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Ma soumise à moi 18

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 09/08/2023

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Pause-café.

Un Après-midi d'été, chez nous, il fait très beau.
J'émerge de ma sieste que j'ai faite dans mon salon de jardin.
Ma femme quant à elle doit encore être à l'intérieur s'affairant certainement à préparer le repas de ce soir ou à lire un de ses roman préféré.
Dehors tout est calme, on peut entendre le bruit des cigales.
J'entends ma chère épouse me demander de l'intérieur de la maison si je veux un café.

M « Oui si tu veux »

J'entends alors des bruits de talons résonner sur le carrelage du salon.
Quelques minutes plus tard, je vois arriver ma femme en tenue de soumise super bandante !!
Je n'en crois pas mes yeux.
Elle se pointe à moitié nue dehors avec un plateau contenant tout le nécessaire pour le café telle une petite soubrette aux ordres de son maître...
Elle a sorti le grand jeu :
Escarpin de dix centimètres qui met très bien en valeur sa cambrure et ses fesses de déesse, un bustier en dentelle très court et qui arrive au raz de ses tétons.
Un porte jarretelles noire et string assorti, une paire de bas-résilles et pour compléter le tout un collier noir relié à une laisse en cuir.
Elle pause le plateau sur la table à côté de moi.

T « Mon maître veut-il que je lui serve le café ? »
M « Oui bien-sûr, c’est tellement bien présenté. »

L'air sérieuse, elle me verse un café, y met un sucre, ajoute une cuillère et me tend l'ensemble.
A peine servie, elle se retourne, se saisie d'une cravache qu'elle avait posée sur le plateau, revient vers moi en me tendant le bout de sa laisse et la baguette.
C'est incroyable, j'ai ma petite soumise qui veut jouer dehors à moitié à poil !!
C'est trop beau.
Je repose ma tasse et décide de jouer à son petit jeu.
Je tire fermement sur la laisse et l'oblige à se mettre à quatre pattes par terre à côté de moi.

M « Une chienne doit toujours être aux pieds de son maître ! »
T « Oui maître. »

Elle avance à quatre pattes et viens se placer à mes pieds le cul bien cambré et les seins dardés qui sortes de leurs balconnets.

M « Ce jolie petit cul manque de couleurs tu ne crois pas ? »
T « Oui maître, je suis désolé je n'ai pas eu encore le temps de le faire bronzer. »
M « Je vais y remédier de suite ! »

Je ne lui laisse pas le temps de répondre et lui cingle les fesses avec la cravache en cuir.
Je ne sais pas si c'est de plaisir ou de souffrance, mais un grand « Aaahh » sort de sa bouche.
Après plusieurs coups, son cul est maintenant zébré de rouge.
Je l'attrape par son collier et la fait tourner sur elle-même.
Je lui plaque la tête contre mon entre jambe pour lui faire sentir la dureté de mon sexe.

T « Mon maître aime la surprise que je lui ai faite ? »
M « Oui ! C'est magnifique. »
T « Et ce n'ai pas fini…:)) »

Dans ma tête je me suis dit :
« J'espère bien que ce n'est pas fini, j'ai bien l'intention d'en profiter au maximum... »
Mais j'étais loin de m'imaginer ce qu'elle m'avait préparé...
J'appuie sur sa tête et elle embouche mon sexe au travers de mon short.
Elle bave dessus comme une cochonne.

M « Tu as trempé mon short vilaine ! »
T « Je suis désolé Maître, moi aussi je suis trempé... »
M « Ah oui ? Fais-moi voir ça ! »

Elle se relève face à moi et écarte les jambes.
J'approche le bout de la cravache et le frotte sur son string à demi enfoncé entre ses lèvres.
Elle ferme les yeux et savoure ce moment.
S'enfonce un peu plus la cravache entre ses cuisses et fais glisser le manche entre ses lèvres.
Je le retire et constate qu'elle est couverte de mouille.

M « C'est quoi ça ! Tu as vu dans quel état tu es ! »

Je porte le bout de la cravache sous son nez.

M « Qu'est-ce que je t'ai déjà dit à ce propos !? »
T « Que je devais avertir mon maître quand je mouille... »
M « Et ? ... »
T « Je n'ai pas pu Maître, ma bouche était plaquée contre votre sexe. »
M « Ok, c'est bon pour cette fois. »
M « Et sinon je t'ai déjà dit que j'aimais voir quoi de ma soumise ? »
T « Mes gros seins pointus et bien durs Maitre »
M « Oui c'est ça ! Et ils sont comment ? »

Je te vois extraire tes seins de leurs balconnets, les soupeser et commencer à faire rouler les bouts entre tes doigts devant moi.

T « Pas encore assez dur Maitre, je vais arranger ça si vous le voulez. »
M « Va y montre-moi ça. »

Au fur et à mesure de ses caresses je la voie se tortiller sur place et contemple sa mouille couler le long de ses jambes galbées.

T « Je mouillé encore Maître, Ohhhh... »

Tu parles qu'elle mouille, une vraie fontaine oui.
D'un geste je repousse ses mains et m'empare de ses tétons moi-même.
Je les pince violemment et les étires un grand coup.
L'effet est instantané, elle se plie en deux et un grand « OOUIIII » s'échappe de sa bouche.
Elle se redresse et en tremble encore.

T « J'ai joui Maitre. »
M « Et sans ma permission en plus! Je vais devoir te punir encore... »

Je l'attrape par son collier et la fais mettre à l'équerre, le buste écrasé sur la table en bois de salon de jardin.
Avec mes pieds je lui fais écarter les jambes aux maximums.
J'ai alors une vue imprenable sur son postérieur encore bien rouge et son abricot tout lisse et suintant de plaisir.
Je lui caresse les fesses avec amour pour apaiser sa douleur.
Elle les yeux fermés, elle s'abandonne totalement et savoure ce moment de calme avant la tempête.
Je tire sur son string et le fais glisser à ses pieds.
Il ressemble plus à une lavette qu'autre chose.
Je le ramasse et le jette devant son visage.
Je n'en reviens pas des progrès qu'elle a fait.
La voir à poil me supplier de la baiser au milieu du jardin à la vue de tous alors qu'il y a encore quelques mois de cela elle osée à peine me montrer ses seins....
Je suis comblé, j'ai enfin réussi à la transformer en petite nympho du cul.
Je l'aime tellement.
Je bande tellement que mon sexe dépasse de mon short, je décide donc de le retirer.
Nous voici maintenant tous les deux à poil sur la terrasse.
Je viens me plaquer contre elle et glisse ma queue entre ses fesses rebondies.
D'elle-même, elle commence à se frotter contre mon membre et le faire glisser le long de sa raie.
Ce que je n'avais pas encore remarqué à cet instant c'est la présence d'Héléna la voisine d'en face, la femme de Paul "'le queutard" qui lui, à plusieurs reprises était passé à la maison pour m'aider à satisfaire mon épouse.
Je savais que c'était un couple très ouvert...mais la….
J'ai su par la suite que ma coquine de femme (qui savait que leur couple était très libéré..) lui avait envoyée un texto pour lui proposer un café très gourmand...et qu'il fallait qu'elle s'habille très légèrement...
Ma femme quant à elle, le cul toujours en buse contre la table continue de s'astiquer contre mon chibre avec ses fesses.
Je glisse ma main contre son bas ventre et plonge deux de mes doigts à l'intérieur de sa grotte trempée de plaisir.
Je remonte et avec mes deux phalanges je lui enserre très fort son petit bouton d'amour.
Elle hurle « OUI ! OUI ! Encore »
C'est à ce moment-là que je découvre cette petite vicieuse d'Héléna.
Elle s’était cachée à l'angle du mur et devait nous mater depuis quelques instants...
Car au moment où je la surprends, elle était vêtue que d'une longue robe d'été et avait une main qui pincée son sein et l'autre qui fouillée son minou....
Je l'interpelle et lui demande ce qu'elle fait là.
Elle m'explique que mon épouse l'a invité à prendre un café et qu’arrivée devant le portail elle a entendu quelqu'un crier de venir ...
Je me dis " Oui c'est ça...trouve une excuse ...Et comme le spectacle est sympa tu restes la à mater..."
M « Ah ok ! Ne reste pas plantée la ! Approche ! »

Je me penche à l'oreille de ma femme et lui dis :

M « Tu l'as fait exprès hein ? »
T « Oui, tu n'aimes pas ma surprise ? »

Sur ce, je me recule et lui mets une belle tape sur les fesses.
Héléna en voyant cela se mords la lèvre inférieure.
Elle est maintenant à cote de nous et n'en perd pas une miette.
A mon avis elle devait bien se douter de quelques choses, car au vu de sa tenue on ne se pose pas trop de question.
Une longue robe d'été très décolletée et fendue devant quasiment jusqu'à l’entrejambe, de petits escarpins, et AUCUN sous vêtement...
Mon voisin aussi à de la chance.
Une petite blondinette de 1.60m, une petite poitrine très ferme et un cul d'enfer ( un peu comme Lola du club...)
A la vue de sa tenue et de son état d'excitation déjà bien avancé, je lui attrape la main et la fais mettre à genoux à côté de ma femme.
Elle se retrouve ta tête prise en sandwich entre les fesses de ma femme et ma queue tendue.

M « Je vois que le spectacle a l'air de te plaire hein ? »
H « Oui...Je ne m'attendais pas à ça ! »
M « Ah oui... »

Je viens alors plaquer mon sexe contre son visage, lui écrasant ainsi la joue contre le cul de ma petite cochonne.

M « C'est ça qui te faisait envie ? Qu'est-ce que tu attends alors ! »

D'elle-même je la voie m'agripper les couilles et commencer à me lécher la tige de bas en haut et de son autre main caresser l'intérieur de la cuisse de ma femme.
C'est qu'elle se débrouille bien la coquine, elle joue avec sa langue comme une cochonne.
S’amuse à alterner les coups de langues sur les bourses et s'amuse à me les gober une par une.
Me lape le méat et d'un coup me tète le gland.
Au bout de quelques instants je peux vous dire que j'avais une trique d'enfer.
Paul à du bien la dresser pour ça je pense.
Je regarde sa main se rapprocher de plus en plus du minou de ma femme qui se languie de plus en plus.

M « Regarde si elle mouille autant que toi ! »

Deux de ses doigts pénètres entièrement la chatte de ma femme.
Elle les bouge et les sorts trempés.

H « Non, bien plus que moi !! »

Ma main s'attarde sur son corps, descend sur son sein.
Je lui étire fortement un mamelon, elle crie, je recommence avec l'autre, elle gémit.

M « C'est mieux là n'est-ce pas ? »
H « Oui, beaucoup mieux »
M « Je vais vérifier ça ! Lève-toi et appuis toi sur la table à côté d’elle ! »

J'ai maintenant une vue parfaite sur deux culs magnifiques qui ne demande qu'à se faire prendre.
Simultanément je fouille avec vigueur les minous de mes deux petites cochonnes offertes.
Je constate qu'effectivement elles sont toutes les deux trempées de plaisir.
Mes doigts toujours en elles, je leur introduis à chacune mon pouce dans leur petit œillet brun.
J'ai maintenant trois doigts dans leurs deux orifices.
En sentant ça, ma femme gémie et se cambre pour que je m'enfonce encore plus en elle.
Quant à Héléna, certainement moins habituée à la sodomie, se tortille et s'accroche à la table.

M « Alors Héléna ! Paul ne t'as jamais prise par la ? »
H « Non, il est trop gros pour passer la ! »
T « Je suis sûre que mon homme va se faire un plaisir de déflorer ton petit cul ma chérie. »

Tu m'étonne que j’ai envie...
Je retire mes doigts de leurs fourreaux.
M'assois sur une chaise et invite ma tendre épouse à s'empaler sur mon pieu.
Elle ne se fait pas prier, et s'enfonce d'une traite jusqu'à à garde.
D'une main ferme je lui maintien les hanches et de l'autre lui plaque le dos pour l'obliger à baisser la tête.

M « Ma chérie, tu devrais « préparer » Héléna, je suis sûre qu'elle en leur d'envie. »

La sans rien lui dire, je vois notre chère voisine se retourner, s'adosser à la table et offrir son minou à ma femme.
J'appuie un peu plus sur son dos et viens lui positionner le visage contre le minou de son amie.
Je ne bouge plus et contemple médusé ce spectacle qui m’est offert :
Héléna s'écartant les lèvres et savourant la langue mon épouse sur son petit bourgeon gonflé de plaisir tout en se triturant un sein.
Mon gland et gonflé comme pas croyable et ma queue dure comme une barre de fer.
Je sais qu'il me reste peu de temps avant d'exposer et ma femme doit s'en douter, car je sens ses muscles vaginaux se contracter autour de mon membre.
Son cul se soulève et s'empale de plus en plus vite sur moi.
Je sens son plaisir couler jusque sur mes couilles.
Je n'arrive plus à me retenir et expulse un jet énorme de sperme en elle.
Elle se contracte encore plus en hurlant de plaisir et reçois à mon tour un flot de plaisir qui m'inonde l'entrejambe.

T « Oh purée c'est trop bon ! »

Je te laisse faire encore quelques va et viens sur moi.
Notre semence mêlée coule sur mon membre et mes bourses.
A ma grande surprise je ne débande pas.
Ceci est certainement dû au spectacle que vous m'offrez toutes les deux.
Helena ne s'arrête plus de beugler son plaisir sous tes coups de langues.
Je constate que tu y as pris goût et que profitant de l'excitation de ton amie, tu lui as déjà mis deux doigts dans le cul.

M « Je pense qu'elle est bien chaude la, hein chérie ? »
T « Oui je crois aussi... »

Je soulève tes fesses et m'extrait de la chaise.
Vous fais mettre toutes les deux à genoux de chaque côté de mon sexe encore trempé de notre coït, et vous plaque à chacune la bouche dessus.
Quelle vue formidable j’ai ! Une pipe à deux bouches...Trop bon.
Tel deux fauves qui s'acharnes pour une proie, je vous regarde me dévorer chacune un morceau de la tige.
J'ai sous mes yeux deux folles de la bite qui me gobe, m'aspire et me suce comme de vraie nympho.
Elles me redonnent une trique d'enfer et décide d'en profiter pour m'occuper de cette voisine un peu trop curieuse...
J'attrape la tête d'Helena et lui plaque le buste contre la table.

M « Écarte tes fesses à deux mains, je vais m'occuper de toi maintenant ! »

Sans rien dire elle s'exécute, ma femme quant à elle admire la vue de dessous et continue de s'acharner avec sa langue sur mes bourses.
Je place mon gland à l'entrée de sa grotte, pousse à peine et me retrouve comme aspiré.

M « Ma petite femme t'as bien élargie à ce que je vois »
H « Oh Putain...ça y est, il est dans mon cul ! Ahhh... »

C'est que cette vilaine apprécie déjà.
Je sens toujours sous moi la main de ma femme me griffant les bourses.
En plus de ça, elle est retournée sous la voisine lui brouter le minou.
Tu m'étonne que l'autre apprécie...

T « Va y mon amour, baise-lui bien le cul ! »

J'y compte bien, mes deux donzelles m'ont redonné une trique d'enfer.
Je l'attrape par les hanches et commence à pousser lentement.

H « Aghrrr ! Il est en train de m'ouvrir en deux !!… »

Oui, c’est trop bon. Son petit cul est bien serré en plus.
Je m'enfonce encore un peu, je lui en ai rentré une bonne moitié déjà.

M « Tu vas adorer, je suis sûr qu'après ça tu en redemanderas à ton homme »

Je suis sûr qu'elle aime déjà.
Je commence doucement à aller et venir en elle et sent qu'elle se détend de plus en plus.
Je ne sais pas si c'est à cause de la langue de ma femme ou ma queue mais elle recommence à gémir.
Tout à coup je sent la langue de ma chérie me lécher la tige et les bourses et me dire :
T « Je suis sûr qu'il en reste assez là-dedans pour bien la remplir... »

J'ai l'impression que ma femme aussi prend goût à me voir défoncer des petits culs autre que le sien.
Elle se dévergonde de plus en plus.
Je la regarde, là entre nos jambes, accroupie, les cuisses grandes ouvertes à se doigter tout en continuant de me lécher.
Sous elle une flaque de plaisir macule la terrasse, je vois ses doigts s'agiter au fond d'elle comme une folle.
Cette excitation me redonne un gain d'énergie.
Je saisis ma partenaire par les hanches et commence un ramonage en profondeur.
Au bout de trois allers-retours je touche enfin le fond.
Je suis en buté contre ses fesses.

H « Oh Putain !! »

Oui ça y est, il faut dire que ma vilaine femme m'y a bien encouragé.
C'est elle même qui m'a agrippé les fesses pour me pousser bien à fond dans la voisine.
Je relâche les hanches de ma partenaire et lui mets une belle claque sur les fesses.
Ma femme s'est relevée et s'est positionnée derrière moi.
Je suis maintenant pris en sandwich.
Elle glisse sa main entre mes jambes et me glisse à l'oreille.

T « Va y mon chéri, vide-toi bien dans cette petite salope ! »
T « Je veux qu'elle se souvienne de la grosse queue de mon mari »

Je sens sa main s'emparer de mes bourses et commencer à les presser.
Dans un élan d’excitation, je viens cogner mes couilles bien contre son cul, me crispe d'un coup et me vide pour la deuxième fois.
Héléna se redresse d'un coup et se met alors à hurler en sentant ce flot brûlant dans ces entrailles.
Je vois ses seins dressés comme des obus pointer vers le ciel et ses jambes trembler.

H « Oh purée ! Je viens de jouir en me faisait baiser par derrière ! »
H « C'est top bon ! »

Elle ondule de la croupe, profite de ma queue à moitié molle encore en elle.
Ses fesses coulisses encore sur moi, du jus s'écoule de son anus.
Ma femme me saisit la queue et viens la poser sur les fesses de ma proie.
Porte mon sexe à sa bouche et se régale des dernières gouttes qui coulent.
Je rentre dans la maison, épuisé, j’ai bien l'intention de garder un petit souvenir de ce jour.
Je reviens quelques instants après sur la terrasse avec mon téléphone et un des plugs de ma femme.
Quelle surprise en arrivant de les voir se caressant et se bouffant les seins.

M « Tien ma chérie, tu devrais prêter ça ton amie...Ça la gardera en forme pour son mari... »

Et là, ma femme, tout en jouant avec les tétons d'Héléna, vient lui loger délicatement son plug dans son anus encore suintant et dilaté.
J'en profite pour prendre quelques clichés de ces deux cochonnes enlacées ainsi que du cul orné de la voisine et leur dis :
M « C'est Paul qui va être surpris ...Je suis sûr qu'il va adorer... »
H « Ah oui Je n'en doute pas ! Et il va vouloir m'en faire autant ... »
T « Garde ce petit "bouchon" jusqu'à ce soir et voie pour t'en acheter d'autres plus gros pour t'habituer au diamètre de ton homme :) »

Je leurs montres mes photos et en choisis deux pour les envoyer à Paul.
Sur l'une d'elle ma femme avec entre les dents l'un des tétons d’Héléna et sur l’autre, Héléna, le cul en buse, s'écartant les fesses (encore toutes rouges) à deux mains avec un plug orange dans le cul.
J'y ajoute un petit message :
M « Ta charmante épouse à une surprise pour toi...Il faudrait qu'on se fasse une petite soirée "barbecue " tous les quatre un soir... »
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Histoire de benjiorka

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