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Liposuccion 10

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Lue : 1319 fois - Commentaire(s) : 5 - Histoire postée le 28/10/2013

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Tournoi de baise

-Ma chérie, Victoire et moi nous sommes appliqués à te faire comprendre ce qu’André attend de toi. Nous avons rassemblé ses confidences parfois contradictoires ou divergentes. Que retiens-tu de cette première partie peu festive en réalité ?

-Je suis très surprise. Mais cette réunion des amantes de cet homme me trouble. André séduit avec les mêmes mots, les mêmes promesses. Il se sert de la piscine pour recruter, utilise ses massages pour allumer le feu dans les corps puis conduit à un rapport sexuel et fait chanter celles qu’il a compromises. Avec un peu de recul, le constat est le même en ce qui me concerne. J’étais sur le point de me jeter dans la gueule du loup. Je note une différence, il a prévu un avenir avec moi, ce qu’aucune de vous n’avait obtenu par le passé.

Julie veut-elle tirer avantage de ce projet ? Je croyais la révolter contre ce prétendant indélicat. Au contraire elle se glorifie d’être l’élue unique parmi ce troupeau de femmes qui vont rester au bord du chemin. Je m’indigne :
-André t’a distinguée, cela te flatte. Tu m’accuses de vouloir divorcer pour mieux dégager ta responsabilité dans la décision que tu as déjà prise si je comprends ta dernière phrase. Je regrette de n’avoir pas réussi à te mettre en garde. Je ne te retiendrai pas de force : Tu ne m’aimes plus, comme Victoire l’a démontré tu es amoureuse d’André. Reprends ce billet d’avion, bon vol et adieu.

-Que tu es soupe au lait. Combien de fois devrai-je te le répéter, je t’aime, je n’aime que toi. Vous toutes, m’entendez-vous ? Je n’aime pas André, j’aime Jean, mon mari, le père de notre fils. Si tu veux m’accompagner, garde ce titre de transport, nous partirons à deux. Enfin j’interrogerai le chirurgien et selon son avis il y aura ou il n’y aura pas liposuccion. Une semaine de vacances nous fera le plus grand bien dans les circonstances actuelles.

Victoire ouvre de grands yeux. Elle veut une autre conclusion :
-Hé, les amoureux, revenez sur terre. Qu’allons-nous faire d’André, il va bientôt se pointer. Mes amies, vous connaissez son projet ; il veut nous abandonner. Laisserons-nous sa conduite impunie. Je me sens bafouée, abaissée, humiliée. André nous traite comme du bétail, sans vergogne. Je lui déclare la guerre. Et vous ?
-La guerre, la guerre, la guerre.

-Et toi, cousine Julie ? Tu vas applaudir ce type qui t’a fait filmer en fâcheuse posture. Tu supporteras qu’il ait essayé de briser votre foyer, qu’il ait souhaité te traiter comme une chose et qu’il se soit moqué de ton mari. L’humiliation qu’il veut infliger à Jean ne te met pas en colère ? Comment agit une épouse abusée ? Tu ne peux pas te soumettre à ce vaurien. Tu dois le punir avec nous.

-Oh ! Si ! Mais que faire, vous ne m’avez pas laissé le temps d’y réfléchir

-Contrairement à moi. J’ai un plan. Venez toutes ici, je vous fais un rapide topo.


Voilà André entouré d’Anaïs et de Monique.

-Sébastien, tu y vas. Tu pestes, tu menaces « Julie » et tu t’en vas en tapant des pieds. Bonne pêche

Julie est parfaite en épouse qui pousse son mari hors de sa demeure. Jamais assemblée n’a été aussi chaleureuse dans le salon. On a revêtu les habits, robes ou blouses et jupes. André est reçu à la porte d’entrée par Julie. Notre voisin a pris son rôle à cœur lorsque je lui ai dit que nous voulions faire une farce à un ami. Avant la double bise de rigueur, André se retourne sur le furieux qui l’a bousculé en sortant :

-Qui est ce fou ? Il crie des injures, je crois même qu’il te menace. Qui est-ce ?

-Ah ! Tu ne connais pas mon mari ? Il est lunatique. Il y a deux jours il voulait organiser une grande cérémonie pour notre départ. Aujourd’hui il me reproche d’avoir invité trop d’amies et d’accorder trop d’importance à un événement devenu banal. Il est en pleine crise, il déprime parce que je le quitte quelques jours. Là il part se calmer les nerfs à la pêche. Après il ira au bistrot comme d’habitude. Tant mieux, nous avons du temps devant nous pour nous amuser. Entre au salon.

-Oh ! Comme je te plains de devoir supporter un pareil énergumène. Mais si tu suis mes conseils, tu en seras bientôt délivrée.

-Comment ? Nous sommes mariés, nous avons un fils.

-Fais-moi confiance. Je viens de réaliser qu’il est urgent de m’occuper de toi, mon petit chat. Je te dévoilerai mon plan demain dans l’avion, si tu tiens ta promesse.

André m’aperçoit derrière Julie et se met à rire :

-Jean, que fais-tu là ? Tu es invité ? Tu connais Julie ? Pourquoi ne me l’as-tu pas dit ? Je suis heureux de te trouver ici. Tu fais la fête avec nous, si ! N’est-ce pas Julie, dis oui. Ne t’en va pas.
-
Julie se retourne, me fixe et fait une excellente comédienne.

- Vous vous connaissez ? Suivez-moi. Viens, cher ami, nous n’attendions que toi. Jean, tu connais André ?

- Mais oui, je fais habituellement mon jogging avec André. André, je suis un ami intime d’Anaïs, la sœur de Victoire et la cousine de Julie. Victoire d’abord vexée de l’annonce que tu lui as faite hier, s’est ravisée. Avancez Julie, le temps de dire un mot à mon ami.

Le salon est plongé dans le noir, lumières éteintes, volets fermés. Julie s’enfonce dans la pièce, comme convenu. J’informe André :

Victoire souhaite que Julie et toi soyez heureux en Tunisie. Quand j’ai appelé Victoire pour ce que tu sais, elle m’a donné rendez-vous ici. Elle a pris en main l’organisation de la cérémonie et m’associe à ses jeux. Crois-moi, tu vas t’amuser. Je compte marcher sur tes traces après ton installation de l’autre côté de la Méditerranée. Mais je compte commencer à me distraire dès aujourd’hui. Viens, passe devant moi.

-Mon cochon, tu n’as pas perdu de temps avec Victoire. Qui est là, combien d’invités?

-Avance et tu verras.

En habituée Julie s’avance avec André, le prend en remorque. La lumière jaillit et une joyeuse bronca s’élève faite de hurlements aigus, de sifflets, de lazzi. Julie se tord de rire, André se bouche les oreilles et tente de sourire. Il jette un regard circulaire, aperçoit tous ces visages de femmes connues. Il me dévisage, inquiet. Je ris de son air défait :

-Quel accueil, mon ami ! Tu es reçu comme un héros. Salue la maîtresse de cérémonie et va t’asseoir dans le deuxième fauteuil, à côté de ton amoureuse.

-Mon amoureuse ? Tu crois ? Elle t’aurait fait des confidences ?

-Elle espère beaucoup du voyage en avion. Elle en parlait avec Victoire. Entre deux fous-rires, j’ai cru comprendre que demain matin tu serais un homme heureux dans des toilettes

-Oui, mais toutes les autres, on dirait un piège.

Victoire vient faire l’accolade, elle le serre dans ses bras avec affection. Ensuite elle le fait asseoir à la place d’honneur. Julie pose sa main droite sur la gauche d’André. Victoire fait signe à tout le monde de prendre un siège puis entame son discours.

-Chère Julie, Cher André. Demain matin vous nous quittez pour un court séjour de l’autre côté de la Méditerranée. Mais je crois savoir qu’André a une révélation importante à te faire, cousine. Tu es la seule à ignorer de quoi il s’agit. Nous autres sommes au courant. Beaucoup en apprenant la nouvelle se sont mises en colère. Non, André, n’aie pas peur. Après l’emportement nous avons réfléchi. Tu nous délaisses pour te consacrer entièrement à la femme de ta vie, malgré ton affirmation légendaire « Je dépanne, je n’épouse pas ». Ton cœur s’est épris d’une femme formidable. Tu nous abandonnes, cela nous déçoit, mais nous avons résolu de penser avec reconnaissance à tout ce que nous te devons. Chacune de nous a une dette envers toi, tu as su mettre de la joie dans nos cœurs lorsqu’ils étaient tristes, réveiller la jouissance dans nos sens en veilleuse ou ignorés de nos hommes. Grâce à toi le sexe a pris une importance primordiale dans nos vies trop monotones ou mélancoliques. Notre seul reproche tient à la rareté de nos rencontres : Nous comprenons en nous dénombrant que tu ne pouvais pas faire mieux. Car malgré la quantité de tes amantes ici réunies, tu nous as toujours fourni la qualité dans tes rapports amoureux. Nous continuerons à t’aimer. Au nom de mes amies : Merci, bonheur et longue vie. Tu peux embrasser ta voisine et toutes tes amies présentes. Merci. Que la fête commence. Tu veux parler, à toi.

-Mes amies. Vous avez mis à jour mon petit secret. J’aime la femme, j’aime les femmes. J’ai aimé chacune de vous, je vous ai toutes aimées. Mon cœur est trop gros sans doute et ne peut résister lorsqu’une femme me témoigne de l’intérêt. A celle qui m’attire, je ne sais dire « non ». Pourtant il vient de se produire un miracle, ma vie en est bouleversée : une femme a ravi mon cœur. Je suis éperdument amoureux d’elle. Mais j’ai compris que son amour est exigeant, exclusif. Je veux l’aimer et désormais lui être soumis et n’aimer qu’elle. Pour la gagner il me faut vous perdre. Victoire vous a annoncé ma volonté de vous quitter et pour couper les liens si tendres qui nous ont unis, j’ai décidé d’aller m’établir loin d’ici. Mon premier pas me dirige vers la Tunisie. J’y accompagne Julie. Julie tu es la femme qui m’a converti à la monogamie, tu es la femme de mes rêves, celle que je veux aimer par-dessus toutes. Devant autant de témoins, pour la première fois de ma vie, solennellement, je te déclare mon amour : veux-tu de moi ?

La salle applaudit, crie de joie. Julie n’a pas eu le temps de répondre, elle croule sous les félicitations, les embrassades. Les femmes congratulent André, étreignent l’heureuse gagnante de ce bizarre concours.
-Un bisou, un bisou, un bisou, crie l’auditoire.

Evidemment André tend les bras. On pousse Julie contre lui, elle tend ses lèvres, leurs bouches s’unissent. C’était prévu dans le scénario de Victoire. Je trouve que les succions des lèvres, le creux des joues qui aspirent, le jeu des langues dépassent les limites d’un premier baiser. En ami choisi du futur amant, je m’avance, je glisse un bras entre les poitrines et j’oblige le couple à se séparer. J’adresse mes félicitations à un André dépité de descendre de son nuage et je lui glisse à l’oreille

-Ce soir je veux ma dernière chance de profiter de ta promesse. Tu l’embrasses, je l’embrasse, tu la baises, je la baise. Ou bien je fais un scandale

Il cherche à comprendre quel scandale pourrait nuire à son plan. J’ai fait demi-tour, je saisis Julie à bras le corps et je lui colle ma sangsue sur le bec. Elle me sourit mais se reprend et frappe ma poitrine à petits coups rageurs et m’oblige à reculer.
-Non mais, Anaïs retiens ton petit ami. Qu’est-ce qui lui prend de m’embrasser comme ça.

D’une bourrade André m’écarte et prend Julie dans son bras droit.

-Jean, si tu veux rester mon ami, ne t’avise plus jamais de traiter ma femme comme n’importe quelle fille de joie.

Julie retrouve ses esprits, frime pour inspirer confiance et pousser André à accepter la suite : un peu de résistance met du piment :

-Tu dis : « Ma femme ? » Attendez, vous allez vite en besogne. Vous oubliez que je suis épouse et mère. J’ai un enfant de sept ans, scolarisé, actuellement placé chez ma mère pour la semaine. Et j’ai un mari.

-Allons mon amour, que vient faire dans notre couple l’ours mal léché que j’ai croisé à mon arrivée ? Oublie cet abruti. De nos jours le divorce est entré dans les mœurs. Une erreur de jeunesse se corrige. Nous partons bien ensemble demain ? C’est toujours d’actualité ? Chaque chose en son temps. L’essentiel est que tu m’aimes comme je t’aime. Victoire une fête sans un verre …

-Voilà. Champagne ! Servez-vous. Trinquons à l’amour et à la fidélité.

Victoire n’a peur de rien. Parler de fidélité dans cette assemblée est aussi incongru que de parler de corde dans la maison d’un pendu. Elle n’a pas fini :
-J’ai préparé avec Julie un concours. Nous avons la chance de compter parmi nous deux hommes et non trois à cause du départ providentiel du mari naïf de Julie.

Gros rires.


-André et Jean, je vous demande de composer deux équipes. André, tu es notre héros, tu commences à choisir ta première équipière, elle se rangera derrière toi.

- Tout naturellement j’appelle Julie, l’héroïne du jour. A toi de choisir Jean

-Cette dame dont j’ignore le prénom. C’est … ? Maud. Donc je choisis Maud

Mon choix me vaut un clin d’œil de mon ami. Il m’avait fait remarquer les points de similitude entre les deux têtes d’équipe. Derrière lui se rangent donc Julie, Anaïs, Ginette, Amandine et Elodie. Mon camp réunit Maud, Monique, Cathy, Régine et Charlotte la futée malicieuse qui m’avait d’abord lancé avec bon sens : « C’est vous qui l’invitez ? C’est une attention délicate. Vous savez faire plaisir à Julie, elle est très proche d’André». C’était une façon élégante mais non dénuée de jalousie de m’avertir du lien qui se tissait entre son amant et mon épouse ; elle y mêlait une forme de pitié ironique envers le cocu. Victoire présente son plan.

-André, tu dois sentir l’envie de chacune de faire l’amour une dernière fois avant la séparation. Elles sont dix à le souhaiter. Les satisfaire serait une tâche herculéenne. Vouloir t’unir fortement à dix femmes c’est le pari que nous avons voulu tenter. A toi de nous prouver… Mes amies, laissez-moi parler malgré votre enthousiasme… A toi de nous montrer ce dont tu es capable. J’ai pour te décider une grande nouvelle. Les cinq membres de ton équipe passeront en premier. J’ai bien dit les cinq. Oui, réjouis-toi, Julie accepte de se donner à toi, elle ne peut plus attendre l’envol de votre avion. Tu ne me crois pas, interroge-la.

-Julie, je suis ému aux larmes. Est-il possible que tu aies saisi à quel point je suis amoureux de toi ?

-Je brûle d’envie de t’appartenir, ici, dans ma maison et de franchir le pas. Je veux te suivre partout où tu iras. Je pose mes conditions. J’exige d’être la première à m’unir à toi. Tu devras accepter toutes les dispositions édictées par Victoire. Nous en avons débattu et nous avons établi ce règlement en commun. Victoire sera l’unique arbitre de nos jeux. Si tu parviens à faire jouir les dix amoureuses que tu vois devant toi, ce soir je viendrai coucher avec toi, nous vivrons ensemble notre première nuit d’amour. Mais il faut passer l’épreuve. Jean sera ton associé. Pendant que tu t’efforceras de faire jouir notre équipe, il devra concourir avec toi. Victoire tu expliqueras mieux que moi le déroulement de la fête.
-Merci Julie, tu viens de prendre ta vie amoureuse en mains. Bravo. André tu connais la récompense qui t’attend ; passer la nuit avec la femme que tu convoites. Attention ce n’est pas acquis. Ton ami Jean a relevé le gant. Notre fête prend l’allure d’un tournoi. Dans un premier temps vous ferez l’amour à vos cinq équipières. S’il y a lieu au cours d’une deuxième manche vous vous affronterez pour la désignation du vainqueur en vous unissant aux membres de l’autre équipe. Le premier gagnera Julie, le vaincu aura droit à une nuit avec la femme de son choix. En cas d’abandon d’un des deux concurrents l’autre sera automatiquement déclaré vainqueur. Enfin sera déclaré vainqueur d’un combat le premier à pouvoir prouver qu’il a éjaculé dans sa partenaire. Précisons aussi que le perdant de chaque rencontre devra poursuivre avec sa cavalière jusqu’à l’éjaculation en elle ou sur elle. Chaque joute sera suivie d’un quart d’heure de récupération. Cela vous convient-il messieurs ?


André envoie des bisous à toutes ces filles. Je fais le modeste :
-Mon adversaire a un gros avantage sur moi ; il est très entraîné et bien connu de ces dames.

Victoire tranche :

-Ah ! Non, tu as accepté le défi. Ne chicane pas. J’avais proposé l’utilisation de préservatifs afin de pouvoir contrôler la réalité des éjaculations. Ma proposition a été rejetée par la majorité des participantes. Le contrôle sera exercé par l’une de vos partenaires sur celles de l’autre équipe. Je vous demande de vous préparer : Mesdames messieurs, veuillez-vous déshabiller, entièrement cela va de soi.

Je connais déjà ces femmes que j’ai filmées nues chez André. C’est une admirable brochette de spécimens variés de la gente féminine. Grandes ou petites, filiformes ou potelées, elles offrent un assemblage étonnant de fesses maigres, proéminentes ou grasses, balancent des seins fort différents, à peine prononcés, joliment séparés ou en contact étroit en raison de leur gros volume. Mais elles sont toutes jeunes, belles, désirables. Je connais aussi André. Je le vois jeter un œil en direction de mon pénis. Il paraît étonné à son tour de voir un membre masculin assez important. Je sens chez lui un sentiment de confiance attribuable au fait que toutes ont réclamé un dernier acte d’amour avec lui. Je pourrais croire par contre représenter plus que le partant leur avenir. Victoire fait résonner une coupe de champagne avec une cuillère.

-En place s’il vous plaît. L’équipe d’André et Julie à l’extrémité droite de la grande table, celle de Jean en face . . . Deux équipières de part et d’autre se mettent immédiatement à l’œuvre pour parfaire l’érection de nos étalons. Vous pouvez toucher, chatouiller le scrotum avec les mains uniquement, seules vos lèvres s’occupent de la verge. Vous pouvez la prendre en bouche, la travailler avec la langue, mais prenez garde à ne pas provoquer l’éjaculation avant la pénétration, car vous handicaperiez votre héros. Les deux autres équipières aident Julie et Maud à se coucher dos sur la table, Tête contre tête comme à la répétition, fesses à ras du bord, talons et genoux écartés de manière à présenter la vulve dégagée. A la demande de Julie dont c’est l’initiation, veuillez maintenant placer sur les yeux de nos vaillantes concurrentes ces bandeaux. Messieurs vous aurez à supporter d’autres petites contrariétés sans méchancetés destinées à pimenter le tournoi. Ainsi pour les préliminaires vous placez vos mains dans le dos et vous pouvez commencer un cunnilingus. Tripoter avec les doigts est interdit, ferait perdre un point et vous priverait du rapport sexuel avec la candidate, soyez disciplinés. Vos auxiliaires maintiennent vos verges en état. Au top, vous pouvez lécher. Top.

Maud est une fille très sensuelle. Je lèche sa vulve, glisse ma langue dans sa fente et j’y déniche aussitôt une coulée légèrement salée. Ses fesses frémissent, son ventre se convulse. Julie de son côté se met déjà à gémir sous la bouche active de l’amant triomphant. Maud mélange sa plainte à celle de la tête voisine de la sienne. Victoire ordonne :

-Les garçons faites deux pas en arrière. Maud veut imaginer que son amant sera André. Le choix de Jean ne le permet pas : Elle est avec Jean Sa requête est très flatteuse pour André. Messieurs, faites- lui plaisir, laissez-lui l’illusion d’être possédée par son homme préféré. Pour ne pas briser son rêve nous cacherons le visage de Jean avec cette cagoule. Le jeu doit être égal, je souhaite à Julie de reconnaître André malgré cette autre cagoule. Mesdames placez les caches, serrez légèrement le lacet autour du cou et n’oubliez pas d’entretenir les verges.

Maud et Julie sautent prestement de la table, échangent leurs places, sans bruit. C’est le plan de Victoire approuvé avant l’arrivée de mon concurrent. Victoire donne le signal.

Elodie et Amandine, dirigez André vers sa cible, les deux autres ouvrez la vulve et excitez le clitoris de Julie. Même chose de l’autre côté. Posez les glands au contact des vagins, aidez comme vous le pouvez nos combattants, tout est permis pour vous mais André et Jean, gardez bien vos mains dans le dos et respectez le souhait de Maud. Commencez. Celui qui éjacule en premier lève la main droite.

André croit s’unir à Julie. La substitution a réussi, je reconnais immédiatement autour du pivot de ma joie t ma tendre femme. C’est notre première exhibition. La victoire promise au vainqueur me rend fort et efficace. Les cris et commentaires des deux camps nous donnent de la force. Je me lance immédiatement dans une charge folle dans le sexe adoré de ma femme. Julie, complice ne tarde pas à annoncer son plaisir contre la tête de Maud. Elle ne feint pas, les contractions des parois de son vagin sur mon sexe sont éloquentes. Elle a pris des risques, a subi le léchage d’André, mais sa joie de prendre part à la mystification du coureur décuple son ardeur. Nous nous étreignons comme de jeunes mariés. La supercherie a été suggérée par Victoire et admise par Julie : sa fougue, sa manière d’accrocher ses talons sur mes fesses pour me propulser contre son utérus ou de faire onduler son bassin montrent à quel point elle veut montrer sa bonne foi. Amoureuse d’André, elle ferait la planche inanimée, elle agirait pour me faire perdre et souhaiterait être donnée en prime au vainqueur.

-Cette action vous suffira-t-elle comme preuve de mon amour pour mon mari ? a interrogé Julie lors de l’élaboration du plan de sauvetage de notre couple face aux prétentions d’André.

Maud contre le privilège d’être aimée par mon adversaire, a reçu pour consigne de se mordre les lèvres le plus longtemps possible. Elle va vouloir prolonger à l’extrême ce dernier accouplement avec le partant. Elle se donne avec retenue pour faire durer sa joie. Par bonheur nos efforts conjugués et le frein imposé par Maud ont permis de devancer l’autre couple. Victoire m’a recommandé de me ménager. Je lève le bras, retire ma cagoule, sors du ventre aimée Julie, examine l’assaut d’André. Il veut vaincre et ses coups de reins rapides et violents devraient le placer en tête, croit-il.

Je rabats le tissu sur mon visage. Victoire proclame ma victoire et insiste pour que le battu arrose abondamment le sein de son aimée. André se démène, les furies attachées à son service poussent sur ses fesses, Anaïs rigolarde lui insère l’index droit dans le fondement. Enfin il se raidit et lâche une salve de sperme, il se vide longuement, maintenu par ses équipières acquises à la cause de Julie, prisonnier involontaire du vagin qui le trait. Toutes ces femmes se sont liguées contre le traître qui veut les délaisser pour convoler avec Julie. Toutes sans exception ont juré de l’épuiser au cours de coïts multiples, quitte à y passer la nuit. Ginette et Anaïs le remettent debout, le font reculer de deux pas. En même temps, à la faveur de la bousculade Julie et Maud regagnent leur place.

Anaïs défait la cagoule d’André, avec retard on me retire la mienne. André est désolé, s’excuse auprès de Julie de sa lenteur, attend le reflux de ses jets de foutre. Assurément il s’est vidé tout contre l’utérus, sa semence tarde à se montrer à la sortie de la vulve de Julie. Je redécouvre le sexe de Maud ouvert sous mes yeux et dont s’écoulent de longues traînées de sperme. Victoire en juge impartial invite les contrôleuses à examiner les résultats. Anaïs vérifie l’état de l’intimité rougie de Maud de mon côté. Pour moi Régine se penche sur Julie, écarte consciencieusement les petites lèvres, envoie un index en crochet dans le vagin, le retire, le suce avec bonheur et déclare :

-André a éjaculé tout au fond. Mais c’est délicieux.

Bien que perdant, notre homme arbore un large sourire. Son sperme est reconnu délicieux. Peut-être espère-t-il avoir engrossé du premier coup Julie son bien aimé. Ignorant du règlement il veut ensuite vérifier lui-même que j’ai déversé mon sperme en Maud. Il fait une moue admirative quand il voit la quantité impressionnante de liquide sur les fesses et dans les poils de celle qu’il vient de tringler sans le savoir. Cet écoulement abondant vers le sillon fessier de son propre sperme lui donne l’espoir : j’ai dû laisser dans cette rencontre l’essentiel de mes forces. Il me regarde, tente d’évaluer mon degré de fatigue et réclame qu’on oublie le temps de récupération pour passer immédiatement au deuxième accouplement. Il désigne Anaïs, la violente maîtresse pour réussir à me battre au plus vite. Hélas pour lui Amandine s’interpose :

-Ah ! Je proteste Elodie et moi avons une priorité. Tu as promis de nous faire un enfant. Nous ne pourrons pas te suivre en Tunisie. Fais-nous notre enfant maintenant, sinon nous quittons le jeu et tu ne pourras pas l’emporter. Ton sperme est en ébullition, nos équipières peuvent attendre, n’est-ce pas Anaïs et Ginette.

Durant la chamaillerie Charlotte armée d’une seringue de pâtissier a farci en crème l’intérieur de ma deuxième partenaire Monique. Elle est préposée à cette opération auprès de mes partenaires. Cette crème est une belle imitation de sperme. Victoire en avait relevé la recette dans une revue spécialisée du cinéma pornographique où les acteurs et actrices usent de cet artifice pour éblouir les spectateurs naïfs, béats d’admiration face aux lacs de liqueur déposés sur le mont de Venus ou sur la face des actrices. Victoire nous invite à reprendre selon les vœux d’André. Il est certain que ma débauche d’épanchement liquide du premier tour va me désavantager. Deux matelas mis bout à bout sur le tapis ont été étalés au milieu de la pièce… Nos amies trouve hilarante la deuxième proposition de Victoire.

-Mesdames couchez-vous sur ce matelas, vous laissez vos pieds vers l’intérieur, mais vous les écartez, les hommes se placent dos à dos au milieu, s’agenouillent dans l’intervalle entre vos mollets. Ces gentils amants vont vous prendre dans la position dite du missionnaire. Les équipières allez-y. Couchez votre chef sur Amandine ou Monique. N’ayez pas peur de mettre les zizis contre les crevasses. De vos doigts ouvrez les fleurs de chair, caressez les et faites mouiller les parois. Vous pouvez aider votre homme en caressant les corps, pensez aux zones érogènes, si c’est possible allez à la jonction, titillez le clitoris ou la rose des partenaires. Qui sera le premier cette fois ? Go !

Amandine salue bruyamment la pénétration d’André. Je m’introduis lentement entre les cuisses de Monique mais j’obéis à la défense de la pénétrer. Julie ne m’a pas autorisé à faire l’amour avec mes femmes de ce jeu. Elle a renoncé à se laisser défoncer par André, il serait injuste que je prenne une autre fille. C’est du donnant donnant. Je m’applique, mais le regard de ma femme pèse sur moi. Des mains soulèvent mes hanches puis poussent sur mes reins, on me retire puis on me renvoie au chaud dans la soie des cuisses lubrifiées. Mon érection me fait peur, le mouvement me conduit au bord de l’éjaculation et Julie m’en voudra :

- « Tu peux les pénétrer si André regarde uniquement, tu ne dois pas jouir en elles. Tu dois te ménager et te garder pour moi. Si tu vides tes bourses dès le début, tu ne pourras pas gagner le tournoi et tu me précipiteras dans les bras d’André. Or c’est contraire à notre but »
Heureusement Monique a la bonté de simuler rapidement un orgasme. Elle nous lâche un interminable chapelet de « ha » et de « ah » ou d’oh ! Je lève le bras, je simulie un retrait hors de son berlingot, la queue saucée de la blanche liqueur ramassée au contact de sa vulve. André lève la tête continue à pomper sur Amandine, se tord le cou pour m’apercevoir et me lance :

-Mon salaud, tu cachais bien ton jeu. Comment fais-tu ? Tu es éjaculateur précoce ? Victoire le règlement aurait dû préciser que la femme doit avoir un orgasme. Il ne suffit pas de baiser comme un lapin pour rendre une femme heureuse !

-Oh ! s’exclame Amandine, n’as-tu pas entendu les gémissements de Monique. Au lieu de râler, donne-toi un peu plus de mal. Tu dois me remplir de sperme, allez, plus fort. Les copines, aidez-le. Si j’avais su, je me serais fait faire un gosse par Jean. André tu dors, mouline, crache bien au fond, mets une louche de jus, fais mieux que la dernière fois.

Ce discours n’est guère fait pour mener à la victoire. Il porte atteinte à la réputation de l’étalon, couperait les moyens d’un type normal, il énerve André confus d’entendre annoncer mon deuxième point. Julie pourrait concevoir des doutes sur la qualité du mâle qui veut l’enlever. Il faut faire taire cette peste de lesbienne. Cette folle veut un enfant sans père, elle l’aura. Comme un forcené André martèle Amandine. Il s’avoue vaincu et réclame l’autorisation d’utiliser ses bras et ses mains pour rendre le plus rapidement possible à Amandine le service qu’elle attend de lui. Notre lesbienne en attente de fécondation serre la main de son amie-amante-époux Elodie, projette son ventre à féconder, sue, tremble, se plaint, explose. Ses exclamations comblent d’orgueil l’inséminateur, libèrent les vannes. Pour la deuxième fois il se déverse dans un ventre, tout au fond. Anaïs et Ginette assises sur son dos pour peser et coller André en Amandine tombent enfin sur le côté, André a fini, il dégage. Les témoins applaudissent, se réjouissent de cet exploit. Elodie attrape les pieds de sa compagne, tire et l’appuie au siège d’un fauteuil :

-Ma chérie, reste comme ça, les jambes en l’air pour que les spermatozoïdes aillent vers tes ovules. Maintenant c’est mon tour. André temporise :

-Pas tout de suite ma chère. Il faut que je reprenne des forces. Ce Jean est très rapide mais je l’aurai à l’endurance, comme lorsque nous faisons notre jogging. Qui me nettoie la queue ? N’oubliez pas le service après-vente. Elodie lèche moi tout doucement. Mais si : ne fais pas ta nacreuse. Tu veux un moutard de moi, tu ne concevras pas en faisant la difficile. Pour les trop délicates il y a les centres d’insémination artificielle avec les dossiers à remplir. Tu suces ou tu vas les voir.

Elodie se pose à genoux entre les jambes de l’homme assis dans un fauteuil.

A la reprise, Victoire impose une nouvelle figure. Cathy au sexe garni en douce par la seringue de Charlotte vient s’asseoir sur moi, visage tourné vers mes pieds. Ses fesses à fossettes sont excitantes. Elle place ma verge sous sa vulve, en longueur. Resté à l’extérieur, je ressens néanmoins la chaleur de ce volcan. Elle se cambre, soulève et rabat vite sa croupe. Sa vulve bâille, s’élargit mon sexe entre en contact avec ses chairs brulantes et moites. En parallèle Elodie s’empale sur le pieu d’André. Nous avons repris forme et raideur dans les bouches de nos quatre autres aides. J’ai vu ma femme se dévouer dans une fellation habile sur la lance d’André. Je lui ai fait les gros yeux et elle a cédé la place à deux autres bouches. Puis elle a tendu un doigt en direction de Régine qui me jouait « gorge profonde » et elle m’a fait une grimace.

Quand après une longue course Elodie a commencé à galoper et à pousser des cris, la rusée Cathy a simulé un orgasme encore plus puissant, s’est brusquement levée. De son sexe est tombée sur mon ventre une averse de crème.

Ce n’est pas possible a geint le vaincu alors que Victoire disait

-Trois à zéro en faveur de Jean. Pourquoi t’es-tu arrêté André. Tu dois éjaculer. Elodie compte sur toi.
A SUIVRE
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Histoire de Veilleur

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Commentaires du récit : Liposuccion 10

Le 05/11/2013 - 18:30 par Veilleur
Merci Bugs. Je me suis trompé sur votre intervention. Vous estimez trop éloigné de l'érotisme ce tournoi. J'aurais pu l'évoquer plus légèrement. Je voulais exprimer le désir de vengeance des maîtresses abandonnées, l'importance nouvelle du personnage de Victoire, le doute permanent du mari à propos de la conduite mal comprise de l'épouse. Au lieu de l'accompagner il laissait sa place après les regrets de sa femme au sujet de ce tournoi.Donc ce tournoi crée un malaise supplémentaire qui conduira au divorce, à des retrouvailles. Certains artistes de cinéma se sont mariés à plusieurs reprises : où va mon couple Julie- Jean ?
Le 04/11/2013 - 23:31 par Bugs
Pour faire suite : J'ai bien aimé les épisodes 1 à 9 . Les épisodes 10 et 11 j'ai décroché. Je me suis forcer pour les lires des fois que... C'est bien écris, comme d'habitude. Je trouve que les épisodes 10 et 11 ne se raccroche pas aux épisodes 1 à 9. Je n'aime pas le tournoi de baise désolé. Je trouve que ça ne vas pas au couple. De toute façon Je vais lire vos prochaines. C'est beau de pouvoir créer autant. Bien à vous.
Le 04/11/2013 - 13:31 par Bugs
Comme suite, un tournoi de baise. Une histoire érotique. On a pas la même définition. Les autres chapitre étaient meilleur et de beaucoup. Aucun sens.
Le 01/11/2013 - 19:56 par Veilleur
Un seul auteur sous deux pseudonymes : est-ce possible sur ce site. Quel intérêt cela représente-t-il? Avoir deux voix ? Le cas existe.

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