Une nuit d'enfer 5

Laure, prise par l'énorme pieu de Julian, souffle comme une bête. Elle s'agrippe à lui en agitant comme elle le peut son bassin. Le coulissement de la verge dans son ventre la fait couiner de plaisir. Bien qu'écartelée, elle ne retient pas ses grognements de fauves. Rosine s'approche et glisse sa main le ventre de la soumise, pour atteindre son clito qui est méconnaissable, dans sa vie Rosine a rarement vue une femme avec un clito si impressionnant dû aux nombreuses jouissances. La vieille salope joue avec la boule sur-gonflée, en la pressant, la branlant, et l'écrasant fortement lorsque les râles de Laure deviennent plus rauques. Elle est presque en transe, Lino sait qu'il faut agir vite, il offre sa bite à la bouche pulpeuse de Laure, qui ne rechigne pas à la téter.
Clara aussi est de la fête, elle caresse les seins qui s'étalent mollement sur le torse de la jouisseuse. De ses doigts habiles, elle fait durcir les mamelons en les roulant entres ses doigts et les étirant le plus possible.


Laure est quasiment au sommet du plaisir, la bite volumineuse qui voyage dans son ventre, plus les doigts qui agacent son clito, et ses tétons la rendent folle de bonheur, elle s'acharne sur la bite de Lino comme une vorace. Ses gémissements sont terrifiants, sa respiration rapide, ressemble à celle d'une bête blessée. Roger regarde, avec intérêt, sa femme geindre de bonheur. Elle pousse un hurlement inhumain en jouissant abondamment. Rosine, comme d'un commun accord avec sa fille, lui écrasent le clito et les mamelons. L'effet est terrible, Laure jouit encore plus fort en se tortillant sur le banc. Julian accélère, il lui ramonne la chatte avec une puissance incroyable. Ses coups de reins sont violents, il se bloque et envoie un flot important de sperme dans le ventre de Laure qui est au bord de la syncope.
Il faut lui laisser le temps de récupérer. Mais avant, Lino le remplit la gorge de sa semence épaisse que laure s'empresse d'avaler. Les queues gluantes oscillent sur les bas-ventres. Roger regarde Clara avec envie, elle lui sourit et se met à quatre pattes, Roger la saisit par les hanches, et plante son glaive dans la chatte juteuse de la jeunette. La levrette, c'est ce qu'elle affectionne. À chaque coup de reins du pourfendeur, elle pousse des couinements de bonheur. Le ramonage devient plus rapide, les gémissements de Clara sont bruants, elle jouit en se cabrant comme un cabri. Roger est aux anges, il baise une jeunette, c'était inespéré pour lui. Il grogne en donnant de violents coups de boutoir. Il se libere enfin en remplissant la chatte de Clara qui agite son bassin, et comme pour remercier son baiseur, lui offre sa croupe. L'invitation est trop belle. Roger place son gland gluant contre l'anus de la demandeuse et l'enfonce d'un seul coup de reins dans le rectum accueillant qui lui enserre la queue.


Clara pose sa tête sur ses avants bras, en se cambrant outrageusement. C'est le signal pour Roger., il encule sa victime avec une brutalité inouïe. Le ramonage que subit Clara et violent, elle grogne à chaque coup de défonce. Julian, sa mère et son père regardent le couple s'envoyer en l'air. L'envie est trop grande, les deux mâles encerclent Rosine, Lino se plaque contre elle, lui relève une jambe à hauteur de sa taille et la maintient fermement. Automatiquement, sa bite s'enfonce das la chatte de sa femme qui s'accroche à son cou pour ne pas chuter. Le fiston frotte contre l'anus de sa maman son gland visqueux, il la saisit par la taille et lui enfonce lentement son monstre dans le cul. L'anus de Rosine, surement habituée d'être visité par la bite de sa progéniture, se cabre pendant la pénétration monstrueuse son anus. Les deux mâles défoncent Rosine avec une violence extrême. Rapidement la vieille jouit en couinant comme une truie en rut. Roger lui savoure le cul de la jeunette, il la pilonne du mieux qu'il peut. La queue qui voyage dans son fondement la fait rugir comme un lion, elle se tend comme un arc et jouit du cul comme une malade. Roger déverse son jus épais dans les entrailles en feux de l'enculée. Rosine subit les assauts de son mari et de son fils en grognant, elle attend avec impatience qu'ils lui remplissent le corps de semence. Elle ne doit pas attendre longtemps, les deux giclent dans ses orifices en grognants comme des bêtes.


Peu à peu, Laure refait surface, sa respiration redevient normale, elle se redresse pour voir les couples en action. Roger propose un petit encas pour se remettre d'aplomb. Tous récupèrent, Lino dit, qu'il est temps de reprendre les activités. Il faut recommencer tout à zéro. Laure reprend place sur le banc, les femmes commencent à la butiner, la tension monte dans son corps, les bouches avides de la mère et de sa fille, qui voyagent sur le corps fébrile de Laure commence à la faire geindre. Mais lorsque la bouche de Rosine se pose sur sa chatte, elle se cabre comme un cheval en geignant fortement. La vieille aspire la boule magique qui reprend vite de la grosseur. Ses mamelons, malmenés par Clara, la font souffler, sa chatte devient rapidement une fontaine intarissable. Rosine sait lorsqu'il faut s'arrêter. Elle se redresse et regarde sa fille, puis saisit les jambes de Laure et les amène le plus possible en arrière, Laure est très souple, ses genoux viennent aux contactent de ses épaules. Rosine les maintient dans la position. Pendant la préparation de Laure, les hommes en maintenus leur queue bien raide en la caressant. Rosine regarde les hommes et demande :

-Qui veut commencer !

C'est son fils le plus prompt. Il regarde en souriant les orifices que la position met en évidence. Il caresse la chatte débordante, approche sa verge monstrueuse et la plante sans ménagement au plus profond du vagin de Laure qui pousse un long couinement pendant l'embrochement. Julian la démonte comme un sauvage, sa queue distend la vulve brulante de la soumise qui gémit de plaisir. Au bout d'un petit moment, il retire son engin luisant de cyprine et la plante brutalement dans le cul de Laure que se cabre en poussant un hurlement terrible. Elle a l'impression de s'ouvrir en deux tellement son rectum et distendue. Le bougre lui ramone le cul un court instant puis replonge sa queue dans la chatte qui ne cesse de laisser échapper son jus. Le vicieux amant, change de nombreuses fois de trou. Laure et au bord du coma, elle s'agite et clame fortement :


-Oh putain que c'est bon, oui, encore, encore, oh putain, je jouit !


L'enculage la fait jouir terriblement fort, sa chatte expulse sa cyprine avec force. pendant qu'elle jouit du cul, Julian replante sa bite dans la chatte en ébullition de la jouisseuse, et la pilonne avec une sauvagerie inhumaine. La coquine re-jouit en hurlant. Le jeunot se retire du corps de son amant sans jouir. Il faut passer à autre chose, il faut gaver cette salope de bite jusqu'à ce que qu'elle demande grâce. Lino connait la musique, il s'allonge sur le sol, sa queue tendue regarde le plafond. On aide Laure, à enjamber Lino, son corps est tremblant. C'est Clara qui dirige la bite de son père vers la chatte de Laure qui est encore, sous le coup des jouissances, qu'elle vient de subir. Elle descend son corps fébrile et s'empale aisément sur la verge de Lino, qui est moins importante que celle de son fils.
Elle fait un instant l'ascenseur avec son corps, avant que Lino la plaque contre lui. Julian se place derrière Laure, il regarde le trou béant, qu'il vient de quitter, et place son manche contre l'ouverte qui continue de palpiter. Il encule Laure avec une rudesse incroyable. Prise en double, laure est au summum plaisir, elle agite sa croupe en grognant. Son corps ne demande qu'à jouir. Les deux hommes se lâchent, ils la défoncent comme jamais, elle ne l'a été. Ses orifices dilatés la font gémir bruyamment. Laure jouit, en s'arc-boutant, son cri est celui d'une bête tombée dans un piège. Les deux mâles la bourrent avec une violence extrême, ils savent ce qu'il faut à cette salope insatiable de jouissance.
Ils la font jouir encore trois fois, avant qu'eux même ne jouissent à leur tour. Remplit de sperme, Laure est comme un automate, elle s'agite sur les queues qui lui forent les entrailles en grognant férocement, la salope veut encore jouir. Mais l'heure tourne, il faut finir cette affamée. On libère Laure des queues, et on la replace sur le banc, les jambes repliées comme la fois précédente, orifices bien offerts.



Clara est chargée de terminer Laure, elle regarde les trous qui laissent échapper le surplus de sperme. Puis un à un enfonce ses doigts dans la chatte débordante, ses doigts tournent un moment, avant de disparaitre dans la chatte brulante, Laure geint en soufflant fortement. La main habile s'enfonce jusqu'au poignet dans l'antre de la fauve. Clara fait un petit va-et-vient, qui provoque chez Laure un gémissement rauque qui fait écarquiller les yeux à son mari. La coquine accélère le ramonage, Laure et en transe, elle dit des mots inaudibles. Elle jouit en râlant comme une bête malade. Clara regarde son papa qui lui fait un signe de la tête, de sa main libre, elle titille l'anus béant de Laure, qui continue de gémir. Elle enfonce deux doigts, puis trois, quatre et enfin cinq. Laure semble figée, sa respiration est courte, son cœur bat rapidement. Clara
lui enfonce très lentement sa main dans le rectum, le plus difficile, est presque fait, avec un bruit étrange, la main disparait comme aspirait par le cul de laure. Elle souffle comme un dragon, sa bouche grande ouverte, laisse échapper un filet de bave. Avec douceur, sous les recommandations de sa mère, Clara commence un très lent ramonage des deux orifices en même temps.


Laure croit sa dernière heure arrivée, elle pense que sa chatte et son cul vont s'ouvrir en deux, ses yeux sont exorbités. la douleur est pourtant supportable. Roger regarde sans dire un mot l'exploit de sa femme, avec deux mains entièrement dans son corps. Il bande comme un malade. Sa femme commence à geindre sous le double ramonage, elle s'accroche au banc, sa réparation est saccadée. Clara suit à la lettre les recommandations de sa mère, elle accélére le rythme. Lino s'approche, il saisit le clito que est monstrueux et le branle comme pour atténuer la douleur que ressent Laure. Mais pour jouir la salope est prête à tous les sacrifices. Le ramonage devient plus rapide, Laure commence à gémir non de douleur mais de plaisir.
Roger, n'en peut plus il bascule Rosine et l'embroche, il lui fait subir le double comme l'a fait son fils avec sa femme, le coquin change de trous constamment. Rosine rale comme une chienne en rut. Soudain un cri terrible raisonne dans la piece Laure vient de jouir, son corps trempble, elle est agitée de frissons violents. Clara augmente la cadence, elle veut faire jouir une ultime fois sa proie.
Rosine elle jouit en couinant comme une truie en chaleur.
Laure pousse un hurlement, elle s'arc-boute comme un pont un jour de tempête. Elle jouit en délirant de plaisir :

-Oh mon Dieu, je suis une grosse salope jouisseuse, je vais mourir de jouissance, mon coeur va lacher !

Lino fait cesser le ramonage, Clara retire ses mains avec precausions des orifices distendus de Laure

Roger continue de baiser avec fougue Rosine que jouit une fois du cul et une autre de la chatte. Enfin, Roger lui remplit le cul de son sperme visqueux en disant :

-Tu es une bonne salope Rosine, tu es une chaude du cul, c'est comme cela que j'aime les femmes !

Il s'approche de sa femme, regarde les degats causés par le double fist et l'interroge :

-Alors mon amour comment c'était !

Entre deux souffles Laure repond :

Mon Dieu mon chéri, j'ai subit des trucs magnifiques, c'est meveilleux de jouir du cul et de la chatte, tu vois je suis devenue une bonne pute comme tu le desirais !

Roger enlace sa femme et l'embrasse amoureusement.