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Liposuccion 14

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Lue : 1386 fois - Commentaire(s) : 12 - Histoire postée le 26/11/2013

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Bouillie de couilles.

Il fait beau ce matin, le ciel est dégagé, les mouettes crient autour des bateaux de pêche qui rentrent au port de la plage sud. Julie barbote dans les vaguelettes avec Emilie et Clovis. Du haut de la promenade qui domine la plage, après quelques courses, je savoure ces instants de paix retrouvée. Victor et Aude, nos voisins ont proposé à Clovis de l’emmener cet après-midi à l’Aquarium de La Rochelle.

Apres le repas de midi et une sieste à deux, heureux de nous retrouver en face à face, nous connaissons des moments de béatitude sur l’oreiller. Julie et moi renouons avec des relations charnelles paisibles de mari et de femme dans la sérénité retrouvée. L’irruption d’André dans notre vie de couple est oubliée. Un air d’accordéon nous incite à sortir pour découvrir la ville. Attirés par la musique nous aboutissons devant le casino. L’endroit est ombragé, des couples dansent sur la terrasse, des tables cernent la piste, nous entrons dans la danse. Ah ! Les chouettes vacances. L’ambiance est propice à l’épanouissement de notre amour.

Le lundi nous partons en famille avec la petite Emilie en visite au zoo de La Palmyre. Le mardi nous nous promenons et atteignons le fort Enet en traversant les espaces d’élevage de moules et d’huîtres. Le mercredi nous visitons les fortifications de Vauban à Brouage. Nous faisons ainsi alterner un jour de repos sur place et un jour de découverte des environs. Au programme il y aura une journée à la corderie royale de Rochefort-sur- mer, et un embarquement sur l’Hermione en construction dans les chantiers navals de cette ville. La Rochelle méritera un ou deux déplacements. Pour nous rendre à Soulac nous monterons sur le bac à Royan. Enfin selon le temps nous préférerons peut-être les plages d’Oléron et la visite du phare de Chassions. Les vacances vont paraître bien courtes ! Quel bonheur.

Julie à la plage, seule avec Clovis, lorsque je suis retenu pour le ravitaillement, est très souvent entourée de jeunes gens attirés par sa beauté. Ainsi le mardi en soirée, tandis que Clovis construit son château de sable, au moment où j’arrive sur la promenade, je vois trois jeunes gaillards en train de la soulever par les bras et les jambes. Ils courent vers les vagues et la jettent dans l’eau. Personne ne s’émeut d’un incident aussi banal. Les jeunes gens se congratulent, se tapent dans les mains. Julie crache de l’eau, s’essuie le visage de la main, relève la tête, rajuste son soutien-gorge sur les seins passés à l’air libre, remonte son maillot sur sa toison pubienne. Elle a failli se retrouver nue au cours de la bousculade et craint de sortir et d’être victime d’une nouvelle attaque. Elle me voit, lève les mains, Clovis accourt vers le mur qui limite la plage et crie ;

-Papa, ils veulent noyer maman.
Il redescend la pente de sable et crie :

-Maman, papa arrive.

Le trio disparaît dans la foule des baigneurs. Julie regagne sa serviette de bain et me déclare :

-Je ne viendrai plus sans toi à la plage. Ces jeunes crétins s’amusent avec les inconnues. Ils m’ont tripotée à pleines mains avant de me jeter à l’eau. C’est dégoûtant. L’un m’avait mis la main sur le sexe et voulait m’arracher mon maillot.

Jeudi, il faut se lever tôt pour pouvoir nager. Dans l’après-midi le soleil tape fort. Julie lit son roman de vacances, Clovis joue avec Emilie chez les voisins. Une sieste s’impose. Mes paupières tombent, j’entends pourtant frapper à la porte. Une voix joyeuse salue Julie. Est-ce possible ? Je connais bien cette voix : c’est Victoire. D’où sort-elle ? Est-elle accompagnée d’André ? Ce sont de véritables sangsues.

-Parle bas, s’il te plaît, Jean vient d’entamer sa sieste. Que fais-tu là ? Comment es-tu venue ? Comment nous as-tu trouvés ? Es-tu seule ?

Les questions se succèdent trop vite pour laisser à Victoire le temps de répondre. J’apprends enfin qu’André et elle ont décidé de passer des vacances à Fouras. Ils sont arrivés hier par le train et le bus, logent à l’hôtel de l’Arrivée, dans une grande chambre louée pour dix jours. Victoire a reconnu notre voiture devant la porte et Clovis lui a montré notre pavillon.

- . Attends un instant, je vais réveiller Jean pour qu’il te salue. Je ne te promets pas de le faire sauter de joie...

-Au contraire laisse-le dormir. André aussi fait sa sieste. Nous serons plus libres pour discuter.

Des pas approchent, je fais semblant de dormir. La porte de la chambre entrebâillée se referme. Des pas feutrés s’éloignent. Je saute de mon lit, j’ouvre la porte et je tends l’oreille. La paix n’aura pas duré longtemps.

-Pourquoi avez-vous choisi Fouras ? La France est grande. Vous allez m’attirer des ennuis. Nous étions si bien. Victoire, l’as-tu fait exprès pour gâcher nos vacances ?

-Ma pauvre, j’ai essayé en vain de détourner André. Je n’ai pas pu l’emmener ailleurs, je l’ai suivi pour freiner ses pulsions. Il est comme fou. Nous avions discuté de cet après-midi avant votre départ pour la Tunisie. J’ai imprudemment parlé de la substitution des corps sur la table, de Toi et de Maud. Je voulais lui prouver que tu ne souhaitais pas lui appartenir il y a trois ans et qu’il perdait son temps à te poursuivre. Il s’est vexé, est entré en colère, est sorti. Le soir il avait réservé à l’hôtel, pris les billets de train. Il m’a regardé droit dans les yeux pour m’annoncer :

-Ah ! Elle s’est foutue de ma gueule, elle a cédé sa place et croyant la baiser j’ai tiré ma crampe avec une autre. Elle va voir, je vais lui apprendre à vivre. La salope ne perd rien pour attendre. Je jure que je ne quitterai pas le pays sans la payer en nature. Je vais la coincer, la culbuter et la foutre. Je parie que je vais lui foutre un polichinelle dans le tiroir pour faire chier son grand connard. Merde, je la baiserai, je la ferai hurler de plaisir.

Il se met le doigt dans l’œil !

-Voilà dans quelles dispositions il est venu ici. Une seule chose le préoccupe. Ca fait deux jours qu’il ne me touche plus. Il se réserve pour te troncher et te bourrer de sperme. Tu as intérêt à te méfier.

-Mais il est fou. Je ne l’aime pas. Que faire ? Je ne pourrai plus sortir sans m’accrocher au bras de Jean. Il faut que je le réveille et que je le tienne au courant du danger.

-Surtout pas, malheureuse. Tu vas provoquer un combat de coqs dont nous ne connaissons pas l’issue. André menace de casser la figure à Jean. Il a même projeté en dernière limite d’enlever votre fils pour t’obliger à le rejoindre et à te laisser bourrer comme un sac. C’est un furieux. Il veut te défoncer par tous les trous et n’aura de cesse avant de s’être bagué le nœud dans ta chatte et dans tes fesses: c’est son langage.

-Il veut s’en prendre à mon mari ou à mon fils ? C’est horrible. J’avertis Jean et nous fuirons.

-Ca ne sert à rien, il vous retrouvera, quitte a-t-il précisé à prolonger son séjour en France. Il est dingue de toi, il te veut et il finira par t’avoir.

-Et si je le dénonçais à la police ?

-Avec quelles preuves ? Il ne t’a encore rien fait. Personne ne te croira. Je pourrais te donner un conseil. Veux-tu m’écouter ?Ce n’est pas de gaîté de cœur, mais je pense que c’est la meilleure solution. Rejoins-le à l’hôtel, envoie-toi en l’air avec lui une bonne fois et ensuite il t’oubliera. Il est obsédé, quand son envie de tirer son coup avec toi sera satisfaite, il s’estimera vengé et me reviendra.

-Tu crois ? Tu es sincère ? Comment peux-tu penser ça ? Céder à la menace, non ! Victoire j’aime Jean.

-Il m’a juré de se contenter d’une fois, pour le principe. Il ne conçoit pas qu’une femme puisse lui résister. Finalement tu lui offres une partie de jambes en l’air et tu retournes avec Jean. Ecoute, Jean dort, j’emmène Clovis sur les manèges de la plage nord, tu fonces à l’hôtel, tu demandes à voir un ami chambre 5. André sera fou de joie, il va te fêter. Tu lui accordes une heure. Et finis les ennuis. Une femme doit savoir se sacrifier pour le bien de sa famille. Epargne ton fils et ton mari. De plus, entre nous, se faire farcir pendant une heure, ce n’est pas forcément mauvais pour la santé ! C’est bon pour le moral

-Une heure ? Mais dans une heure Jean sera réveillé et me demandera d’où je viens. Ce n’est pas bon pour la morale. Tu me pousses au mal.

-Au retour tu passes aux manèges, tu rentres avec ton fils. Ni vu ni connu, je t’embrouille, Jean n’y verra que du feu. Comme André va te charger comme un bonobo, pour éviter de montrer ta vulve irritée par les frottements de son braquemart emmène tes hommes en promenade. Ah ! Ne permets pas à André de te marquer de suçons ou de pinçons trop visibles lorsque tu seras en maillot de bain. Il ne contrôle pas toujours ses pulsions. Sois prudente. Va !Cours.

-Il faut que je regarde si Jean dort. Je ne veux pas le perdre. Tu es sure qu’André ne fera pas de mal à Jean ou à Clovis, si je couche ? Je n’ai jamais fait ça. C’est peut-être le prix à payer pour retrouver la paix. O, mon dieu, qu’est-ce que tu me fais faire. J’ai toujours été fidèle.

-C’est juste un mauvais moment à passer. Mauvais, pas si sûr, tu sais. Positive, ça facilite la vie. Tu garderas cette aventure pour toi. Tu n’en parleras jamais à personne. Après la partie de cul, tu effaceras ça de ta mémoire et tu vivras heureuse et sans souci avec Jean. Ne perds pas cela de vue. La fin justifie les moyens. Va. Ne perds surtout pas de temps, file.

J’ai refermé la porte. Julie l’ouvre en douceur, entend ma respiration, j’émets un ronflement. La porte se referme. Je me lève, ouvre la même porte et je me prépare.

-Tu en mets du temps. Courage, Julie. Dans le fond, dis-toi que ça peut être une expérience enrichissante. Ne te contracte pas. Il faut y passer : tire le maximum de plaisir de l’union de vos corps. Crois-moi, je ne sais pas ce que Jean vaut sous la couette, mais André est un champion du carambolage. Ne boude pas ton plaisir, Jean ne sera pas là pour compter tes orgasmes.

-Il faut que je me parfume. Ma culotte est humide, il fait si lourd. Baiser par une telle chaleur… on va coller l’un contre l’autre… dégouliner de transpiration.

-Enlève cette culotte. Tu n’en as pas besoin pour aller moucher la chandelle d’André. Ta robe suffit, gagne du temps au déshabillage et au rhabillage. Allez, cesse d’hésiter. Fonce et jouis, sue s’il le faut !

-C’est que…

-Tu préfères qu’André use de la force ? Offre-toi, laisse-toi prendre, force ta nature, exagère tes cris de plaisir, jouis puisqu’il faut flatter son amour propre et débarrasse-toi de cette corvée pas si désagréable que ça.. C’est pour votre bonheur. C’est un sacrifice que tu feras pour sauver ta famille. Viens, confie-moi ton fils. Tu passes par la rue Duguay Trouin. En bas tu tournes à droite, tu trouveras facilement l’hôtel. Courage, vois le bon côté de cette escapade.

J’ai enfilé mon short, mes sandales et un tee-shirt. Je sais où se trouve cet hôtel, je passe par la rue de la gare, le chemin est plus court. J’y serai le premier si Julie ne court pas vers cette chambre afin de dérouiller le braquemart de l’obsédé. J’entre. Personne à l’accueil. Dans la rue je vois avancer Julie. Elle est bien pressée d’aller se faire embrocher. Je sors, je la bouscule légèrement dans les marches de l’escalier d’accès. Elle lève les yeux et se fige :

-Jean. Mais que fais-tu là. Tu dormais. Euh…

-Et toi, où galopes-tu ? Tu ne sais plus ? Pourtant tu avançais à grands pas. Bon, ne te fatigue pas à me mentir. J’ai entendu ta conversation avec Victoire. Va, André t’attend. Tu connais ce carton, lis ce que tu as écrit :

« Si par inadvertance je me trouve seule en compagnie d’André, montre-moi ce carton. Si je m’isole volontairement avec lui, tu pourras me quitter »

Julie est sidérée, muette, terrifiée.

-C’est de la faute de Victoire. Mais je n’ai pas rencontré André, tu vois bien. Tu n’as pas de raison de me quitter. Partons

-Et tu n’avais évidemment pas l’intention d’aller te faire sauter par cet individu. Un petit coup dans le con, du foutre plein le ventre, le cul éclaté et hop, mine de rien tu revenais du manège et tu m’embrassais. André te carambolait, tu passais à la casserole et tu venais embrasser ton fils et son père, la conscience en paix ? Belle mentalité.

-Victoire m’a conseillé de me sacrifier pour sauvegarder notre mariage. André veut juste tirer un coup. Après il me fichera la paix. Tu as entendu, je n’ai pas eu le temps de réfléchir. Oui je prenais quelques coups de queue, mais après André m’oubliait.

-Tu devrais connaître sa façon de procéder. As-tu perdu la mémoire ? Nous t’avions expliqué sa façon d’agir avec les femmes. En premier il compromet sa proie et ensuite il la fait chanter, menace de révéler son faux pas au mari. Et la malheureuse devient son esclave, couche quand il le désire, fornique en cachette, se fait dindonner pour échapper aux cris ou aux coups du cocu. Je te croyais plus futée, là tu fonces dans le panneau. Victoire est complice d’André. Tu cours en secret lui donner l’occasion de te faire chanter. Est-ce de la naïveté ou du vice ? Une fois seulement ? Ce sera au contraire la première d’une série. Ou tu m’aimes et il te fera tourner en bourrique et te bourriquera à l’envi, parce que tu ne voudras pas me voir fuir ! Ou c’est lui que tu aimes et tu risques de déchanter quand il s’entichera d’une autre paire de nichons ou de fesses. C’est un Don Juan, un type qui collectionne les femmes. C’est un compteur, il enregistre le nombre de ses conquêtes, tiens des listes de ses aventures. Ta vertu le fait enrager, tu seras le numéro x, juste devant la suivante.

-Rentrons, je n’irai pas dans sa chambre. Dis, tu ne vas pas me quitter. Je te jure…

-Relis ton carton. Pour moi, aujourd’hui l’intention suffit. Tu y allais de bon cœur. Sans moi tu serais couchée sous lui en train de gémir et de transpirer à grosses gouttes à cause de la chaleur.

- J’ai eu tort et je le reconnais. C’était par amour de toi et de mon fils. Pardon.

-Drôle de façon de m’aimer. Une fois de plus tu n’as pas eu confiance en moi.

-Qu’aurais-je dû faire ? Tu as facile à me juger. Je n’ai rien fait de mal. Je voulais, je voulais dire à André de me laisser tranquille.

-Et pour lui faire cette déclaration tu t’es parfumée et tu es partie sans culotte ?Tu continues à te payer ma tête. Si tu m’aimais, tu m’aurais réveillé et tu m’aurais mis au courant. Tu me déçois.

-Notre mariage est foutu ? Tu vas m’abandonner. Si je t’avais parlé du plan de Victoire, qu’est-ce que ça aurait changé ?

-Tout. Tu lui aurais coupé l’herbe sous les pieds. Il n’aurait pas pu exercer de pression sur toi.

-Tu dis ça maintenant. Tu te donnes le beau rôle. Tu aurais dû te lever et venir contredire Victoire. Je t’aurais écouté.

-Ainsi tu te serais cachée derrière moi pour refuser de suivre le mauvais conseil de ta cousine. Je tenais à savoir quelle décision tu prendrais, parce qu’à la première occasion tu serais allée m’aimer dans les bras d’André, en secret comme tu croyais le faire il y a quelques minutes. Ta présence ici montre à quel point tu as envie de te faire défoncer par ton masseur par amour de moi !

-Grâce à toi, il ne s’est rien passé. Viens, oublie un moment de faiblesse. Je te promets de toujours t’avertir. Il faudra faire attention désormais pour qu’il ne te fasse pas de mal et pour qu’il ne touche pas à Clovis. Si on quittait la ville ?

-Ce sont des menaces en l’air, des propos de lâche irresponsable. La punition pour le rapt d’enfant est dissuasive, il ne s’y risquerait pas. Quant à se battre avec moi, je doute qu’il ose. Que crains-tu pour moi, me prends-tu pour une mauviette ? As-tu vraiment cru qu’il cesserait de te harceler si tu allais faire la planche chez lui ? Sincèrement ? N’étais-tu pas frustrée d’avoir dû céder ta place à Maud autrefois ou n’étais-tu pas curieuse de goûter une sacrée foutée avec un autre que moi ? As-tu vraiment cru qu’il cesserait de te harceler si tu allais faire la salope chez lui ? Sincèrement ?

-Je l’ai espéré. J’aurais tellement aimé payer ma liberté. Tout est foutu, tu me détestes, il me méprisera. Tu ne pourras jamais me pardonner, hein ?

-Puisque tu l’as espéré, essayons ce remède. Flattons son orgueil. La gloire de m’humilier et de te soumettre va le gonfler. Il se vantera de son succès et s’en ira sûr de sa supériorité vers d’autres filles à croquer. Victoire pourrait avoir raison.

-Essayons quoi ? Tu veux que j’aille me faire tringler et défoncer par André ? Alors toi aussi tu penses qu’il abandonnera. Oui, mais il s’agit de moi, pas de toi. C’est mon corps.

-N’était-ce pas le même corps qui se précipitait pour se faire passer sur le nombril ? Tu y courais. Il t’attend, alors tu vas te faire trousser et tu prendras des coups de queue. Tu n’en mourras pas. Tu étais résignée, donc suis ce plan. Pour moi l’intention vaut acte... . Tu connais notre accord. Il est temps de mettre ce type hors-jeu. Tu as cru qu’il suffirait de te faire sauter une fois. Admettons que cela suffise à chasser son obsession. Tu voulais y passer dans de mauvaises conditions. Je t’offre l’occasion d’expérimenter la réelle valeur de sa promesse. Qu’il te possède, te saute, te tringle, te défonce, te bourre, t’enconne et t’encule, mais que ce soit pour l’unique fois.

-Tu n’es pas sérieux. Tu cherches à te débarrasser de moi, parce que je t’ai dégoûté. Tu veux qu’il puisse m’utiliser, me cochonner et te donner une bonne raison de me répudier ?

-Non. Allons-y à deux. Il ne pourra plus te menacer de me révéler une relation qui se sera déroulée sous mes yeux.

-Non, je ne peux pas. Souviens-toi de la fellation ; tu m’avais jetée dans ses bras à cause de cette fellation. Non je ne veux pas me faire prendre par lui devant toi. Je ne veux pas que tu le voies me limer et me besogner. Et tu voudrais assister à ma sodomie ? Que t’arrive-t-il ? Tu ne m’aimes plus !

-Tu préfères reporter à plus tard ? Veux-tu que j’oublie une dernière fois ton attirance pour ce queutard ? Fais ce que je te demande et nous reprendrons notre route ensemble. Débarrasse-moi de cet ignoble saligaud.

-Non, je n’ai pas d’attirance pour André. Tu me demandes l’impossible ; pas devant toi, je t’en supplie.

-Comme tu voudras, mais ne compte plus jamais sur moi. Ton refus condamne notre couple à la séparation.

-Oh ! Non, Jean. … Bon, j’y vais. Que devrai-je faire ? Tout ce qu’il voudra ? Est-ce que tu supporteras de me voir prise, limée, défoncée par un forcené ? Et si j’y prenais goût.

-Je serrerai les dents et les poings à condition qu’il s’engage à te respecter après. Si ça te plaît, tu partiras en Tunisie avec lui.

-Non, je ne l’aime pas.

Cela pourrait se faire. Je te regretterais, mais rien n’est encore fait. Allons !

Je frappe à la porte. André s’empresse d’ouvrir, me voit, recule d’un pas.

-Tiens, voilà Jean et Julie. Vous venez me présenter vos excuses. Entrez, j’ai de la boisson au frais. Dommage que Victoire ne soit pas là. Alors comment se passent ces vacances ?

-André, allons droit au but. Victoire nous a fait part de ton impérieuse envie de faire l’amour à ma femme. Tu te serais engagé à ne plus la solliciter si tu pouvais la baiser une fois.

-Oh ! La vilaine expression ! Pas baiser ! Je veux lui faire l’amour, j’en brûle d’envie. Tu saisis la nuance ? Je veux l’aimer et ensuite je respecterai ses vœux. Je ne la poursuivrai plus. Cependant après m’avoir appartenu, il y a de fortes chances que ce soit elle qui ne puisse plus se passer de moi. Voilà ce que je peux promettre. Elle choisira l’homme qui lui plaît en connaissance de cause. Elle a l’habitude de copuler avec toi. Il serait juste qu’elle puisse avoir des points de comparaison. Vous avez une longue vie de couple en commun. Je relève le défi : en une heure je lui donne l’envie de ne connaître que moi à l’avenir. Alors que décide-t-elle ? Jean écoute sa réponse, ne lui coupe pas la parole, ne cherche pas à l’influencer. Julie ?

-Jean et moi sommes tombés d’accord. Je veux bien faire l’amour avec toi mais une fois seulement.

-Quoi ? Tu acceptes ? Jean aussi ? Où, quand et comment ?

-Ici, maintenant et comme tu voudras, mais à la condition que Jean puisse assister à l’affaire.

-L’affaire ? Il s’agit d’un acte d’amour, de l’union sexuelle complète d’un homme et d’une femme. Tu es prête à te donner sans retenue, à fond et de toutes les façons ? Et Jean, où se tiendra-t-il ?

-Dans ce fauteuil. Il m’a promis de ne pas bouger et de se contenter de me voir jouir. Ce sera notre première expérience, sans doute aussi la dernière, sauf si Jean y prend goût et me demande de recommencer avec un autre homme.

-Ce n’est pas possible ! Il se dégourdit enfin ton Jean. Je lui souhaite bien du plaisir. Tu évoques la possibilité d’introduire un autre homme, j’espère être choisi comme partenaire. Bravo mes amis. Jean, prends place et toi ma chérie approche. Viens tout contre moi. Tu parles et je t’écoute. A la fin, tu pourras demander un sandwich et si Jean veut te plaire, nous te prendrons à deux pour t’ouvrir de nouveaux horizons. Embrasse-moi pour me prouver que tu es d’accord. Je suis fier de vous voir évoluer.

Il me fait face, attire ma femme devant lui, tournée vers moi. Par-dessus son épaule sa bouche vient chercher les lèvres de Julie.

-Ouvre la bouche, sors ta langue. Hum, y a bon Julie. Tu vois comme elle embrasse bien, elle a des besoins.

Je vois s’engager un duel de langues. André tend le cou et ferme la bouche de ma femme avec la sienne. Sa mains gauche posée sur le sein gauche le caresse délicatement, l’autre descend de l’aisselle le long du thorax, palpe au passage la base du sein, accroche la hanche. Le pied droit passe au-dessus de celui de Julie et la jambe enlace l’autre droite, limite ses mouvements comme une cale. Les bouches se désunissent

-Ma petite chérie tu es volontaire. Tu ne fais pas les choses à fond. Ce coup ne comptera pas si tu ne mets pas plus de conviction dans notre baiser. Ouvre ton bec, apporte plus de fougue.

Julie se tord le cou pour mieux recevoir le baiser venu de trois quarts. Son sein gauche est pétri, malaxé. L’ourlet de sa courte robe remonte. André s’étonne :

-Oh ! La brave fille. Jean, le sais-tu ? Elle est nue sous sa robe. J’ai tâté à travers le tissu, je n’ai trouvé aucune couture, ni sur le côté, ni devant, ni derrière. Elle est donc bien venue avec l’intention de se faire mettre et rapidement. Le savais-tu ? La bonne garce. Elle a envie, c’est certain.

-Nous avons pensé simplifier les contacts. Ton unique fois est servie sur un plateau. Ma femme accepte ton hommage. Réjouis-toi, mais n’oublie pas : une fois seulement, pas deux. Comme elle a toujours raison, je suis forcé de me plier à sa volonté. Fais vite, n’abuse pas de notre bonne volonté et de notre patience.

-Pardon, vous avez décidé ensemble pour cette fois. Je tiendrai mon engagement de ne pas la poursuivre de mes assiduités. Mais après seule Julie décidera, et j’ai la volonté de l’amener à me préférer. J’ai l’impression qu’elle joue parfaitement le jeu, son baiser de feu m’enflamme. Ma chérie, lève les bras.

André s’est détaché d’elle, a saisi à deux mains le bas de la robe, la fait remonter lentement et découvre de bas en haut les fesses si joliment ciselées, la taille bien marquée, les seins aux tétins tendus par ses caresses. Le col franchit la tête un moment masquée, dégage les bras tendus au ciel. Julie est nue, magnifique. André recule de deux pas pour l’admirer et lui demande de pivoter lentement sur place. Il veut pile et face.

Le visage de Julie est sérieux. Son regard m’interroge avant le début de la rotation. Faut-il vraiment faire durer cette mise en bouche, ne serait-il pas plus facile et plus supportable de se faire immédiatement pénétrer, de copuler sans fioritures et d’en terminer ? C’est ce que je crois lire dans ses yeux brouillés de larmes. Je me pose aussi ces questions. André au contraire avance à gestes comptés. Il veut se faire désirer de cette femme, elle doit vouloir longtemps dérouiller et être délivrée de l’acte et libérée d’une possible dose de gêne à se laisser besogner devant moi. Plus elle est confuse, torturée, plus fort elle frémira à l’heure de l’intromission de la verge. Sa lenteur a l’allure d’une vengeance. Il veut faire durer mon supplice de mari témoin de la copulation. Il me voit résigné, il veut m’écraser, m’humilier, me laisser le souvenir de ma lâcheté devant ses exigences. Il reprend place derrière Julie, légèrement en biais, jambes droites en lianes. Le sein gauche est de nouveau pris en main. André attrape la main droite de ma femme, la pousse vers la braguette de son pantalon et commande :

-Dégage ma queue et branle-moi. Montre à Jean la queue qui va te faire jouir.

Debout, un sein malaxé, le bras tenu et poussé vers le sexe placé sur son côté, Julie peine à ouvrir trois boutons de braguette. L’homme déborde sur son flanc, pousse son ventre en avant et de sa main aide celle qui tient un membre gorgé de sang.

-Va, branle-moi. Laisse passer ma main sous ton bras, je touche tes poils. Mon index effleure ta vulve, ouvre tes grandes lèvres. Oh ! Tu mouilles, c’est merveilleux. Jean, regarde sur mes doigts ce liquide visqueux : Ta femme est trempée à l’idée du bonheur qui l’attend. La sublime odeur de femme en chaleur ! Comme sa menotte travaille bien ma queue. N’aie pas peur mon amour, astique, serre bien tes doigts sur ma tige, raidis-la au maximum

De mon siège je suis le mouvement vertical de la main de femme sur la verge décalottée, j’enrage en silence devant cette main d’homme posée sur la vulve de ma femme et dont les doigts fouillent la fente échauffée et gluante de cyprine. Mais c’est le regard de Julie qui me bouleverse. Ce regard à la fois me supplie de mettre fin à la masturbation et trahit le plaisir reçu de cette fouille agitée de son intimité. Le plaisir pris devant moi la trouble et accentue les effets des caresses internes. A chaque respiration pendant le baiser, je constate son désarroi mélangé à l’émotion de ses sens. Elle est au supplice, mais c’est un supplice accepté, voulu autant que honteux. Honteux parce que je suis là. Mais elle était venue seule, sans cette honte, prête au sacrifice pour le moins. Je ne saurai jamais si elle n’espérait pas accomplir l’acte de chair, sans témoin et en en tirant un plaisir extrême. Elle remue son bassin lorsque les doigts touchent des zones plus sensibles. André la maintient fermement, me toise et me sourit, car il s’amuse à l’exciter et à me torturer. C’est un sadique. L’état de sa hampe indique qu’il pourrait aisément forcer le passage dans le ventre de cette volontaire. Il se réjouit de faire attendre et l’épouse et le mari.

-Julie à genoux. Je me souviens d’une pipe ancienne délicieuse. Jean avait vu à quel point tu m’avais fait du bien. Posons-nous de profil pour qu’il n’en perde pas une miette aujourd’hui. Vas-y, embouche-moi et joue-moi un air de flûte baveuse. La langue… fais un plateau avec ta langue, avale le plus de chair possible. Hummmm ! Suce. Au fond de la bouche, tout au fond, s’il te plaît.

André appuie sur le crâne, pousse son pubis contre la bouche pleine, se visse dans la gorge et enfin relâche la pression. La tête se détache, Julie tousse, une coulée de glaire glisse sur son menton et tombe entre les seins. Déjà les mains ramènent la bouche contre le gland, les mâchoires s’ouvrent et la tige disparaît complètement. A la sortie une toux violente secoue tout le corps. Julie demande grâce. André pour la gagner n’insiste pas. Il la relève, monte sur le lit, se couche, tête proche de moi, pieds à l’opposé et annonce bien haut :

-Ma chérie, que dirais-tu d’un gentil soixante-neuf ? Jean tu es aux premières loges. Ouvre les yeux, admire le dévouement de ta petite femme et son savoir-faire. Ça te plaît, ça t’excite ?

Soumise, incapable de mettre fin à la culbute soit parce que ses sens en feu imposent l’accomplissement de l’acte, soit parce que l’événement est trop engagé désormais et qu’il serait bête de perdre le bénéfice promis, Julie enjambe le corps, pose sa croupe sur le visage du salaud et se penche sur la bite à chatouiller et à sucer. Le mouvement fait basculer les fesses. Son arrière train s’étale. André plaque une main sur les deux hémisphères, pouces à l’intérieur et écarte les fesses.

-Jean, ta femme a un cul splendide. Vois cette fente et l’anneau serré de l’anus. J’ai faim. Quel cul superbe. Tout ça pour moi. Ce n’est que du bonheur. Tu n’avais pas imaginé, je te dédie mon bonheur. Merci à toi.

Il embrasse, lèche, parcourt la raie. Il fait le goulu, bave, tire sur les hanches pour porter sa langue sur l’œil de l’anus et commente pour moi, parle de la soie de la peau, de l’odeur spéciale du four qu’il préchauffe, du plaisir immense de percer de la pointe de sa langue le sphincter de ce cul unique. Ce commentaire n’a qu’un but : me faire sentir jusque dans les tripes la supériorité de mon adversaire, maître absolu de la situation.

-Comme elle est serrée du cul, mais elle a des frissons. As-tu l’habitude de l’enculer ? On ne dirait pas. Julie, tourne la tête, suce mes doigts.

La chevelure qui montait et descendait sur la gaule tourne, le visage rougi de Julie reparaît. Un éclair (de douleur ? de joie ?) traverse ses yeux. Elle ouvre la bouche obéissante et mouille l’index et le majeur tendus.

Reprends mon oiseau et câline-le, mieux que cela. Fais-moi beau cul, cambre-toi. Cette pointe de clitoris est délicieuse. Tu trembles !

L’index humide pointe sur le fin trou du cul, pousse sur les plis de la rose, perce, introduit l’ongle puis une phalange. Il tente d’envoyer le majeur dans le vagin sans succès. Impatient il mouille lui-même de sa salive le pouce et l’index et les dispose sur les orifices

-Hé ! Jean, ça s’appelle une fourchette. Apprends, ça pourra te servir avec ta prochaine femme : tu mets un doigt dans le con et l’autre dans le cul. Ca prépare une double. Je t’ai promis de t’associer quand je me serai fait plaisir. Que choisiras-tu, la porte avant ou la porte arrière ? Réfléchis, je travaille pour toi, gros veinard. Tiens, Julie, prends ça.

Sous l’impact Julie sursaute et gémit. Les doigts vont et viennent et les cheveux de Julie se remettent en marche. Avec le gourdin dans la bouche elle émet moins de bruits, atténue ces plaintes d’amour qui doivent me crever le cœur. Ah ! Si elle n’avait pas écouté les conseils de Victoire. Mais il a fallu qu’elle vienne, poussée par je ne sais quelle force. Je commence vraiment à regretter d’avoir repris le scandaleux refrain de la cousine conseillant de céder une fois et de l’avoir poussée sur ce lit où elle devra subir toutes les fantaisies de son vainqueur. L’adroit séducteur affole la conscience et la sensualité, fait monter lentement la température et crée une ambiance envoûtante. Peut-être a-t-il raison. Après cette lente préparation, après d’interminables préliminaires le coït semblera meilleur. La copulation arrivée en dernier l’emportera sur toutes les précédentes avec moi et Julie voudra continuer à multiplier les relations sexuelles avec son héros. Il sera appelé par elle pour lui faire connaître les orgasmes les plus fous.

Les doigts recouverts une nouvelle fois de la salive de Julie sont maintenant en activité dans le vagin uniquement. Ils y mènent un train d’enfer, arrachent des exclamations.

-Ho ! Jean, vois ce corps qui se tord. Là, je touche le point G. Entends, elle jouit sur mes deux doigts. Je vais pouvoir lui enfoncer ma queue. Tu l’entendras hurler. Elle est brûlante. Bon, Julie, vite à quatre pattes, cale tes épaules dans les coussins. Lève un peu plus ton cul.

Il commence à visiter le sillon du clitoris à l’anus du bout de son gland violacé brillant de salive, effectue quelques trajectoires, s’arrête, se tourne vers moi , me nargue :

-Jean, tu es un type formidable. J’aimerais être certain que tu approuves ce qui va arriver et que tu en assumes aussi une grande part de responsabilité. Julie n’est pas venue seule, tu ne devras pas l’accabler lorsqu’elle te quittera et voudra rester avec moi. Prouve-nous que tu es d’accord, demande-moi clairement de lui faire l’amour, jure que tu n’adresseras pas de reproches à celle que tu me livres à domicile. Et pour sceller cet accord, empoigne mon sexe, dirige-le vers l’entrée du vagin et aide-moi à la posséder. Oui, tu peux aussi me caresser les couilles pendant que je limerai son con délicieux. Es-tu près. Oui… avance. AAAÏÏÏeee !!! Aïe, arrête ! Aïe !

Je ne l’avais pas prévu. Je n’avais pas prévu le plaisir malsain qu’André allait prendre à me torturer, à me faire endurer cette abominable humiliation de devoir le guider dans le ventre de ma femme. J’ai pris sa verge dans une main, comme il me l’ordonnait, j’ai entouré de l’autre main la racine de ses couilles et ça lui a plu et, soudain, mes mains se sont mises à serrer ces chairs ardentes, à serrer, à serrer, à serrer de toutes mes forces cette paire de couilles avilissantes. Plus je serrais, plus il hurlait. Puis il s’est tu, est resté inanimé. Effrayée Julie s’est précipitée en bas du lit, a protégé sa tête avec ses avant-bras. Mais je n’avais pas l’intention de la frapper, je serrais encore à deux mains les parties génitales de ce salaud. Julie s’est rhabillée, m’a fixé, hagarde et s’est mise à crier :

-Arrête, tu vas le tuer ! Jean, stop, sauvons-nous.

Dans le couloir nous avons croisé deux membres du personnel qui accouraient. Aux manèges nous avons repris Clovis. Victoire nous a suivis. Plus tard nous lui avons raconté. André est sorti de notre vie… Pourvu que cela dure.
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Histoire de Veilleur

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Commentaires du récit : Liposuccion 14

Le 10/04/2015 - 04:12 par annizette
j'opterais plutôt sur le fait que jean est un homo refoulée et que Julie veut le cocu jean pour ses vieux jours quand sa beauté sera fanée, et l'amant Andrée pour se faire reluire sachant que celui ci, si elle se mariait avec, la ferait cocu et ou quitterait, les femmes méprises les cocus, on ne peut pas aimer un homme que l'on ne respecte pas
Le 27/11/2013 - 21:51 par polpolp
Pour en revenir au texte si le mari se fait prendre aux apparences ( trompeuses ou pas) c'est a cause de Julie qui s'exprime et montre très mal ses sentiments à chaque fois ses dires et actions font passé les autres avant son mari qui lui prend les choses au pieds de la lettre et au final les actions de Julie lui donne souvent raison donc à elle d'être en accord avec ses vrai pensées et ses actions car le comportement de Jean est complètement compréhensif...
Le 27/11/2013 - 21:48 par polpolp
De rien, mais si j'en arrive a ses questionnement c'est que vos textes sont mon "idéal" pour un texte érotique, c'est à dire une excitation qui transcende les simples scènes de sexe, une excitation transmise par l'histoire même, par les sentiments et réflexions des protagonistes, d'ailleurs de n'aime pas les textes brut de sexe autant regarder du porno y'a les image en plus, bref continuer comme sa :)
Le 27/11/2013 - 19:36 par Veilleur
Mais si je suivais votre interprétation je devrais peindre une "salope" qui cherche l'aventure et que son mari contrarie. Ce n'était pas mon intention, même si le mari se laissait prendre aux apparences : pour donner du piment à l'histoire
Le 27/11/2013 - 19:33 par Veilleur
A polpolp. Merci de me pousser dans mes retranchements. Des gens qui se rabibochent, ça existe ? Imaginez que vous êtes Julie. Si je devais donner une suite je serais Julie moquée devant les copines à la piscine à propos d'un corps différent de celui des mannequins étiques de Karl Lagerfeld. La matière est présente en grande partie dans le texte. Reste à exprimer ce que Julie ressent au cours des événements vécus ; face à l'hostilité du mari, face aux tentatives d'André, face à la solitude au retour de Tunis et à un divorce injuste, face à des prétendants, à la perte de l'espoir de renouer avec l'ombre derrière son journal, face à un gentil célibataire, face au retour de Jean au moment où elle décide de l'oublier etc... jusqu'à cette attente à quatre pattes nue devant André, résignée à subir l'acte de chair libérateur (?)mais dans le doute de l'utilité du sacrifice, dans la crainte de dégoûter Jean qui a accepté l'épreuve, face au risque de tout perdre si Jean commet l'irréparable.
Le 27/11/2013 - 19:10 par Veilleur
"Miroir, miroir, qui est la plus belle?" c'est un rêve universellement répandu, ce fut celui de Julie, ce fut l'origine de sa mésaventure. Que gagnerait Jean à tuer André? La prison! Et Julie le perdrait, donc elle tempère un comportement trop longtemps contenu et qui explose en coup de folie. La torsion des parties génitales est un acte barbare en soi. En faire l'éloge ou l'apologie serait coupable. Seul le contexte peut justifier que je rapporte cette crise de folie consécutive à la conduite humiliante d'André. M'en tirer en me réfugiant dans le réveil après un mauvais rêve, m'a paru être une dérobade. Il est plus difficile de chercher une solution. Si Julie jouit des caresses( il n'y a pas pénétration du sexe) c'est en accord avec Jean, dans le but erroné de liquider une situation intenable à cause de l'obstination constante du séducteur qui a juré (comme à la Maaf) "Je l'aurai un jour". Le harcèlement donne vigueur à l'argument fallacieux qui pousse à accomplir une fois le sacrifice de la pudeur pour être ensuite à l'abri de la tentation. Il faut être à bout pour accepter une telle ineptie. Jean interrompt André juste avant la pénétration et sauve finalement la face de la victime sacrificielle. J'aime ma Julie, restée pure dans un bain de fange.
Le 27/11/2013 - 11:49 par polpolp
triomphe de l'amour ? Julie qui joui se son amant devant son mari, qui le protège lorsque celui ci attaque enfin , quel amour, vivement la suite avec je l'espère une reprise de pouvoir du mari et une vengeance envers julie serait pas mal ahah ^^
Le 27/11/2013 - 01:45 par Veilleur
André a voulu être pris en main par Jean: mal lui en a pris. Jean dans un réflexe de défense serre et rend André inoffensif. Jamais André n'aura possédé la femme convoitée: c'est la pire punition. Avoir été si proche du but et voir le vagin échapper une nouvelle fois. Le coup du rêve est trop usé. Il y a une montée de l'exaspération, un abus de pouvoir de celui qui se sent le maître, qui abaisse et qui se trouve frustré; alors que les amoureux égarés se retrouvent.Triomphe de l'amour!
Le 27/11/2013 - 00:26 par polpolp
pas cliffhanger, plûtot retournement de situation...
Le 27/11/2013 - 00:25 par polpolp
j'espère un cliffhanger genre jean c'est endormi et ce n'était qu'un rêve ... elle n'y est pas aller .... c'est beau de rever
Le 27/11/2013 - 00:22 par polpolp
ah ah j'avais raison finalement ... mais c'est une suite sans saveur , déçu de Julie elle voulait vraiment André après tout tu ne peux plus le nier tu a choisis cette voie, bref je lirai pour savoir la suite mais tout est brisé avec cette suite, c'est beaucoup moins rechercher que d'habitude, trop simple sa vire au candaulisme, on va finir par apprendre que Jean ne revait que de sa si sa continue...

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