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Ma nouvelle vie 4

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Lue : 4116 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 24/10/2015

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De retour à la maison, je décidais de reprendre les choses en main et de retrouver un peu de tranquillité et de sérénité dans ma vie, je ne pouvais pas me comporter en véritable pute pour Marc et ses potes. Je ne voulais surtout pas faire de peine à mon mari, je l’aime et même si de son côté, il semblait toujours avoir une double vie, je ne voulais pas continuer sur cette voie.

Malgré toutes ces bonnes résolutions, quelque chose avait été réveillé en moi et les câlins avec mon mari ne me suffisaient plus. J’avais besoin de davantage de bestialité, d’excitation et surtout j’avais pris goût aux sexes d’étalon !

Pourtant pas grande chose ne se passa jusqu’à une soirée à laquelle mon mari et moi étions invités. Il s’agissait de l’anniversaire d’un ami, Philippe qui fêtait ses 50 ans. Bien entendu, Marc serait là mais accompagné de sa femme, donc je ne « risquais » pas grand-chose pensais-je.

Arrivés chez Philippe, la fête battait son plein. Il y avait une trentaine de personnes. J’en connaissais une bonne moitié. Marc vint bien sûr me saluer, me félicitant pour le joli décolleté que j’arborais. Je lui demandais d’être un peu plus discret, que je ne voulais pas qu’il me mette mal à l’aise devant nos amis. Je m’empressais d’aller converser avec d’autres personnes pour éviter de trop rester avec lui.

La fête était vraiment sympa, un vaste buffet avait été installé autour de la piscine et les convives allaient et venaient entre le jardin et le salon. A force de boire, je fus prise d’une irrésistible envie d’aller aux toilettes. Je rentrais dans la maison et filais vers celles-ci. Après m’être soulagée, je sortis et tombais nez à nez avec Marc. Il me repoussa à l’intérieur.

- Enfin seuls, tu me donnes envie depuis le début de la soirée !
J’essayais bien de le repousser mais il s’était plaqué à moi et avait empoigné mes fesses, relevant ma robe qui ne couvrait déjà plus mes fesses.
- Fais pas ta mijaurée, je suis sûr que ma queue te manquait ! allez suces moi, fais vite avant qu’on se rende compte de notre absence !

Il avait joins le geste à la parole et avait dégrafé son pantalon. Sa queue en était sortie gonflée et tendue.

Je ne me fis pas prier deux fois et m’accroupissais devant lui. Je l’enfournais dans ma bouche et le suçais avec délectation. Il gonflait encore entre mes lèvres. Il accompagnait mes mouvements de balancement de hanches, comme s’il me baisait la bouche. A ce rythme, il ne tint pas longtemps et me prévint de l’arrivée imminente de sa jouissance. Je continuais et reçu plusieurs jets de sperme que j’avalais sans broncher.

Il rangea son outil et se rhabilla rapidement avant de sortir. Je remettais moi aussi de l’ordre dans ma tenue et attendis quelques instants avant d’à mon tour, rejoindre la fête.

Plus tard dans la soirée, je vis Marc en grande discussion avec Philippe. Il regardait dans ma direction. Philippe semblait surpris.

Il me sourit. Je me demandais bien ce que pouvais lui raconter Marc et cela m’inquiétait un peu. Après quelques minutes, il vint vers moi. Il entama la discussion sur une passion commune que nous avions, à savoir les bonsaïs, ces petits arbres vieux de plusieurs dizaines d’années.

Il me demanda si je voulais voir sa dernière acquisition. Je le suivis donc à l’intérieur de la maison vers son bureau. Je ne vis pas tout de suite Marc qui nous suivait également. Ce n’est qu’une fois entrés dans le bureau lorsqu’il ferma la porte derrière lui que je le vis.
Devant mon air interrogateur, il me dit simplement que comme il était venu sans cadeau pour l’anniversaire de Philippe, il avait décidé de lui offrir une petite salope. Je n’en croyais pas mes oreilles. Philippe à côté de moi était tout excité par cette idée.

- Marc m’a parlé de tes performances et je t’avoue que j’ai toujours rêvé de voir tes gros nichons !! allez faisons vite, je ne voudrais pas que ma femme nous surprenne.

Et sur ce, il s’était approché de moi et sans aucune hésitation, s’était saisi de mes seins, se mettant à les peloter sans gêne. Je me laissais faire, sous le sourire dominateur de Marc qui était resté près de la porte.

Philippe avait fait descendre ma robe et me dégrafa mon soutien-gorge. Il resta un moment les yeux rivés sur mes seins avant de se jeter dessus et de les embrasser avec fougue. Il me retourna et me fit prendre appuis sur le bureau, je le sentis écarter mon string. Je sentis bientôt son sexe se frotter à ma chatte qui je l’avoue était déjà trempée.

- Mais t’avais raison Marc, elle est trempée, elle aime ça la cochonne !!

Un sentiment de honte me traversa rapidement étouffé par la vague de chaleur qui remonta de mes reins lorsque son sexe s’enfonça en moi. Il me remplissait bien et me prit lentement, profondément, profitant de l’instant. Il était à moitié couché sur moi, son bas ventre allant et venant contre mes fesses. Je sentais son souffle chaud sur ma nuque et il en profitait pour me triturer les seins.

Il se retira et me demanda de me tourner. Je m’assis sur le bureau, il me poussa pour que je m’allonge et il remonta mes jambes bien haut. Il frotta de nouveau son sexe au mien mais je le sentais glisser son gland vers mon petit trou qui ne demandait qu’à s’ouvrir.

- Vas-y fais toi plaisir Philippe, tu peux l’enculer, elle adore ça !! lança Marc qui s’était approché pour regarder.

- Tu me gâtes pour mes 50 ans ma belle, ça va être une première pour moi !!

Et sur ce, il commença à pousser avec son sexe. Une fois le gland passé, son sexe coulissa lentement jusqu’au fond.

- C’est bon, c’est serré, gémissa-t-il

Il commença alors un lent vas-et-viens, je sentais son sexe gonflé, prêt à exploser. Et il ne lui fallut pas beaucoup de mouvement pour que je sente son liquide chaud m’inonder les fesses, son sexe crachait par saccades. Il se retira et je sentis son jus couler le long de ma raie. Je me redressais et le vit claquer dans la main de Marc.

- Tu permets que je profite un peu de ton cadeau, lança-t-il à Philippe.

Ce dernier lui fit signe d’y aller et avant même que je n’ai eu le temps de bouger, Marc était entre mes jambes, son sexe à la main. Il me pénétra d’un coup, il voulait juste me baiser comme la chienne que j’étais devenu. Il s’agrippait à mes jambes et me besognait avec force. Philippe n’en loupait pas une miette. Il était venue de l’autre côté du bureau et me pelotait les seins, son sexe avait repris de la vigueur et il me prit la tête pour que je suce. Je le pris en bouche et m’appliquais tandis que Marc se déchaînait littéralement entre mes cuisses. Je sentis son sexe gonflé encore et dans un dernier coup de reins il se vida en moi. Philippe voyant cela, se retira de ma bouche et se branla au dessus de mon cou, de petits jets de sperme vinrent retomber sur mes seins à sa grande satisfaction.

Ils me laissèrent ensuite et après s’être rhabillés ils quittèrent la pièce. Philippe m’indiqua la salle de bain voisine si je voulais me nettoyer.

Je redescendis après de longues minutes, afin d’être la plus présentable possible.

Pierre vint vers moi. Il était agacé et me questionna sur mon absence. Pour la première fois il me fit une scène de jalousie. Un peu plus tard, je le vis avoir une vive altercation avec Marc dans le jardin, il revint vers moi furieux et m’ordonna de rentrer. Dans la voiture, un silence pesant nous accompagna jusqu’à la maison où on s’hurla dessus pendant de longues minutes.

A partir de ce soir là, nos rapports ne firent que se dégrader et les semaines et mois suivants furent difficiles à vivre. Je finis par lui avouer que je savais tout sur ces escapades, sa relation avec la certaine Liberty, les clubs échangistes et que de mon côté j’en avais également profité. Après tout, c’est lui qui m’avait jeté dans les bras d’autres hommes lors de cette fameuse soirée poker.

Bref après 8 mois d’engueulades, de règlements de compte divers, le juge a prononcé notre divorce et me voila revenue à la case départ. J’ai la garde des enfants une semaine sur deux et nous avons revendu notre pavillon. Je me suis installé dans un petit appartement avec une grande chambre où j’accueille mes enfants lorsque je les ai et un canapé lit dans la pièce principale…

Je me suis également mis à la recherche d’un nouveau travail après 12 ans à avoir travaillé comme secrétaire de mon ex-mari, bref, nouveau départ pour une nouvelle vie !!!
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Histoire de LN78

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