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Trois en croisière

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 26/12/2023

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Nous partions en croisière en Grèce pour une semaine, Sandra, ma ravissante épouse depuis cinq ans, moi, Sylvain, et Marc, un pote à nous, récemment séparé, que nous devions récupérer à Athènes.
En effet, suite à un fantasmes à vouloir partager son épouse avec un ancien copain de régiment, il n'avait trouvé d'autre solution que de la faire boire. Dans un demi-sommeil, elle eut un sursaut, alors que la bite du pote commençait à se branler dans sa bouche. Elle fit aussitôt ses valises.
Nous vivions à l'année en Afrique, dans une ville portuaire, et faisions souvent de la voile ensemble, quand Marc et son épouse venaient nous voir. Quelques régates, de petites croisières en remontant le fleuve, avaient forgé nôtre solide amitié.
Le bateau, un voilier de neuf mètres, loué à Athènes, constituait un espace intime, un carré, et deux grandes cabines. Après quelques jours de navigation, nous nous étions arrêtés à Corfou.
Nôtre pote, devenu célibataire, commençait à regretter l'absence d'une femme, surtout dans cette atmosphère de vacances, avec toutes ces belles filles à moitié nues.
Nous étions en train de prendre un pot entre copains sur une terrasse du merveilleux petit port ou l'activité était intense sur l'eau, les hydroglisseurs entraient et sortaient à toute vitesse, pilotés avec une maestra incroyable dans ce port bondé.
Ils rentraient dans le port, et s'arrêtaient net sur le quai, évitant de justesse nôtre voilier amarré tout près.
Pendant ce temps, les plaisanciers qui avaient qui largués leur ancres, s'évertuaient à les dégager. Un chaos total semblait régner dans ce havre de soleil méditerranéen.
Mon épouse était resté à bord, pour préparer le repas.
Au bistrot, nous parlions femmes. Marc se plaignait de sa solitude, et de son manque de sexe. Il avait essayé les boites de l'île, sans succès.
J'étais un peu embêté, car j'avais ma femme tous les soirs, et dans la nuit, quand mon pote dormait, nous nous livrions à nos petits jeux habituels.
Sandra était plutôt prude, et ne se déchaînait que très rarement, sauf quand elle était très excitée. Dans ces moments là, j'avais le sentiment qu'elle plongeait dans le sexe sans retenue, et que je pouvais lui faire n'importe quoi.
J'y songeait pendant que mon pote continuait à me parler de son désir insatisfait. J'eus tout à coup un flash érotique, un raté dans les battements de mon coeur.
Et si j'assouvissais, en inversant les rôles, le fantasme de mon pote, en lui prêtant ma femme. Evidemment, elle ne voudrait jamais si je lui proposait froidement, mais dans un de ses déchaînement sexuel, elle se laisserait peut être aller.
Je ne l'écoutais plus parler, et commençais à échafauder un plan. Ce soir là, je ferais l'amour à Sandra dans le carré, quand on serait seul. Prétextant un désir impérieux, je demanderais à Marc de sortir, pour rentrer plus tard, à une heure convenue. C'est à ce moment que je proposerais à Sandra de me faire une fellation. Je sais qu'elle aime sucer, et ne pourrait refuser. Je m'allongerais sur le dos, tandis qu'elle se pencherait entre mes jambes, présentant sa croupe vers l'entrée de la cabine. Pendant qu'elle me taillerait une pipe, allant et venant entre ses lèvres, sa langue sur le gland, ma queue s'enfonçant au fond de sa gorge, Marc arriverait sans bruit devant la chatte offerte, prendrait Sandra par la taille, sortirait sa bite déjà en érection, et la pénètrerait. J'étais sûr qu'elle ne réagirait pas, et prendrait le plaisir qui s'offrait à elle.
Marc me secoua, et me fit sortir de mon rêve érotique, un peu fâché de ne pas avoir été écouté. Je revins alors sur terre, et lui proposa carrément mon épouse, et tout ce que j'avais imaginé en quelques secondes.
Mon pote, un peu interloqué, sentit l'excitation se propager en lui, et se voyait déjà la queue dans la chatte mouillée de Sandra, ou il pourrait s'y engouffrer, et décharger l'exés de sève qui le tourmentait
Peu après, à bord, pendant le repas, on se lançait des regards en douce comme deux conspirateurs, vivant à l’avance tout le scénario.
La soirée se déroula comme prévu. Quand nous fument seuls, je commençais à entreprendre ma femme. Je m’appliquais à contrôler son plaisir et à l’exciter au maximum.
Je la léchais longuement appliquant ma langue tout le long de sa fente et m’arrêtant délicatement sur le clitoris. Elle jouit immédiatement, puis je lui pris la chatte en levrette.
Je ne pensais qu’à ce qui allait suivre et l’excitation semblait me donner une érection entière, un contrôle total sur mon éjaculation.
Sandra était un peu étonnée, car d’habitude je prenais mon plaisir assez vite, la laissant en général insatisfaite. Cependant ce genre de séance où elle aussi trouvait son compte arrivait de temps à autre, et elle n’y accordait pas plus d’importance. Elle se laissa aller dans un tourbillon de plaisir, dans un puisant orgasme qui semblait permanent.
Peu avant l’heure prévue, je me retirais d’elle et encore gluant de nôtre plaisir, me levais et l’attirais vers moi. Debout, le sexe tendu, je la fit asseoir sur la couchette et dirigea de ma main son visage contre mon ventre. Consentante, elle arrondit la bouche, et fit pénétrer ma queue sur toute sa longueur. Des deux mains je lui maintenais la tête et la fit aller et venir sur ma bite, contrôlant moi-même la vitesse et la forçant ainsi au rythme que je désirais. Elle se laissait aller, tel un objet de plaisir, à cette fellation. J'utilisais sa bouche comme une chatte qui s’offrirait et que je contrôlerais en lui tenant les hanches. Longtemps je me repus du spectacle du visage de ma femme, de sa bouche sucer ma queue, voyant les couilles buter sur son menton, et cette queue s’enfoncer comme un piston infatigable. Je me livrais à son fantasme favori et lui fit dire. “ Je t’aime” plusieurs fois pendant qu’elle me suçait. Les mots sortaient déformés par le bâillon de chair qui l’obstruait. “ Je...aime…t'aime…”
Je sortis enfin d’elle et m’allongea, la fit mettre dans la position prévue et m’arrangea pour que sa croupe se dresse vers l’entrée du carré, toujours ouverte à cause de la chaleur. Elle me reprit en bouche, surexcitée et pensait certainement à nôtre confusion si Marc arrivait. Et en effet, il était là, dehors dans le cockpit et l’obscurité, profitant du spectacle. Il regardait ma femme penchée, suçant la queue de son mari, montant et descendant sur ma hampe. Il observait la croupe ondulante qui s’offrait à deux mètres de lui. Il voyait l’humidité et les traces de plaisir le long de sa fente et de ses lèvres intimes, vaguement éclairées par la lumière de la lune. Il dégagea son sexe déjà en érection et commença à se masturber, jouissant de son rôle de voyeur. En bas, je l’avais remarqué et lui fit signe de descendre. Il s’approcha doucement, et sans bruit saisit ma femme aux hanches en cherchant de sa queue l’entrée de la chatte. Quand elle se vit ainsi plaquée et qu’elle sentit le gland humide contre ses fesses, Sandra eut un sursaut, se dégageant de moi, et se retournant pour voir l’intrus.
Elle alla de l’un à l’autre et comprit immédiatement le plan, en lisant sur nos regards entendus, une certaine complicité. Elle n’eut pas le temps de réagir que déjà Marc la pénétrait, profitant de la chatte accueillante et bien mouillé. Elle dut ressentir le plaisir de cette pénétration et se laissa faire, reprenant en bouche ma queue érigée.
Nous nous déchaînèrent, et elle-même plongea dans la jouissance. Très vite elle eut un orgasme, le premier de sa vie par la pénétration d'une autre queue la mienne. Elle sentit ma queue se gonfler dans sa bouche, et haleter fort sur le plaisir montant.
Je jouis longuement au fond de sa gorge et elle avalait ma semence à chaque giclée, tandis qu’elle sentait de l’autre côté de son corps, au fond de sa chatte, mon pote qui perdait le contrôle.
Marc se crispait sur ses hanches et avec des “hans” de bûcheron, s’arc-boutait et déchargea comme un taureau au fond de sa chatte.
Mon pote et moi nous affalèrent sur la couchette et elle nous prit tous deux dans ses bras, dans un abandon total. Pas une parole ne fut échangée, qu' un peu plus tard, quand nous sortions de nôtre torpeur.
Nous étions excités de cette situation nouvelle et elle aussi de nous sentir nus à sa disposition. La vue de nos sexes respectifs à demi bandés, l’aspect pervers et interdit de se voir nus entre hommes, fit monter le désir à nous deux. Elle ressentit ce côté trouble et enivrant et se mit à nous caresser, comparant les deux bites, leur épaisseur, leur longueur, passant sa main de l’une à l’autre, décalottant les glands, et les caressant sur la peau fragile et dénudée avec leur liquide, mélangeant les émissions, de deux potes qui gémissaient et s’abandonnaient à ses mains expertes. Elle mit sa tête entre nous et nous prit tour à tour dans sa bouche.
Pendant qu’elle me suçait, elle branlait nôtre pote, puis se dégageant de ma queue, elle arrondit sa bouche sur celle de Marc, beaucoup plus grosse que ma mienne.
J'étais surexcité par la vue du doux visage de ma femme enserrant ce calibre étranger, la prit par la croupe et pénétra sa chatte encore glissante du sperme de Marc.
Nous ne connaissions plus de retenue et tombions dans un nouveau paroxysme. Finalement je me retirais du sexe et cherchais l’entrée du petit trou. Je la sodomisa d'un coup, l’abondance de nos liquides facilitant l’intromission. Sandra n’était plus qu’une masse de plaisir, jouissant du glissement de nos membres tendues contre ses parois intérieures et ses muqueuses. Elle accueillit la double éjaculation dans sa bouche et au fond de son petit orifice comme une joie profonde qui déclencha en elle un nouveau et puissant orgasme.
Je me retirais sur le pont, tandis que eux, poursuivaient leurs torrides ébats. Je n'ai jamais entendus Sandra exprimer son plaisir à ce point. Marc a su réveiller ce corps finalement fait pour l'amour, au point de la faire jouir à plusieurs reprises.
Sandra était de plus en plus attirée physiquement par Marc.
Au cours de nos coucheries, elle lui accordait les faveurs auxquelles je prétendais.
Le voyage se remplissait d'anecdotes, plus perverses les unes que les autres.
Un matin, je me levais, et surpris Marc nu à la barre. Sandra, à genoux était en train de lui tailler une pipe, et tout avaler. Une autre fois, je rentrais de faire des courses sur le quai, et trouvais ma femme se faire prendre en levrette dans nôtre propre cabine, un coup dans la chatte, un coup dans le petit trou.
Je n'étais pas jaloux, car c'est moi qui avait provoqué toutes ça, afin de satisfaire le fantasme que mon pote n'avait pas pu réaliser.
Un soir, après un repas arrosé, ils ont passés la nuit ensemble à baiser. Il n'en finissait pas de la faire jouir. De la chambre d'à côté, je l'entendais hurler de plaisir quand elle atteignait l'orgasme. Cette nuit là, j'en comptais pas moins de sept. J'étais en train de m'assoupir, quand Marc lui déclenchait un huitième orgasme, ce que je n'ai jamais été capable de faire en une semaine. Je n'ai jamais vu ma femme s'offrir ainsi.
Une fois ramené le voilier à Athènes, nous y déposons Marc, et rentrons chez nous en avion. Il me remercia de lui avoir offert ma femme, et remercia Sandra de s'être offerte sans retenue.
Sandra reprit son poste de prof au collège, Moi celui de directeur d'agence.
Chaque fois que nous faisons l'amour, nous avons une pensée pour Marc, et regrettons parfois qu'il ne soit pas dans le lit avec nous.
Même si je n'atteins pas les performances de Marc, je parviens à déclencher plusieurs orgasmes à Sandra à chaque rapports, même si je reste persuadé que quand on fait l'amour, Sandra s'imagine que c'est l'énorme queue de Marc qui lui baise la chatte, qui la sodomise, que c'est sa queue qui va et vient dans sa bouche, que c'est sa semence qu'elle avale.Toujours est-il, que Sandra s'offre à moi comme jamais.
Je la trouvais de plus en plus belle, plus épanouie, et ceci, en partie grâce à Marc.





















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Histoire de Aurore34

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Commentaires du récit : Trois en croisière

Le 27/12/2023 - 13:57 par Sexty53
Oui très jolie texte
Le 27/12/2023 - 10:07 par OlgaT
Un très beau texte candauliste!

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