie d'ouverture des JO, les polémiques etc etc. J'écoutais un peu, le feux dans mon cul. Au bout de la 8ème minute je me suis levée, j'ai marchée en serrant fort les fesses jusqu'à la salle de bains, je rêvais d'un délivrance spectaculaire qui n'eût pas lieu. Si, un peu... cela a marché un peu, mais pas comme je pensais. Mon mari m'attendait derrière la porte. "Alors?" ... "Alors oui, mais pas comme je voulais, je suis encore constipée". J'ai vu un peu de déception sur son visage. Puis nous nous sommes allongés sur le lit, j'était toujours fesses à l'air, j'aurais voulu qu'il me prenne, qu'il me retourne, qui'il me mette à 4 pattes, qu'il me baise ainsi... mais au contraire nous nous sommes endormis, jusqu'à 17h.
... LA SUITE À VENIR
C'est le début du mois d'août. Nous sommes en vacances dans la maison familiale, dans l'arrière-pays de Perpignan. C'est une maison ancienne mais bien tenue, mes parents sont au rez-de-chaussée et nous occupons le premier étage. Mon mari a 45 ans, il est suisse, il est musicien et joue dans un orchestre parisien. Nous sommes mariés depuis 8 ans et nous avons une fille de 6 ans. Moi-même j'ai 40 ans, je suis prof d'allemand dans un lycée. Je suis brune, cheveux longs souvent attachés. Mon mari est plus clair, un peu plus grand que moi.
Ces vacances n'ont rien d'extraordinaire, on vient ici tous les ans, on connaît bien les lieux et nous avons nos habitudes. Nous allons à la plage tous les jours, nous sortons le soir, nous profitons de la famille et du repos de la campagne. Nous sommes arrivés depuis quelques jours. Avec mon mari ça va, nous avons une vie de couple qui s'aime, une vie sexuelle active. Ce matin-là en me regardant dans la glace en bikini (jaune avec des fleurs blanches), je me suis plainte à haute voix d'être ballonnée, d'avoir trop mangé les jours précédents et de regretter. Même à la plage dans l'eau, je me suis laissée aller à quelques commentaires sur mon ventre, qui d'ailleurs sont tombés dans le vide, puisque personne n'a jugé nécessaire de me répondre. Maintenant c'est l'après-midi, nous avons déjeuné à l'extérieur avec mes parents, ma mère nous a servi une bonne salade mais j'ai encore trop mangé de pain. Il fait très chaud, nous sommes remontés dans notre appartement, notre fille est partie jouer avec une voisine qui a une piscine. Avec mon mari, on se met au lit pour la sieste, comme tous les après-midis nous avons l'habitude de nous reposer entre 14 et 16h30 environ.
Tout est calme, on entend seulement les cicales dehors. Notre chambre est dans la pénombre. Je me jette sur le lit en petites-culottes et debardeur, mon mari est en shorts. En me blottant contre lui je m'exprime encore : "j'aurais pas dû manger autant, je suis constipée". C'est à ce moment que tout à changé. Mon mari s'est levé d'un air nerveux, il est allé vers la commode dans la pénombre, il m'a dit : "Ca suffit maintenant, j'en ai marre de t'entendre", j'étais très surprise, je ne savais pas ce qu'il fabriquait. Il est revenu à côté du lit avec une petite boîte, il m'a dit :"Allez, je vais te mettre un suppositoire" .... "quoi? d'où tu as ca?" je ne croiais ni à mes oreilles ni à mes yeux, maintenant je pouvais voir qu'il était en train d'en ouvrir un.
Cela faisait 30 ans que je n'avais pas recu de suppositoires, seulement dans ma petite enfance ma mère m'en avait mis quelques-uns et je détéstais ca.
Pendant que je pensais à tout ca mon mari s'impatientait. "Relève-toi, baisse ta culotte", je n'arrivais pas à croire qu'il était sérieux, lentement j'ai fait comme il m'a dit, j'ai baissé un peu ma culotte en attendant la suite. J'étais quand même un peu excitée à l'idée que mon mari me mette un suppo... mais il n'était plus là, il était parti dans la salle de bains à côté, le suppositoire dans la main et cherchait du lubrifiant. Nous n'en avions pas, alors il a pris un peu de crème lambda qui trainait, de la Nivéa, et il m'a dit que cela devait faire l'affaire. Il était revenu derrière moi, le suppo dans une main et la crème sur l'index de l'autre main. Je rigolais un peu, j'étais à plat sur mon ventre. Il m'a dit :" Relève tes fesses, rapproche-toi du bord du lit"... je faisais un peu comme il disait et un peu non, j'étais quand-même un peu réticente. Il m'a dit "Allez, arrête, plie tes genoux sous ton ventre, écarte tes fesses!" À ce moment sa voix était devenue très autoritaire, comme je n'avais pas l'habitude de l'entendre.
Je me suis demandée s'il était énérvé, j'ai fait comme il a dit. Je me suis cambrée, j'ai enfui mon visage dans les draps, j'ai écarté un peu mes fesses de mes 2 mains. Quelle situation. Il est venu chercher mon petit trou avec le doit aspergé de crème, il a rentré un peu son index, il a fait 2 ou 3 ronds, puis j'ai senti le suppositoire venir s'introduire. Mon anus s'est refermé de peur, Il a insisté, il a fait quelques allés-retours, puis il j'ai senti comment il rentrait et son doigt avec, assez facilement. Quelle sensation! Il e enfoncé tout son index, aussi profondement qu'il a pu, puis il l'a resorti et il a fait la même chose avec le majeur.
J'aimais ca. Je n'ai rien dit. Il m'a demandé si ca faisait mal, j'ai dit non. Il m'a demandé si je pensais que c'était assez profond, j'ai dit on verra. Il est parti se laver les mains dans la salle de bains. Il y avait du silences et les cicales qui chantaient dehors. Je me suis laissée tomber sur le lit à plat ventre, cul nu. En l'espace de 30-40 secondes, j'avais déjà l'impréssion que mon cul explose, je voulais me lever et courir aux toilettes, mais pas question. Il m'a dit : "Tu dois le garder 5 à 10 minutes, tiens!" Et il m'a balancé mon téléphone pour que je puisse regarder l'heure. Il est sorti de la pièce, je ne sais pas pourquoi. Je me demande s'il était fâché, excité, si je le repugnais. J'avais l'impression d'avoir un kiwi dans le cul, pourtant il était petit ce suppositoire.
D'où il avait ca, ou juste? Il avait ramené ca de Suisse, d'où il venait de passer quelques jours pour son travail? Pendant que je pensais à tout ca j'ai allumé la radio sur mon téléphone. France Info parlait de la cérémonie d'ouverture des JO, les polémiques etc etc. J'écoutais un peu, le feux dans mon cul. Au bout de la 8ème minute je me suis levée, j'ai marchée en serrant fort les fesses jusqu'à la salle de bains, je rêvais d'un délivrance spectaculaire qui n'eût pas lieu. Si, un peu... cela a marché un peu, mais pas comme je pensais. Mon mari m'attendait derrière la porte. "Alors?" ... "Alors oui, mais pas comme je voulais, je suis encore constipée". J'ai vu un peu de déception sur son visage. Puis nous nous sommes allongés sur le lit, j'était toujours fesses à l'air, j'aurais voulu qu'il me prenne, qu'il me retourne, qui'il me mette à 4 pattes, qu'il me baise ainsi... mais au contraire nous nous sommes endormis, jusqu'à 17h.
... LA SUITE À VENIR
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