Maman qui se lâche 3

Le lendemain matin, Estelle se réveille aux côtés de son fils. Il la regarde depuis un bon moment en souriant. Il lui dit tendrement :

-Tu as bien dormi maman chérie ?

Estelle sursaute, elle se demande ce que fait son fils dans son lit, en plus les deux sont nus. Elle fronce les sourcils en posant la question :

-Mais qu'est-ce que tu fais dans mon lit mon chéri ?


Il la regarde en faisant une moue et répond :

-Comment maman, tu ne te souviens de rien ?


Elle le regarde en écarquillant les yeux, et réplique :

-Hum non qu'est qui s'est passé mon chéri, j'ai un trou de mémoire ?


Gilles répond en se raclant la gorge :

-Mais maman, nous avions fait l'amour une bonne partie de la nuit, tu ne te souviens de rien ?


Estelle pousse un gros soupir en répliquant un peu affolée :

-Mon Dieu, mon chéri, je n'ai pas pu faire une chose pareille, tu as sûrement dû me faire boire, j'ai cru que c'était un rêve, oh comme j'ai honte de moi, je ne suis pas digne d'être une maman, comme je n'en veux, je suis une catin, je me hais !


Gilles l'enlace et la serre dans ses bras en disant tendrement :

-Pourtant maman cela semblait te plaire hier, nous avions joui comme des fous, mais tu ne te souviens pas du plaisir immense que nous avions eu, je t'assure que je ne t'ai pas fait boire, tu étais consentante et très volontaire maman chérie !

Elle secoue la tête négativement en disant :

-Je devais ne pas être moi-même, certainement une pulsion catastrophique de ma part, oh mon Dieu, j'ai fait l'amour avec mon propre enfant, je deviens folle, et toi, tu n'as rien fait pour m'arrêter !


Gilles la regarde droit dans les yeux et lui dit :

-Tout est ma faute maman, c'est moi qui aie profité de ta faiblesse, tu étais tellement triste que je t'ai un peu forcé la main, mais j'avoue qui tu es une jouisseuse exceptionnelle, mon Dieu comme j'aimerais recommencer !


Estelle le regarde en rougissant comme une pivoine et demande en baissant les yeux :

-Donc tu m'avoues, que j'ai aimé me faire prendre par toi mon chéri, c'est bien cela !



Gilles dépose un petit baiser sur ses lèvres et répond :

-oui maman, c'est exactement ça, tu le regrettes !


Estelle ne sait que répondre, elle se blottit contre lui et éclate en sanglot. Le fils ex-amant caresse doucement le visage de sa maman, et y dépose une multitude de baisers sur visage humidifié par les chaudes larmes. Doucement, ses lèvres se posent sur celle de la maman en pleure, inconsciemment, elle le prend par le cou et répond sans vraiment savoir ce qu'elle fait au baiser, qui devient de plus en plus ardent. Les langues se nouent, les souffles se mêlent. La tension monte dans les corps fébriles. Gilles ne peut retenir ces mots :

-Maman, je t'aime de toute mon âme, soit encore à moi, maman chérie, je te désire tant !


Estelle reste sans voix devant cet aveu, son corps se met à trembler, elle se dit qu'elle devient folle. Le bougre de fils lui reprend les lèvres, le baiser devient brutal tellement il est fougueux. La maman geint, en se cramponnant à son fils amoureux. Gilles lui caresse le corps, les seins ne font pas exception, le bougre fait dresser les mamelons comme de petits mats en les agaçant. Estelle ne réagit quand, gémissant faiblement, sa vulve est devenue une fontaine intarissable. La main audacieuse de son fils lui malaxe les grandes lèvres sans les ménager, le sperme séché par l'ébat de la veille rend les poils pubiens rêches. La bouche vorace de Gilles se pose sur les mamelons et les suce, jusqu'à que les bouts deviennent douloureux. Estelle geint en fermant les yeux, elle est sans force devant cet enfant entreprenant qui la rend folle. Elle défaille en geignant de plus en plus fort. Elle sent contre sa cuisse la bite raide de son fils qui ne cesse de lui triturer la chatte.


Les doigts agiles s'enfoncent profondément dans le vagin et le fouille avec une dose de violence, le traitement presque douloureux, fait délirer la maman soumise. Elle agite son bassin, la pression monte dans son corps qui est au bord de la syncope. Une brûlure intense lui traverse le ventre, elle se cabre, secouée par une jouissance terrible, elle s'accroche aux hanches de son jeune amant. Elle lui plante ses ongles dans la peau, en poussant des râles d'agonisantes.
Gilles retire les visiteurs vaginaux et prend place entre les cuisses de sa maman qui fond de bonheur. Inconsciemment, elle désire autant que son fils d'être possédée. Elle s'ouvre le plus possible pour accueillir le membre gorgé de sang. Gilles sans forcer enfonce aisément sa bite dans le ventre de sa maman qui gémit de bonheur. Elle s'agrippe à lui en agitant son bassin, elle marmonne :

-Baise-moi fort mon chéri, défonce-moi bien, oh oui déglingue-moi comme une pute avec ta grosse bite !


Gilles ne reconnait plus sa maman, il donne de violents coups de reins, il veut la faire hurler de plaisir et de douleur en même temps. Estelle souffle comme un animal, elle donne des coups de reins aussi fort que ceux de son fils en couinant :

-Plus fort mon chéri, plus fort, oui fait moi mal !

Gilles retire sa bite du ventre, pour la replonger brutalement au plus profond des entrailles de sa maman chérie. Estelle se cambre à chaque renouvellement du traitement spécial que lui inflige son fils, ses gémissements rauques, prouvent qu'elle n'y est pas indifférente. Elle répète plusieurs fois :

-Oh mon chéri, mon chéri, oui, oui, oh, je vais jouir !

La jouissance terrible qu'elle a, la fait hurler comme une bête blessée. Gilles continue de la pilonner, il grogne comme un fauve qui s'acharne sur sa proie. Enfin, il se raidit et envoie un flot de sperme dans le ventre de sa maman qui réagit à la chaude giclée, elle re-jouit. Gilles se retire du ventre si accueillant. Sa maman s'empare brusquement du manche gluant et se met à le sucer voracement. Estelle, sans se soucier que c'est son fils, suce la bite comme une affamée. Rapidement, elle est récompensée par ses efforts, elle reçoit une puissante décharge de sperme, qu'elle avale en geignant de bonheur.

Gilles, surexcité, plonge sa tête entre les cuisses de sa maman et plaque sa bouche sur le puits remplit de jus visqueux. Sa langue s'enfonce dans le vagin, bouillonnant en le fouillant profondément. Estelle ne cesse de gémir, elle agite sa croupe en appuyant sur la tête de son enfant, son amant. Lorsqu'il lui aspire le clito, elle se cambre en grognant fortement, elle crie :

-Oui, oui, mon chéri, oh, tu me rends folle, mon Dieu comme c'est bon !

Son corps est secoué par une jouissance terrible, elle se met à trembler de tous ses membres en béguant :

-Je t'aime, mon chéri, je t'aime !



Enfin le fils dévoreur de chatte se redresse, il regarde sa maman amoureusement et lui dit avec tendresse :

-Maman ce que je vais te demander va te surprendre, j'aimerais te sodomiser !


Estelle qui émerge difficilement de ses jouissances, fronce les sourcils et répond :

-Tu veux prendre ta maman par le cul mon petit cochon, je n'ai jamais été prise par là, eh bien vas-y éclate-moi le cul, tu m'as donné tellement de plaisir que je ne peux pas te le refuser !