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Marie et nous

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Lue : 18142 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 06/09/2007

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Marie avait passé la soirée dans une discothèque avec mon cousin Georges, l’ayant eu au téléphone je sais qu’ils s’étaient embrassé chaudement laissant même Georges lui glisser un doigt dans la chatte sur la piste de danse, mais elle avait promis qu’elle passerait la nuit chez moi, bien qu’étant dans une période d’abstinence j’espérais que je baiserais avec elle ce soir là.

Elle arrivait vers 1h00 du matin me racontant sa soirée, elle se mit en nuisette beige, laissant un léger voile couvrir ses longues jambes, laissant deviner sa parfaite cambrure lui collant les fesses, laissant apparaître les tétons endurcis de ses seins fermes souffrant du manque de caresses depuis trop longtemps.

Elle se glissa prés de moi, fatiguée, je passais lentement ma main sur toute la ligne de son corps, elle se laissa faire et répondis : bientôt j’arrêterais mon abstinence soit encore patient. Je me blottis dans ses bras humant chaque parcelle de son corps m’invitant au plaisir, elle ferma les yeux et s’endormit. Je la regardais dormir, qu’elle était belle, je ne pus m’empêcher de la découvrir et de lui écarter légèrement les jambes, je lui remontais la nuisette et regardais longuement son entrecuisse, sa culotte, je glissais ma tète lentement entre ses cuisses pour humer sa chatte, dieu qu’elle sentait bon, je fis passer ma langue sur toute la longueur de sa chatte caché par sa culotte, de mon index j’écartais son string pour humer d’avantage sa chatte, puis commença à la lécher tout doucement, elle gémit dans son sommeil et entrouvrit grandement et innocemment les jambes, j’étais excité ma bite voulait la pénétrer mais je ne pouvais pas car telle était son choix pour le moment, j’entrepris donc de me branler tout en la léchant, sa chatte était humide une vraie fontaine, pensez vous elle entamais son troisième mois d’abstinence. Il ne m’a pas fallu beaucoup de temps pour jouir devant ce spectacle de sexe splendide. Je m’endormis prés d’elle repus et satisfais d’avoir une si jolie femme dans mon lit.

Le matin au réveille elle paressait dans le lit je ne lui ai rien dit de ce que j’avais fait la veille, elle n’avait aucune envie de rentrer elle voulait passer sa journée à flemmarder, c’est a cette instant qu’une idée diabolique me vint, pourquoi ne pas dire a mon cousin de venir car là où on avait échoué seul, on y arriverait sûrement mieux à deux.

Georges arriva une demi-heure plus tard et je fis la surprise à Marie qui était ravie de le voir. Elle savait que sa chatte ne résisterait pas longtemps face à deux pervers comme nous, je la voyais excité mais déterminée à tenir le plus longtemps possible.

Nous étions tout les trois sur le canapé, Georges et moi assis elle allonger la tète sur moi et les pieds sur Georges, toujours en nuisette le spectacle a la lumière encore plus persuasif !

Les mains de Jojo lui parcourait les jambes, les cuisses, lui frôlait légèrement l’entrejambe, ma main lui caressait le dos, allant de la base de la nuque au bas du dos, et sur le chemin du retour lui frôlait légèrement les seins, nous étions tout les trois dans une excitation sans commis mesure, c’est le moment qu’elle choisit pour se relever et nous dire qu’elle allait se laver et que nous irions dîner en ville, elle se leva se dirigea vers la salle de bain et disparus.

Un sourire complice et coquin se dessina sur nos visages. Elle revint habillée d’une jupe longue légèrement voilée, un bustier laissant apparaître l’échancrure de sa poitrine tout de couleur noire, elle était magnifique et sexy.

On s’installa dans un petit restaurant à l’écart de la ville, pris une table à l’écart des autres, marie était assise a coté de moi et en face de Georges. La serveuse nous emmena nos apéritifs et nous trinquâmes, Marie pris la parole et dit :

- Vous croyez qu’il faut que j’arrête mon abstinence ?

On lui rétorqua avec une rapidité déconcertante et en cœur :

- Oui, elle dit d’accord.

Un silence régna d’un coup à notre table je pense que chacun pensait dans sa tète à la suite de la soirée, d’un coup j’entendis Marie gémir, je me reculais de ma chaise pour comprendre, et la vision qui s’offrait à moi était un pur phantasme, Jojo avait ôter sa chaussure droite et son pied s’était glissé sur la chatte de Marie, il exerçait une pression avec son pied sur le clitoris de Marie, elle augmentait cette pression en appuyant à l’aide de ses deux mains le pied sur sa chatte, il fallait que je participe, je glissais ma main sous la table et d’un geste sur lui écartait la culotte pour lui glissait un doigt dans sa chatte humide, son désir coulait le long de mon doigt, un petit cri se fit entendre lors de la pénétration, j’entreprit quelques va-et-vient et elle eu quelques soubresauts de plaisirs, elle dit :

- Venez on se dépêche et on va baiser.

Le sourire et le bonheur nous fîmes de nous dépêcher de boire, de manger mais nous avions bu trop vite et j’aurais aimé vous dire que cela a été une baise torride mais nous étions tout les trois fatigués et tués par l’alcool ce fut une bonne baise mais rien d’extra c’est pour cela que nous avons très vite remis ça…mais c’est une autre histoire…
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