ACCUEIL > Hétéro > Récit : Liposuccion 6

Liposuccion 6

+18

Lue : 722 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 12/10/2013

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

Je quitte André, je suis sur le palier. Une voix de femme donne un ordre :
-Remonte, va t’excuser et fais le nécessaire.

C’est la voix de Victoire. Toute aussi ferme la voix de Julie réplique :
-Non, il n’en est pas question. Ce n’est pas ce que je cherche.

Victoire s’énerve, monte le ton. Se rend-elle compte qu’on peut saisir ses propos dans toute la cage d’escalier, du bas jusqu’en haut.
- Quoi ? Tu lui offres des vacances en Tunisie, tu acceptes un massage, tu baisses culotte,
-Non, c’est lui qui me l’a enlevée.
-Admettons. Tu laisses faire, tu te couches nue sur sa table, une fois sur le dos, une fois sur le ventre, tu écartes tes brancards, tu agites tes nichons sous son nez, tu lui colles la vue de ton abricot humide dans les yeux, il te masse en long, en large et en travers, il caresse tes reins, ton ventre, le minou et tu voudrais qu’il reste de marbre ? De quelle planète descends-tu ? C’est un homme normal, il se comporte normalement, il tire sur tes jambes, amène tes fesses en bordure de table, te met sa bite dans le sexe et
- Il ne m’a pas pénétrée entièrement. Il m’a eue par surprise. Mais dès que j’ai senti la poussée de son gland entre mes petites lèvres j’ai crié pour stopper sa progression. Il ne m’a pas mis plus de deux ou trois centimètres.
-Tu ne trouves pas que ta conduite jusque-là était une invitation à te faire l’amour. Sauter de la table quand le gars tout raide de désir te rentre dedans : Il n’y a que toi sur terre pour jouer un tour aussi dégueulasse à un homme.
- Chut, parle-moins haut.
- Alors grimpe cet escalier, entre chez lui, demande pardon, étreins-le et donne-toi à lui. Il doit encore bander le malheureux. File, attrape-lui la queue, suce-la, et fourre-la dans ta cramouille. Il pardonnera et une bonne baise avec lui te rappellera tes vingt ans. C’est un sacré chaud lapin. Va ou je lui dis de refuser de jouer le rôle du mari à Tunis.
- Il peut marcher à côté de moi, me donner la main, coucher dans ma chambre sans se croire obligé de me sauter dessus. Les occasions de se vider les couilles ne doivent pas lui manquer : il est grand, fort, beau, séduisant, il attire les femmes. Je l’ai observé à la piscine, la nuée de femmes qui l’entoure prouve son pouvoir d’attraction. Mais que veux-tu, j’aime Jean.
- Ha, celui-là, parlons-en. Il te mène la vie dure, ne veut rien entendre de la liposuccion, refuse de t’aider à passer l’épreuve. Qu’est-ce que tu lui trouves ? Moi à ta place je lui aurais déjà fait des cornes hautes comme cet immeuble.
- Dis-moi, comment sais-u qu’André est un chaud lapin ? Jean m’a raconté que tu avais un amant, est-ce André ? Tu n’as pas peur que je te le pique ? Tu fais des cornes à ton Richard ?
- Si tu crois que je m’en prive ! Essaie André et tu feras comme moi, tu te rouleras comme une chatte à ses pieds. Je ne suis pas sa seule amante, mais chaque coup pris est un bonheur. Je mouille à la seule évocation de ma dernière fois avec lui. Allez, va t’excuser et prends du bon temps avec André. En descendant tu me remercieras.
- Tu voudrais m’embarquer dans son troupeau ?Je suis monogame de nature. La polygamie ne me convient pas. Comme tu le répètes souvent, je dispose librement de mon corps : avec mon mari.
- Tu ne sais pas ce que tu rates. Tu pars quand même avec lui en avion ? Tu te racontes des histoires. Tu espères en secret qu’il te violera ? Tu joues avec le feu. Un beau jour tu ne chercheras plus à te défaire de son sexe, tu le laisseras entrer et tu appuieras sur ses fesses pour qu’il reste tout au fond de ta chatte et te donne le grand frisson. Têtue !

Au lieu de marcher derrière Julie, j’emprunte une rue parallèle et je cours. A peine entré je reçois belle maman. Elle ramène Clovis
-Tu peux le coucher, il a mangé. Demain il y a classe. Mon mari m’attend. Fais la bise à ma fille. Bisou mon petit Clovis

Maryvonne s’en va. Clovis se serre contre moi
- Papa, je veux embrasser maman avant de me coucher.

Julie arrive à point. En la voyant entrer dans sa tenue excentrique, encore outrancièrement fardée, je remarque le débordement de son rouge à lèvres à côté de la bouche. Le baiser échangé avec André a dérangé son maquillage. Sa coiffure a souffert des contacts et attouchements devant le miroir ou sur la table et de la lutte pour se dégager de la brève pénétration. Je porte ma main devant la bouche, fais « Oh ! »
- Quoi ?

L’héroïne, ma femme fidèle, consciente de sa vertu, forte d’avoir résisté à l’assaut d’une verge dure, heureuse d’avoir contré son envahissante cousine, surprise de mon étonnement simulé, sursaute, laisse tomber son trousseau de clés. Instinctivement elle le ramasse et provoque les éclats de rire de notre fils
- Maman on voit ta culotte. Ha, ha ha !

Julie se relève, gênée, elle lisse l’ourlet de sa minijupe, n’ose me regarder, fait la pivoine.
-Tu crois ? Bonsoir mon garçon. Viens je vais te lire une histoire.

Je joue l’indifférence et j’admire le dos de la maman qui va border son enfant pour la nuit. Dix minutes plus tard Julie revient, l’enfant dort. Je dévore un casse-croûte.
-Tu aurais pu m’attendre pour manger. Je me suis attardée chez ma cousine Victoire. Elle est bavarde. Elle a critiqué ma tenue et surtout ma jupe.
- La vilaine ! Elle l’a jugée trop longue, je suppose.
- Moque-toi de moi. Tu as entendu la remarque de ton fils ? J’ai honte
- Pas vraiment. Qu’a-t-il dit ? Je pensais à autre chose.
- « On voit ta culotte ». Je ne me rendais pas compte. Ma jupe remonte parce que j’ai grossi. Il faut absolument que je me fasse retirer le trop plein de graisse.

C’est reparti pour un tour, liposuccion etc. Je botte en touche.
- Tu pourrais aussi acheter des jupes à ta taille. Et si tu as peur de montrer ta culotte, choisis les plus longues. Avec le prix de ton opération tu pourrais te payer une garde-robe neuve et parfaitement ajustée. Moi j’aime bien admirer tes cuisses ou deviner la forme de ta chatte sous ta culotte. Les belles choses sont faites pour être vues. A la piscine tu n’as pas de jupe !
- Toujours aussi opposé à mon projet, je vois. C’est à cause de cette jupe que tu as fait « oh ! » à mon retour ? Tu trouves que je m’habille comme une … ?
- Mais non, ma chérie. Tu disposes librement de ton corps, tu te vêts comme tu l’entends pour attirer l’attention de qui tu veux.. Plus tu me montres tes fesses, plus je t’adore, plus j’ai envie de te caresser. Je ne dois pas être le seul à bander quand tu t’exhibes, tu fais une foule d’heureux. C’est très bien. Moi, par exemple, je te trouve décomplexée et généreuse avec ceux qui n’ont pas ma chance, magnifique, splendide. « Magnifique, splendide », elle n’a pas oublié le compliment.

J’emploie intentionnellement le vocabulaire d’André. Julie cache bien son trouble si la formule la touche lorsque je me fais l’écho du privilégié moniteur d’aquagym. «
- Et pourquoi mon cher mari m’observe-t-il aussi minutieusement ? Comme le chante Johnny, qu’est-ce qu’elle a ma gueule ?
- Regarde-toi dans ce miroir. Victoire t’a fait du bouche à bouche ?
- Quoi ? Ah ! Ce rouge ? Idiot. Je me suis mordu les lèvres ou ma langue a étalé mon rouge, comme ça. Tu … (un blanc) ou avec le revers de la main, des fois je ne fais pas attention, je frotte ma bouche.

J’ai fait mouche, ses phrases s’embrouillent. Elle cherche une explication, elle ne veut pas parler du baiser volé par André. Elle ne peut pas, ce serait trop compliqué à m’expliquer. Je sais, j’y étais : il est donc inutile de la torturer ou de l’entraîner dans une série d’aveux inextricables Je coupe court :
- Tu utilises un rouge de mauvaise qualité. Dès demain je t’achèterai du rouge-baiser, le rouge à lèvres indélébile, longue tenue, couvrant. La publicité ajoute, je crois m’en souvenir : « Semi-mat et hypoallergénique. » Tu veux ? Nous pourrions aller ensemble pour choisir la nuance de couleur. Après je t’embrasserai, on verra si le rouge voyage sur ta peau et déborde.
- Comme tu es gentil, tout à coup. Que sous-entends-tu ? Quelqu’un m’aurait embrassée. ? Tu divagues.
-Telle que tu es là, qui ne voudrait pas goûter à tes lèvres ou au reste. Tu es si belle, si attirante.

Mon revirement la rend soupçonneuse. Il est difficile de justifier un refus, il est encore plus difficile de changer de comportement. Je fais amende honorable à ma façon. Emu par ses protestations d’amour pour moi, je suis sincère.
- Je t’aime. Je me suis mal conduit avec toi. J’ai cru que tu avais un amant. Rassure-moi, ce n’est pas vrai. Je sens que tu m’aimes, malgré mon attitude déplaisante. Je regrette mon refus d’aller avec toi à Tunis. Viens m’embrasser en signe de pardon.
- Oh, mon amour. Moi aussi je t’aime, je n’aime que toi.

Comment en douter, puisqu’à deux reprises elle m’en a donné la preuve sans le savoir.
Julie s’assied sur mes genoux. Ses déclarations à André puis à Victoires m’ont réconcilié avec elle. Elle a ouvertement proclamé son amour pour moi. Au nom de cet amour, elle a repoussé André et ses promesses. Pour la même raison elle a vertement rabroué Victoire son âme damnée, la tentatrice au service d’André. Je ne peux pas dévoiler mon rôle ou ma présence sur les lieux. Que penserait-elle de moi si elle apprenait que je l’espionnais ? Mais elle mérite que je lui rende son amour. Je suis fou d’elle. Mon bras entoure sa taille, ma main se pose sur son genou. La peau est si douce. Plus haut elle l’est beaucoup plus. Ma caresse remonte sur la jambe. La minijupe retroussée, je glisse vers le haut de la cuisse, j’atteins la fourche, la place ou la peau devient soie, douceur et chaleur. Mon pouce ne trouve pas la ficelle du string, taquine la vulve dénudée
- Mais, tu n’as pas de culotte ? Tu cours nue dans les rues ?
- Que racontes-tu ? Regarde.

Elle tire sur ce qu’il est encore possible de tissu de la jupe. La ficelle apparaît dans le creux de l’aine, coincée entre cuisse et bas ventre. La vulve est découverte et des poils l’entourent, plus fournis vers le haut. Ces poils ont ennuyé André. Il veut que Julie les rase, les fasse disparaître. Je contre, je touche du bout des doigts et je loue ces frisettes
-Je vois. Pardonne encore. C’est si beau, j’adore ton sexe, avec tous ses ornements. J’aime tes poils bouclés. Tu es belle.
-Alors, que croyais-tu ? Que je courais pour attraper au vol la première queue venue. C’est vilain de penser à de tels égarements. Il va falloir m’aimer très fort pour me faire oublier ces idées humiliantes.
-Des idées qui t’excitent apparemment, mes doigts dans ton vagin sont entrés bien facilement. Tu mouilles comme après de longs préliminaires.
-Je suis tellement heureuse avec toi. Ta gentillesse me bouleverse, je suis prêt à me donner.

André n’est pas étranger à l’état de ce sexe trempé. Il a échoué de peu car le vagin s’était préparé à l’intromission. Je chasse les images des préliminaires. Julie s’est privée du plaisir préparé par les gestes de séduction, elle s’est arrachée au piège de la fornication préméditée. Elle en ressent encore de la frustration. Je lui dois une compensation. Le mari doit faire oublier l’amant rejeté. Son héroïque résistance au séducteur mérite que je me surpasse.

Allons au lit, je veux t’étreindre, te prendre, t’aimer comme un fou.
Les derniers remparts sont tombés, Julie s’allonge. Je la regarde avec des yeux pleins d’amour.
-Non, ne regarde pas mes bourrelets, c’est trop moche. Prends-moi vite.
- Que penserais-tu d’un massage. Peut-être qu’à force de te masser je pourrai gommer en surface une partie de la graisse que tu détestes. Souviens-toi, tu aimais mes massages lorsque tu étais jeune mariée. Après ton accouchement aussi tu réclamais des massages pour lutter contre les vergetures.

Chaque répétition du mot massage fait mouche .La proposition me vaut un sourire inquiet. Deux masseurs le même jour, est-ce une simple coïncidence ? La réponse se fait attendre. Julie se force à sourire, d’un sourire pincé.
- C’est vrai, nous avions oublié cette pratique. On pourrait essayer. Mais tu sais comment cela se terminait invariablement.
-Est-ce pour te déplaire ?
- Es-tu prêt à aller jusqu’au bout ? Tu me feras l’amour, tu me feras jouir, vraiment, pleinement. J’en ai envie. Je t’aime si fort, j’ai tellement besoin de te sentir en moi. Dans le tiroir de la commode, j’ai un flacon de crème. Je l’utilise, mais enduis tes mains, ce sera beaucoup mieux.

Comment ai-je fait pour douter de l’amour de Julie ? Elle est enthousiaste.
- Je commence bien par les extrémités et en direction du cœur ? C’était ta recommandation.
- Je ne sais plus. Disons qu’il faut appliquer la pression en direction du cœur et relâcher quand tu t’en éloignes. Essayons, la pratique va revenir quand tu travailleras les muscles.

C’est étrange, elle devrait se souvenir de la façon de procéder de l’apprenti kinésithérapeute il y a une ou deux heures. A quoi pensait-elle pendant que ce pourri lui échauffait les reins, huilait et pinçait le gras des cuisses, balayait la surface du ventre et appuyait sur le bas-ventre avec l’intention évidente de la porter son sang à ébullition pour réussir à la tringler sans résistance ? Elle se soumettait aux mains, prenait plaisir à ces frottements huilés, elle se détendait, elle s’abandonnait aux sensations de bien-être, abdiquait, attendait la suite logique de tous ces attouchements destinés à lui faire perdre la tête, à générer du désir et à créer du plaisir. André voulait exploiter le désir et passer à l’acte. Et Julie, si soumise dans toutes les positions, par miracle, avait réussi à s’évader de l’état de torpeur où le séducteur l’avait plongée avec ses mains. Elle ne sait plus ! Elle est en plein déni. André est oublié, son massage n’a jamais existé, sa tentative de pénétration non plus. Il lui est impossible de m’en parler, soit par honte soit par craintes des complications consécutives à un aveu de sa faiblesse momentanée.

Je masse pour stimuler les muscles, pour chasser le stress de la lutte de Julie contre son envie subconsciente d’accepter la relation sexuelle avec André. Je veux améliorer sa circulation sanguine et oxygéner son organisme et surtout évacuer les toxines. Je lisse les membres en douceur. Les paumes de mes mains frottent plus fort pour le massage abdominal. Pendant le frottement du dos, particulièrement entre les omoplates, je sens le corps de Julie se décontracter, elle ronronne comme une chatte heureuse. Elle rit aux anges durant le massage de la plante des pieds. Je pétris ensuite les chairs avec les doigts, je saisis une épaisseur que je malaxe, que je presse.
-Pas trop fort, mon chéri. Tu as retrouvé les gestes. C’est si bon.

Un petit massage capillaire me venge de celui qu’elle a accordé à André au salon de coiffure. Je triture son cuir chevelu, elle doit garder l’empreinte de mes doigts. Enfin le pétrissage des alentours de la vulve, du creux de l’aine, des parties sensibles des cuisses, après une patiente pression des globes fessiers, nous met en condition pour aborder l’acte d’amour. Les yeux chavirés à la suite de ma longue et patiente application, Julie m’attire sur elle, en elle. Elle est foudroyée presque aussitôt par un premier orgasme. La soirée a été chargée en émotions, elle a vécu des excitations successives, elle a failli remercier par l’offrande de son corps l’accord d’André pour l’accompagner en ami. Elle est rentrée toute troublée par la tentative d’accouplement d’André et a trouvé un mari repentant et aimant. Son bonheur s’exprime avec force. L’orgasme passé elle me masse à son tour. Elle finit de façon canaille, fait passer sur mon corps, des épaules aux jambes, les pointes durcies de ses tétins. Elle rit, recommence et interrompt mon rêve de bonheur : elle me fait face, attrape ma verge et la guide en elle… Au réveil elle me couvre en partie, mon pénis repose dans les poils de son pubis.
- Ma chérie, je suis le plus heureux des maris. J’ai décidé de t’accompagner à Tunis. Je suis d’accord pour la liposuccion. Ça te fait plaisir ?

Une ombre passe dans son regard. Au lieu de me sauter au cou comme elle l’a fait lorsqu’André a bien voulu jouer au mari pendant son déplacement, elle me regarde avec un air navré.
- Oui, c’est extraordinaire. Tu approuves, c’est le plus beau cadeau que tu puisses me faire. Nous sommes donc d’accord sur la nécessité de ce voyage. Cela me faisait tellement de peine de te savoir hostile à mon projet. Oh ! Oui, tu me donnes une joie immense. Je t’aime, je t’aime. Oh….

Elle tourne en rond, a du mal à me dire qu’elle a engagé André. Elle n’en revient pas, me félicite, se sent soulagée, heureuse, oui, très, très heureuse. Je regrette d’avoir trop spontanément offert mes services après une nuit d’amour. Ce n’est pas juste, je dois renoncer à la mettre en difficulté. Je n’aurais pas dû la plonger dans l’embarras. Finalement elle se décide :
-C’est que ce n’est pas possible. Je t’ai posé la question, tu as refusé. Je n’ai plus le billet d’avion, j’ai cherché et découvert une personne pour te remplacer. Je ne peux pas honnêtement réclamer le titre de transport et décevoir cette personne qui a rêvé cette nuit d’une semaine de vacances au soleil. Comme je regrette d’avoir agi aussi vite. Tu as attendu trop longtemps. Me comprends-tu ?
- Oui. J’arrive trop tard. Qui est l’heureux bénéficiaire ?
- Victoire, celle qui a su me convaincre d’y aller. Comme je regrette. Excuse-moi. Je ne peux pas faire ça à ma cousine.

Catastrophe. Je nous croyais réconciliés, amoureux comme au temps du mariage. Et vlan, je prends en plein visage une gifle à tuer l’amour. Julie Ment ! C’est André l’heureux élu. J’ai assisté à la remise de l’enveloppe. Pourquoi désigner Victoire ? Pourquoi Julie me ment-elle ainsi ? Quelle comédie me joue-t-elle ? Dans quel but ? Les questions se bousculent.
Quand dit-elle la vérité? Quand la croire, est-ce encore possible ? Je l’entends protester de son amour pour moi et aussitôt me mentir. Ou bien elle m’aime et se perd dans l’imbroglio de ses préparatifs, ou bien elle ne m’aime plus et se moque de moi avant de m’envoyer promener. Je l’ai menacée de divorcer, elle veut se venger et me tourne en ridicule. Voilà pourquoi elle ment avec cet air faussement ennuyé. Victoire, André et ma femme sont de connivence. C’est la seule explication vraisemblable.

C’est ça. Ils m’ont monté une farce. Julie veut André. Ils se sont connus à l’aquagym Les muscles du sportif ont émoustillé ma femme. Elle est tombée amoureuse de lui. Il va se faire masser le crâne et couper les cheveux par elle. Ils s’attablent à la terrasse du café voisin du salon. André me l’a dit… Il s’est gardé de m’indiquer où ils font l’amour.

Julie m’a montré à son amant ou lui a donné ma photo. Elle lui a parlé de mon entrainement au demi-fond. Il s’est joint à moi. Il a fait semblant d’ignorer que Julie et moi étions mari et femme. Il m’a embauché pour filmer ses amours. Il a poussé le vice à l’extrême. Il a reçu ma femme alors que j’étais dans son placard. Ils se sont dénudés, touchés, embrassés pour me narguer. Ils se sont amusés à me mettre sur des charbons ardents et Julie s’est offert le luxe de repousser André sous prétexte qu’elle m’aimait, mais au dernier moment pour son plaisir de le sentir en elle. Mais elle savait où André me cachait, elle savait que je filmais leur rencontre, elle jouait la naïve et se disait amoureuse de moi pour étouffer d’éventuels soupçons. C’est la reine des hypocrites. Le plus humiliant c’est sa façon de faire l’amour pour me tromper plus facilement ensuite avec André.

De même sa conversation avec Victoire à haute voix dans les parties communes de l’immeuble avait pour but de me berner. Là, j’aurais dû me méfier. Julie est la maîtresse de mon prétendu ami, ils se retrouvent régulièrement, ils ont bâti cette machination de la liposuccion pour aller s’aimer tranquillement pendant une semaine loin de moi. Je suis le dindon de la farce. Ils doivent bien rire du cocu. Faut-il être cruel pour me laisser filmer leur rencontre, le déshabillage de ma femme, ces attouchements et massages et le début de pénétration

Donc elle va me quitter et partir avec André. C’est une question d’heures ou de jours. Son ardeur au lit est le bouquet final du feu d’artifices, un dernier cadeau afin de me laisser des regrets quand je serai seul. Rira bien qui rira le dernier. Alors moi aussi je serai comédien
-Ma chérie, à ton retour je t’attendrai. Tu seras encore plus belle. Je t’aimerai encore plus fort. Enfin, peut-être Victoire aura-t-elle des scrupules à nous séparer. Je vais aller lui parler, j’ai les moyens de lui retirer mon billet. Il me suffirait d’un mot à son mari.
- Ah ! Non, tu ne dois pas recourir à la violence. Son mari n’a rien à dire. Vic le mène par le bout du nez. Laisse-moi faire. Elle était si contente hier. D’ailleurs elle avait posé des congés. Et puis, elle ne t’aime guère. Laisse-moi le soin de la décider.
18 vote(s)


Histoire de Veilleur

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : Liposuccion 6


Aucun commentaire pour le moment

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :