ACCUEIL > En groupe > Récit : Les travers de Charlotte 1

Les travers de Charlotte 1

+10

Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 05/04/2023

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

Charlotte est notable très prisée pour ses soirées galantes. Cette dame d'un âge avancé, au corps svelte, presque maigrichon, dévore la vie par les deux bouts. C'est samedi, c'est le jour habituel pour ses délires sexuels. Elle choisit sur son répertoire, la liste des personnes susceptibles de participer aux ébats. Ce soir son choix est restreint, son dévolu se porte sur un jeune couple, Juliette et Roman aussi perverse qu'elle, et d'un homme taillé à la hache monté comme un poney Charles. Le trio jusqu'à présent ne la jamais déçue. Les défonces violentes qu'a subi la jeune épouse pendant la précédente réunion l'ont fortement émoustillés. Elle est désir réellement leur présence aujourd'hui. Le trio ravi de l'invitation accepte.

Il est vingt-trois heures. Charlotte reçoit le trio en déshabille transparent, elle ne porte rien en dessous. Ses seins, dotés de mamelons impressionnants, pendent sur son torse frêle. Ses longues jambes, à peine voilées par le d'habillé, attirent les regards. Sur son bas-ventre, une toison abondante cache mal les grandes lèvres pendantes de la vulve. Elle invite le trio à se mettre nu, comme une stripteaseuse, la jeune femme s'effeuille lentement, en toisant les deux mâles qui ne la quittent pas des yeux. Une fois nue, sous l'ordre de Charlotte, elle tourne sur elle-même, écarte les jambes, se penche en avant pour mettre en évidence ses orifices.


Charlotte, passe sa main sur les ouvertures naturelles du corps de la jeune femme qui garde la position penchée en avant. Un doigt noueux appuie sur l'anneau rectal, le taquine un instant, Charlotte donne une pression, la première phalange disparait dans l'anus comme aspirée. Doucement, en souriant sans quitter des yeux l'anus gourmand, Charlotte, avec aisance, enfonce entièrement son doigt dans le rectum qui se resserre sur l'intrus, Charlotte ne peut s'empêcher de dire :

-Malgré les défonces monstrueuses, ton cul est bien étroit, ma salope, hum comme je l'aime ton petit trou ma chérie !

Juliette sourit pendant que la maitresse de maison lui ramone doucement le cul, de sa main libre, elle lui caresse la chatte. Les doigts qui voyagent sur ses grandes lèvres, font couiner Juliette. Les hommes en extase commencent à s'exciter, ils jettent leurs vêtements sur une chaise. Les queues, déjà tendues, sont secouées de soubresauts. Charlotte avec douceur enfonce trois dans la chatte qui sécrète beaucoup de cyprine. Charlotte tourne ses doigts à l'intérieur de la gaine humide, puis fait un doux va-et-vient. Juliette souffle fortement, mais sans savoir pourquoi, Charlotte retire ses doigts et délaisse la jeune femme. Elle arrache brutalement son déshabillé, et ouvre largement les jambes, elle ecarte sa chatte avec ses mains et dit fortement :

-Regarde dans quel etat, tu m'as mise salope, je mouille comme une fontaine !

Les cuisses de Charlotte ruissellent de jus, Charles la prend à bras le corps et l'allonge sur le banc matelassé, spécialement prévu pour des ébats sulfureux, et lui place un gros coussin sous les reins. À Chaque pied du banc, se trouve une paire de menottes. Roman sait ce que désir Charlotte, il lui menotte les poignets et les chevilles. Juliette s'agenouille face à Charlotte, et plaque sa bouche sur sa vulve dégoulinante. La coquine se gave du jus qui ne cesse de s'échapper du puits intarissable. Charlotte hurle :

-Pendant qu'elle me broute, Charles, encule-la, et toi Roman, donne-moi ta bite à sucer !

Roman offre aux lèvres fines de la femme ridée, sa queue tendue, la vorace la gobe jusqu'aux couilles, elle se fait une gorge profonde, en bavant fortement. La notable est prodigieux pour les fellations., sa bouche voyage sur la hampe avant de s'attarder sur le gland. Elle le pompe si fort que Roman serre les dents pour ne par hurler son plaisir. Soudain Charlotte, cesse de sucer, elle ouvre grand les yeux, en geignant, Juliette vient de lui aspirer le clito et le tète avec rage. La boule, très sollicitée, devient énorme. Les gémissements de la vieille femme sont bruyants. Elle agite son bassin, en vociférant des mots obscènes :

-Petite pute, avec ta bouche de grognasse salope, oh petite conne, tu vas me faire exploser, continue !

Juliette recrache le clito en aspire les grandes lèvres qui pendent lamentablement. Les fortes succions font couiner Charlotte voudrez saisir la tête de la suceuse, mais les menottes l'en empêchent. Elle agite son bassin comme une forcenée. Juliette change de méthode, elle coince le clito énorme entre les grandes lèvres. Emprisonné entre les lèvres, le clito semble vibrer, Juliette se met à le branler. Les peaux qui glissent sur le clito rendent Charlotte hystérique, elle hurle :

- Redonne-moi ta bite petit con, défonce-moi la gueule avec, vas-y !

Roman sait qu'il ne faut pas contrarier Charlotte, il lui enfonce sa queue jusqu'à la garde dans la bouche, et lui saisit la tête, il tire sur ces cheveux, se bloque un bon moment. Charlotte a les yeux révulsés, elle etouffe. Le bougre entre en action, il lui baise la bouche comme un malade.
Juliette se cabre, Charles vient de lui planter sa bite dans le cul comme l'avait demandée Charlotte, elle écrase inconsciemment le clito qu'elle masturbe. Charlotte se cambre comme un pont, et explose de jouissance. Roman retire sa bite de la bouche de la jouisseuse par crainte d'une morsure. Il lui detacche les poignets et représente sa bite. La vieille vorace se jette dessus et se met à sucer l'engin comme une déesse. Roman croit mourir de plaisir, il grogne en tirant sur les cheveux de la suceuse expérimentée. Charlotte avance sa tête jusqu'à ce que la verge soit au fi=ont de sa gorge, elle s'agrippe aux fesses du jeune homme et agite sa tête férocement comme si elle vouler rentrer les couilles aussi dans sa bouche. Juliette doit lâcher le clito, car Charles lui travaille le cul comme un soudard. Elle geint, gémit comme une femelle en rut. Le pilonnage intense l'emmène au bord de la syncope. Elle pose sa tête, sur ses avant-bras, ainsi, elle offre ainsi davantage sa croupe, l'enculeur puissant, la défonce comme une brute, Juliette, souffle comme une bête. Elle se cambre encore plus et jouit du cul en geignant. Charles n'en a pas fini avec elle, il lui labourre le canal étroit qu'il distend avec sa grosse bite, avec une démence incontrôlable. À chaque coup de reins, il dit en grognant :

- Tiens, tiens, salope, prend ça dans le cul !

Il se bloque, et lui remplit le cul de son sperme abondant. Charlotte s'active avec une ardeur exceptionnelle sur la queue du jeune homme. Roman se raidit, il pousse un râle rauque et remplit la bouche de la suceuse, qui avale jusqu'à la dernière goutte le nectar tant recherché. Elle repousse le jeune éjaculateur et demande à Charles de la finir. Il prend place entre les cuisses de son hôte, et lui plante sans ménagement sa queue large et épaisse dans le ventre. Charlotte s'accroche à lui comme une bête sur sa proie. Il ne faut pas attendre longtemps pour que la vieille jouisse comme une malade. Elle marmonne entre ses dents :

-Par le cul, par le cul, prends-moi maintenant par le cul mon chéri !

Charles retire sa queue du ventre de Charlotte, elle luit de cyprine, il la pose sur la petite porte qui souvent se fait défoncer. Sans ménagement, il lui enfonce sa bite jusqu'aux couilles dans le cul, charlotte hurle :

-Charles, Charles, défonce-moi comme l'autre jour, casse le cul de cette vieille salope !


Il commence par un lent ramonage qui rapidement devient rapide, la queue épaisse dilate la gaine qui fréquemment se fait visiter, mais il faut un temps d'adaptation à l'anus pour s'habituer au calibre important de mandrin de Charles. La femme gémit à chaque enfoncement du mandrin dans son rectum. La vitesse devient très rapide, Charlotte pousse des couinements de truie en rut. La queue puissante entre est ressort sous les regards attentifs de Juliette et de son mari. Juliette mouille atrocement en voyant Charlotte se faire dévaster le cul par le pilon monstrueux de Charles. Son mari ne peut la laisser dans cet état, il la bascule sur le sol et la prend comme un sauvage, il la défonce jusqu'à que les deux jouissent, leurs gémissements se mêlent pendant la double explosion.
Charlotte est méconnaissable, ses yeux sont révulsés, elle bave, ses râles rauques sont terrifiants. Charles retire sa queue du trou béant et la replonge violemment jusqu'aux couilles. Charlotte se cabre, en gémissant de plaisir. Il recommence de nombreuses fois le mouvement, Charlotte croit mourir de plaisir, son cul va éclater soudainement, elle pousse un hurlement inhumain et jouit du cul. Charles continu en grognant de lui démonter le cul, il pousse un rugissement de fauve et lui remplit les intestins de son jus visqueux.

10 vote(s)


Histoire de valeriane

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : Les travers de Charlotte 1

Le 05/04/2023 - 15:36 par OlgaT
Charlotte sait ce qu'elle veut!

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :