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Les vieux démons

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Lue : 4481 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 02/01/2018

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Je m'appelle Estelle, j'ai 32 ans et je suis marié à un homme charmant depuis 6 ans. Nous avons eu 2 beaux enfants et je suis femme au foyer. Mon mari a une bonne situation et après l'arrivée de notre deuxième enfant, nous avions décidé à l'époque que je m'occuperais d'eux et de la maison. J'avais pourtant fait des études de commerce mais n'ayant jamais été épanouie au travail, cette solution m'a ravi !

J'ai rencontré mon mari deux ans après la fin de mes études. Il m'a séduit par son assurance et les choses se sont faites très vite entre nous. Un an après notre rencontre, je tombais enceinte et je l'épousais. Il m'a apporté la stabilité et la sécurité que je recherchais à l'époque. En froid avec ma famille depuis mes 18 ans, j'avais eu des études chaotiques, jonglant entre celles-ci et des petits boulots. A l'époque j'avais un petit copain dont j'étais éperdument amoureuse et qui exerçait sur moi une très forte influence. Nous avions une relation fusionnelle mais toxique et j'avais eu beaucoup de mal à le quitter. Il était comme un maître pour moi et j'étais complètement soumise à tous ses désirs. J'ai eu du coup quelques années ou j'ai vécu des choses que peu de jeunes femmes vivent. Marc, c'est son nom, se servait de moi pour assouvir ses fantasmes même les plus pervers. Je suis ainsi passé dans les bras de ses amis, j'ai servi de monnaie d'échange pour ses combines, bref, j'étais sa pute soumise.
Je le faisais les yeux fermés, mon amour pour lui n'avait pas de limite et je ne voulais pas le perdre.
Ce qui me fit tout plaquer ce fut un jour, alors que nous étions à une soirée et qu'une fois encore, je me faisais sauter devant ses yeux par deux de ses potes, une fille était venue se coller à lui. La façon dont il l'avait embrassé m'avait rendu folle et surtout quelques instants plus tard, il avait disparu avec elle. Quelques heures plus tard, alors que je le cherchais dans toute la maison, je les avais trouvé dormant dans les bras l'un de l'autre. Je couchais avec ses amis car je savais qu'il aimait cela et que cela l'excitait mais jamais je lui avais demandé de me faire subir la même chose.

Ce jour là, j'ai pris mes affaires et je suis parti, changeant de ville et de vie. J'ai mis plusieurs mois à me remettre de cette séparation. Installée à Lyon, c'est là que j'ai rencontré l'homme qui est devenu mon mari et le père de mes enfants. Bien entendu, jamais je ne lui ai parlé de mon passé et depuis le début de notre relation, j'ai tout fait pour lui montrer que j'étais quelqu'un de bien, cachant finalement mon tempérament sexuel et mes expériences passés, allant même jusqu'à lui refusé ce qui était parfois mon quotidien avant.

Un jour, alors que je venais de déposer les enfants à l'école et que j'étais dans un supermarché de la banlieue lyonnaise, une voix familière m'interpella.

- Estelle?? c'est bien toi ??

Je me retournais et tombais nez à nez avec Marc. Il me regardait avec un air surpris. Je n'en croyais pas mes yeux. Quelle coïncidence de le rencontrer ici à plusieurs centaines de kilomètres de là où je l'avais quitté.

- incroyable, Estelle... mais que fais tu là?? c'est dingue de te revoir !!

Je ne savais pas quoi dire et je le laissais me faire la bise, complètement tétanisée et choquée par cette rencontre.

Il commença à me poser un tas de questions tandis que je répondais de façon très laconique, continuant à faire mes achats. Mon coeur s'emballait et je n'arrivais pas à le contrôler, je le sentais taper dans mes tempes.

Il me proposa d'aller boire un verre pour discuter. J'aurais dû refuser mais quelques instants plus tard, on se retrouva dans un café non loin de là. Il m'avait aidé à charger ma voiture et j'étais désormais assise face à lui. Il n'avait pas ou peu changer et il dégageait toujours autant de présence et d'assurance. Il me complimenta, me disant que je m'étais embellie. Il me posa beaucoup de questions sur ma vie actuelle mais ne revint pas sur ma disparition d'il y a quelques années.
De son côté, il habitait sur Lyon depuis deux ans. Il était célibataire. Il avait enchaîné les relations mais aucune ne m'était, d'après ses dires, arrivée à la cheville. Je ne fis aucun commentaire, le laissant dire.

Je voyais l'heure qui tournait et je lui dis que je devais y aller, je devais récupérer les enfants à l'école. Il me demanda que l'on se revoit, qu'il aimerait beaucoup reprendre un verre ou manger un morceau. Il me tendit un papier avec son numéro. Il était pour moi hors de question que je le revois et je fourrais nonchalamment le papier au fond de ma poche. Je le quittais précipitamment.

Cette rencontre me perturba énormément tout le reste de la semaine, de vieux souvenirs resurgirent. Un matin en revenant de l'école, je pris mes clés dans ma veste et en sortis en même temps le papier avec son numéro. Je le regardais, de nouveau troublée et je le posais négligemment sur le plan de travail de la cuisine. Alors que je vaquais à mes tâches ménagères, je jetais régulièrement un oeil sur le papier, tiraillée entre l'envie de le jeter et celle de l'appeler.
Finalement, ce n'est qu'au milieu de l'après-midi, que assise sur le canapé, tenant fébrilement le papier entre mes doigts, je composais son numéro.
Il répondit après plusieurs sonneries, alors que j'allais raccrocher.

- Oui allo ?
- Marc ?
- oui... Estelle... c'est toi?
- euh oui...
- ça me fait plaisir que tu m'appelles, je pensais justement à toi !
- ah bon?...
- oui... je suis chez moi et je rangeais quelques affaires et figures toi que je suis tombé sur des photos de nous...
- ah bon tu en as gardé ?
- tu rigoles, j'ai tout gardé !! ça te dirait de venir les voir ?
- euh non... je ne sais pas...

J'étais gênée et je me demandais soudain pourquoi je l'avais appelé.

- je vais te laisser, je voulais juste... euh te saluer...
- c'est trop bête, raccroches pas, on peut aller se manger un petit morceau si tu veux... ça serait sympa...
- non je ne crois pas que ce soit une bonne idée...
- allez je t'invite... dis oui, ça me ferait super plaisir...

Comme par le passé, je n'arrivais pas à lui dire non et le lendemain, je le retrouvais dans un petit restaurant du centre de Lyon. Il était déjà là et fit un large sourire en me voyant. Il me complimenta pour ma tenue. En m'habillant ce matin là, j'avais voulu me faire belle sans arrière pensée mais avec tout de même l'envie qu'il se morde les doigts de m'avoir fait partir. Perchée sur des talons, les jambes et les fesses moulées dans un jean avec un petit haut décolleté, je fis tourner pas mal de tête en entrant dans le restaurant.

Durant tout le repas, il n'arrêta pas de me faire des compliments, tentant de me séduire. Sous la table, ses jambes effleuraient les miennes. Après une bouteille de vin, je me décontractais et étais même un peu euphorique. Les discussions devinrent plus légères et mes yeux plongeait de plus en plus souvent dans les siens. Deux petites voix se bousculaient dans ma tête, la raisonnable qui repoussait tout idée de me jeter dans ses bras, et une autre qui me poussait à franchir le pas.

Le repas terminé, on marcha un peu en ville continuant de discuter et retrouvant petit à petit la complicité d'avant. J'étais très troublée d'être à ses côtés.

- alors on va les voir ces photos me demanda-t-il

Ma curiosité me fit le suivre jusque chez lui. Il habitait un très bel appartement en plein coeur de Lyon, à quelques rues seulement de l'endroit où nous avions déjeuné. Il me proposa de m'asseoir sur le canapé tandis qu'il revenait avec son pc.

Il s'installa à côté de moi et cliqua sur un dossier portant mon nom. Je reconnus rapidement les photos et les souvenirs resurgirent. C'était incroyable qu'il ait gardé tout cela. Je reconnu des amis communs, des événements auxquels nous avions participé, c'était super sympa de revoir tout cela. L'ambiance était bon enfant et chaleureuse. Il avait posé son pc sur ses genoux et j'étais collé à lui. La proximité de son corps me troublait énormément et je me collais un peu plus à lui, sentant la chaleur de son corps.

Il y avait un nombre incroyable de photos et je me souvins qu'il en avait pris certains de moi beaucoup plus intimes. Je m'inquiétais de savoir s'il les avait également conservées. Il fermait la fenêtre active et ouvrit un autre dossier. Je vis immédiatement les dizaines de photos où j'apparaissais nue dans ses bras, sur un lit ou sur un canapé. A l'époque j'adorais poser pour lui, et il aimait prendre des photos ou nous filmer pendant nos ébats. Je fus soudain horrifié de savoir qu'il avait conserver tout cela.

Il me rassura immédiatement, me disant qu'il n'avait jamais montré tout cela à quiconque mais m'avoua que de temps en temps, il prenait plaisir à les revoir.

Il cliqua sur quelques images au hasard, faisant apparaître sur l'écran des photos de moi en petite tenue, puis entièrement nue. A un moment il cliqua sur une photo en gros plan de moi, tenant son sexe entre mes lèvres. je rougis immédiatement et me levais brutalement.
Il fallait que je parte, je sentais que la situation pouvait déraper et je devais me ressaisir.

Il se leva et tenta de me retenir. J'allais ouvrir la porte d'entrée lorsqu'il se plaqua contre moi, repoussant délicatement la porte. Je sentais sa respiration derrière moi. Mon sang bouillait dans mes veines. Je me retournais. Nos lèvres se soudèrent et ma langue s'enroula autour de la sienne.

Notre étreinte fut passionnée, je ne contrôlais plus mes gestes, j'avais tellement envie de lui.

En quelques instants nous nous retrouvâmes nus sur son lit. Son corps musclé contre le mien, je retrouvais l'odeur de sa peau, la texture si particulière qui me faisait frissonner rien que le toucher. Mes mains se saisirent de son sexe, ce membre surdimensionné dont la nature l'avait gratifié, ce sexe énorme qui m'avait tant fait jouir. Je me jetais littéralement dessus et le suçait, le dévorant comme si j'étais possédée. Sa voix chaude m'encourageait, sa main s'agrippant à mes cheveux.
Il se retira subitement et me poussa sur le lit, se couchant sur moi. Sa queue m'écarta les chaires et il se mit à me baiser avec brutalité et sensualité.
J'ai joui très vite sous ses coups de reins délicieux. Il était brutal et viril et j'hurlais mon plaisir sans retenue.
Il me retourna et m'écrasa une nouvelle fois de tout son corps. Son gland poussa contre mon petit trou et s'y enfonça progressivement. Il était le dernier homme à m'avoir sodomisé, j'avais toujours refusé cette pratique à mon mari, de peur qu'il ait une mauvaise opinion de moi. Marc y avait droit, c'est lui qui m'avait fait découvrir cette pratique et qui me l'avait faite aimer.
Il m'encula avec la même force, me tenant fermement par les hanches et s'écrasant à chaque aller retour sur mes fesses. Il se figea soudain et je le sentis exploser au fond de mes fesses, les palpitations de son membre se ressentant dans tout mon corps.

On mit un long moment à retrouver nos esprits. Honteuse de ma conduite, je m'enfermais dans la salle de bain, me nettoyant et me rhabillant rapidement avant de quitter en courant son appartement.

Les jours qui suivirent je me posais beaucoup de questions et puis le désir et l'envie furent trop forts et je recontactais Marc. De nouveau je le retrouvais chez lui pour une après-midi de baise intense. Jamais un homme ne m'a donné autant de plaisir et lorsque j'étais en sa présence, je n'avais qu'une envie, c'était qu'il me baise, je n'avais pas envie de discuter, pas envie de partager autre chose avec lui, juste l'envie de me faire sauter comme une chienne en chaleur.

Rapidement, je ressentie le besoin de le voir 2 à 3 fois par semaine. Dès que je franchissais la porte de son appartement, je lui sautais dessus, parfois nous n'avions même pas le temps de rejoindre le salon ou la chambre et il me baisait contre le mur de l'entrée ou sur le carrelage de la cuisine.

A la maison je restais la femme au foyer et mère de famille modèle, mon mari avait droit à son câlin hebdomadaire. Le pauvre, s'il savait que la veille ou le jour même, Marc m'avait défoncé le cul avec sa grosse bite. Je simulais avec lui pour son plus grand plaisir et lorsque je sentais son sexe, tout à fait normal mais tellement moins gros que celui de mon amant, qui entrait en moi, je repensais aux coups de reins de Marc entre mes cuisses.

Depuis trois mois, Marc et moi nous voyons désormais régulièrement. J'avais prétexté une inscription à une association caritative pour justifier mes absences fréquentes à mon mari. Un jour, où je n'avais pas prévenu Marc de ma venue, je frappais chez lui et lorsqu'il vint m'ouvrir je le découvris torse nu, une serviette enroulée autour de la taille. Une voix féminine lui demandant de se dépêcher et provenant de la chambre ne me laissa aucun doute sur ce qu'il était entrain de faire. Je partis furieuse et dégoûtée. J'étais effondrée. Il avait une autre femme dans sa vie et malgré le fait que je ne me vois pas vivre avec lui, j'étais jalouse.

Il tenta de me recontacter mais je décidais cette fois de ne plus jamais le revoir. Je m'en voulais d'avoir eu la faiblesse d'être retombée dans ses bras et je repris ma vie tranquille d'avant.

Pourtant après quelques semaines, et alors que mon mari me faisait tendrement l'amour, je me rendis compte que mon corps réclamait plus, que je voulais être traité comme une salope, que le sexe de Marc me manquait. Je ne voulais pas le revoir, il m'avait fait trop souffrir mais j'avais besoin de sentir les mains d'un homme plus viril sur moi. Mon corps réclamait un plaisir que mon mari ne me donnerait jamais.

En quelques jours cela devint une évidence et un réel besoin. Si bien que cela devint une obsession et je me surprenais de plus en plus souvent à regarder les hommes dans la rue ou dans les magasins et à m'imaginer avec eux dans une chambre d'hôtel, dans une arrière boutique ou à l'arrière d'une voiture entrain de me faire baiser. La morale m'empêchait de passer à l'acte mais mon corps réclamait de plus en plus ce plaisir charnel.

Le pas fut franchi un après-midi. J'étais dans un grand magasin. J'avais croisé le vigile en arrivant et lui avait fait un grand sourire. Alors que je cherchais des collants dan un rayon, je le recroisais et tout naturellement lui fit de nouveau un grand sourire. Cela dut l'interpeller car il resta à proximité, surveillant ce que je faisais. Il dut craindre que je lui fasse des sourires par devant et que je pique quelque chose par derrière... bref, je continuais mes recherches, ne pouvant m'empêcher de regarder régulièrement dans sa direction. C'était un grand black qui devait passer du temps à la salle de sport vu sa carrure impressionnante. Dans ma tête je pensais à la réputation des hommes de couleurs et l'effet sur mon entrejambe fut immédiat.

Je continuais ma recherche mais mon corps réclamait de plus en plus la virilité d'un homme. Je restais dans le rayon et m'attardais du coup sur des dessous plus sexy, continuant de jeter un oeil régulièrement au vigile qui suivait discrètement ce que je faisais.

Je l'interpellais. Il s'avança vers moi intrigué.

- Qu'est ce que vous pensez de ça lui demandai-je en lui montrant une guêpière très sexy.

Il bafouilla surpris par ma question.

- si je l'essaie, vous pourrez me dire ce que vous en pensez ?

Je me surprenais moi-même de mon culot mais mon corps était en feu et j'imaginais les mains larges de l'homme sur moi.

Il me suivit timidement vers les cabines d'essayages. Ma culotte était trempée d'excitation alors que je me déshabillais à quelques pas de lui. J'enfilais le sous-vêtement et passant ma tête sur le côté du rideau, je l'interpellais. Il s'approcha et écarquilla les yeux en me découvrant dans cette tenue.

- ça me va ? demandais je l'air ingénue.
- euh... oui... oui vous êtes très belle...

Il retira sa tête et regarda à droite et à gauche. Le magasin était relativement calme et il replongea immédiatement la tête à l'intérieur de la cabine. Je m'étais reculée un peu, lui permettant de mieux me voir. Je le laissais me contempler. Je voyais son regard brillant. Il regarda de nouveau à l'extérieur et tira soudain le rideau, pénétrant dans l'espace réduit. Je me retrouvais à quelques centimètres de lui, dos au mur. Il se jeta sur mes seins et les embrassa avec fougue et passion, les faisant jaillir de la guêpière. Ses mains larges agrippèrent mes fesses et il me pressa contre lui. Sa bouche se posa sur la mienne et il m'embrassa très sensuellement. Je ne restais pas inactive et dégrafais son pantalon, extirpant un sexe gonflé. Je constatais immédiatement que la réputation des africains n'était pas usurpée et je tenais entre mes doigts un membre long et gros qui ne cessait de grossir. Je me mis à genoux devant lui et me mis à le sucer, glissant une de mes mains entre mes cuisses et me caressant en même temps.

Il posa sa main sur ma tête et me bloqua puis se mit à donner de petits coups de reins. Il me baisait la bouche et c'était très excitant de me sentir comme un objet entre ses mains. Il me releva soudain et me fit pivoter sur moi-même. Il écarta la guêpière et je sentis son gland se frotter à mon entrejambe. Je me cambrais davantage, prenant appuis sur la cloison. Sa pénétration fut brutale et il s'enfonça en moi jusqu'à la garde, laissant échapper comme une sorte de grognement.

Il me baisa vite et bien et eut la délicatesse de me sentir jouir avant de se répandre sur mes fesses. Je sentis sa semence épaisse et chaude couler sur mes cuisses puis tomber au sol, souillant le dessous tout neuf.

Il rangea rapidement son engin et s'éclipsa, me laissant reprendre mes esprits et tenter de me nettoyer.

En sortant à mon tour, je lui tendis le vêtement avec un grand sourire et quittais les lieux sans achat !

Cette nouvelle expérience me transforma. Je décidais de laisser désormais libre cours à mes pulsions... dans une prochaine histoire, je conterais la suite...
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Histoire de LN78

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Commentaires du récit : Les vieux démons

Le 03/02/2018 - 15:43 par gailuron69
Bonjour. Des histoires toujours aussi attrayantes. SVP écrivez CHAIRS et non chaires (c'est bon pour les profs ou les curés .... mais pas pour celles qui s'écartent ainsi !)

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