Ma nouvelle vie 2

Après cette soirée qui fut pour moi une révélation, j’avais pris goût au sexe pour le plus grand plaisir de mon mari. Il n’était pas rare que je lui fasse des petites surprises, habillée sexy le soir à son retour, le gratifiant d’une petite fellation au réveil ou bien lui sautant dessus dès que l’envie s’en faisait sentir.

Malgré cela, il prétextait toujours des dîners ou séminaires pour pouvoir s’éclipser 3 à 4 fois dans le mois. J’étais tiraillée entre lui avouer que je savais tout et fermer les yeux. J’avais trop peur de tout gâcher et malgré une pointe de jalousie, je décidais de conserver les choses en l’état. Son comportement n’avait pas changé, il était toujours aussi amoureux et me le montrait régulièrement par des attentions.
Pourtant de mon côté, mon corps ressentait le besoin d’explorer de nouveaux horizons, cette soirée en club m’avait transformé et je me rendais compte désormais de mon pouvoir de séduction avec les hommes. J’avais également découvert ce soir là les plaisirs lesbiens et avais particulièrement apprécié.

Un jour, au cours d’une journée shopping, mon mari m’encouragea à m’acheter des tenues un peu moins sages et strictes que d’habitude. Nous avons explosé le budget du mois ce jour là et je suis repartie les bras chargés de paquet. Arrivés à la maison, mon mari a voulu que j’essaie les différentes tenues. Je défilais ainsi devant lui en jupe courte, petite robe ou simplement en dessous. Il était très content que je mette enfin mon corps un peu plus en valeur. Il trouvait super que des décolletés aient remplacé des hauts trop sage et plus informes.
Il me prit dans sa bras et me caressa le dos et les épaules, j’étais juste en soutien gorge et tanga assorti. Il m’embrassa, glissant sa langue dans ma bouche. Son baiser était sensuel. Je me laissais glisser à ses genoux et dégrafais son pantalon. J’extirpais son sexe à demi gonflé et entrepris de le sucer. Le miroir de notre armoire me renvoyait l’image de cette femme sexy et sensuelle que j’étais devenue. Mon mari apprécia cette caresse, m’encourageant par des mots tendres. Il gonflait entre mes lèvres. Je l’emmenai jusqu’au bout et le laissais se déverser dans ma bouche. J’avalais tout à sa plus grande joie.

Le lendemain, comme chaque premier vendredi du mois, il avait sa partie de poker avec ses potes. Cette fois-ci, elle avait lieu à la maison. Habituellement quand c’était le cas, j’en profitais pour aller rendre visite à mes parents avec les enfants mais ce soir là, je les avais juste déposés chez eux pour la soirée et le week-end. Mon mari et moi devions nous rendre à un salon le samedi.
Bref, me voila de retour à la maison, mon mari et ses trois copains sont dans la salle à manger autour de la table. Je les salue et monte me changer pour me mettre plus à l’aise. Notre chambre est à l’étage et donne sur la salle à manger. Je laisse la porte entrouverte et pendant que je me change, j’entends la conversation des hommes en bas…

- Toujours aussi charmante ta femme, lance Marc le meilleur ami de mon mari
- Merci, c’est vrai que j’ai de la chance
- T’es un veinard mon vieux, la mienne a pris 20 kilos depuis notre mariage ! dit Jean-Pierre
- C’est sûr que nos femmes deviennent plus des mamans que des maitresses avec les années, répond Michel le 4ème larron.
En chuchotant, mon mari leur répond que c’est tout l’inverse avec moi depuis quelques temps, il leur raconte tout d’abord que mes tenues vestimentaires ont bien changé et que je n’hésite plus à mettre des décolletés ou des robes plus courtes. Et il ajoute qu’au lit, c’est de mieux en mieux !
Je souris, heureuse et fière que mon mari parle de moi ainsi.

-ah bon ?? tu en as trop dis ou pas assez, rétorqua Marc... racontes nous un peu !!
Un silence s’installa, puis de nouveaux chuchotements, cette fois si à peine audible pour moi. Je m’approchais un peu plus de la porte et tentais de savoir ce qu’ils se racontaient. Les 3 compères s’étaient rapprochés et ils écoutaient religieusement mon époux qui semblait leur raconter beaucoup plus que de simples commentaires sur ma façon de m’habiller.
Je fis un peu de bruit en fermant un tiroir, les paroles reprirent du volume…

- à toi de jouer Marco, lança mon mari…
- euh oui… pardon !! difficile de reprendre mes esprits mon cochon !!
Je les entendis rire puis reprendre le cours de leur partie.

Dans ma chambre, je décidais de titiller un peu ces hommes. J’enfilais mon bas de jogging que j’utilise pour mon fitness et qui me moule un peu les fesses et un petit débardeur noir qui lui me moule carrément les seins. Je descendais les rejoindre et vint faire une bise à mon mari. Je remarquais le regard des trois autres hommes sur moi.

- J’espère que tu gagnes mon chéri, lui demandais je, on n’a pas les moyens que tu perdes des sous ce soir !!
- Tu rigoles, dit Marc, on est entrain de le plumer ton homme !! si ça continues ça va lui coûter sa chemise… ou la tienne !!!

Il dit cela avec un air malicieux, personne ne releva. Je restais à côté de mon mari, légèrement penchée et je savais que Marc et Michel, en face de moi avaient une vue plongeant sur mon décolleté et par conséquent sur ma poitrine.

- C’est pas juste, lança Marc, ta femme vient nous troubler pour nous déconcentrer !!
- Comment ça !? demandais-je
- Bah oui, tu uses de tes charmes pour nous déstabiliser !! et il joint le geste à la parole en mimant une poitrine avec ses mains !!
Tout le monde rigola et je me redressais, tirant mon débardeur un peu vers le haut. La partie reprit.

Quelques minutes plus tard, mon mari avait pour une fois un beau jeu en main mais plus grand-chose à miser. Marc en face semblait également avoir du jeu et faisais monter les enchères, il voyait que mon mari était embêté de ne pas pouvoir enchérir…
- Plus assez de jetons mon poto !!??
- Non, pour une fois que j’ai du jeu !
- Tu veux miser autre chose ?
Un silence s’ensuivit, Marc avait le sourire triomphant…
- A quoi tu penses Marco ! je te connais, t’as une idée derrière la tête !
- Et bien, ta jolie femme nous a dévoilé un petit peu d’elle tout à l’heure… si elle est d’accord, elle nous en montre plus si tu perds… de mon côté je mets tapis !? Qu’est ce que vous en pensez ?
Mon mari ne répond pas et me regarde l’air interrogateur. Je suis surprise de cette demande de Marc mais je me dis qu’après tout, ça peut être rigolo
- Ok ! lui dis-je mais dommage pour toi, tu vas perdre gros et ne rien voir de plus
- C’est le risque effectivement mais la récompense éventuelle en vaut le coup d’après moi. Attention, par contre si ton mari perd, tu nous en montres plus et tu prends sa place dans cette tenue… comme ça on en profitera plus longtemps.
Mon mari a un carré de rois en main et je n’imagine pas un instant que Marc puisse avoir mieux… erreur, terrible erreur !!
Mon mari dépose son carré de rois avec un sourire de vainqueur au centre de la table. Je vois le regarde de Marc surpris mais à son tour, il dépose ses cartes une à une devant lui, un carré d’as !!!! Je n’en crois pas mes yeux ! Jean-Pierre et Michel s’esclaffent, Marc jubile en se levant !!
- Wahou !!! le coup de maître !! ah la vache que c’est bon de gagner comme ça !!! lance-t-il !
Nous rigolons tous, bien qu’un peu jaune pour moi. Mon mari se lève et me tend la chaise…
- A toi ma chérie, je te laisse assumer, je vais me servir un coup à boire !!!
Marc se frotte les mains : Allez Florence, chose promise, chose due !! nous sommes impatients ! Désolé Pierre, j’espère que tu ne nous en veux pas trop !! ahahah !

Mon mari, parti vers la cuisine fit un signe de dépit de la main en nous tournant le dos. Les trois hommes face à moi attendaient avec impatience la suite. Je ne voulais bien entendu pas passer pour une allumeuse. J’entrepris donc de quitter mon haut sous le regard médusé des trois amis. Mes seins lourds apparurent… bien entendu, je n’avais jugé utile de porte un soutien-gorge.

Marc laissa échapper un petit sifflement très flatteur. Michel donna un petit coup de coude à Jean-Pierre qui n’en ratait pas une miette.
- Bon allez, on reprend la partie ! lança Michel, impatient.
- Ok mais je n’ai pas de jetons, lui dis-je.
- Tu n’as qu’à leur en acheter, dis Pierre depuis la cuisine…
On se regarda tout les 4 interrogatifs…
- Bah oui, tu as échangé un haut contre une belle somme, tu n’as qu’à continuer sur ce terrain là.
Il avait dit cela tout naturellement, comme si tout ce qui se passait était normal.
- Je vois, dis je, le soucis c’est que je n’ai pas beaucoup de vêtement à vendre sur moi !!
- Je t’offre 100€ pour ton pantalon si tu veux, dis Marc…

Je pris son argent et me relevais pour faire glisser mon jogging, dévoilant mon corps, cette fois juste couvert d’un tanga noir.

Les trois hommes étaient tout sourire devant mon corps ainsi dévoilé. Mon mari nous avait rejoins et buvait confortablement assis dans un fauteuil derrière nous. Il ne semblait pas du tout gêné de la situation. Moi, cette dernière commençait à sérieusement m’échauffer.

Je me refis rapidement une santé, gagnant trois parties de suite. Ma cagnotte s’élevant désormais à 225 €. Michel menait avec 450 € , devant Jean-Pierre 200€ et Marc 100 €. Un tapis de Marc le fit sortir de la partie, il s’installa à côté de Pierre et je les entendais chuchoter derrière moi sans pouvoir vraiment entendre ce qu’ils se disaient. Je me doutais bien que je devais être au centre de la conversation.
La partie suivante, Jean-Pierre fit également tapis, je suivis persuadée que mon brelan de dames allait me faire gagner. Nouvelle erreur, il avait une suite et je perdais toute mon avance, me retrouvant avec 5€…
Michel sauta sur l’occasion en me proposant de l’argent pour pouvoir continuer. Je me tournais vers Pierre qui ne fit aucun commentaire, me laissant la responsabilité de mes actes.
- Ok… mais 150 alors pour ma culotte !
- Ça me va !!
Une nouvelle fois devant le regard des 4 hommes je me dévoilais un peu plus, faisant apparaître mon petit minou tout épilé.
- Whoua !! ça me change de la touffe de ma femme laissa échapper Jean-Pierre !!!
Je me rasseyais, traversée par un petit frisson au contact de la chaise sur mes fesses nues. La partie reprit mais décidément je n’étais pas douée et Michel était particulièrement en veine ce soir. En trois tours, je me retrouvais à faire tapis. Michel avait désormais presque 1000 € devant lui. Sa paire d’as mit fin à nos espoirs à Jean-Pierre et moi. J’allais ramasser mes vêtements lorsque Michel proposa un quitte ou double. Il proposait de faire une croix sur ces gains du soir ou de les doubler, sur une nouvelle partie.
Les trois hommes acceptèrent et se tournèrent vers moi… je haussais mes épaules, reposais mes affaires et me rasseyais.
- Ok mais je ne vois pas ce que je vais pouvoir perdre cette fois-ci !
- C’est vrai ça, Florence ne peut plus perdre de vêtements donc qu’est ce que tu veux qu’elle mise ? demanda mon mari.
- J’ai bien une idée mais…
Michel hésitait à aller plus loin, un peu gêné des idées qui lui traversaient la tête.
- Ok, j’ai compris les hommes… je vous propose de noter chacun un gage pour moi sur un papier. Si je perds je tire au sort un papier et j’exécute le gage. Interdit bien entendu de vous concerter..
L’idée a semblé enthousiasmer l’ensemble de l’assistance et la partie put commencer. Marc bâta puis distribua les cartes. Nous devions dévoiler une à une nos cartes, la plus belle main l’emportait.
Marc avec une paire de rois fut le premier à récupérer sa mise du jour. La seconde manche, j’avais aucun jeu une nouvelle fois, si Michel l’emportait, Pierre, Jean-Pierre et moi avions définitivement perdu nos mises. Finalement c’est mon mari qui l’emporta grâce à un brelan de 2 !!
Il redistribua les cartes. J’avais une paire de 8 mais Jean-Pierre une paire de 10… ne restait plus que Michel qui nous sorti une paire de dames… Jean-Pierre venait de perdre 250 € de plus ce soir et moi, je devais me résoudre à tirer un petit papier.
Je le dépliais et pu lire l’inscription : « choisis un des 4 hommes présents et fais lui une fellation dont tu as le secret… »
Incroyable, c’était l’écriture de mon mari ! Je lus le mot à voix haute bien entendu mais leur dis également que pour choisir, je souhaitais voir leur sexe et que seulement après je ferais mon choix.
Les 4 hommes se regardèrent, Pierre se leva et baissa son pantalon et son boxer, dévoilant son sexe, suivi de ses amis. Ces derniers étaient excités par la situation car les sexes dévoilés étaient déjà partiellement en érection. Jean-Pierre avait un sexe court mais très épais, Michel avait une queue bien proportionnée, assez fine mais relativement longue et Marc, qui bandait à peine avait un sexe déjà presque aussi gros ceux de ses compères.
Je jetais mon dévolu sur ce dernier. Je m’approchais de lui, posais une main sur son torse, le faisant reculer jusqu’au canapé. De mon autre main je pris son sexe pour le soupeser ce qui eut pour effet immédiat de le faire grossir. Je ne m’étais pas trompée.
Je me mis à genoux devant lui tandis que les trois autres hommes s’étaient rapprochés et se caressaient en nous regardant. Je le branlais doucement le regardant droit dans les yeux puis je le fis glisser dans ma bouche, jouant avec ma langue autour de son gland. Je m’appliquais à le pomper, sa queue devenant énorme. Il m’encourageait et fit un signe de la main à Pierre pour le remercier. Ce dernier était venu derrière moi et me caressait les fesses.
- Je vais jouir dans ta bouche de petite salope, ma femme n’a jamais voulu mais je sais que toi tu adores ça !! m’annonça Marc.

Je sentais son gland grossir, j’accélérai le rythme et soudain, je sentis les giclées chaudes s’écraser sur mon palais. Je manquais de m’étouffer tellement sa semence était abondante. Je l’avalais en plusieurs gorgées, félicité par Marc. Je me relevais m’essuyant le coin des lèvres et me retrouvais entre Jean-Pierre et Michel, sexe à la main.
- T’as mérité qu’on s’occupe de toi ma belle, me dit Michel, ton mari nous a vanté tes talents de suceuse mais moi c’est ta chatte qui me tente…
Il s’assit sur le canapé et m’attira vers lui. Je l’enfourchais et le laissais guider son sexe vers mon minou trempé. Il me pénétra sans difficulté, sa longue queue assez fine venait taper au fond de mon vagin mais je devais bouger les hanches pour mieux la sentir. Jean-Pierre était monté sur le canapé et présentait désormais sa belle bite à ma bouche. Je ne me fis pas prier et le suçais avec plaisir.
S’en suivit deux heures de baise non stop au cours desquelles chaque homme me prit au moins une fois. Ils me jouirent dans la bouche, sur les seins ou au fond mon vagin. Vers 2h du matin, chacun partit rejoindre le domicile conjugal non sans me promettre de remettre ça.
Pierre était heureux de cette soirée et m’avoua que je venais de réaliser son plus grand fantasme.

Après une nuit de repos, alors que je sortais de mon sommeil. Une main se glissa sous le drap à la rencontre de mes fesses, je la laissai faire. La main s’aventura vers mon sillon bientôt remplacée par une bouche chaude et humide. Je sentis la langue glisser sur mon petit trou et tenter d’y pénétrer. Je recevais cette nouvelle caresse avec délectation. Un doigt, puis deux vinrent s’y engouffrer ensuite. C’était tout nouveau pour moi mais terriblement excitant. Je sentais mon petit trou s’ouvrir comme une fleur, trois doigts y avaient pris place désormais.

Je sentis alors le contact du sexe sur mon petit trou, le gland essayait de se frayer un chemin.
- Je rêvais de t’enculer depuis hier soir, ma belle. Ton cul me fait bander comme jamais !!
Cette voix n’était pas celle de Pierre mais celle de Marc… j’eus un moment de surprise puis me souvint brutalement que Pierre était parti rendre visite à sa mère malade et que Marc avait prévu de passer pour nous rendre des outils de mon mari. Une vague de chaleur remplaça rapidement ma surprise. Son sexe avait pénétré de quelques centimètres et il continuait de pousser. Il me tenait par les hanches et s’enfonçait un peu plus encore. Une fois au fond, il commença de très lents vas et viens, je sentais toute la longueur et l’épaisseur de sa belle queue. Le passage était fait et ses mouvements devinrent plus rapides, plus profonds. Je me laissai complètement faire tandis qu’il me traitait de salope, de pute, de chienne, tout ces mots qui ne faisaient que décupler mon excitation.
Il se retira, me retourna sans ménagement et s’enfonça entre mes jambes. Il avait encore grossi et était à deux doigts de gicler en moi. J’avais déjà eu un orgasme et montais de nouveau. Je m’accrochais à ses bras, il m’embrassa avec fougue, sa langue s’enroulant autour de la mienne.
Il se retira, attrapa son sexe et l’approcha de ma bouche.
- Vas y ma belle, pompes moi, j’adore jouir dans ta bouche.
Je laissais une nouvelle fois cette belle queue glisser entre mes lèvres, il ne fut pas long à venir et je recevais de fortes giclées de sperme au fond de ma gorge. Je le pompais jusqu’au bout, nettoyant ce beau sexe.
Il se rhabilla rapidement.
- Tu dis rien à Pierro, il faut qu’on se revoit, j’ai deux trois copains bien membrés qui seraient contents de profiter de ton cul. Je vais te les présenter.
Je ne répondis pas, essayant de retrouver mes esprits.
Je filais sous la douche avant le retour de Pierre. Je ne pus m’empêcher de repenser aux dernières paroles de Marc… j’étais de nouveau excitée…
La suite bientôt