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Liposuccion 8

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Lue : 696 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 24/10/2013

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Fantasme féminin ; l’amour dans les toilettes de l’avion.

Julie essuie la transpiration d’après l’amour. Elle va à la salle de bain, revient et s’allonge à côté de moi.
-Oh : mon chéri, tu as été remarquable. Tu me fais jouir de plus en plus fort. C’est si bon avec toi.

Et avec les autres ?
-Vilain idiot. Il n’y a personne d’autre. Comment fais-tu ? Dans cinq jours tu vas me manquer. Je n’aurais pas dû m’engager sans toi. La séparation va me peser. Et pendant un mois environ nous devrons nous abstenir d’efforts musculaires. Victoire ne saura pas te remplacer au loin.

Elle maintient la fiction de la cousine attachée à son service pendant son voyage. Elle est seule à croire à son histoire. Elle me prend pour un con aveugle. Elle apprendra à ses dépens que j’ai mes renseignements à la source… Mais André pourra au moins « dépanner», lui, le véritable accompagnateur, mieux outillé que Victoire pour tenir officiellement le rôle de gardien et officieusement celui du mari exclu de l’affaire. Il dépannera pendant le vol, il réparera ou suppléera le mari durant la première nuit à l’hôtel avant l’intervention. Elle lui a laissé entendre qu’elle le récompenserait et se rendrait une fois embarqués sans possibilité de retrait. Promesse conforme aux vœux du jeune athlète. Etait-ce une simple ruse, la carotte pour emporter la décision ou une intention de réaliser un rêve. Il sera présent au réveil, il la veillera, se rendra indispensable. Moi, Jean, le mari, par ma faute un peu, mais par décision de Julie surtout.

Je suis condamné à me tourmenter en silence, à me morfondre seul entre nos meuble, à me poser des tas de questions : Quand succombera -telle et se donnera-t-elle à André ? André en fera-t-il ensuite l’une de ses maîtresses parmi d’autres, dressée et soumise. André si opposé au mariage lui proposera-t-il le statut de toutes ses conquêtes, à savoir celui de femme mariée d’un côté avec moi et de maîtresse secrète, comme il me l’a annoncé ? Dans ce cas Julie acceptera-t-elle ce statut indigne ? Enfin ce voyage à deux n’est-il pas le prélude à une union sérieuse, précédée d’un divorce et suivie d’un remariage. Je rumine toutes ces hypothèses, alors que Julie joue encore à l’épouse follement amoureuse de moi. Ce questionnement deviendra torture quand elle vivra sa semaine en Afrique. Et en reviendra-t-elle ?

Attention, je ne suis pas condamné à l’inaction. Je profite donc de la béatitude post coïtum pour suggérer à Julie de célébrer son départ avec des amis. Qu’elle dresse la liste de ceux ou celles qui ont approuvé ou soutenu sa décision. Elle pense à ses collègues de travail au nombre desquelles (quel hasard) se trouvent une Ginette et une Monique honorées par André devant le caméscope, maîtresses adultères persuadées de remplacer un jour leur mari sans surprise au lit par ce garçon si ardent et si inventif quand il les prend, malgré le rappel de son credo : « Je baise mais je n’épouse pas » ou : « Je suis le complément nécessaire pour calmer ton trop plein de chaleurs, n’en demande pas plus ». Julie invitera également Anaïs et Victoire, les courageuses cousines, qui m’ont converti à sa cause. Enfin elle aimerait être entourée des habituées de l’aquagym. Elle semble un peu embarrassée avant de tâter le terrain pour un dernier invité :
-Je dois aussi beaucoup à André le moniteur d’aquagym. Sans ses allusions judicieuses et franches, sans ses remarques sur mes renflements adipeux sur les jambes, derrière les cuisses, et à hauteur de ceinture, je n’aurais pas envisagé de t’offrir un corps refait à neuf. Tu pourras le remercier.
-Comment remercier ton conseiller particulier? Je pourrais lui prêter ma femme pour une nuit ? Tu seras si belle au retour qu’il sera égoïste de te garder pour moi tout seul.
-O, Jean, ne peut-on pas parler sérieusement pour une fois ? Je vais souffrir pour être belle, parce que je veux que tu sois fier d’avoir une belle femme. Laisse tomber tes plaisanteries à deux balles. Est-ce que je pourrais l’inviter ? Sinon tu serais le seul homme au milieu de la basse-cour. Certaines invitées seraient tentées de se lier avec mon mari durant son célibat forcé. Je veux t’éviter ces tentations. Tu es en pleine maturité sexuelle au moment précis où je dois m’absenter ; tu viens encore de me le prouver : rien ne m’est plus cher que ton amour et ta fidélité.

Je devrais lui citer les paroles d’André. Comme moi il juge inutile la liposuccion. Elle n’a pour lui qu’une signification : ce sacrifice accompli par Julie, en soi inutile, a valeur de preuve de soumission à celui qui le recommande. Julie pompée par des canules, c’est une Julie absolument confiante, prête à tout pour le prescripteur, l’acceptation de l’opération est le résultat d’un lavage de cerveau efficace. Après l’opération que pourra-t-elle refuser pour continuer à lui plaire ? La séduire, la coucher dans un lit, la posséder corps et âme deviendra un jeu d’enfant. Mais quel écho aurait ma parole, venue du mari opposé dès le début à un projet si bien engagé, rallié avec un retard qui l’écarte du rôle d’escorteur ? Je tente l’ironie, j’essaie de l’alerter sur le danger d’infidélité :
- Me défends-tu de flirter quand je serai seul ? Je plaisante, ne t’inquiète pas, je suis comme toi de nature fidèle. C’est une garantie mutuelle de sagesse.

Elle doit savoir si elle est « de nature fidèle ». Moi, j’ai des doutes, je souhaite réveiller sa conscience endormie par les partisans de la liposuccion.
- Jean, tu es un mari adorable. Alors j’invite André ? Tu feras sa connaissance. Tu verras, c’est un garçon charmant, un homme digne de confiance. Il saura mettre de l’ambiance dans notre fête. Il sait si bien nous faire rire à la piscine.

Elle tient à la présence du bon vivant à sa fête. Je suis adorable, dit-elle, mais André ne quitte pas ses pensées. Elle ne peut pas m’ignorer, mais c’est à l’autre qu’elle pense. En vantant le jeune homme, elle veut atténuer le choc que je ressentirais si je venais à apprendre qu’une défaillance de Victoire a été compensée par l’engagement de dernière minute d’un homme. En dernière minute ? Je compterais pour du beurre ? En dernière minute, après ma reddition, pourquoi n’aurais pas été préféré ? L’amour rend illogique si elle raisonne ainsi.

Sa proposition d’inviter André m’arrange. Mon plan prévoyait sa participation. Je peux répondre joyeusement :
- C’est une excellente idée. Pour éviter les commérages je lui transmettrai moi-même l’invitation que je rédigerai demain.
-Quels commérages ? Il y aura toujours des calomnies, mais je ne vois pas ce qui prêterait à calomnie dans cette invitation. Je te remercie de rendre les choses bien claires pour tout le monde.
-Je demanderai au pâtissier de nous préparer des plats gourmands couverts de différents petits gâteaux. Tu pourras en profiter exceptionnellement samedi, parce que je suppose que ta liposuccion sera suivie d’un régime plus strict. Maintenant, adonnons-nous aux joies retrouvées du massage.

Oh ! Je vois, ta verge s’allonge. Toi tu as des idées lubriques en tête. J’adore. Masse-moi l’entrejambe, prends un raccourci. Je veux avoir plein de souvenirs à remuer quand je ne pourrai plus faire l’amour. Ma convalescence sera moins pénible. Viens vite, sinon nous aurons du retard au travail. Oui, entre, à fond, pilonne-moi. Fort. Je t’aime.

Le même soir Victoire remet le couvert chez André. Ils viennent de se lancer dans un corps à corps emporté. Le sommier chante, Victoire entoure André de ses longs membres maigres. Le dernier coït avant le départ d’André se veut plus intense, plus complet, plus long à la demande de Victoire rongée par la jalousie. Elle sent la dérive amoureuse d’André en direction de Julie et elle lance un avertissement :
- N’es-tu pas trop attiré par Julie ? Méfie-toi, elle commence à coller à toi. Les allusions perfides fusent à la piscine. Tu cours à la catastrophe, elle va te mettre le grappin dessus et il en sera fini de ta belle liberté. Es-tu amoureux d’elle ? Ne fais pas non ! Attention elle est mariée. Baise-la, mais ne t’engage pas avec elle, tu irais au-devant de complications, avec son mari et avec toutes celles que tu négligerais, moi en tête.
- Comme tu dis, je la baiserai, c’est une forte envie et elle rentrera dans le rang comme toutes les salopes qui trompent leur mari sous les prétextes les plus divers, toi en tête, grande cochonne.

Selon ta chouchoute, Jean pense que c’est moi qui voyagerai avec elle. Mais en acceptant de partir avec elle, tu m’as privée de vacances qui me revenaient. Dans le fond, cette bêcheuse perdra de sa superbe lorsqu’elle sera comme nous, esclave de ses sens, infidèle, soumise à ton bon vouloir

Victoire ne témoignera pas pour moi. C’est bien dommage, à deux nous aurions pu tirer Julie du piège tendu par le renard de la piscine. Tant pis. J’ai déjà en boîte de quoi illustrer leurs ébats. Je quitte ma cachette. Même un bruit du panneau coulissant ne couvrirait pas les exclamations de plaisir des amants en sueur. Ils ne se ménagent pas. André bombarde le sexe de Victoire de violents coups rapides. Certains locataires de l’immeuble doivent tendre les oreilles pour ne rien perdre de cette joute emballée. Les plaintes heureuses de Victoire me font frissonner.

L’enveloppe du titre de transport de mon concurrent trop heureux gît sur le bahut. J’échange le billet contre une copie du billet de Julie. C’est mon plan B, imaginé en cas d’échec du plan A : Deux billets pour la même place d’avion, ça va faire désordre à l’aéroport. De plus la copie est faite sur papier fin. Le contrôleur le constatera au toucher. André devra renoncer à son fantasme de baise volante dans les toilettes et avec un peu de chance moisira dans une cellule de rétention pour fraudeurs. Julie s’arrachera les cheveux, ne comprendra rien, protestera… Le plan A devrait amener André à renoncer à Julie, avant le départ.

André tient un calepin où il note les adresses, numéros de téléphone ou l'e-mail de ses maîtresses. Je le sors de son tiroir. A côté des indications je lis des appréciations sur les prestations charnelles de ces dames. Julie n’y figure pas, je le constate avec bonheur. J’empoche le carnet : c’est du vol ; et prendre ma femme par ruse, n’est-ce pas un vol plus grave. Le combat est engagé, j’utiliserai ses armes pour conserver la femme qui s’est librement unie à moi. Victoire, Anaïs et compagnie seront invitées au pot de départ de Julie. Je peux reprendre mon caméscope et enregistrer la fin des amours adultères de cette maudite cousine avec le détestable séducteur. André n’utilise pas de préservatif, Victoire l’achève entre ses lèvres. Elle suce et dans mon crâne résonne un mot ; liposuccion : aspirer de la graisse, sucer, extraire. Victoire aspire du sperme. J’oublie d’écouter leur conversation. Ils ont consommé, ils se séparent. Je coupe l’enregistrement.

Soudain Victoire se met à parler fort.
-Comment ? Notre dernière fois ? Tu me congédies brutalement. Explique-toi. André tu pousses !
-Nous ne sommes pas mariés. Je suis libre et j’ai décidé de changer de vie. Donc, toi et quelques autres devrez-vous chercher un autre jouet que ma queue pour assouvir vos envies. J’ai la bonté de te prévenir. Les autres constateront.
- Tu veux changer de vie ? C’est nouveau ! Ah !, je comprends, tu convoites Julie. Tu pars avec elle et tu nous balances : A la poubelle les sacs à foutre, monsieur se range. Monsieur emmène sa poule en liposuccion et la sucera.
-Tu y es presque. Julie n’a pas besoin de cette liposuccion. J’ai postulé pour un emploi dans une clinique tunisienne. Mes papiers sont en règle, ma candidature au poste de masseur a été retenue. Une fois sur place, après examen, le chirurgien persuadera Julie d’attendre une aggravation de son état avant de se faire retoucher. Elle restera avec moi.

Est-elle au courant de ton projet ?
-Bien sûr. Elle a construit ce plan pour pouvoir partir en douceur, sans cris et sans pleurs. Avec elle j’ouvre une nouvelle page de ma vie. Calme-toi. Pour toi, j’ai trouvé un type pas mal. Il me remplacera très bien.
-Je n’ai pas besoin de toi pour choisir un amant. Tu ferais bien de réfléchir. Tu n’es pas parti. Je vais aller chez Julie et chez son mari et raconter ce que je sais.
-Ne te gêne pas, j’ai pour Richard l’enregistrement sur DVD de nos parties de troulala. Alors si tu veux dérouiller, va faire ta langue de vipère.
-Salaud, tu ne l’emporteras pas au paradis. Ne t’avise plus de m’appeler.

Victoire partie, André me prend à témoin.
-Jean, cette Victoire aussi maigre soit-elle est un sacré coup. Laisse tomber tes préjugés. Je viens de lui proposer de te prendre pour amant dans mon appartement. Elle va bouder puis elle attendra ta venue, curieuse de rencontrer mon meilleur ami quand je ferai la cour et l’amour à sa cousine Julie. Prends note de son téléphone mobile, elle attendra ton appel et te fixera un premier rendez-vous. C’était ma dernière partie de fesses. Désormais je me repose pour être en forme dans le ciel. Ah ! vivement le septième ciel !

Dis-moi, tu as vraiment l’intention de rester en Tunisie avec ta Julie ? Et c’est elle qui a imaginé ce plan ?
-Non, Je suis le maître d’œuvre. J’ai tout prévu. Dans l’avion je lui ferai vivre son fantasme : un je t’aime dans les toilettes, nous franchirons le pas qui compte… Après elle aura des remords, culpabilisera. Un petit chantage du genre : « Quand ton mari l’apprendra… » suffira à faire tomber ses dernières réticences. Elle sera à moi. J’ai même prévu de lui ouvrir un salon de coiffure. Ca la fera craquer.
-Pourquoi ne pas l’avoir dit à Victoire ?
-On ne sait jamais ce qu’une femme jalouse est capable de faire. Tu as entendu comme je l’ai ramenée à la raison. Tes enregistrements vont servir à me libérer de toutes ces excitées de la culotte. J’ai l’âge de me caser, j’ai découvert la femme qui me convient, je suis fou d’elle, je pars au loin avec elle. Je me suis donné assez de mal pour dégoter un boulot là-bas et pour toutes les réservations.
-Mais n’est-ce pas elle qui t’a remis ton billet ? Je l’ai vue le jour où tu as essayé de la posséder.
-La prochaine fois sera la bonne. Elle m’a servi sans le savoir d’adresse postale. Je lui ai tout soufflé, elle a exécuté comme un bon petit soldat.
-Tu devais me l’offrir après l’avoir baisée. Tu as oublié ?
-J’ai changé d’idée, mais tu vas hériter de toutes les autres si tu veux. Je leur laisserai un mot de recommandation en ta faveur. Il faudra continuer le jogging pour garder ton souffle. Toi aussi tu dois me présenter ta femme. Demain ? Ne crains rien, dimanche Julie et moi décollons.

Cela en dit long sur ses sentiments. J’enrage, je ne le montre pas. Je suis décidé à me battre pour contrecarrer ses vues. J’ai un avantage non négligeable, André ne me connaît pas en qualité d’époux de Julie. Il a une dernière requête :

Pourras-tu me remettre demain tous les DVD des enregistrements. Je pourrais en avoir besoin pour empêcher les poules de caqueter avant mon départ. La menace a cloué le bec à Victoire. Les autres ne seront pas plus vaillantes, mais je préfère prévenir que guérir. Donc avec le DVD je me protège. Je te fais cadeau du dernier. Regarde bien comment il faut s’y prendre pour faire jouir Victoire. Je t’écrirai et si le cœur t’en dit tu pourras venir en vacances chez nous, au soleil de Djerba.

Oh ! Merci. J’en parlerai à ma femme, elle sera ravie de séjourner en Tunisie. A demain.

Je descends l’escalier. Sur le palier du premier étage Victoire me harponne.
-Silence, viens par là. Entre, Richard est à la pêche. J’ai à te parler. D’où sors-tu ? Je t’ai vu arriver il y a plus d’une heure. La dame du dessus est hospitalisée. En face, il y a une rousse qui exerce le plus vieux métier du monde. Ta Julie va être heureuse si elle sait que tu vas aux putes.
- Mais, c’est faux, archi faux !
- Tu ne vas pas chez Mireille, je l’ai interrogée, rassure-toi, je ne t’accuserai pas. Reste une solution, tu étais chez André ? Ce ne serait pas la première fois. De ma fenêtre j’observe les mouvements. Tu arrives généralement un quart d’heure avant sa cocotte du jour et tu repars quelques minutes après elle. Tu participes à des parties à trois ? Julie est venue, tu étais à l’étage, tu l’as déshabillée pour lui. Tu la lui as offerte, tu l’as tenue pendant qu’il la défonçait ou vous l’avez prise à deux ? Non, pas toi, je te connais trop bien. Mais Anaïs et moi ne t’avons pas vu, ma copine Maud non plus. Donc André te cache. Pourquoi ?
-Tu dérailles Victoire.
- Hum ! Je sais ce que je vois. Je crois savoir où André te cache : dans son placard. Tu ne réponds pas ? Donc j’ai deviné. Ecoute : Caché derrière le marronnier du trottoir opposé tu surveilles notre immeuble. Tu suis André lorsqu’il sort. Mais je vous ai aussi vus courir ensemble. Attends, allez, aide-moi. Raconte-moi ce que vous manigancez. Je veux t’aider à garder Julie. Est-ce toi qui filmes depuis le placard, pour lui permettre de nous faire chanter ? Dis, Jean, parle. Il n’est peut-être pas trop tard.

Puis-je lui faire confiance ? Jusqu’à présent elle était contre moi. Evidemment, comme André l’a compris, Victoire est jalouse. Elle est surtout blessée dans son amour propre. Elle n’admet pas d’être larguée. Je m’épanche au risque de tout perdre. C’est ma dernière chance. Elle m’écoute puis explose :
-Est-ce possible ? André ne sait pas que Julie et toi êtes mari et femme ? Et Julie ne sait pas qu’André est ton entraîneur sportif ? Mais toi tu sais tout. Ton rôle n’est pas glorieux, mais tu as sacrément bien navigué en eau trouble. On pourrait prévenir Julie. Sauf si elle est amoureuse de ce sale type. Que faire pour ne pas commettre d’erreur ?

A suivre.
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Histoire de Veilleur

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