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Louise et Arthur 1

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Lue : 1947 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 12/05/2013

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Récit de Louise

Jamais je n'aurais pensé tomber amoureuse d'un black.

C'est peut-être à cause de l'éducation que mes parents, plutôt conservateurs, et très à droite, m'ont donnée; peut-être aussi parce que j'avais inconsciemment, comme beaucoup de gens, intégré le stéréotype du noir vulgaire et sexuellement violent.

Toujours est-il qu'en venant m'installer dans cette cité universitaire, j'étais très loin d'imaginer les événements que je vais à présent, vous conter.

Mais permettez-moi d'abord de me présenter : je m'appelle Louise V. , j'ai 19 ans, les yeux bleus, de longs cheveux noirs. On me dit plutôt jolie, et on me complimente souvent sur la beauté de mes formes.

Après avoir brillamment réussi mon baccalauréat (avec mention) je me suis inscrite en lettres modernes à la fac de la ville de G..., quittant pour la première fois un cocon familial chaleureux mais légèrement étouffant.
J'avais pris un petit appartement au CROUS, je m'y étais installée et l'avais aménagé à ma façon.

J'étais assez contente de moi. Je vous fais grâce du récit de mes premiers jours de cours, qui ne présentent que peu d'intérêt ici, et passerais directement au récit de ma rencontre avec Arthur, lors d'une soirée étudiante.

C'était un garçon que j'avais déjà croisé une ou deux fois à la fac, mais sans lui prêter attention (toujours mes préjugés ! ) , mis ce soir-là, il me fut présenté par Clara, une de mes amies.
Nous avons pris un verre, et de fil en aiguille, nous avons lié connaissance.

C'était un garçon très intéressant, charmant et cultivé. Il était en art plastiques, mais s'intéressait à toutes sortes de choses, comme le cinéma et la littérature, sur lesquels il avait des opinions très originales. J'aurais pu l'écouter des heures.

Il était également très beau, très grand, une belle voix calme et un regard doux.

Nous avons discuté ensemble toute la soirée ; et lorsqu'il commença à se faire tard, il me proposa de me raccompagner.

Nous sommes allés jusqu'à mon appartement tout en continuant notre conversation.

Il me ramena sur le seuil et me souhaita bonne nuit.
Il tourna les talons et s'apprêtait à partir, et je me sentis soudain malheureuse de le voir s'en aller.

Sans réfléchir, je lui lançais alors : "Est-ce que tu ne préfères pas entrer ? "

Je devins immédiatement rouge comme une pivoine en réalisant les implications de ce que je venais de lui dire, mais il était trop tard pour faire marche arrière, et d'ailleurs, je n'en avais pas vraiment envie...

Il eut un sourire timide, un peu gêné, mais accepta ma proposition.

Je le fis rentrer. Nous restâmes un moment l'un en face de l'autre, aucun des deux n'osant faire le premier pas.

Je fus la première à me jeter à l'eau :
"Embrasse-moi... J'en ai très envie..."

Il s'approcha, me prit dans ses bras, m'embrassa avec fougue. Il m'a caressée avec beaucoup de douceur, comme personne ne m'avait caressée avant lui ; de mon côté, je me frottais contre lui de manière sensuelle, jusqu'à ce que je sente son barreau de chair s'ériger.

Je m'accroupis devant lui et défit un à un les boutons de son jean, très lentement, en le regardant droit dans les yeux. Il haletait. Je finis par libérer un pénis de belle taille (au moins 23 cm) , très large et rigide. Sans cesser de le regarder, je le fis glisser entre mes lèvres. D'abord avec douceur, puis de plus en plus violemment. Je salivais abondamment, laissant de larges trainées humides sur son phallus.

Il se mit à gémir de plus en plus fort; craignant qu'il ne jouisse trop tôt, je stoppais ma caresse.

Je me déshabillais entièrement et m'étendis sur le lit, sur le dos, cuisses largement écartées.
"Prends-moi.... Prends-moi... Je suis prête..."

Il se plaça au-dessus de moi, positionna son sexe en face du mien et me pénétra doucement, envahissant peu à peu ma chatte ruisselante.

Puis il entama un mouvement de va-et-vient, lent et profond. C'était vraiment un bon amant. Le plaisir me submergeait peu à peu. Il me murmurait des mots d'amour tout en me défonçant.

Soudain, il lâcha mes hanches, qu'il agrippait jusque-là fermement et se mit à titiller la pointe de mes seins.

Cela me rendit folle.
Je me mis à hurler des insanités que je n'aurais jamais imaginé sortir de ma bouche : "Oh chéri, baise-moi plus fort ! Tringle-moi de toutes tes forces, vas-y ! Je veux sentir ta bite! "
Ce langage cru sembla l'exciter. Il accéléra le rythme. Je sentais son pénis qui pistonnait ma vulve.
Je rugissais de plaisir : tout l'immeuble à du m'entendre cette nuit-là, mais je peux vous assurer que sur le moment, je n'en avais absolument rien à foutre.

Après plusieurs minutes de baise intense , j'ai eu ce qui reste à ce jour l'orgasme le plus important de ma vie, un véritable décollage.
Quelques instants plus tard, mon bel amant a joui à son tour en criant mon prénom.

Nous nous sommes endormis dans les bras l'un de l'autre, épuisés mais néanmoins heureux...

A suivre...
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Histoire de Ombre

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