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Les turbulences d'une lune de miel

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 29/03/2023

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Nous venons de boucler nos ceintures. Moi, Judy, et Karl, venons de nous unir pour la vie. Nous profitons du cadeau de la société de mon mari, pour partir en voyage de noces à Bangkok. Bras dessus, bras dessous, nous grimpons les escaliers nous menant dans l’avion, ou une charmante hôtesse nous guide à nos places.
J’étends les jambes, Karl me prend la main et me sourit. Cela fait une demi-heure que nous sommes installés dans l’avion, en attente des derniers passagers.
Et le dernier était d’une beauté à couper le souffle. Cheveux noirs, barbe de trois jours, des yeux bleus acier...un super canon. Je le vis s’avancer dans l’allée centrale, chercher sa place. Je ne le lâcher pas du regard. Il prit le même fauteuil correspondant au nôtre, mais de l’autre côté de l’allée. Nous n’avions qu’à tendre la main, pour nous toucher.
Ce qui ne risquait pas de se produire.
- Ça y est mon bébé, dit mon mari...on décolle pour nôtre voyage de noces.
- Oui. J'ai trop hâte d'arriver.
- Sois patiente ma chérie, nous n'arrivons que dans onze heures à Bangkok..
Je me penche sur mon mari, pour avoir accès au hublot, et regarde le coucher de soleil sur Paris, tandis que nôtre avion se dirige vers les nuages. J’espère que ce geste n’a pas trop fait remonter le haut ma robe sur mes jambes, et ainsi dévoiler le haut de mes cuisses à nôtre voisin.
Après une collation distribuée par l’hôtesse, je m'assoupis sur l’épaule de mon mari, tout en rêvant du pays que nous allons découvrir.
J'ouvre doucement les yeux, suis allongée sur le côté, recouverte d'une couverture, la tête posée sur les cuisses de Karl. Je le regarde.
-Tu ne dors pas mon amour? .
- Si, j'ai réussi à dormir trois heures, mais le ronronnement de l'avion me gêne.
Je regarde à droite, croise le regard de mon jeune voisin, qui me sourit. Je fais rouler mon alliance de toute jeune épouse, pour bien lui faire comprendre que je suis mariée.
En reposant ma tête sur les cuisses de Karl, la nuque presque collée à son ventre, je sens sa braguette durcie et gonflée par un diable coquin. Ma main rejoint celle de mon mari sous la couverture. Cela me rappelle notre fougueuse nuit de noces...
Je soupire de bonheur, des images plutôt cochonnes et coquines me reviennent…
Probablement les mêmes que celles auxquelles il pense lui aussi...
Sa main toujours cachée par la couverture, remonte sur mon sein et vient le caresser tendrement. Je reste immobile. Seul le bruit de l'appareil se fait entendre.
Les lumières sont tamisées, la majorité des passagers endormis. Seule une hôtesse s'affaire sans bruit dans son petit compartiment.
La main délicate de mon mari vient se nicher doucement dans mon soutien-gorge, son index titille mon bourgeon déjà durci de plaisir. Je remonte la couverture jusque sur ma joue et passe ma main sous ma tête. Mes doigts font glisser silencieusement la braguette et s'immiscent dans son caleçon. Karl reste immobile, le regard rivé sur l'écran se trouvant sur l'appuie tête, en faisant semblant de suivre le film qui s'y déroulait.
Ma main commence de lents va et vient sur son sexe dur, bien décalotté, tandis qu’il malaxe délicatement mes seins. La pression exercée, trahit son excitation.
Il les frottes, les presses, mes bouts n'ont jamais été aussi durs et gonflés de plaisir. J'ai l'impression que le bruissement du tissu peu éveiller les soupçons des passagers, mais je suis tellement excitée que je n'arrive pas à arrêter de caresser le délicieux objet qui durcit d’avantage.
Je remonte encore un peu plus la couverture jusqu'à me couvrir complètement la tête. Mon mari comprends ma démarche et m'aides en faisant glisser son pantalon et son caleçon, de quelques centimètres.
Sa belle queue fière et dure jaillit devant mon visage. Je repose ma tête sur le bas de son ventre, engloutissant lentement cette bite jusqu'au fond de ma gorge. Je sens son dos se cambrer et imagine sa concentration pour ne laisser apparaître aucune émotion sur son visage. Le savoir obligé de rester, immobile décuple mon excitation, je veux jouer à le faire craquer. Je lèche et suce avec gourmandise cette queue, ce gland que j'aime tant. Mes doigts caressent ses couilles, elles sont chaudes et toutes serrées, prêtes à exploser à tout moment. Ma langue s'agite de plus en plus sur l'extrémité de son gland, que je gobe dans un bruit de succion. Il sursautes légèrement, me dis "chut!".
Mais je continue tout de même ma dégustation... en silence.
Soudain, sa main se pose brusquement sur ma tête. Je cesse tout mouvement, gardant sa queue en bouche, attentive au moindre bruit ou mouvement.
J'entends des pas dans l'allée centrale de l'avion. Ils se rapprochent.
- Vous m'avez appelé Monsieur?
- Euh, non... non, pas du tout, répond mon mari à l'hôtesse.
Je sens sa voix tremblante, mal assurée et gênée.
- Vôtre dame dort toujours je vois. En tout cas je reste à votre disposition si vous avez besoin de quoi que ce soit.
- Oui, merci. Pardon pour le dérangement.
- Ne vous en faites pas je suis là pour ça.
Les pas de notre hôtesse s'éloignent. Mon mari se détend et je reprend ma respiration. Le temps semble s'être arrêté. Mais j'entends à nouveau des pas.
L'hôtesse se penche sur mon époux, laissant son décolleté s'ouvrir légèrement, laissant apparaître la naissance de ses seins.
Elle chuchote alors à son oreille:
" Sachez que les toilettes de l'appareil sont propres et spacieuses. Je saurais rester discrète si vous vous y rendez ensemble."
Karl me souffle la proposition de l’hôtesse, à laquelle je réponds favorablement.
L'hôtesse s'éloigne sans lui laisser le temps de répondre.
Mon mari me libère de ma cachette, omettant de sortir sa bite de ma bouche, montrant de ce fait, à nôtre jeune et beau voisin, son épouse en train de lui tailler une pipe, sans prendre peine de cacher son sexe en érection et luisant de salive.
Je me redresse sur mon siège, rouge de honte. Je croise le regard de notre hôtesse, qui m'adresse un clin d’œil discret en rejoignant son siège face aux toilettes, tandis que mon séduisant voisin m’adresse un sourire coquin..
Je me tourne vers mon mari, et son sourire en dit long sur tes intentions.
- Tu me rejoins? Me lance-t-il
- Bien sûr, passe devant j'arrive.
Il se lève, se dirige aux toilettes.
Quelques secondes plus tard, toute émoustillée, je le rejoins. Personne, sauf l'hôtesse, ne semble avoir remarqué notre petit manège.
A peine entrée dans cette petite pièce, mon mari m'attrape le visage et m'embrasses fougueusement. Nos langues s'emmêlent, nos dents s'entrechoquent, nôtre excitation commune est forte. Il m'attrapes par les fesses et me soulève pour me poser sur le rebord du lavabo. En un geste il soulève ma jupe et retire ma culotte. Je m'agrippe à son cou, tandis qu’il dégrafe son pantalon et le laisse tomber. Puis il enfonces sa queue d'un coup au plus profond de moi. Il laisses échapper un soupir. Enfin, je le sens en moi, j'en avais tellement envie. Il commence des va et vient vigoureux, je m'accroche plus fermement à lui. Nos respirations sont synchronisés aux rythme de ses mouvements. Je sens rapidement un plaisir chaud monter dans mon ventre, je devine que lui aussi. Nos regards sont plongés l'un dans l'autre. Ses coups de reins se font plus forts, plus francs. Je ne peux m'empêcher de gémir. Je sens l'orgasme commun arriver. Sa bouche vient se plaquer contre la mienne pour étouffer les bruits du plaisir qu’il me donne. Dans un dernier coup de reins, je le sens jouir en moi, rejoignant mon terrible orgasme..
Je sens que mon mari se détend, ses lèvres se font plus douces et il m'enlace dans un doux et tendre baiser.
- J'avais trop envie de toi mon amour, Me dit-il en se rhabillant.
- Moi aussi. Je trouve que nôtre voyage de noces commence plutôt bien.
- Je t'aime toi....dit-il en sortant.
Quelques secondes plus tard je rejoints Karl à notre place. L'ensemble des passagers est endormis, l'appareil est toujours aussi calme. Mais mon regard croise celui du jeune homme, qui m’adresse un sourire coquin, plaçant son pouce entre son index et son majeur, signe vulgaire, d’enfiler, faisant comprendre qu’il savait que je venais de me faire baiser dans les toilettes.
J'explique à Karl qu'on s'est fait remarquer par nôtre jeune voisin. Il sourit, mais ne s'en inquiètes pas.. Il consulte son portable, il nous reste quatre heures de vol. à tuer.
Mon mari me demande de reprendre ma place initiale sous la couverture. Le salaud, il a sorti sa queue, elle est toujours aussi raide, encore humide. Je la prend en bouche.
« A le coquin, il veut jouer...on va jouer »
Ce qui va suivre, est indigne d’une femme mariée, mais la tentation est trop forte. Sans bruit, je fais glisser la couverture, mettant à jour la queue de Karl, dans ma bouche.
A l’insu de mon mari, la plus part de la fellation se passe, hors couverture.Tout en le suçant, je me tourne vers nôtre voisin, l’invite à regarder ma langue s’enrouler autour du gland de mon mari.
Mes va et vient sont doux, tout comme mes caresses sur ses couilles. Je sens la bite de Karl vibrer dans ma bouche. D’un clin d’œil, je fais comprendre à mon séduisant voisin, que mon mari va venir, de ne rien perdre de ce qu’il va se passer. Je tiens la queue de mon mari dans la main, à deux ou trois centimètres de mes lèvres. Je le sens qui se cambre...ça y est. Je veux que nôtre voisin de vol, voit la première giclée. La voila. Rapidement, j’aspire la bite avec mes lèvres, et l’emprisonne dans ma bouche. Elle en ressort toute baveuse, luisante de salive et de sperme. Je la nettoie délicatement avec ma langue et le range sous la couverture.
Je me tourne vers mon séduisant voisin, ouvre la bouche pour lui montrer la semence de mon mari stockée sur ma langue. Gourmande, j’avale tout.
Mon voisin, tout excité par la scène, tend le majeur de sa main, me fait comprendre qu’il aimerait subir le même traitement. Je me penche, suce le doigt ainsi tendu….Je m’appelle Luigi, souffle-t-il.
J’éclate de rire, et me love contre mon mari, pour le reste du trajet.
Nous voila enfin arrivés. Il est presque sept heures du matin.
Dans le hall de l’aéroport, je fais un clin d’œil, et un signe de la main, à nôtre jeune et beau voisin de vol, tout en lui souriant. Il me rendit son sourire, puis disparut dans la foule des passagers. Je ne le revis plus. Puis, avec mon mari, rejoignons l’hôtel.
Notre chambre est somptueuse. Une vaste pièce décorée avec goût, baignée de soleil. Le lit trône au centre, entourés de baldaquins blancs en tissus. Les draps sont doux et les oreillers moelleux. A droite se trouve la salle de bain avec douche italienne, une baignoire immense et un miroir occupant tout un pan de mur où se reflète le lit.
Une grande baie vitrée donne accès sur une piscine privée, ombragée par endroits grâce à de grands palmiers. Nous prenons une bonne douche.
Le soleil se couche sur la Thaïlande, mais avec le décalage horaire, nous avons envie de nous coucher. Nous décidons de commander à dîner. Quelques minutes plus tard nôtre repas nous est servi sur la terrasse de notre chambre.
Les plats sont délicieux, le vin fait briller les yeux de mon mari, et rosir mes joues. Après le dessert, je me lève et dénoues mon peignoir qui glisse le long de mon corps pour venir tomber au sol. Je suis nue devant Karl. Il m'observe sagement assis dans son fauteuil. L'air est encore très chaud et ce malgré l'heure tardive.
- Tu penses pouvoir baiser ce magnifique corps, cette nuit mon chéri ?
- Hum...coquine...oui, toute la nuit...je vais te manger...t’épuiser...
Je me tourne et plonge alors dans la piscine. L'eau est rafraîchissante, c'est un délice de se baigner nue sous les étoiles. Je fais quelques longueurs, puis ressort. Karl m’attend pour m’essuyer, me prodiguait quelques caresses, dont lui seul à le secret.
On serait allé plus loin, s’il n’y avait pas ce foutu repas dansant, organisé par la direction de l’hôtel. Pour l’occasion, j’enfile une longue robe noire, fendue sur le côté, qui découvre gracieusement le haut de ma cuisse. Une paire d’escarpins min-haut, et voila.
A oui, pas de soutien gorge, simplement un string rouge.
La soirée se déroule dans une ambiance feutrée.
Je sens les regards se poser sur moi, et les premiers cavaliers se présentent pour m’inviter à danser. Karl étant un piètre danseur, il n’oppose aucun refus.
- Je t’attends au casino, me dit-il.
Au bout de quatre ou cinq slows, avec des partenaires différend, dont certain osaient glisser leur main à des endroits précis de mon sublime corps, et s’approchaient donc dangereusement de ma chatte, je rejoignais Karl à la table de jeux.
Je fus surprise de voir la pile de jeton entassée devant lui. Jugeant qu’il avait assez gagné, il se retira, et invita quelques nouvelles connaissances de jeux, au bar. J’étais fière de lui.
Mais petit à petit, les gains disparaissaient dans les bouteilles de champagne. Pire, il devint distant avec moi, m’ignorait. Je compris alors que nôtre première nuit de lune de miel, n’allait pas être celle que j’espérais.
Je laissais Karl au bar, et déçue, me dirigeais vers la salle de la piscine de l’hôtel.
Seule une partie du bassin était éclairée, l’autre partie était plongé dans la pénombre. D’un geste sensuel, j’ôtais mes escarpins, et fis glisser ma longue robe de soirée. Ce serait ridicule de garder un string. Il rejoint ma robe sur les margelles, et me retrouve de ce fait, entièrement nue.
Lentement, je me laisse glisser dans l’eau, jusqu’au cou. Je ferme les yeux, je suis bien.
Il me semble deviner une silhouette dans la partie mal éclairée du bassin.
« Ce coquin de mari a laissé ses potes, et veut me faire une surprise ».Pense ai-je.
J’en profite pour me hisser hors de l’eau, afin que mes seins soit hors de la ligne d’eau.
Soudain, la partie sombre du bassin s’éclaira. Le fort éclairage des projecteurs sous-marin, rendirent d’un coup l’eau transparente. Ceci permit de mettre à jour, la silhouette que je croyais être celle de mon mari, mais ce n’était pas lui.
C’était celle de nôtre beau et séduisant voisin de vol, accoudé aux margelles de la piscine, entièrement nu, et qui me fixait du regard. Par pudeur, je glissais dans l’eau, pour cacher mes superbes seins, à sa vue. Puis, curieuse, je baissais les yeux, et vis pointer d’entre ses jambes, une queue assez imposante, plus que celle de Karl en tous cas.
Il me souriait, et je me surpris à répondre à son sourire. Je pensais alors à ma lune de miel, ou mon mari m’avait fait la promesse de me baiser toute la nuit.
Mais il n’était plus opérationnel pour satisfaire une jeune épouse, et il avait dû m’oublier.
Je ne pouvais retirer mon regard de cette bite qui me narguais, et qui m’invitait à aller m’y empaler dessus. Mais j’étais mariée à présent, et tenais à rester fidèle, malgré ma déception.
Malgré tout, je fis mine de m’y approcher, quand soudain, Luigi, je me souviens de son prénom, plongea sous l’eau. La piscine est assez profonde. Je le vois passez sous moi. Il nage, vite, trop vite. Je plonge à mon tour, puis remonte à la surface. Je t'ai perdu de vue...mais ou est-il...
Soudain, je sens quelque chose glisser le long de ma jambe remontant à l'intérieur de mes cuisses. Je reconnaîtrais cette douce petite chose entre mille...c'est une langue.
Elle remonte rapidement, passe habilement entre les lèvres de ma chatte, frôlant ainsi mon clitoris. Je sens Luigi glisser contre moi en remontant la tête hors de l'eau. Je tente de l'attraper par les épaules mais il est déjà reparti en nageant à l'autre extrémité de la piscine.
Le revoilà sous l'eau, nageant vers moi. J'admire ce corps svelte, ses belles fesses brillantes sous la clarté des projecteurs. Il me contournes, je sens une de ses mains glisser entre mes fesses, frôler mon intimité. Il revient à la surface.
- Hum...quel joli petit cul...
- A quoi vous jouez ? Venez ici...
- Non, non... attrapez moi si vous pouvez, me répond-il les yeux pleins de malice.
Et le voilà de nouveau sous l'eau à me tourner autour, me touchant à chaque fois, une partie différentes de mon corps. Parfois avec sa main, parfois avec ta langue. Ce petit jeu m'excite mais me frustre car je n'arrive pas à te toucher. La vue de son corps nu et glissant sous l'eau, m’est inaccessible, m'énerve et m’excite à même temps.
Rapidement ma chatte se met à mouiller, mais par autre chose que l'eau de la piscine.
Je suis collée à la paroi, quand soudain, je sens des mains me saisir la jointure des genoux, et les soulever.
J’ai les genoux au niveau de la ligne d’eau, les jambes entièrement écartées. Je sens sa langue pointue lécher ma fente, puis pénétrer ma chatte. Je me débats, réalisant soudain que j’étais une jeune épouse en voyage de noces, et n’avais aucune envie de me donner à un autre homme que mon mari. Je perdis toutes résistances quand il sortit de l’eau, et me prit tendrement les lèvres. Je sentais sa queue à l’entrée de ma chatte, puis glisser lentement en moi. Je poussais un souffle de plaisir, et mis mes bras autour de son cou. Les coups de queues, jusque là tout en douceur, montèrent en puissance. Le rythme de ses reins augmentaient, mes gémissement de plaisir aussi, pour atteindre un exceptionnel orgasme. Luigi se retira, posa ses mains sur les margelles, et se souleva à la force des bras. J’avais alors son énorme calibre à portée de lèvres. Je les écartais et le pris en bouche. A peine absorbée, qu’il envoyait une incroyable giclée de sperme au fond de ma gorge. Il se retira, pris sa position initiale, et enfila profondément sa queue dans ma chatte. Ces sous ses puissant coups de reins, que j’atteignis le deuxième orgasme.
Puis ses mains parcoururent mon corps, mes seins, ma chatte, mon petit trou, tandis que je tenais sa bite en main. Comme pour se reposer, il fit la planche, la queue dressée au plafond. Il resta un instant immobile, flottant tranquillement. Je pars après lui, voulant prendre cette en bouche. Je veux de son sperme, l’avaler jusqu’à la dernière gouttes. Mai il parvient à se défiler,
Le regard plein de défi je commence à me caresser un sein , mes bourgeons sont déjà bien tendus grâce à ses mains baladeuses, pendant ces jeux aquatiques.
Puis mes doigts glissent à l'intérieur de mes cuisses, remontent sur ma chatte. Je me caresse lentement devant lui, titillant mon petit bouton ou introduisant un ou deux doigts en moi.
Je continue de ma caresser en basculant la tête en arrière en fermant les yeux.
Je sursaute lorsque je sens tes mains se cramponner à mes fesses. Il a profité de mon inattention pour traverser le bassin.
Aussitôt, sa langue se colle à mon sexe et entreprends de le lécher avec fougue. Ses doigts se mêlent aussi en faisant des allers retour entre ma chatte, et mon petit trou.
Un orgasme puissant fait vibrer mon bassin pendant qu’il continues d’aspirer doucement mon clito pour accompagner mon plaisir.
Puis je me laisse glisser dans l'eau, face à lui. Instantanément son énorme bite entre en moi. Il me tient par la taille et me fais glisser jusqu'aux quelques marches se trouvant proches de nous. Il se retire, et m'invite à me tourner. Je suis maintenant dos à lui, les genoux posés sur une marche, les mains, elles, posées sur trois marches plus haut. Nos corps sont à moitié dans l'eau. Il observes la cambrure de mes reins, palpe généreusement mes fesses, les écartes et glisses un doigt dans ma chatte, encore glissante. Plusieurs fois, il prélève un peu de mon liquide pour venir l'étaler sur mon petit trou, y introduisant un doigt lentement, délicatement. Je me détends, prête à lui offrir ce qu’il veut. Un doigt puis deux, j'aime sentir son regard sur le délicieux travail qu’il entreprit. Un dernier aller retour et je le sens se rapprocher de moi. Il saisit sa queue gonflée de plaisir, et l'introduis délicatement à la place de ses doigts. Au début, il ne me pénètre pas totalement. Il rentre, sort, rentre, sort lentement. Afin de rester détendue et offerte je caresse mon clitoris. Je sens ses mains tenant fermement mes hanches. Ce doux balancement m'excite de plus en plus.
- Prends-moi plus fort, suppliais-je...
Aussitôt il s'exécute comme s’il n'attendais que ces paroles. Je l'entends gémir de plaisir ce qui décuple mon excitation. En mâle dominant, il introduis deux doigts dans ma chatte. La découverte de cette double pénétration fait monter en moi un orgasme très intense, aussitôt rejoins par le sien. Je sens son souffle dans mon dos, tandis qu’il jouit en moi. Il se retire délicatement et m'attires contre lui au milieu de la piscine.
- Veux-tu finir la nuit dans ma chambre...c’est la vingt huit.
- Je te promets rien, je dois passer à ma chambre voir mon mari.
On se donne un tendre baiser, et nous séparons.
Arrivée dans la chambre, je trouve mon mari tout habillé, allongé en travers du lit. Les ronflement ne font aucun doute, il a pris une cuite, et il va dormir jusqu’au matin.
J’enfile une courte robe, sans rien dessous, et dix minutes plus tard, je frappe à la porte de la chambre vingt huit. Je trouve Luigi allongé sur le lit, entièrement nue.
J’ôte ma robe et le rejoins, bien décidée à passer une bonne nuit de lune de miel, même si ce n’est pas avec celui qui devait me l’offrir.
On s’enlace, s’embrasse, parcourons nos corps à la découverte de nouvelles sensations. Ses caresses font rapidement mouillé ma chatte déjà bien humide. Je bascule la tête en arrière, fermant les yeux, laissant son énorme queue enfiler ma chatte.
Cette nuit là, elle ne va pas être la seule à se faire baiser. Mon petit trou et ma bouche ne vont pas être épargnés, pour mon plus grand plaisir.
C’est sous la douche que j’atteins mon huitième orgasme de la nuit.
Une semaine plus tard, nous prenions le trajet de retour, avec les mêmes passagers, aux mêmes places.
Je me penche sur mon mari, pour avoir accès au hublot, et regarde le coucher de soleil sur Bangkok. J’espère que ce geste a fait remonter très haut ma robe sur mes jambes, et ainsi dévoiler la naissance de ma chatte, dont j’ai omis de protéger d’une culotte.
Après une collation distribuer par hôtesse, je m'assoupis sur l’épaule de mon mari.
J'ouvre doucement les yeux, je suis allongée sur le côté, recouverte d'une couverture, la tête posée sur les cuisses de Karl. Je regarde à droite, croise le regard de mon jeune voisin. D’un geste habile, j’extrais la queue en érection de mon mari, et n’hésite pas à l’exhiber hors de couverture. Par ce geste, je veux faire comprendre à Luigi, que nôtre relation, certes intense, n’était qu’une aventure sans lendemain.
Pour enfoncer d’avantage le clou, je prends la bite de Karl en bouche, et entame une lente fellation, sous les yeux exorbités de mon amant d’une nuit. Il doit voir la queue de mon mari s’agiter dans ma bouche, et ne fut pas surpris quand je l’ouvris pour lui montrer son sperme tapisser ma langue. Il le fut encore moins, quand j’avalais tout en bloc.
Je sentis une pointe de jalousie dans son regard.
Je lui fis un clin d’œil, remis la couverture en place, et m’endormis blottie dans les bras de mon mari chéri.

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Commentaires du récit : Les turbulences d'une lune de miel

Le 29/03/2023 - 18:03 par OlgaT
La suite promet d'être torride!

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