ACCUEIL > Candaulisme > Récit : Ma femme est puni pour proteger ma campagne municipale

Ma femme est puni pour proteger ma campagne municipale

+5

Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 19/12/2025

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

Je m’appelle Julien, 30 ans, marié à Clara, une brune sublime de 28 ans, avec des yeux verts envoûtants et un corps qui fait tourner les têtes. Dans notre région, le Nord-Pas-de-Calais, je suis connu comme le fils d’une famille influente, engagé en politique locale. À quelques mois des élections municipales du 15 et 22 mars 2026, je suis pressenti pour une liste importante, peut-être même un siège de conseiller. Un scandale, une garde à vue, et tout s’effondre : les ragots se répandraient dans les cafés, les journaux locaux titreraient sur ma chute, mes adversaires s’en donneraient à cœur joie. Ma réputation est mon arme principale, et je ne pouvais pas me permettre de la perdre avant le vote. Une garde à vue ? Impensable. Ce serait la fin de mes ambitions. Alors, quand Clara a merdé ce jour-là, j’ai fait tout ce qu’il fallait pour éviter le pire, même si ça signifiait regarder ma femme payer pour sa bêtise.
On était dans un grand magasin parisien, à la recherche de lingerie pour une soirée torride. Mais Clara a fait une connerie monumentale : elle a glissé une culotte en dentelle rouge dans son sac, pensant que personne ne la verrait. Quelle idiote. À la sortie, un vigile nous a interceptés. Karim, un colosse à la peau mate, la trentaine, muscles saillants sous son uniforme noir, nous a fixés avec un regard glacial. « Votre femme a volé. Suivez-moi, » a-t-il lâché, sa voix tranchante comme une lame.
Clara a rougi, balbutiant : « C’était une erreur, je comptais payer ! » J’étais hors de moi. « Putain, Clara, t’es sérieuse ? Pourquoi t’as fait ça ?! » ai-je sifflé, la honte me brûlant les tripes. « Tu te rends compte ? Une garde à vue, et c’est fini pour moi ! Les élections approchent, tout le monde me connaît dans le coin, les journaux en feraient leurs choux gras ! » Elle m’a regardé, paniquée, mais je n’avais aucune pitié. « T’as merdé, t’assumes maintenant ! » Karim a secoué la tête, un rictus narquois aux lèvres. « Bureau. Tout de suite. Ou j’appelle la police. » L’idée d’un scandale me tordait l’estomac : interrogatoire, photos, et demain, les gros titres dans La Voix du Nord. « Non, on règle ça ici, » ai-je grogné, fusillant Clara du regard. On a suivi ce type, mon sang cognant dans mes tempes, la peur du scandale me nouant les tripes.
Dans son bureau exigu, sans fenêtre, l’air était irrespirable. La porte s’est refermée, verrouillée, avec un claquement qui m’a fait grincer des dents. Karim s’est planté devant nous, bras croisés, son badge scintillant sous les néons crus. « Madame, fouille complète. Monsieur, vous restez là et vous regardez. Si vous coopérez, pas de police. Sinon, c’est le commissariat. » Clara a protesté, la voix tremblante : « C’est abusé ! Vous n’avez aucun droit ! » J’ai explosé : « Clara, c’est ta faute ! T’avais qu’à pas voler cette putain de culotte ! Ferme-la et fais ce qu’il dit ! Une garde à vue, et ma carrière est foutue. Je suis connu, les élections sont dans trois mois, je peux pas me permettre un scandale ! » Elle m’a regardé, les yeux pleins de larmes, mais j’étais trop furieux, trop terrifié par l’idée de voir mon nom traîné dans la boue.
Karim a pointé du doigt. « Enlevez vos vêtements. Tout. » Clara a secoué la tête, sanglotant. « Julien, fais quelque chose ! » a-t-elle supplié. Mais j’étais implacable. « T’as voulu jouer les malignes, maintenant paye ! Déshabille-toi, bordel ! Si on appelle les flics, c’est pas juste toi en cellule, c’est ma réputation qui part en fumée. Les électeurs me lâcheront, les médias me crucifieront ! » ai-je aboyé. Elle a obéi, les mains tremblantes, déboutonnant son chemisier blanc. Chaque bouton défait était comme un coup de poignard dans ma fierté, voir ma femme se dénuder devant cet inconnu à cause de sa bêtise, tout ça pour sauver ma carrière. Sa jupe crayon a glissé au sol, révélant son soutien-gorge et sa culotte en satin noir, moulant ses courbes parfaites. Elle était magnifique, mais pathétique, humiliée par sa propre faute.
« Tout, » a répété Karim, sa voix froide comme l’acier. Clara a gémi : « Non, pitié… » J’ai serré les poings. « Clara, arrête de pleurnicher ! T’as merdé, enlève le reste ! Pense aux élections : une nuit au poste, et c’est la une des journaux régionaux. Je suis pas prêt à tout perdre pour ton caprice ! » ai-je crié, la rage me consumant. Les joues ruisselantes, elle a dégrafé son soutien-gorge, ses seins ronds et fermes exposés sous la lumière crue, ses tétons durcis par l’air froid. Puis sa culotte a suivi, révélant son sexe épilé, luisant sous les néons. Elle se tenait là, nue, tremblante, vulnérable, et je sentais la honte et la colère se mêler à une chaleur perverse en moi. Karim a ricané, se tournant vers moi. « Regarde ta femme, si belle, réduite à ça à cause de son vol minable. Et toi, avec tes élections, t’as pas le choix. » J’ai grogné : « Elle l’a cherché. Mais ouais, pas de scandale avant mars. »
Karim a enfilé des gants noirs. « Écartez les bras, » a-t-il ordonné. Clara a obéi, pleurant en silence, chaque regard de ce type comme une brûlure sur sa peau nue. Il a palpé ses bras, ses seins, pressant ses tétons avec une lenteur humiliante, les pinçant jusqu’à ce qu’elle tressaille. « Rien là-dedans, » a-t-il murmuré, moqueur. J’ai sifflé : « Continue, elle mérite une leçon pour sa connerie. Et moi, je mérite pas de perdre ma carrière pour ça. » Mais voir ma femme ainsi manipulée, exposée, me tordait l’estomac, même si une part de moi, tordue, sentait mon pantalon se tendre.
« Écartez les jambes, » a dit Karim. Clara a secoué la tête, sanglotant. « Non, c’est trop… » J’ai perdu patience. « Fais-le, Clara ! T’as voulu voler, maintenant t’assumes jusqu’au bout ! Une garde à vue, et c’est fini pour moi : les électeurs me lâcheront, les médias me crucifieront. Coopère ! » ai-je hurlé. Elle a écarté les cuisses, les joues trempées, son corps offert sous nos yeux. Les doigts de Karim ont glissé sur l’intérieur de ses cuisses, frôlant son sexe, où, à ma stupéfaction, une humidité traîtresse brillait. Elle a étouffé un gémissement, et Karim a ricané. « Ta femme est trempée, mec. On dirait que ça l’excite, même avec tes élections en jeu. » J’étais furieux, mais mon propre corps me trahissait, une érection douloureuse me prenant par surprise.
« Penchez-vous sur le bureau, » a ordonné Karim. Clara s’est exécutée, les mains sur le métal froid, ses seins frôlant la surface, son cul parfait relevé, vulnérable. Il a exploré plus bas, ses doigts glissant sur son anus, puis s’attardant sur son sexe dégoulinant. « Regarde, » m’a-t-il dit. « Ta femme, prête à tout, à cause de sa bêtise. Et toi, tu protèges ta réputation. » J’ai murmuré, la voix rauque : « C’est ta faute, Clara. Mais ouais, pas de police, pas de scandale avant les municipales. »
Karim a retiré ses gants, déboutonnant son pantalon. « À genoux, » a-t-il ordonné, son membre dur jaillissant, imposant, épais, veiné, luisant sous la lumière. Clara a secoué la tête, en larmes. « Non, je peux pas… » J’ai serré les poings, la colère bouillant. « T’as voulu ça, Clara ! Fais ce qu’il dit, ou on est tous dans la merde ! Une garde à vue, et adieu mes chances aux élections : je suis connu, les gens parlent, ce serait la ruine ! » ai-je aboyé, même si une part de moi se détestait. Elle s’est agenouillée, tremblante, ses lèvres pleines s’ouvrant pour prendre Karim dans sa bouche. Au début, c’était hésitant, ses joues ruisselantes de larmes, ses mouvements saccadés, comme si elle luttait contre l’humiliation. Mais bientôt, quelque chose a changé : ses gémissements étouffés se sont faits plus profonds, sa langue glissant avec une avidité croissante le long de son gland gonflé, l’enveloppant entièrement dans la chaleur humide de sa bouche. Elle aspirait fort, ses lèvres étirées autour de sa longueur, sa salive coulant sur son menton, ses mains agrippant ses cuisses musclées pour se stabiliser. Ses yeux, mi-clos, trahissaient un plaisir qu’elle ne pouvait plus nier, son corps se cambrant légèrement, ses seins frôlant ses jambes tandis qu’elle accélérait, ses bruits de succion humides emplissant la pièce, chaque va-et-vient plus assuré, presque affamé. Je la regardais, partagé entre fureur et une excitation malsaine, mon érection pulsant si fort que je sentais mon pantalon devenir insupportable.
Karim l’a relevée d’un geste ferme, la plaquant contre le bureau en levrette. « Regarde bien, » m’a-t-il lancé, narquois, ses mains écartant ses fesses pâles pour exposer son sexe luisant, rouge de désir. Il l’a pénétrée d’un coup brutal, son membre épais plongeant profondément dans sa chatte trempée, la faisant hurler de surprise et de plaisir mêlés. Clara s’est cambrée, ses ongles griffant le bois du bureau, ses seins rebondissant violemment à chaque coup de reins puissant. Karim agrippait ses hanches avec force, ses doigts s’enfonçant dans sa chair douce, laissant des marques rouges sur sa peau, tandis qu’il la pilonnait sans merci, son bassin claquant contre ses fesses avec un rythme frénétique, le bruit humide de leurs corps résonnant dans la pièce. Clara gémissait plus fort, son corps s’arquant pour l’accueillir plus profond, ses cuisses tremblant sous l’assaut, des filets de sueur coulant le long de son dos, son cul rebondissant à chaque impact. « Plus fort ! » a-t-elle lâché malgré elle, perdue dans l’extase, et je sentais ma colère se dissoudre dans une fascination perverse, mon sexe si dur que je devais serrer les poings pour ne pas me toucher.
Puis Karim l’a retournée d’un mouvement fluide, la soulevant pour l’allonger sur le bureau en position missionnaire, ses jambes écartées en grand, son sexe rouge et gonflé offert comme une invitation obscène. Il s’est positionné entre ses cuisses, frottant son gland contre son clitoris sensible avant de plonger en elle d’un seul élan lent et profond, la remplissant complètement. Clara a cambré le dos, ses seins se soulevant au rythme de ses halètements, tandis qu’il commençait à bouger, d’abord avec une lenteur torturante qui la faisait gémir de frustration, puis accélérant en coups de boutoir vigoureux. Ses mains pétrissaient ses seins, pinçant ses tétons durcis entre ses doigts, tirant dessus jusqu’à ce qu’elle crie, son bassin se soulevant pour rencontrer le sien. Chaque pénétration était visible, son membre luisant de ses jus entrant et sortant avec une précision impitoyable, ses couilles claquant contre elle à chaque poussée, le bureau grinçant sous leur poids. Clara s’abandonnait totalement, ses yeux rivés aux siens, ses ongles labourant son dos, ses cris devenant des supplications : « Oui, comme ça… » J’étais figé, ma voix rauque murmurant : « C’est ta faute, Clara, » mais mon corps tremblait d’excitation, mon sexe si dur que je sentais une pression insoutenable monter.
Quand Clara a joui, c’était comme une explosion : son corps s’est arqué violemment, ses cuisses se refermant autour de Karim dans un étau désespéré, un cri déchirant emplissant la pièce, son sexe se contractant autour de lui en spasmes visibles, des vagues de plaisir la secouant de la tête aux pieds. Ses seins tressautaient, son visage crispé dans une extase brute, ses yeux roulant légèrement en arrière, sa bouche ouverte laissant échapper des gémissements saccadés. Des gouttes de sueur perlaient sur son front, ses cheveux collés à ses joues, et son corps continuait de trembler, secoué par des soubresauts incontrôlables alors qu’elle haletait, à bout de souffle. Elle semblait à la fois épuisée et submergée, ses mains lâchant le bureau pour retomber mollement, son regard trouble croisant le mien pendant une seconde, chargé d’un mélange de honte, de plaisir et de quelque chose d’indéfinissable, comme si elle réalisait l’ampleur de ce qu’elle venait de vivre. Ses lèvres tremblaient, murmurant un faible « Julien… » avant que ses yeux ne se ferment à nouveau, son corps s’alanguissant sur le bureau, encore parcouru de frissons résiduels, son sexe luisant de son propre plaisir.
La voir ainsi, perdue dans un orgasme si intense, a fait basculer quelque chose en moi. Mon érection, déjà insupportable, a pulsé violemment, et sans même me toucher, j’ai senti une chaleur humide envahir mon pantalon. J’ai éjaculé, là, impuissant, les jambes tremblantes, ma semence trempant mon boxer, une tache sombre se formant sur mon jean, chaude et collante contre ma peau. La honte m’a submergé, mais je ne pouvais détacher mes yeux de Clara, toujours secouée par les dernières vagues de son plaisir, tandis que Karim continuait quelques instants avant de se retirer, son membre encore dur pulsant dans l’air.
Karim s’est rajusté, un sourire en coin. « Vous pouvez partir. Pas un mot, ou c’est la police – et pour toi, mec, adieu les municipales. » On s’est rhabillés en silence, Clara encore secouée, les joues humides, son regard évitant le mien, comme si elle luttait pour reprendre contenance après cet orgasme dévastateur. Je sentais mon pantalon collant, la honte de ma propre réaction me brûlant autant que la colère contre Clara. Je lui ai pris la main, partagé entre reproche et une étrange complicité. Cette humiliation, causée par sa faute, avait éveillé un feu sombre en nous, un secret qu’on porterait à jamais – surtout avec les élections en ligne de mire.
5 vote(s)


Histoire de minsk07

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : Ma femme est puni pour proteger ma campagne municipale


Aucun commentaire pour le moment

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :