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Les turbulences d'une lune de miel.

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 6 - Histoire postée le 06/02/2024

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Nous venions de passer, mon mari Cédric, et moi, Rose, une nuit de noces, qui, je dois l’avouer, ne restera pas dans les anales. J’en espérais mieux.
Le matin, après une bonne douche, je m’habillais cool. Je portais une robe fleurie aux fines bretelles, boutonnée sur le devant. Les bretelles étaient trop fines pour pouvoir porter un soutien gorge. Ma poitrine était donc libre sous le tissus et mon mari pouvait admirer mes seins. Je portais des sandales à lanière à haut talons compensés, qui mettaient en valeur mes jambes bien galbées quand je marchais. Très excitante en fait...ce qui eut pour effet de réveiller un tant soit peu, mon mari.
- Hum, tu es très attirante ma chérie, dit-il en glissant une main sous ma robe. Mais c’est quoi ça...tu vas m’ôter cette culotte ridicule !
- Ho là...toi tu as des mauvaises idées pour le trajet...coquin…
Nous quittions l’hôtel, pour rejoindre un charmant chalet que nous avions loué à un prix attractif, situé au cœur d’un pinède, pour y passer nôtre lune de miel.
On mettait nos bagages dans le coffre de la voiture, et nous préparions à partir. Mais voilà que nôtre véhicule refuse de démarrer. La tuile...en plus, pas de réseau.
Voyant nôtre détresse, un employé forestier nous proposa de nous emmener, au relais routier le plus proche pour pouvoir téléphoner. Nous contactons le garage, et le diagnostique du mécano et sans appel. Il nous dit, que la panne est grave, et que le temps de recevoir la pièce, et réparer, il y en a pour une bonne semaine.
Et nous somme à une centaine de kilomètres du chalet.
Nous prenons un verre au bar, en profitons pour payer une tournée aux chauffeurs présents dans le relais, pour fêter nôtre union.
En cœur, ils lèvent leur verre, et nous adressent leurs meilleurs vœux de bonheur.
C’est en trinquant que nous expliquons nôtre problème, et l’un d’eux nous propose de nous déposer à nôtre chalet, que c’est sur sa route.
Cédric et moi nous regardons, acceptons et transférons nos bagages.
C’est un gros poids lourd, transportant du bois. La cabine est immense. Une vrai petite chambre. Nous nous installons tous les trois sur la banquette avant, nous voila partis.
J’avoue avoir du mal avec ma robe, qui remonte haut à chaque déformation de la route, découvrant ainsi mes cuisses. Cédric le remarque, et m’envoie un sourire coquin. Suite au balancement, et au ronflement du moteur, j’aurais tendance à m’assoupir.
Le chauffeur me propose alors d’aller m’allonger dans la cabine.
Encourager par mon mari, je m’y rends bien volontiers.
Je grimpe dans la cabine, et la, surprise...j’aperçois une forme sous la couverture, c’est un homme d’une cinquantaine d’année, qui met un doigt sur sa bouche, et m’invite à le rejoindre. En temps que jeune mariée, je refuse. Je lance un regard à mon mari. Il est en grande discussion avec le chauffeur.
L’homme s’approche de moi, me dit que par mesure de sécurité, le code impose la présence d’un second chauffeur. Il me fit signe de tirer le rideau.
Je m’installe au bord de la couchette, me tenant éloignée de cet inconnu.
Je commençais à m’assoupir, quand je sentis une main se faufiler sous ma robe. Soudain, je me rendais compte que je n’avais pas de culotte, et serrais fort mes jambes. La main se retira, caressait mes fesses sous la robe. A tout les coups, il dû s’apercevoir qu’il n’y avais pas de trace d’élastique, et comprit que ma chatte n’avait aucune protection. Il contourna mes fesses, s’approcha dangereusement de ma fente. Je ne pus résister à la pression que sa main fit à l’intérieur de mes cuisses, et m’écarta légèrement. Sa main prit possession de mon intimité, ses doigts caressaient ma chatte, un doigt jouant avec mon clitoris. Dans un souffle, de plaisir, je le laissais investir ma chatte.
Je pensais à mon mari qui se trouvais à un mètre de moi, à nôtre nuit de noces loupée, me disais qu’on se rattraperait, qu’on avait toute la vie devant nous.
Et voila que je m’abandonnais sous les caresses d’un inconnu, et commençais à sentir monter le désir. Ses doigts me branlaient, excitaient mon petit bouton. J’étais totalement paralysée, et sentais l’orgasme se former en moi. Dieu merci, le ronflement du moteur et la discussion de Cédric avec le chauffeur, couvrirent mes cris de plaisir. Je serrais mes cuisses, comme pour garder en moi, ces doigts qui me faisait jouir. Il approcha sa tête de la mienne, m’embrassa dans le cou, me mordit l’oreille, me dit s’appeler Luc, son pote, Gilles. Je lui dis m’appeler Rose.
Je tordais ma tête pour lui donner un tendre baiser.
Puis il souleva la couverture, il était nu dessous, la queue en érection, et quelle queue. Il prit ma main, la dirigea entre ses jambes. Je caressais d’abord ses énormes couilles, et prenais sa queue en main. J’en faisais à peine le tour, tant elle était épaisse, et longue aussi.
Prise dans la tourmente du désir, je faisais glisser les bretelles de ma robe, et l’envoya à mes pieds. Je me tournais face à lui, lisais dans ses pensées.
Le quinquagénaire devait être fier de baiser une jeune mariée de vingt deux ans, super canon, à un mètre de son mari. Je lui souriais, m’enroulais autour de ce corps de vrai mâle. Ses mains caressaient mon intimité, tandis que je branlais sa bite. Je profitais que le rideau séparant l’habitacle de la cabine était tiré, pour me pencher, et prendre sa bite en bouche. J’entendais le chauffeur dire à mon mari.
- Parles moins fort, vous risquez de me réveiller vôtre femme.
- Avec le compte que je lui ai mis cette nuit, mentait-il, ça m’étonnerait…
S’il savait qu’à ce moment même, j’étais en train de tailler une pipe au deuxième chauffeur. Soudain, je sentis la queue vibrer dans ma bouche, heurter les parois de mes joues, je sentais qu’il allait venir.
Contrairement d’avec mon mari cette nuit, je décidais de le garder en bouche, de tout avaler. Je sentais des puissants jets de sperme giclaient dans ma bouche, d’une violence inouï. Ce salaud prenait du plaisir à se vider les couilles.
Je gardais sa queue en bouche, enroulais ma langue autour du gland. J’aurais tant aimé le garder en moi. Il me tendait un kleenex pour que je puisse m’essuyer.
Il remontait la couverture sur nous, et me fit mettre sur le côté.
Je sentais sa bite glisser entre mes cuisses. Le gland limait ma fente, jusqu’au clitoris. Lentement, il me pénétra. Je mordis ma langue pour ne pas crier. Il tendit sa main, et écarta le rideau. Je voyais mon cocu de mari de dos, tandis que je me faisais enfiler par un énorme calibre. Je voyais le chauffeur sourire en coin. Il avait modifiait l’angle de son rétroviseur, pour avoir une vue sur son collègue de route, en train de me baiser.
Je gémissais intérieurement, ne voulant pas éveiller les soupçons, et ainsi casser le plaisir intense que cet inconnu m’apportait.
J’enfonçais ma tête dans la couverture quand j’atteins l’orgasme, le deuxième. Puis, le chauffeur se retira, mais n’alla pas très loin. Je sentais son gland toujours décalotté jouer avec mon petit trou. Petit trou que j’avais réservé à Cédric pour nôtre première nuit au chalet.
Je cambrais ma croupe sous la couverture, et accueillais avec plaisir cette bite, qui privait mon mari, de la faveur d’être le premier à me sodomiser.
Je dois avouer que j’aurais eu moins mal, avec le zob plus petit de Cédric. Mais je n’aurai peut-être plus l’occasion d’en avoir un de cette taille.
Je sentais les va et vient s’accélérer dans mon petit orifice, qui finalement c’était calibré autour du spectre qui me labourait, et se vidait en moi…
- Tiens...il y a un relais là...je vous offre un café…
- On est pas les bienvenus ici, répondit le chauffeur.
- C’est pas grave, je vais les chercher...vous voulez quoi, sandwich, bière ?
- OK...deux jambons beurre pour moi, et vôtre épouse ?
- Je vais prendre des croissants pour quand elle se réveillera.
Le pauvre, s’il savait ce que j’avais avalé, ce qui vibrait encore dans mon ventre, que j’étais rassasiée de sperme chaud et épais.
J’entendais la portière claquer, mon mari quittait le camion. Puis vis le chauffeur investir la cabine, alors que j’étais empalé sur la queue de son remplaçant. Ce dernier, voyant son pote, me tira à lui, lui offrant le trou qu’il venait de déflorer. Je sentis le gland décalotté s’approcher lentement de mon petit orifice en alerte.
Il n’avait rein à envier à son pote, il était lui aussi bien monté. Le nouveau venu se vautra sur mon dos, et enfila mon petit trou. Mon mari n’étant pas, je pus exprimer par mes cris, le plaisir qu’ils étaient en train de me donner. J’eus deux orgasmes, coup sur coup. Puis j’insistais pour qu’ils vident leurs couilles dans ma bouche. Je dus l’ouvrir en grand pour recevoir leur sperme, et pouvoir tout avaler.
Quand mon mari ouvrit la portière, nous étions tous les trois assis sur le siège avant du camion. Nous descendons du bahut, et mangeons sur une table et des bancs en béton, d’une aire de repos.
Cédric ne s’était aperçu de rien. Il ne se doutait pas, à ce moment là, que je venais d’être infidèle, et qu’il était cocu...après seulement deux jours de mariage.
Vers dix huit heures, le camion nous déposait devant nôtre chalet.
Pour les remercier, nous les invitons à partager nôtre premier repas.
Pendant le repas, mon mari reçoit un coup de fil du garage, lui annonçant qu’il avait une pièce en stock, et que sa voiture était prête. Un des chauffeurs réussit à contacter un employé forestier qui rentrer en ville, et lui demandait s’il pouvait ramener mon mari.
- C’est vraiment sympa, les remercia Cédric, vraiment
Le chauffeur lui répondit que c’était normal, juste au moment ou la navette arrivait.
- On sera certainement parti quand vous reviendrez. On vous dit au revoir.
- Ah bon, ça m’embête de laisser ma femme toute seule...vous pouvez attendre mon retour. On peut vous héberger pour la nuit.
- Dans ce cas, répondit l’autre chauffeur.
Cédric n’avait pas dépassé le premier virage, que j’étais au lit avec les deux chauffeurs, en train de me faire défoncer.
A son retour, mon mari n’a pas assez de mots pour les remercier. Plus tard dans le lit, il me demande ce qu’on pourrait leur offrir.
- Tu ne veux quand même pas que je les rejoigne dans leur lit à me faire baiser ?




























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Commentaires du récit : Les turbulences d'une lune de miel.

Le 11/04/2024 - 01:29 par alexandre8819
hum j'adore mon petit doigt me dit que tu adores les pipes et prendre en bouche et le petit trou lol tes histoires réelles ou pas mexcitent trop envie d'échanger avec vous alexandre8819@yahoo.fr bisous
Le 14/02/2024 - 11:46 par OlgaT
Une belle façon de remercier ces routiers!
Le 12/02/2024 - 10:54 par charly78
Sympa cette petite balade !
Le 09/02/2024 - 14:53 par valeriane
J'adore vite la suite
Le 08/02/2024 - 04:39 par Sexytoy86
Histoire pleine de vie une suite peut être avec les gardes forestiers qui rôdent dans le coin
Le 07/02/2024 - 10:36 par lucrece
Belle histoire, j'aime bcp.

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