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Mari volage et cocu 5

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Lue : 882 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 13/11/2020

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Après avoir pris congé de la copine, je les rejoins, voilà, je pars dis-je, encore un peu répondent-ils en m'enlevant mon manteau, je dis, vous n'êtes pas gentils, à ce propos, ne déranger pas votre patronne, elle a du repassage, oui bien évidemment répondent-ils, me prenant le bras, ils me poussent vers le canapé ou déséquilibrée, je m'assois, l'un se met devant à genou, l'autre à genou sur le canapé.

Ma jupe est relevée, mes seins sont frôlés par celui sur le canapé, qu'est ce que c'est beau dit celui à terre, l'autre me dit, qu'il a vu qu'on lui avait fait de l'effet là-haut (chez sa patronne), il me frôle un téton, je leur dis, pas maintenant, je suis en retard, la prochaine fois, non dis-je en souriant.

Ils me disent, on pourra en voir plus, et puis quoi d'autre encore, vous nous promettez de revenir, je dis oui s'ils continent d'être sobre, vous devez nous trouver vicieux dit-il, je dis oui, aller, il faut que je parte, bien madame, on vous laisse, on sait que vous tiendrez parole.

L'un va me chercher la voiture et l'autre, celui qui parait plus le débrouillard me dit, je sais que vous aimez cela, aimez quoi dis-je, qu'on vous regarde, et nous aussi on aime ça, et vous pouvez dire à madame (la patronne) qu'on vous donnera toujours satisfaction, vous aimez qu'on vous regarde, je l'ai bien vu tout à l'heure, mais ça reste entre nous, je ne dirais rien à l'autre (son collègue).

Vous faites les questions et les réponses lui dis-je, et lui de dire, je sais qu'une dame ne peut pas tout dire, mais je sais aussi que madame (patronne), elle adore cela aussi, vous auriez pu nous récompenser plus, si vous aviez voulu, mais on ne se plaint pas au contraire, nous sommes tous les quatre gagnants, la prochaine fois, vous aurez encore nos regards de vicieux sur vos jolies silhouettes.

Vous en avez des idées dis-je, mais vous avez raison, je tiendrais parole, je reviendrais, il tend sa main vers mon sein qu'il effleure plus qu'il ne faut, en souriant et me fixant dans les yeux, je me pousse et le fixe aussi, ha voilà ma voiture, dis-je en me retirant, il me fait un clin d'œil, je sourie et sors, à ma voiture, je monte et l'autre me pousse aux fesses, vivement qu'on vous revoie madame, soyez prudente avec ce vent et cette pluie.

Ma tête avait dit, "ouf, ils me laissent, mais mes sens me disaient, "espèce d'idiote, tu vois ce que tu as perdu", ne me parlant pas à moi-même, je clos la discussion imaginaire et je me dis, que j'aurais cela une autre fois, étant objective avec moi-même, je me dis que je les ai sous-estimé, moi qui les voyais en faux-cul, en mitraillette à courbettes.

Contente de m'être trompé sur eux, j'aperçois les hommes libérés des vapeurs néfaste de l'alcool, flattée d'être préféré à ce simili poison, ma mission est terminé, elle était de les mettre à notre botte, c'est chose faite, mais je fais quoi, je les laisse tomber, comme ça, ils retomberont dans leur beuverie, redevenant des soiffards, des déchets comme je les voyais.

Je ne suis pas de cette espèce, ils ont fait de gros efforts pour moi, pour nous, l'effort que j'ai à faire est plus que minime, me laisser tripoter un peu, il y a bien pire, la condition demandée, ils l'ont remplie, pas d'alcool, propre sur eux, et je n'ai pas senti d'odeur désagréable lorsqu'ils étaient prés de moi, ils ont essayé d'avoir plus que je ne donnais, mais cela, c'est moi qui leur ai suggéré, je suis la coupable.

Ensuite, il ne faut pas oublier qu'on a réveillé en eux, une libido en berne, on a employé de grand moyen, des plus fort qu'eux succombent, bien évidemment, j'aurais préféré qu'ils soit plus grand, moins gros, plus beau, une bonne copine avait cette recherche avant, elle en est revenue, ceux, ainsi, sont comme elle dit, plus con en plus, là dessus, je n'ai pas d'expérience comparé à elle, et force est de constater qu'elle les attirait.

Comme au boulot, c'est calme, je prends du temps pour moi, je décide d'y aller à l'improviste, juste après déjeuner, je passe à la maison changer de voiture, une fois arrivée chez eux peux avant 14 h, je laisse la voiture 10 m plus loin pour ne pas que la copine me voit, car sinon je devrais rester trop longtemps, j'ouvre le petit portail, je frappe à leur morte et rentre chez eux comme chez moi.

Je m'en excuse, expliquant que je ne fais que passer en douce et que je ne voudrais pas qu'elle me voie, parce qu'elle va vouloir que je reste plus que je ne peux, ils me disent que leur porte m'est toujours grande ouverte et qu'ils me comprennent, votre voiture madame dit l'un, oui les clefs sont dessus, ils me l'emmènent comme d'habitude.

À cette heures la copine est sur le fauteuil, devant la télé, elle ne peut me voir rentrer, sauf si elle ouvrait la porte à ce moment là, le plus débrouillard est parti garé ma voiture, celui resté est moins bavard, il me fait asseoir sur le canapé après m'avoir pris mon manteau et veste, profitant de toutes excuses pour me frôler en me complimentant.

L'autre arrive, souriant, il se lave les mains et dit à l'autre d'en faire autant, me demandant ce qui m'amène, je dis que je passais pour aller à un village plus loin, alors étant en avance, je passe pour vous saluer, le débrouillard sourie en coin.

Je les renifle discrètement, je suis contente de ce qu'ils sentent, ou plutôt de ce qu'ils ne sentent pas, ils ne sont pas habillés comme samedi, mais sont propres, rasés, peignés, lavés, après quelques phrases basiques, vous êtes donc en avance me dit-il, en mettant sa main sur ma cuisse, l'autre faisant pareil.

Je réponds que oui, il est trop tôt, je n'aime pas arriver en retard, ni arriver trop en avance, je leur dis, attention, je n'ai pas de short, mais il faut que vous fassiez comme si, en référence à notre jeu de samedi, je leur demande s'il ne voudrait pas me faire plaisir, tout ce que vous voulez madame, et je leur demande d'aller chez le coiffeur, ils se lavent la tête, mais se coupent aussi les cheveux eux même.

Je sens bien leur gêne de dépenser ce qu'ils n'ont pas, et propose de leur payer, ils refusent et je leur dis, ha, alors mon short est descendu jusqu’aux genoux, après les politesses d'usages justifiant leur refus ainsi que mes menaces, ils acceptent sous condition, laquelle dis-je, le plus débrouillard me dit, on vous retire vos bas et on les remet.

Coquin, mais bon, c'est OK, je vous fais confiance, à savoir que si je ne peux pas vous faire confiance, vous me décevriez beaucoup et je ne reviendrais plus, je peux vous le jurer madame disent-ils, bien, alors allez y dis-je, je pensais que chacun allait faire une jambe, mais il me dit, "non, c'est la paire".

Quelque part, cela ne me déplaît pas, ne les filez pas dis-je, disant qu'ils vont faire très attention, le débrouillard dit à l'autre, en privé, tu veux faire ça en privé, je vais dans ma chambre et te laisse seul et après, c'est toi qui me laisseras seul.

Je souris, je sais ce dont il veut dire, seul, chacun aura l'impression que je suis pour lui et ne sera pas intimidé par l'autre, l'autre dit oui et le débrouillard va dans sa chambre, une fois seule, il me défait le bas lentement avec des commentaires du genre que j'ai la peau douce, de belles jambes, je retire vos belles chaussures pour ne pas esquinter vos bas.

Une fois l'un défait, il compare en caressant la jambe nue et comparant avec celle avec le bas, il caresse, me disant qu'il a adoré le jeu, consistant à nous peloter les jambes, pour deviner laquelle de nous, c'était, contrairement au débrouillard, il fixe plus mes jambes que mes yeux, les compliments fusent, il me remet les bas ensuite.

Ils échangent de place et quand il regagne sa chambre, je dis, voilà, vous avez 10 mn aussi, en regardant leur pendule au mur, je n'ai pas vu le temps passé dira t'il en partant, le débrouillard se met devant moi et me dit merci, contrairement à l'autre, il me fixe en défaisant mes bas, et au lieu de se servir de ses majeurs pour passer sous l'élastique, il le fait avec ses pouces, ce qui fait que ses mains remontent plus haut, me faisant frissonner.

Il ne peut pas, ne pas s'en rendre compte, même si j’essaie de rester stoïque, il sourit, content de lui, il me caresse la jambe nue, quand sa main remonte sur le haut de ma cuisse, une chaleur m'envahis, sa façon de faire est différente, lui aussi compare la caresse d'une jambe nue, à une autre avec bas.

Il fait pareille avec l'autre bas, je sursaute légèrement, écartant légèrement les cuisses sans m'en rendre compte, mais en les refermant aussitôt, une fois les 2 bas retirés, il me caresse, j'ai l'impression que ses mains remonte plus, ou alors est ce moi qui ai cette impression.

Puis-je vous demander une petite faveur dit-il, je lui demande laquelle, il me dit de pouvoir m'embrasser les jambes, je réponds que l'autre n'a pas eu cela, il me dit que je lui ai donné plus de temps volontairement, presque le double, en m'indiquant le temps exact.

Madame, s'il vous plaît, me dit-il, en remontant ses mains à l'intérieur de mes cuisses, me faisant frissonner à nouveau, bon aller, mais chut dis-je, il me fait un signe avec l'index sur sa bouche, il m'embrasse la cuisse et je sursaute encore, sa tête essaie de se faufiler entre mes cuisses de façon très faible, je laisse faire et les écarte légèrement, imperceptiblement.

Mon string devient de plus en plus humide, je lutte, car je n'ai qu'une envie, c'est de faire le grand écart, il le sait aussi, il caresse, embrasse chaque centimètre carré, puis j'annonce 2 minutes restantes, il cesse et me remet les bas, toujours en allant plus haut et me fixant dans les yeux.

J'espère vous avoir donné autant de plaisir que j'en ai pris, il me fixe, me faisant comprendre qu'il a compris, que je suis trempée, il m'annonce, que les mardis et jeudis entre 14 et 16 h, l'autre est dans les bois, alors si tous les deux seulement, c'est possible, je sais quoi faire.

Si j'étais arrivé plus tard, il aurait été seul, là, l'autre à préféré rester avec nous, je les quitte avec comme d'habitude une main aux fesses, après m'être dit, "hors de question que j'y aille jeudi après midi", le jeudi, peu avant 14 h, je vais là-bas, je mets ma voiture dans un autre chemin, là ou l'autre ne passera pas.

Comme je ne pourrais pas venir en chaussures à talon, et là ou je compte me garer, c'est plus loin que le chemin, en même temps qu'une tenue féminine sexy avec les dessous que j'emporte dans un sac, je mets un jogging et des basket afin de courir entre la voiture et leur maison, j'arrive un peu avant et je vois l'autre qui sort et prend un chemin dans les bois, j'attends 5 mn, qu'il soit suffisamment enfoncé dans la végétation et courre jusqu'à la maison.

Je passe la grille et vois la porte juste poussée, elle s'ouvre aussitôt, il arrive en vitesse, il voit ma surprise et me dit qu'il m'attendait, je réponds que je ne devais pas venir, dans la tenue que j'étais, dur à croire et il me le fait comprendre.

Je suis complètement désorientée, je pensais avoir affaire à un des ignares incultes, limite lobotomisé, et je m'aperçois que pour l'un d'eux, ce n'est pas du tout le cas, la description que mon mari m'a fait d'eux, qui lui, l'a appris d'elle, qui entendait son mari le dire ne correspond pas à ce que je découvre, avec ou sans alcool, ça change tout.

Ne m'étalant pas sur le sujet, il me dit, me préférant comme d'habitude, je lui indique pourquoi il me dit qu'il a encore le goût de ma peau sur les lèvres, vous allez dans votre chambre, je dois me changer, il s'exécute et je m'habille, retirant mon jogging et mettant une jupe plissée, j'avais gardé mon chemisier et mes bas dessous.

Je le rappelle, et quand il rentre, je lui demande si je lui plais, si je disais non, je serais bon pour l'asile répond t'il, je m'assois et demande pardon, car je ne lui pas demandé, vous n’avez pas à vous excuser, ici faites comme chez vous.

Il s'assoit à coté de moi, je lui dis qu'il sent bon, il répond que quand une princesse lui fait l'honneur de sa présence, c'est la moindre des choses, j'avais vu qu'il avait pris une douche juste après que l'autre a franchi la porte, je lui dis que la princesse a pris de la bouteille et il me dit, une reine si vous préférez, par rapport à l'autre, il a de la conversation, il ne cherche pas ses mots.

Je remarque par contre, qu'il est plus réservé, il s'est assis a coté de moi, mais il ne me tripote pas, vous devez me trouver bête, je demande pourquoi, il me dit que je l'intimide, de se trouver seul avec moi, il a peur de rêver, et de se réveiller surtout, je lui dis que je suis bien réelle, et il me demande la permission de mettre sa main sur mes cuisses.

Vous savez bien que non, si vous me le demandez, je dirais non, il s'interroge et je continue disant, par contre, si vous le faites, je ne dirais rien, son sourire revient, c'est vous l'homme, c'est à vous d'être entreprenant, il me dit, oui, mais si je fais ce qu'il ne faut pas, je réponds que je lui dirais non pour qu'il arrête, c'est tout.

Il se met à genoux et retrousse ma jupe et me caresse les jambes, il entreprend de retirer mes bas, il retire le premier, et au deuxième, j'entends les chiens bouger dehors et j'entends aussi "poussez-vous, c'est la copine, on se lève et attendons, elle toque à la porte, je prends mes affaires et il me pousse dans sa chambre et va ouvrir.

Le ridicule de la situation m'amuse, curieuse, j'écoute, je peux rentrer, je n’ai pas chaud, faux, il fait bon ce jour, elle lui demande s'il a fait les bordures, et si c'est le moment de tailler les arbres, qu'est ce que ça peut lui faire me dis-je, ce n’est pas elle qui gère cela, la porte de chambre n'étant pas enclenché, je l'ouvre tout lentement pour voir.

Je comprends tout, elle est habillée super sexy avec un décolletée plongeant, elle lui demande si je leur plais, s'ils ont aimés la journée de samedi, d'autre question dit à voix moins forte où je n'ai pas bien compris, excusez-moi dit il, je vais fermer ma fenêtre de chambre pour l'aérer, j'allais le faire quand vous êtes arrivé.

Comme je m'en doutais, il vient me voir pour savoir ce qu'il doit faire, je lui dis tout doucement en parlant plus loin de la porte, elle est venus pour être tripotée, soyez entreprenant, faites comme l'autre fois, pelotez lui les jambes, il a peur, je lui dis, faites le, si ça tournait mal, j'interviens, mais faites moi confiance.

Cette fois-ci, je retiens la porte afin qu'elle soit un peu plus ouverte et je regarde, fort de mon conseil et éventuelle protection, hésitant au départ, il se lance, il pose sa main sur son genou tout en répondant, elle ne dit rien, il commence à la caresser et ne disant toujours rien, il augmente son terrain de caresse.

Vous savez que j'ai beaucoup aimé, le jeu de votre amie, c'est vrai dit-elle, et lui de répondre, oui celui, ou on vous caressait les jambes, voyant qu'elle ne repousse pas, fort de ce que je lui ai dit, il lui remonte sa robe d'été, qui n'est plus de saison.

Elle a un mouvement négatif, il s'excuse et elle lui dit, non, c'est moi, je ....... il reprend où elle en était et lui dit, "je ne vous ai jamais vu ainsi, j'aime bien comme vous êtes maintenant", vous aussi, vous avez des belles jambes madame», elle sourit sans répondre, elle n'a pas de bas, il a ses mains directement sur sa chair.

Ayant goûté la même chose, je sais exactement ce qu'elle ressent à ce moment-là, comme il avait fait avec moi, il refait pareil, il lui écarte très lentement les cuisses qui étaient serrées, quand il remonte sa caresse par l'intérieur des cuisses, son souffle est coupé, lui, ses mains redescendent puis remonte, il lui demande si elle aime, elle fait un genre de oui inaudible, sa voix est nouée.

Après plusieurs caresses identique, comme essoufflée, elle décide de partir, lui laissant comprendre qu'elle lui a fait une faveur, je crois plutôt que prête a succomber, elle a eu un sursaut de lucidité, je suis déjà étonnée qu'elle soit venue d'elle-même, sur le pas-de-porte, il lui dit qu'elle peut revenir quand elle le veut, en lui donnant les jours qu'il m'a donné.

J'attends qu'elle soit rentrée, il surveille cela de la fenêtre et quand il tourne la tête, j'arrive, il me dit, je n'en reviens pas, si un jour, on m'avait dit cela, tout arrive dis-je, c'est mieux que de se déchirer au pinard, vous ne trouvez pas, ho si madame, là dessus, je suis entièrement d'accord avec vous.

Je m'assois et lui aussi à coté, il me caresse les jambes en me rappelant ce que j'avais dit, que si personne n'est présent, il n'avait pas besoin de me demander, après les caresses, il me les embrasse, et je vois bien ce qu'il fait, commençant aux jambes puis remontant entre les cuisses, redescendre un petit peu puis recommencer.

Effet garanti, je commence à sentir une chaleur m'envahir, je luis dis, vous savez, je vous sonde depuis le début, et je me demande ce que vous faites ici, il stoppe les caresses et je lui dis, non, non, ça, vous pouvez continuer, ici, c'est dans cette maison avec votre ami, vous n'êtes pas à votre place ici, vous avez un raisonnement, des mots choisit.

Il répond, vous êtes la première personne qui me voit autrement qu'un clochard, je vous respecte de trop pour vous mentir, comme à l'autre imbécile, (son patron), il me dit, ce n'est pas glorieux, plus de boulot, car la boite à fermé, donc plus d'argent, ma copine est tombé sur un type qui lui donnait ce que je ne pouvais plus financièrement, et qui après quelques mois, est parti avec lui.

Alors dans l'ordre, chômeur, cocu, abandonné, abattu, refuge dans l'alcool qui au lieu de me remonter, me rend juste le fond du trou moins pénible, fréquentation de types comme moi et voilà ce que ça donne, mais ma copine n'avait ni votre classe, ni votre beauté, si elle avait été comme vous, j'aurais compris qu'elle me quitte.

Je compatis et change de sujet, après lui avoir dit que j'étais contente, qu'il ait fait le bon choix entre la bouteille et moi, quelques compliments plus tard, il me dit, j'ai pris une douche avant que vous arriviez, je peux vous demander quelque chose, dites toujours dis-je, pourrais-je vous serrer dans mes bras, asseyez vous devant moi et je vous enlace.

Je réponds oui, si c'est votre souhait, on se positionne et il m'enlace comme si j'étais sa fiancée, un instant de bonheur absolu me dit-il, je lui dis, je savais que le bonheur est une chose abstraite, mais je m'aperçois qu'il se manifeste aussi parfois de façon concrète, comme en ce moment dans le bas de mon dos.

Il va pour se reculer mais le canapé l'en empêche et je lui dis, c'est juste pour vous informer, ce n'est pas pour que vous partez, n'importe quel homme, avec une femme comme vous dans ses bras, aurait la même réaction, je lui réponds avec humour, réaction ou érection, quel mot irait le mieux concernant ce genre de situation.

Belle, compréhensive, généreuse, sympathique et avec de l'humour, j'espère que votre compagnon sait la chance qu'il a, je m'esquinte à lui dire dis-je en souriant, aller faite vous plaisir, en quelque sorte, c'est un compliment que vous me faites, c'est la seule partie d'un homme qui ne sait pas mentir.

Je peux vous embrasser dans le cou demande t'il, je réponds, sans le cou non, plus bas, je ne voudrais pas que vous me fassiez un suçon involontairement, défaites les boutons de mon chemisier que je le tombe sur mes épaules.

Il commence à les défaire avec des pincettes et je lui dis qu'il n'a pas besoin de faire attention, il continue à me les retirer et il me tombe le chemisier sur les épaules, qu'il embrasse partout entre les deux cotés.

Je regarde sa pendule et vois que l'heure a tourné, aller encore un peu et il va falloir que je parte, il augmente la fréquence de ses baisers et me dit, votre peau est un délice, on y passerait des heures entières.

Les meilleures choses ont une fin, dis-je, samedi, je ne peux pas venir, mais je vais voir quand est ce que cela est possible, si j'ai un créneau qui tombe dans le vôtre, phrase toute faite que j'ai dit par habitude, il me répond, pour vous, il n'y a rien qui nous retiendrait ailleurs, je sourie et me change en lui tournant le dos, il se tourne aussi, mais je lui dis, je me tourne, mais je ne regarde pas si de votre côté vous faites pareil, alors profitez en.

Les meilleures choses ont une fin, dis-je, samedi, je ne peux pas venir, mais je vais voir quand est ce que cela est possible, si j'ai un créneau qui tombe dans le vôtre, phrase toute faite que j'ai dit par habitude, il me répond, pour vous, il n'y a rien qui nous retiendrait ailleurs, je sourie et me change en lui tournant le dos, il se tourne aussi, mais je lui dis, je me tourne, mais je ne regarde pas si de votre côté vous faites pareil, alors profitez en.

A suivre.
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Histoire de annizette

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