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Madame G.

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Lue : 4393 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 12/05/2015

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Mme G. a toujours été un objet de fantasme pour les élèves de mon lycée. Je n'imaginais pas qu'un jour ce fantasme deviendrait pour moi réalité...

Je m'appelle Antoine. J'étais en Première quand tout est arrivé. Mme G. était alors ma prof principale ainsi que ma prof de français. C'était une femme « mûre » d'environ 35 ans. Elle avait des seins lourds et épais qui tendaient les chemisiers qu'elle portait régulièrement. Elle s'habillait plutôt de façon classe. Je me souviens parfaitement de son cul bien bombé et plutôt large qu'on pouvait imaginer sous la jupe de son tailleur. Sa peau était assez pâle, ses cheveux d'un beau roux teinté d'or. Elle portait des lunettes simples qui lui donnaient un air d'ingénue... ou de secrétaire coquine. Elle n'était ni grosse ni maigre, mais avait juste ce qu'il fallait de rondeurs pour être pulpeuse et désirable.
A chaque cours, je la dévorais du regard, et laissais parfois mon esprit vagabonder : je l'imaginais nue, à genoux en train de me sucer, ou se penchant en avant contre le tableau pour mettre sa croupe en évidence...

Parfois, elle semblait surprendre mon regard et ses yeux clairs et intelligents paraissaient sonder et comprendre mon agitation intérieure. Je soutenais alors le regard sans ciller en espérant lui faire passer un quelconque message. Parfois même, un léger sourire s'esquissait sur ses lèvres juste avant qu'elle ne reprenne le fil de son cours.

J'étais plutôt bon élève et avait été élu délégué de la classe sans difficultés. Sans être un petit con, je savais me rendre populaire tant auprès des autres étudiants que des professeurs. J'avais un physique plutôt plaisant : une large carrure d'épaule, des yeux bleus clairs, un beau sourire s'inscrivant dans un visage arrondi et régulier.

Tout commença par un soir de printemps, à l'issue du conseil de classe, qui avait lieu à chaque trimestre et réunissait les délégués et l'ensemble des professeurs, parmi lesquels Mme G. évidemment, qui était aussi notre prof principale.
Normalement, nous aurions dû être deux délégués à cette réunion. Mais ma camarade, souffrante, n'avait pu être présente ce soir-là. J'étais donc le seul à porter les doléances des autres élèves.
Lorsque le conseil qui dura environ 1 heure fut finit, tout le monde s'en alla. Je m'apprêtais à faire de même quand je vis une silhouette s'approcher de moi.

« Antoine ? demanda Mme G..
Je dois vous remettre les bulletins des élèves, qui se trouvent dans mon bureau, afin que vous puissiez faire votre compte rendu à vos camarades demain. »

Je fus surpris de cette demande ; d'habitude, les bulletins comportant les réflexions des professeurs m'étaient remis dans le courant de la semaine.

« Pas de problème, je vous attend ici » répondis-je. Elle était toute proche de moi. Je pouvais admirer ses yeux clairs, sa bouche fine et pulpeuse, et en périphérie du regard, la lourdeur diffuse de ses seins.

« Non, non venez avec moi dans mon bureau, ce sera plus simple » dit-elle.
Trop heureux de pouvoir passer un peu de temps avec elle, je répondis d'une voix enjouée :
« Très bien Madame »

Je la suivis dans les couloirs du lycée. Tout était calme et silencieux : il faut dire qu'il était déjà 20h, la réunion ayant commencé plus tard que prévu. L'établissement entier semblait désert. Elle marchait devant moi d'un pas vif et son tailleur virevoltait dans son sillage. Ses chaussures à talons produisaient un claquement qui résonnait dans les corridors. Elle diffusait une odeur florale sensuelle que je respirais à pleines narines et qui m'excitait étrangement. Je pouvais voir ses cheveux aux reflets roux se balancer sur ses frêles épaules. Je pouvais surtout voir son gros cul bien moulé dans son tailleur noir sexy, qui roulait de droite à gauche et lançait des appels à mon corps tout entier.

Nous arrivâmes enfin à la porte de sa classe. Elle sortit une clé et se pencha fortement en avant pour la glisser dans la serrure. Je pouvais presque voir ses fesses ; son attitude me surprit.
Elle pénétra dans la salle de classe que je connaissais bien pour y avoir passé un certain nombre d'heures.

Elle s'avança alors d'un pas lascif et s'appuya tranquillement contre son bureau. Elle me regardait par dessus ses lunettes, et son regard me troubla profondément.

« Je ne vous ai pas fait venir pour les bulletins, Antoine, me dit-elle calmement.
- Comment ? Mais vous disiez justement que....
- Ce n'était qu'un prétexte, me coupa-t-elle. Vous êtes plutôt mignon vous savez ? »

Je me sentis alors rougir. Gêné, je baissai le regard et regardai mes pieds. A quoi jouait-elle ?

« Approchez », me dit-elle. Je m'exécutais.
« Que pensez vous de ma poitrine, Antoine ? Est ce qu'elle vous excite ? »
De plus en plus troublé, je balbutiais :
« Oui Madame, enfin, je veux dire... »

Elle saisit alors ma main et la plaça sur son sein. Elle chuchota dans mon oreille : « Je veux que vous me baisiez Antoine. J'ai bien compris votre petit jeu. Je veux que vous me preniez dans cette salle de classe comme bon vous semblera et où vous le voudrez ».

Sous le choc, les yeux écarquillés, les mots me manquaient. Mais ses paroles crues m'avaient excitée et je sentais une puissante érection enfler dans mon caleçon.
Mme G. s'en aperçut, se mit à me palper le membre au dessus du jean. Puis très vite, elle se mit à genoux, déboutonna mon pantalon, abaissa mon caleçon et tomba nez à nez avec mon chibre, qui je dois l'avouer, possède des dimensions plutôt impressionnantes, qui ne laissèrent pas Madame indifférente puisqu'elle lâcha un petit hoquet de satisfaction en le découvrant.

« Quelle grosse bite... Je vais me régaler » soupira-t-elle.

Je m'appuyai sur une des tables de la classe et aussitôt elle commença à me pomper, en me regardant fixement par dessus ses lunettes comme une vraie cochonne. Jamais je n'avais été suçé de cette façon... Sa langue tournoyait autour de mon gland, s'attardait sur le frein. Sa bouche resserrée enchaînait les va et vient sur le rebord du gland. Elle cracha avec vulgarité sur mon membre pour le lubrifier, tout en me branlant en même temps d'une façon énergique.
Elle descendit le long de ma verge et alla me lécher les couilles. Tout en les gobant, elle caressait l'intérieur de mes cuisses et mes fesses. Je pouvais voir ses gros seins par au dessus, qui tressautaient au rythme de sa pipe.

Je n'arrivais pas à croire ce qu'il m'arrivait. Je me faisais sucer par ma prof principale, moi, élève de première ! J'étais dans un état second et profitais simplement de cette chance inouïe...

« Tire moi les cheveux et enfonce moi ta bite dans la gorge ! » s'exclama-t-elle soudain.
Choqué par cette vulgarité mais grisé par le moment, je ne me fis pas prier.

Je saisis sa crinière rousse et empalai sa tête sur mon membre bien dur, la forçant à exécuter des va et vient. Des gargouillis et des bruits de gorge me parvenaient. Je sentais sa salive dégouliner abondamment le long de ma verge et glisser sur mes couilles. Hors de contrôle, je donnais des coups de bite dans sa bouche humide et chaude et elle semblait aimer ça... Folle de sexe, elle s'enfonçait volontairement ma bite dans la gorge et s'appuyait même sur mes fesses pour accentuer la pression.
Ma bite était sur le point d'exploser... Elle avait du le sentir c'est pourquoi elle me lança :

« Maintenant, je veux que tu me baises sur mon bureau, comme tu as déjà du te l'imaginer petit cochon ! »

Elle avait vu juste. Mais jamais je n'avais imaginé passer de l'imaginaire à la réalité...
Elle posa sa lourde poitrine sur son bureau et releva sa croupe de manière plus que suggestive. Je baissai alors sa petite jupe sexy et faisais apparaître son magnifique gros cul rebondi et légèrement gras, dont la pâleur était tranchée au milieu par un petit string noir en dentelle.
J'enlevai prestement la lingerie, saisissais fermement les fesses de ma prof et les écartai pour observer sa croupe : une belle chatte rasée toute humide surmontée par son petit trou sombre et propre.
Je plaçai ma bite sur sa fente et m'enfonçai d'un grand coup, nous arrachant à chacun un gémissement de plaisir. Elle s'exclama « Bourre moi bien maintenant petit pervers ! »
J'enchaînai les va et vient dans sa chatte, que ma verge emplissait totalement. Dieu que c'était bon ! Sa mouille dégoulinait le long de ses cuisses. Je ralentissais un peu le tempo pour profiter des sensations. Je sortais d'elle pour le plaisir de la pénétrer à nouveau. Je m'abreuvai également du spectacle : son fessier surmontant ma bite, sa tête affalée, les yeux fermés par le plaisir, les cheveux décoiffés les mains bien à plat sur le bureau...

« Tire moi les cheveux et mets ton doigt dans mon anus ! » m'ordonna-t-elle.
Quelle perverse ! Elle aimait la domination ce qui ne me dérangeait absolument pas...

Je saisis ses cheveux en un chignon serré et tirai vers l'arrière pour relever sa tête vers le haut et cambrer encore plus ses fesses. J'approchai mon index de sa bouche pulpeuse pour le lui faire sucer ce qu'elle s'empressa de faire en salivant abondamment.
Puis j'enfonçai fermement d'un mouvement continu mon doigt dans sa rondelle déjà dilatée, jusqu'à l'introduire au maximum. Après quoi mon index fit des va et vient rapides et intenses, des mouvements circulaires dans son anus tandis que ma bite continuait de travailler sa chatte, allant taper jusqu'au fond. Cette double pénétration semblait électriser tout son corps. Son beau visage était tendu par le plaisir quand elle éclata en un orgasme puissant, la tête levée vers le plafond par la poigne vigoureuse exercée sur ses cheveux.

« Maintenant, je vais te sucer. Et après t'avoir sucé, je veux que tu m'encules. Approche ta bite de ma bouche ! »

Elle se mit à plat ventre sur le bureau et laissa dépasser sa tête. Ses gros seins s'écrasaient sous son poids et lui faisaient un décolleté incroyable.
Je m'approchai, saisissais fermement ses cheveux et lui enfonçai ma bite dans la gorge. Elle se livrait, à ma disposition, et aspirait sa propre mouille qui luisait encore quelques secondes plus tôt sur mon membre.
Puis elle me repoussa et s'allongea sur le dos, tout en enlevant (enfin!) son chemisier et son soutien gorge en dentelle noir également. Seuls lui restait à présent ses chaussures à talons, ses bracelets et son large collier dorés. Elle était tout à fait à poil, les cuisses écartées sur cette table, la chatte et l'anus bien en évidence, trempés par son jus, comme une invitation à la baiser. Ses seins épais restaient fermes et ronds mais s'étalaient un peu de chaque côté, les tétons roses dressés sur la blanche rondeur. Son regard était sauvage et son mascara coulait légèrement de ses yeux, ce qui la rendait encore plus bandante.

« Encule moi » dit elle d'un ton calme et résolu. Elle ajouta : « Violemment »

Au comble de l'excitation, je m'approchai, la bite dressée, toute humide de sa dernière fellation. Je saisis ses deux grosses cuisses avec fermeté, puis j'apposai mon gland sur sa rondelle moite et déjà dilatée par le travail de mon index. Je tapotai alors contre son petit trou pour la faire languir, ce qui lui fit pousser un gémissement de frustration.
Je lâchai un crachat sur sa chatte et son anus pour lubrifier le tout. Puis je commençai, lentement mais sans ménagement à m'enfoncer dans son cul, par des petits va et vient qui allaient en s'intensifiant. Je ne pouvais d'abord faire rentrer que mon gland, puis très vite la moitié de ma grosse bite et enfin la totalité. Elle m'avait dit de la baiser violemment ? Très bien.
J'enfonçai rapidement toute la longueur de mon sexe dans son anus puis me retirai aussi vite, presque jusqu'à sortir, et je recommençais, la limant ainsi en profondeur tout en jouant avec son clito trempé de mouille. Tel un marteau piqueur, je l'enculai profondément, m'accrochant solidement à ses grosses cuisses blanches pour m'enfoncer à fond, pour l'empaler comme la grosse cochonne qu'elle était. Toute la longueur de mon sexe disparaissait dans ses entrailles, seules les couilles restaient à l'entrée. Elle se tortillait sur ma bite en poussant des gémissements de plaisir.

Après quelques minutes d'un tel traitement, je me sentais sur le point d'exploser dans son anus. Je lui avouai, essoufflé par le plaisir et l'effort : « Je vais jouir Madame... ! »
- Je veux goûter ton sperme ! » haleta-t-elle.

Elle se redressa, descendit de la table et prestement se mit à genoux devant moi. Pas gêné le moins du monde par l'idée que cette bite sortait de son propre cul, elle se mit à me la lécher, à me la nettoyer avec application. Elle la pompait si fort que j'avais l'impression qu'elle voulait aspirer directement mon sperme comme à travers une grosse paille.
A nouveau, elle me taillait des gorges profondes comme je n'en avais jamais reçu. Je ne pus tenir très longtemps à cette cadence et dans un sursaut orgasmique, j'agrippai sa tignasse rousse et giclait avec force dans sa bouche. Face à cette déferlante de sperme, elle ne broncha pas attendit jusqu'à la dernière goutte de semence.
Puis elle me regarda droit dans les yeux avec un sourire coquin, toujours accroupie, les cheveux ébouriffés, les seins libres, et elle ouvrit la bouche pour me montrer le sperme chaud qu'elle contenait. Elle se passa la langue sur les lèvres pour récupérer les dernières traces et elle avala le tout dans une déglutition sonore.

Une fois rhabillés, elle s'approcha de moi et me dit en me posant la main sur l'épaule :
« Merci pour ce moment Antoine. Je n'en espérais pas tant, surtout pour une première fois.
Je compte sur toi pour ta discrétion. Il ne faudra rien laisser paraître ; il en va de nos deux réputations. Saches que si j'apprend le moindre début d'une rumeur, nous n'aurons plus jamais la moindre relation. Est ce clair ?
- Tout à fait clair Madame. Je n'avais jamais vécu quelque chose d'aussi intense, et pour dire vrai, j'ai toujours du mal à y croire. Mais je déteste probablement les rumeurs autant que vous et je sais tenir ma langue. N'ayez aucun soucis à ce propos.
- Bien, tu peux rentrer chez toi. Nous nous verrons demain en cours et ce sera comme s'il ne s'était rien passé. A demain, Antoine. »

Là dessus, elle saisit ma tête à deux mains, m'embrassa fougueusement avec la langue puis s'en alla d'un pas tout aussi vif qu'à l'aller, me laissant seul dans le couloir, pleins d'interrogations mais heureux et détendu, le sexe encore endolori par des ébats auxquels je n'avais jamais pensé accéder même en rêve...
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