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Mari volage et cocu 6

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Lue : 1027 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 19/11/2020

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Ce vendredi, à 18 h, elle me dit que son mari vient de partir, j'arrive avec un sac plein de lingerie, 3 pizzas, je fais la surprise aux gardes, qui vont garer ma voiture et ou je leur dis, avec un clin d'œil, qu'on a de la lingerie à essayer et qu'on les appellera ensuite, pour jouer aux devinettes.

Il est 19 h passé lorsque l'on commence à essayer les dessous apportés, dans la petite pièce où on se sait matées, une petite musique d'ambiance et je commence la première, j'en essaie plusieurs, la copine reste en retrait sur le côté, non-visible pour eux, puis c'est son tour, elle essai cette lingerie, plus lentement que moi, et je me faufile dans la salle, en me rhabillant pour aller dehors.

Je sors sans faire de bruit, l'obscurité aidant, je m'éloigne vers le jardin et reviens de façon à arriver derrière eux, je les surprends, comme je le savais déjà, tous les deux, montés sur une planche posée sur deux bassines en galva pour être à bonne hauteur, amenée à l'occasion, se rinçant l'œil avec la main sur le sexe sortie qu'ils branlaient lentement.

À voix basse, je leur dis, "et bien, que faites vous là", surpris, les sexes sont rangés aussitôt, ça balbutie des débuts de phrases, je leur fais chut, je peux voir dis-je, je fais descendre celui que je connais le mieux depuis la veille, disant à l'autre de rester, et au premier, "tenez moi pour ne pas que je tombe en montant", celui resté cherche quelque chose à justifier, mais je lui fais chut, elle risque d'entendre.

Tenez moi mieux que ça dis-je à celui dessous, qui comprend aussitôt en passant une main par en dessous ma jupe et caressant entre mes cuisses, je fais signe à celui à coté, qu’il peut reprendre là ou je l’ai dérangé, il n’ose pas, mais j’insiste, il se la sort et je retourne regarder, je ne vois pas son sexe dans l’obscurité.

Je ne regarde que pour les décomplexer, les rassurer, je commence à ressentir les effets que me font les mains de celui dessous, nous avons toute la soirée, au bout de 5 mn, je leur dis, allez chez vous, vous habiller, on va vous appeler, vous êtes invités à dîner.


Ils filent pendant que je rejoins la copine, qui nous a un peu entendus, après avoir mis les pizzas au four, mis la table, assiettes et couverts de tous les jours, de mon sac de lingerie, je sors deux tenues complètes que nous avons acheté exprès avec Marie pour une autre occasion, tenue de putes, bas à couture, porte jarretelles, jupe ras de la moule, et bustier.

On les reçoit comme dans un bordel, sauf qu’il n’y a pas d’alcool, inutile de réveiller les démons qui les tourmentaient, on s’installe et je leur dis, une petite collation avant la soirée, les pauvres, plus habitué à servir en se faisant engueuler, et là, on les traite comme des rois ont-ils dit, la copine leur apporte leur pizza et nous une demi-part chacune.

Ils sont en pantalon coton, chemise blanche, endimanché comme ils disent, la situation est burlesque, j’imagine son mari arrivant à l’improviste et voyant la scène, elle n’a même pas peur et eux non plus, seul ce qui va se passer importe, eux, ils vont nous tripoter et nous, nous allons nous faire tripoter.

Avec eux, on ne risque rien, même s’ils le répétaient, personne ne les croirait, ils se feraient même foutre dehors pour colporter cela, contrairement à si on avait invité des play-boys, qui eux s’en vanteraient à la première occasion.

Le repas se passe normalement, il n’y a que le plus débrouillard et moi qui causons le plus, l’autre et la copine étant plus timide et peu habituée au dialogue, par moment la discussion vient sur le jeu que nous allons faire.

Après cela, nous nous mettons en place, le premier jeu, comme nous sommes habillées pareillement, mais avec une couleur un peu différente, j’avais prévue un masque en soie et ajouré qui cache nos visages et nous défilons chacune notre tour, eux, ils avaient un carnet avec des cases à cocher indiquant qui était la première qui défilait, nous n’avions que la culotte et le bustier qui n’étaient pas de la même couleur et on l’échangeait aléatoirement, eux, devaient se taire s’ils le découvraient.

Après 5 défilés, nous regardons les carnets et mettons une note à chacun, ensuite, c’est le tour des caresses des cuisses, eux, ils sont avec un foulard sur les yeux, et doivent deviner à qui sont les jambes qu’ils tripotent, nous sommes plus préparés, on a une clochette et au bout d’une minute, ils doivent nous lâcher et par signe le bras en l’air pour moi et le bras montrant le sol pour la copine.

On note sur leur carnet, et on change de partenaire, à ce deuxième essai, est-ce moi qui commençait à être excitée ou le débrouillard qui me tripote qui devient plus caressant, je trouve celui-ci moins réservé, il faut dire que nous avons gardé notre tenue de péripatéticienne, la clochette retentie, et après avoir noté, on fait celle qui change de place, mais on revient à la même.

Leurs mains montent un peu plus haut que la dernière fois, ou nous avions mis des shorts, la copine à la cloche, mais elle dépasse allégrement la minute, afin de profiter au maximum des caresses qu’ils nous font, je regarde son air excitée, quand celui-ci remonte lentement ses mains et approcher l’endroit sensible.

Nous jouons un jeu dangereux, ils bandent, suivant leur position, on devine la bosse dans le pantalon, nous-mêmes, par moment, nous avons un léger soubresaut, ce qui nous fait perler quelques petites gouttes de cyprine.

Nous changeons de place et recommençons encore deux fois, après cela, c’est à notre tour de deviner qui nous touche en ayant le foulard sur les yeux, mais cette fois-ci, sans les bas, pour ce faire, se sont eux qui doivent nous en défaire un seul.

La donne change, celui qui me tripote, sait qu’il peut se permettre plus de libertés, je pense que c’est le débrouillard, arrivée en haut, il me caresse les fesses, je donne juste quelques secousses, pour faire croire que je veux qu’il retire ses mains, mais rien n’y fait, il me les pétrit.

Cela reste raisonnable, je laisse faire et profite, la cloche retentit, la minute est plus que dépassée, ils changent de place et à la façon de faire, je suis convaincue qu’avant c’était le débrouillard, il me retire le deuxième bas et me caresse les 2 jambes et cuisses.

Il a dû regarder ce que celui d’avant m’avait, il me pétrit aussi la fesse, je me suis laissé faire par l’un, je ne peux me défiler pour l’autre, je ne veux pas faire de jaloux, ma crainte est que la copine succombe, car moi aussi je lutte pour rester à ce stade, je ne veux pas gâcher le meilleur, comme disais je ne sais plus qui, le meilleur moment avec une pute, c’est quand on monte l’escalier.

Pour nous, c’est pareil, le meilleur moment, c’est quand quelqu’un nous tripote la première fois, ce genre de situation est comme une bicyclette, si ça fait du sur place ça tombe, avec eux, on a commence par se faire reluquer puis toucher un petit peu et de plus en plus.

Je sais bien qu’au départ, ça devait stagner, il était hors de question que ça aille même jusqu’ou nous en sommes, mais l’excitation, c’est comme la drogue, plus on en a et plus on en veut, et si se faire caresser les genoux nous excitaient hier, pour avoir autant de plaisir aujourd’hui, il faut monter d’un cran et ainsi de suite.

Mais nous avons un but, c’est de rendre ces deux-là très dociles, qu’ils ne puissent refuser ce qu’on leur demandera, laisser la copine sortir sans qu’ils le rapportent à son mari, et ensuite laisser venir mes 4 copines coquines et moi, afin de passer des bons moments ensembles, quitte même à donner de nos personnes.

Ce qui est excitant aussi, c’est de savoir qu’il n’y a pas que nous qui luttons, eux aussi, mais ils ont peur de tout perdre, ils savent que s’ils se transforment en gros bourrins, ils perdront tout pour un coup de bite, comme ils disent, des femmes comme nous, même en rêves, ils n’y pensent même pas, nous somme le plan A et il n’y a pas de plan B, pour eux, si on arrête, il ne leur restera que la bouteille.

Pour toutes ses raisons, ils se retiennent, se permettant juste de grignoter un peu la ligne blanche, mais pas plus, se retenir, c’est faire durer l’excitation, on y perd en niveau, mais on y gagne en masse, la cloche retentit, nos strings transpirent, leurs slips doivent être tendus.

L’heure avançant, je dis que je dois partir, j’ai un mari qui m’attend, ce qui est faux, c’est lui qui va venir quand les gardes seront chez eux, je leur dis que je vais discuter avec ma copine, des histoires de femmes et je les raccompagne à la porte en leur disant façon discrète, d’aller à leur poste d’observation.

Il est des choses qu’il n’y a pas besoin de répéter, ils s’y dirigent aussitôt, je rejoins la copine que je mets dans la confidence, « aller vient, ils sont en place », nous discutons, elle me demande si ça leur a plu, la tournant vers le miroir, je me met sur le côté pour ne pas qu’elle me voit leur faire un signe et je lui dis, je pense que oui, je l’embrasse dans le cou, et tombe son bustier, dévoilant sa poitrine.

Je lui pétris les seins, elle tourne la tête à droite et me dis gênée, « Anniiiie », je pince ses tétons, elle retourne la tête en répétant mon prénom, signifiant « que vont-ils penser », en ce moment, ils ont autre chose à faire de plus important, que de penser, je ne sais pas d'ou vient ce besoin de dire le contraire de ce qu’on souhaite.

Sa conscience dit non, son corps dit continu et c’est lui que j’écoute, même si nous sommes toujours en train de nous sous-estimer, on ne s’aime jamais, on trouve toujours l’autre femme mieux que soit même, ma copine Marie, ou nos maris sont incapables de dire qui est qui, les yeux bandés en parcourant nos corps des chevilles au cou, car nous sommes identiques, et bien je trouve marie plus belle que moi et elle me trouve mieux qu’elle, Henri et mon mari nous disent, « je vous jure, vous êtes aussi belle l’une que l’autre, aussi belle que vous êtes chieuses".

Devant cet argument, nous sommes obligées de les croire, ce qui fait qu’aussi bien la copine et moi, devant le miroir et surtout la fenêtre, ou derrière les deux gardes s’astiquent le manche comme on dit, elle comme moi, sommes excitée de la situation.

Ce soir la, nous ne pouvions se faire jouir, déjà, il était trop tôt pour donner cela à nos voyeurs, et nous avions chacune, un coup qui nous attendait, elle, mon mari, et moi, je n’étais pas en reste non plus, ce qui fait que nous faisions monter la température, ce que mon mari m’a confirmé le lendemain, en me disant que j’avais bourré la chaudière, qu’il a failli se noyer au cunni.

Je tripote et on mouille, amplifié par les voyeurs où on se doute de ce qu’ils font, j’augmente la pression en descendant une main qui frôle son ventre et finie sur le string, elle tressaille, je remonte ma main.

Elle a un sursaut et me dit, « attend, à mon tour maintenant » en passant derrière moi, je lui dis attend, il fait chaud, un peu d’air et j’ouvre les 2 vantaux, je me remets en place, un peu devant le miroir et plus devant la fenêtre, et comme elle a eu plus tôt, elle me fait pareil, faisant jaillir mes seins, je fais un petit D et elle un C moyen, un soutien-gorge, qui me serre un peu trop lui va bien.

Elle a un sursaut et me dit, « attend, à mon tour maintenant » en passant derrière moi, je lui dis attend, il fait chaud, un peu d’air et j’ouvre les 2 vantaux, je me remets en place, un peu devant le miroir et plus devant la fenêtre, et comme elle a eu plus tôt, elle me fait pareil, faisant jaillir mes seins, je fais un petit D et elle un C moyen, un soutien-gorge, qui me serre un peu trop lui va bien.

Continuant nos informations, je lui dis, tu vois ce sont des gentlemen’s, ils n’en ont pas profités pour nous violer, on peut leur faire confiance, ils sont contents d’être avec nous et c’est réciproque, quand ils ont défait mes bas, hummmm, oui moi aussi dit-elle.

Tout en parlant, sa main descend sur mon ventre et atteint mon string, allant plus bas que ce que je lui ai fait, sursaut garantie, je dis aller encore 2 mn et j’y vais, en clair, passez la cinquième vous deux, le clap de fin approche, elle retire sa main et nous nous mettons toute nue pour mettre des vêtements plus convenables, surtout pour moi repartir.

Après avoir pris congé, d’elle et d’eux aussi dont l’un a été cherché ma voiture, de son coté, elle a refermé la fenêtre et allumé sa télé dans la chambre, les différences d’images se voit a travers les persiennes à l’étage, ils savent ainsi que pour eux, c’est fini, mon mari est arrivé peu après, notre timing était bon.

A suivre.
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Histoire de annizette

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Commentaires du récit : Mari volage et cocu 6

Le 25/11/2020 - 06:48 par Lol24
On s est connu sur café coquin Je ne ressemble pas à Tom Cruise mais j avais l air de vous plaire. Vous vouliez que je vous fasse un scénario pour que vous soyez acculée et prise au piège par votre excitation. Je n' avais pas trouvé de scénario. Aujourd'hui je commence à vous connaître par vos récits je dois dire que vous m avez ouvert l esprit vis à vis des femmes de la vie de couple etc ( je suis divorcé)et j aurais certainement un scénario.

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