Madame Odette

Monsieur est en voyage d’affaire. Comme presque à chaque fois, madame a ses envies, des envies de bourgeoise normale. Ce soir elle décide non pas de faire appel à un serviteur, le jardinier par exemple. Elle veut un homme bien élevé, de son monde, quoi ! Une amie lui a donné une adresse style « SOS Détresse ». Madame ne pensait jamais que ce fut aussi simple. Une conversation téléphonique pour son choix, et voilà que le soir même elle reçoit un homme, un vrai, bien élevé, plein de révérence pour elle. A la surprise de madame, il l’invite pour prendre un champagne dans une auberge proche. Elle se doute bien que ça fait partir du rôle, qu’elle le paye bien sûr. Mais être traité ainsi la transporte : cet homme outre le fait qu’il soit bien fait, magnifique, est en plus un gentleman.

Il choisit une table à l’abri des regards. Dès la bouteille ouverte, les verres servis par un belle domestique, il commence à lui parler : vous être ensorcelante, fascinante, plus que belle, attirante. Madame sait que ce n’est qu’un ramassis de jolis mots. Elle le croit. Il lui prend une main, la caresse longuement en la regardant au fond des yeux. La main monte sur le bras, passe sur l’épaule.
- Je m’appelle Jean et toi ?
- Odette, c’est bête comme nom !
- Mais non, c’est joli.

Il change de place, vient à ses côtés. Jean l’enlace en l’embrassant par un tout petit bisou dans le cou. Elle frémit. Une main monte vers ses seins. Elle la laisse faire : il y a tellement longtemps. Puis Jean prend le menton, le tourne vers lui. Sa bouche se pose sur celle d’Odette. Leurs langues commencent leur ronde. C’est une chose qu’elle n’a pas oublié : les baisers.

Jean continue la destruction de ce qui peut rester de pudeur en mettant la main sur un genou, en caressant l’intérieur d’une cuisse, descendant sur l’autre pour remonter vers la fourche. Madame ouvre ses jambes ; elle veut qu’il aille plus haut, vers son paradis à elle. Jean fait mine de ne pas comprendre. Il enlève sa main pour prendre le verre, en boire une gorgée. Il revient vers l’elle, l’embrasse. Il lui donne du champagne directement. Pas dégoutée, elle lui donne sa langue. Ils restent ainsi plusieurs minutes. Lui dans l’attente de l’assaut, elle dans l’attente d’une main qui la caresse longuement.

Odette prend une main de Jean, la serre bien, la dirige là où elle voudrait qu’il lui fasse du bien. Sa culotte trempée est le but provisoire. Jean le sait fort bien : il évite tant qu’il peut cette barrière. Madame a besoin de la main directement sur son corps. Elle se déhanche tant et si bien que la culotte est au sol entre ses pieds. Jean ne peut faire autrement que lui caresser l’endroit interdit. Il caresse la moule, il écarte les lèvres, passe un doigt tout le long de la fente, oublie au passage l’entrée principale, continue pour remonter doucement. Odette arrête la main au passage. Elle a un besoins physiologique de jouissance.

Enfin un doigt reste sur le bouton. Avec une parfaite maîtrise Jean caresse en tournant, en arrêtant, en recommençant, en s’arrêtant à nouveau. Elle le supplie de recommencer. On dirait qu’il recommence uniquement pour faire plaisir et pas donner du plaisir Il recommence encore trop lentement. Et le sexe d’Odette mouille sans cesse. Comme une obligation il recommence, cette fois décidé à l’emmener là où elle veut. Odette, la tête en arrière, pousse un petit cri puis un autre plus fort. Des gens autour la regardent, les uns grognons les autres complices.

Jean qui bande depuis un bon moment veut aussi sa part : il sort son engin pour qu’elle le caresse sous la nappe. Elle empoigne la queue à pleine main, elle fait bouger la napper, peu importe, elle branle son complice. Elle n’arrête la masturbation que quand le fluide de l’homme s’échappe en giclée de la pine. S’il reste un instant tranquille Jean veut le corps entier d’Odette : il a été payé pour ça.

La chambre est retenue par l’agence. Ils y montent en se tenant les mains. Dans le couloir, elle l’arrête pour un long baiser. Elle le sent bander contre son ventre. Elle le veut dans le sien.

Le temps d’ouvrir et fermer la porte elle est déjà nue, allongée sur le lit, les jambes ouvertes en direction de Jean. Sans se presser Jean est sur elle. Sa bouche s’empare de la chatte pour un cunnilingus qu’elle trouve d’avance inoubliable. Son mari ne la lèche jamais par mesure d’hygiène. Elle sait que ça existe. Elle sursaute quand la langue passe rapidement tout le long de sa fente. Jean connait son affaire. Il passe la langue partout, même dans les endroits les plus insolites pour Odette. Elle sent avec surprise et laisse qu’il lui lèche l’anus. Il y a tellement de temps qu’elle voudrait gouter aux joies de la sodomie !

Quand il revient sur la chatte, Odette regrette presque qu’il n’ait pas entré la langue dans ses fesses. Mais là, cette langue agile qui parcourt son sexe ………Orgasme l’un sur l’autre. Odette n’a jamais connu ça. Il vient sur elle qui passe ses jambes autour des hanches. Le va-et-vient se fait à deux. Le vagin se serre par plusieurs spasmes autour de la bite jusqu’au bouquet final de l’orgasme commun. Etonnée des plaisirs qu’elle a pris, Odette veut récompenser son amant. Pour la première fois de sa vie elle prend un sexe d’homme dans la bouche. Malgré ses nombreuses maladresses elle fit gicler du sperme dans bouche ; elle n’aime pas ça, elle se lève pour le cracher. En voyant l’heure Madame se rhabille pour retourner chez elle dans sa médiocrité de bourgeoise.