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Marion et moi, son Grand oncle

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Lue : 4963 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 17/08/2018

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C’est en téléphonant à mon frère en Provence que je tombais sur la voix chantante de sa petite fille, ma petite nièce donc. Vu mon âge canonique ne vous trompez pas, en fait ma petite nièce est une resplendissante jeune femme de trente printemps, pulpeuse, rousse comme était son père.

Mon frère devait être heureux de sa présence car Marion c’est la joie de vivre ; depuis sa naissance il est fou d’elle et il lui pardonne tout, même son gout immodéré qu’elle a depuis son adolescence pour les plaisirs du sexe ; plaisirs et usages dont elle ne se cache guère.

Combien de fois, à la nuit tombée elle a ramené chez lui, en douce, l’élu du soir, jamais le même, et mon frère, fébrile, restant tapi derrière la porte de sa chambre pour entendre leurs brulants ébats amoureux. Bizarrement il était heureux de cette liberté qu’elle avait su se donner contrairement à lui et le matin, quand l’amant s’éclipsait discrètement il était heureux de la retrouver, de croiser son regard pur, voir le cerne de ses jolis yeux verts et le plus gêné des deux ce n’était pas elle.
Elle a le feu au cul me disait-il presque fièrement de sa petite fille qui savait se donner du bon temps.

Mais je l’entends
« Au fait tonton j’ai besoin de voir une amie, accepterais-tu de m’héberger chez toi à Paris pour quelques jours
Surpris je m’entendis lui dire
« C’est d’accord Marion, ma maison est grande et vide maintenant que je suis seul
« Tu sais je ne te gênerais pas beaucoup et je t’aiderais. Je peux arriver quand ?
« Comme tu veux Marion
« On est lundi, mercredi matin cela te va ?
« D’accord, à Mercredi donc

Voilà, vite fait bien fait et elle arrive aujourd’hui, je suis heureux de lui rendre service car je l’aime bien moi aussi. J’aimais bien son père mon neveu trop vite disparu.
Elle ne fut pas une charge, une vraie tornade blanche, s’occupant de tout, de moi, remplissant la maison de sa voix, de ses chants, un vrai enchantement. Mais le soir elle disparaissait pour aller voir, soi-disant, son amie et ne rentrait que le lendemain, tôt dans la matinée. Pour moi elle allait en boîte comme on dit.
Le deuxième soir, avant de partir elle me demanda si par hasard j’avais des préservatifs, qu’elle n’en avait plus.

Elle était pressée de partir et elle m’aida à chercher dans la salle d’eau dans une vieille trousse où je planquais tous mes accessoires. Il faut dire que je me suis toujours obligé à ne pas réduire mon activité sexuelle, d’en garder l’usage, sachant qu’en vieillissant son abandon peut museler, tarir même la libido à jamais. Pour se faire j’avais tous les objets nécessaires pour m’exciter, jouir en solitaire, garder ma virilité, mon éjaculation et assez souvent, à l’occasion, en faire profiter quelques veuves de mon quartier.
« Là ! oui tonton un paquet entamé, chouette ! tu sais je suis prudente et j’aime me protéger
« Tu as raison Marion, tiens ceux-là sont parfumés, prends ce qu’il te faut.
« Parfumés à la banane ! ..... rire ….. tout un programme mon tonton…… serais tu coquin toi aussi ? Je prends le paquet….. dis, tu ne m’en veux pas ? cela ne va pas te manquer ?
« Non bien sur j’en achèterai d’autres

Alors en partant, heureuse elle me fit un gros poutou et à son regard je vis que l’idée qu’elle se faisait de moi avait changé. Tout se passa bien pendant deux jours mais le troisième soir je la vis revenir en pleine nuit, éplorée, énervée et pour la calmer je dus la serrer longuement blottie dans mes bras.
« Que se passe t’il Marion ?
« Rien mon oncle

Rien, mais je compris que cette nuit elle n’avait pas trouvé de quoi la satisfaire. Elle m’embrassa, me dit que ce n’était pas grave et elle alla se coucher. Le matin quand je me levais elle était déjà là et je la trouvais accroupie, en nuisette fourgonnant dans la salle d’eau, furetant dans mes affaires, déballant le contenue de ma sacoche
« Et bien tonton me dit- elle en riant si je m’attendais à tout cet attirail.

Elle avait sorti tout l’assortiment de mes godemichets, ma pompe à zizi pour le faire bander et grossir, mes préservatifs fantaisies, mes flacons de lubrifiant, du fluide, de l’épais, mes anneaux vibrants, quelques culottes de femmes en satin dont je me sers pour me caresser et j’en passe. Pour l’heure elle tripotait mon gode Rabbit avec curiosité et intérêt.
« Si je comprends bien tu es porté toi aussi sur le sexe …comme moi…. j’ai de qui tenir, youpi mon oncle ! je suis rassurée ! Nous sommes au moins deux dans la famille !
« Tu sais Manon je me suis un peu calmé mais je m’efforce de conserver ma libido par tous les moyens possibles, tu peux t’en rendre compte

« Oui c’est bien mais ce gode avec ces trois sexes c’est pourquoi ? on dirait un homard cuit avec ses deux pinces, c’est presque effrayant !
« Effrayant mais oh-combien ! efficace pour s’exciter…… il rend service de temps en temps
« Avec des femmes ?
« Oui, Manon, mes veuves comme je les nomme, des jeunes, des plus âgées je leur prête et je les regarde s’exciter avec
« Et alors ?
« Pour certaines je dois les aider pour leur faire connaître toutes les possibilités de ce gode formidablement jouissif
« Et alors ?
« Alors, je te l’avoue, j’y trouve un très grand plaisir, je me sens toujours homme malgré mon âge. Les pinces comme tu dis, en fait ce sont des petites oreilles souples, vibratiles qui sont conçues pour titiller le clitoris et pour l’anus quand le gode fait son œuvre dans le vagin. Tiens regarde, écoute !
Et devant son regard incrédule j’avais mis en route les vibrations, l’agitation du gland, le roulement des billes, les petites oreilles de lapin en pleine action s’agitant comme deux folles, enfin tout ce qui dans ce roi des godes affole les femmes esseulées.

« Oufff ……tu m’offres des perspectives, Je pensais aller chez un vieux tonton et je vois que tu es inventif et que comme moi tu as la folie du sexe
« Je te déçois, Manon ?
« Non………. au contraire…… Moi aussi j’éprouve du plaisir quand on me baise, quand on me fait jouir, quand on me surprend, quand j’excite mes amants, j’aime le changement ; tu sais je suis addict du sexe moi aussi
« Mais ton copain ?
« Pas d’importance il fait ce qu’il veut lui aussi mais revenons à toi, tu peux te faire jouir tout seul ?

« Oui tous les matins je m’excite dans la salle d’eau devant la porte miroir de l’armoire, je me regarde nu en pied et je suis heureux quand je bande, la bandaison sais-tu Manon à mon âge, cela se provoque, cela se commande, malgré les allégations de mon cher Brassens, La bandaison papa çà ne se commande pas Quand je ressens cette tension dans mon sexe dressé cela me rassure et souvent j’éjacule puissamment en me caressant, en me masturbant.
« Tu te caresses avec les culottes de femmes ?
« Oui souvent je les mets sur le radiateur, avant, chaudes elles sont plus jouissives
« A mon avis dans ta panoplie et crois en mon expérience il te manque tout simplement une louche, je l’ai prise à la cuisine, celle en inox !
« ?????? Une louche ? Pourquoi l’as-tu prise ?
« Pour te la faire essayer mon Oncle adoré maintenant que je connais tes appétits ! Rien de tel, c’est mieux que ta main, tu vas voir si tu veux je commence et si cela te déplait on arrête ou tu te caresses tout seul, tu veux ?
« Oui bien sur Manon, tu m’intrigues
« Je vais te regarder pour voir si cela te fait de l’effet, j’aimerais tu sais! Non ne baisse pas ton pyjama, regarde la louche je la fait pendre en la tenant par la queue comme un pendule et je la fait glisser sur le devant, du bas de ton ventre, en haut de tes cuisses….tu la sens qui te frôles ?
« Oui ça fait drôle

« Ne dis plus rien et regarde-moi……. je monte et descend en passant de l’avant d’une de tes cuisses à l’autre, en évitant ton sexe pour le moment mais en tournant autour… en passant par-dessus, sur ton ventre ou par-dessous entre tes jambes ouvertes….c’est drôle hein ……Tonton…… par moment je m’insère entre tes cuisses sans m’y attarder…… écarte toi plus…. Ouiiiii….. petit à petit je m’approche de ton sexe, de tes testicules, tu sens les bords de métal qui croche sous ton sexe, qui frôlent une de tes parties par-dessous et sur un côté, avant de caresser l’autre… Je vois dans ton regard le bien que je te fais……c’est mieux que ta main …..je me rends compte que tu bandes déjà…je sens ta queue raidie que j’agite, je fais ballotter tes couilles Tonton en tous sens, excuse mon langage, en les remontant bien calées dans la concavité de la louche….

« Ahhhh ! Manon ma diablesse…oui c’est bon…comme tout ce qui est nouveau, je bande comme ce n’est pas possible, mon sexe est tendu comme jamais, tout décalotté…continue tes caresses, ces frôlement jouissifs
« Non Tonton, à toi maintenant, prends la louche, tu verras c’est mieux tu vas sentir ce qui t’excite le plus et tu agiras en conséquence……. aller commence…sers toi des bords minces de la louche pour te caresser, en douceur, juste des frôlements pour commencer
« Ah oui, ouiiii c‘est bon
« Frôle tes cuisses, ton sexe, tes couilles, furette, insère toi de partout et avec le creux de la louche, par-dessous, branle toi les parties, agite ton sexe en tous sens fais le ballotter, tu peux si tu veux t’enfoncer entre tes cuisses….dans la raie entre tes fesses….écarte toi bien ……

Je regardais ma petite nièce qui me guidait vers le plaisir et manifestement cela l’excitait car sa voix d’un coup devenait plus rauque, sa respiration haletante…
« Merci Marion de ce nouveau subterfuge pour m’exciter, cette caresse qui semble venue d’ailleurs, tu as raison c’est bon, mon sexe n’a jamais été si tendu, c’est bon de bander tu sais
« Aller caresse tes cuisses, frôle ton sexe, branle-toi, agite tes couilles …… si tu savais comme je suis excitée moi aussi
« Je le vois, je l’entends
« Tonton, jamais je n’aurai cru possible ce que nous faisons, pourtant je l’avoue j’ai toujours eu envie de baiser avec toi mais tu semblais si inaccessible je n’ai jamais osé te le montrer
« Si tu savais que moi aussi je fantasmais sur toi, toi Marion mais les bonnes mœurs m’interdisaient même d’y penser et pourtant si tu savais les brouillons érotiques que j’ai forgé dans ma tête
« C’est vrai ce que tu me dis ? Tu m’as baisée par la pensée ?Que de temps perdu alors Et là nous réalisons enfin nos pulsions ….. enfin nous commençons

« Oui…. .je continue de me caresser…….tu as raison c’est mieux qu’avec ma main….. mais peut-être pas mieux qu’avec ta menotte
« Ahhhh….mon oncle! que dis tu ? tu veux……je peux….. oui ?……ouiiiii !….. tu sens ma main se glisser entre ton pyjama et ton ventre……te prendre le sexe….. !!! …… si je m’attendais Tonton.. ce sexe énorme dans ma main…je le branle en faisant glisser ta peau sur ta verge et çà tout en agitant tes couilles par dessous …je n’en peux plus…caresse moi toi aussi……. oui…ouiiiiii…ta main entre mes cuisses sous ma nuisette, sur ma culotte……tu sens comme je mouille…caresse bien ma vulve……ouiiiii….ahhhhaouiii……..je sens tes gros doigts qui cherche mon vagin……branle moi bien…branlons nous…….je veux que tu jouisses toi aussi…..dans ma main…..entre mes doigts…….Tonton je jouis…….Ah comme c’est booonnnn……. Viens ! rejoins moi……
« Manon…Manooonnn ….je jouis moi aussi…on jouis ensemble.. ahhhhh….. ahhouicébooon

La formidable jouissance de Marion perdura bien après la mienne, fulgurante, elle et je fis tout pour maintenir, amplifier même son orgasme, sa main, la louche, inutiles sur moi, je lui branlais la chatte avec deux de mes doigts tandis qu’avec la pulpe de mon pouce je malmenais son clitoris, je devais la soutenir pour qu’elle ne s’effondre pas, en pleine pamoison elle s’agenouilla devant moi et prestement baissa mon pyjama libérant mon sexe épanoui, en pleine érection.

Alors c’est moi qui chancela quand avec ses mains, ses doigts, sa bouche, son nez elle fureta de partout entre mes cuisses, de mon ventre jusqu’à la raie de mes fesses doigtée elle aussi, j’hurlais quand elle prit mon sexe dans sa bouche pour s’occuper de lui, quand elle me caressa les testicules dans sa menotte avant de les aspirer une après l’autre, quand elle me demanda de baiser sa bouche. Manifestement elle trouvait du plaisir, elle semblait ainsi hors du monde à s’occuper de moi.
D’un coup se dégageant elle se mit à rire
« Mon tonton cela ne sent pas le banane….re…rire……
C’est moi qui lui demanda si elle voulait que je la baise vraiment alors comme folle elle se releva son regard enfiévré me donna sa réponse
Alors je la soulevais pour l’assoir sur la table, jambes pendantes

« Retrousses moi, …arrache ma culotte…vite …….enlève ton pyjama …..je veux te voir nu sur moi…..approche…installe toi entre mes cuisses…..caresse moi avec ton gland…oui comme çà…c’est doux…ça glisse bien…c’est bon…si on m’avait dit ce qui m’arrive…ce dont j’ai toujours rêvé……baise moi Tonton….. doucement…. fourre moi en douceur…prends ton temps si tu peux
« Oui ne soyons pas pressés ma diablesse avant mon sexe tu vas avoir droit à ma bouche, à ma langue
« Tu vas me sucer tonton ?
Je ne répondis pas mais la réponse alla de soi quant à genoux sur la moquette, mon visage entre ses cuisses, je m’avançais, la langue sortie de ma bouche. Il ne fallait pas que je traine de trop vu l’état d’excitation de Marion, alors en enroulant ma langue comme je sais le faire d’un coup je la baisais avec ma muqueuse rose, son vagin entr’ouvert me permis cette fantaisie. Fantaisie qui fit hurler Marion

« Mais que fais-tu mon oncle tu es le diable toi aussi, ahhhhhh…. ouiiiiii encooorrrre ! ouiiiii !
Je m’appliquais, bouche grande ouverte, je forçais ma langue à la fourrer entièrement c’était facile et si entre deux effractions, entre deux aller et retour jouissif d’une lippée d’un revers de langue j’affolais son clitoris c’était pour mieux lui redonner le plaisir de la pénétration qui suivait cette caresse.
« Tonton baise moi, tu veux ?

Si je voulais…bien sur j’étais aux anges moi aussi, je m’étais remis debout et avec ma main je faisais aller et venir mon sexe sur sa vulve inondée de sa mouille en m’en servant comme d’un pinceau, je m’attardais, mon gland décalotté sur son clitoris et quand enfin, à sa demande je la fourrais je lui pris les seins à pleines mains et cela la renvoya au paradis.

Une heure durant je lui limais la chatte. Comme ils sont bons les ans qui passent et qui permettent de ne plus jouir précocement comme cela m’arrivait bêtement quand j’étais plus jeune, de rester longtemps bien raide, je la fis se tendre quatre ou cinq fois avec toujours la même intensité de son plaisir et du mien. A chacun de ses orgasmes, lisible sur visage tourmenté, quand elle gémissait avant de crier son plaisir, quand elle s’agitait en tous sens, en relevant son bassin pour venir à la rencontre de mon sexe, de mon ventre je m’appliquais à le faire durer en accélérant la cadence, en variant l’angle de mes pénétrations et en râlant moi aussi.

J’avais relevé ses cuisses sur mes épaules pour la baiser profond, mon sexe enfoncé jusqu’aux couilles au rythme du claquement de mon ventre sur ses fesses, entre deux orgasmes de nouveau elle m’ordonna
« Penches toi, allonge- toi sur moi tonton……écrase moi les seins…..oui comme çà…..je sens tes poils qui caressent mon clito.. si tu savais le plaisir que cela ajoute ……tu sais bien me faire jouir comme une possédée du sexe , la petite salope que je suis…. il ne me manque que ton plaisir , laisse toi aller maintenant, je ne crains rien, ne te retire pas surtout, je veux te sentir gicler au plus profond de moi…..aller accélère la cadence….va bien à fond, claque bien mes fesses, embrasse-moi… ahhhouiii c’est bon

Ce que je fis, alors se fut fulgurant pour nous deux, mon jet puissant de foutre au plus profond de son vagin la révulsa, l’expédia aux limites du réel, mon râle et ses cris mêlés comme nos sexes avant le lent retour à la réalité
« Mon tonton quel plaisir tu as su me donner, jamais dans mes rêves les plus fous j’aurai imaginé ce qui nous arrive…merci….. j’espère que toi aussi …tu as bien profité de moi, de mon appétit sexuel ?

« Manon il faut profiter de ces instants de cette occasion d’être ensemble car ils seront rares
« Que veux- tu dire…que nous pourrions continuer encore à se donner du plaisir
« Tu n’en as peut-être plus envie Marion, tu es peut-être fatiguée, lassée de moi comme tu te lasses de tes amants ?
« Tu rigoles je suis en pleine bourre je n’ai jamais eu si envie de jouir, tu penses quand ? maintenant ? de suite ?
« Oui !
« Tu sais, c’est un peu comme si tu demandais à ma mer, dans son immensité, si elle a encore soif d’eau douce, bien sur Tonton que j’ai encore envie de toi, de tes caresses, de ton expérience, de ton vice de vieux dont je veux m’amuser, de ton gros sexe……. que proposes tu ?

« J’aimerais te faire jouir encore avec ma bouche, mes lèvres, ma langue
« Mais où grand dieu , tu viens de le faire, tu m’excites
« Sur les bouts de tes seins, dans ta chatte, dans ton petit cul surtout…. tu veux ?
« Si je veux, tu plaisantes, je mouille encore……. mais si tu veux allons dans la chambre sur le lit nous serons mieux et je te promets moi aussi de te rendre tes caresses …….mais cela ne va pas te dégouter ?
« Quoi Marion ? de te sucer la chatte ? lécher ton anus ?
« Mon anus ! c’est vrai ? Tu le ferais ? Tonton je défaille ! Ouiiiiii……, je mouille tu sais et je suis remplie de ton sperm
« Cela me plait au contraire cela va me permettre de me rendre compte du plaisir que je te procure, je vais te boire, enfoncer ma langue dans ton vagin, dans ton anus si tu veux
« Arrête allons vite dans la chambre, je n’en peux plus

La chambre était dans un clair-obscur, les raies de lumière filtraient par les ouïes des persiennes, le lit défait était ouvert
« Je m’installe comment tonton ?
« Mets-toi à genoux
« En levrette ?
« oui

Elle s’était installée en travers du lit, penchée, en appui sur ses coudes, tête relevée, ses genoux au bord de la couche, elle était bien cambrée, les fesses bien en évidence et quand pour la première fois, en retroussant délicatement sa nuisette je vis ses fesses nues, ses fesses de rousse, blanches, grêlées, étoilée de petites aréoles de couleur , je crus un moment que je rêvais et pourtant j’étais bien là, à genoux dans la travée du lit , entre ses cuisses ouvertes, avec ses merveilles à portée de mes mains, de mon visage, de ma bouche…un moment je fus saisi d’effroi, allais je pouvoir contenter Marion et sa soif inextinguible de jouissance, de plaisir.

Elle se mit à gémir dès que mes mains se posèrent sur elle, longuement sur sa taille, sur ses hanches avant d’empaumer ses fesses une main sur chacun des deux merveilleux volumes, mes doigts enveloppants, les pouces face à face sous ses fesses, proches de sa chatte et cela m’encouragea, me rassura et j’oubliais mon angoisse quand je l’écartelais et que je vis au fond de sa raie profonde son anus et sa chatte inondée.

Manon avait des fesses merveilleuses, fermes comme je les aime, bien séparées par une raie profonde, mystérieuse et quand avec mes mains je fis vibrer ses deux merveilleuses rotondités jumelles avec mes pouces par dessous, en les écartant de la paume je créais des sortes d’ondes et je pouvais voir l’effets de ces écartèlements, de ces vibrations sur son petit cul tapi au fond d’une petite dépression. Qu’il était beau cet anus offert !

Pour l’heure il semblait bien sage, obturé avec tous ces petits plis rayonnants, l’endroit était légèrement plus mat que ces fesses, que ses cuisses, il était comment dire…attirant au fond du petit cratère, de la petite dépression où il résidait ….. comme fou j’avançais mon visage, mon nez, ma bouche et quand pour la première fois, d’une lippée de ma langue je léchais l’anus offert cela déclencha un véritable cataclysme
« Ahhhhhh ouiiiiiiii soupira Marion
« Continue Tonton…….oui……ouiiiiiii…….ahhh ouiii …… c’est boonnnn !

Encouragé je m’appliquais, j’avais enduit tout le fond du profond canyon de ma salive, de son anus à sa chatte mais je restais centré, la pointe durcie de ma langue sur le méat de son anus qui je le sentais commençait à s’amadouer comme on dit. Je m’efforçais de ne pas caresser sa chatte pour ne faire naître le plaisir que de son joli petit cul, pour voir si c’était possible …..

Durant un long moment je fis virevolter le bout de ma langue autour de son anus bistre, par moment manifestement cela devait la chatouiller car des rires nerveux me parvenaient mais quand petit à petit la pointe de ma muqueuse commença son effraction dans sa rosette, effraction rendue possible par le relâchement des muscles puissants qui en défendent l’entrée et aussi il faut le dire par la volonté, l’entêtement de ma langue durcie ruisselante de salive à rentrer par effraction, cela alla plus vite.
Chaque millimètre gagné par ma langue était conquis, la pointe que je faisais aller et venir en m’enfonçant davantage petit à petit à chaque pénétration faisait son œuvre et cela arriva d’un coup ponctué d’un cri , mon visage enfouit entre ses deux merveilles, bouche grande ouverte, mon nez calé dans la raie des fesses, ma langue triomphante complètement sortie de ma bouche mais entièrement dans son anus ouvert, vaincu.

Plus de rire à cet instant, du silence, on me laissait faire, l’anus dilaté me laissait la possibilité d’entrer et de sortir librement, ma langue luisante de ma salive, glissante comme une truite pouvait s’amuser librement, entrer et sortir, se branler, pénétrations profondes ou superficielles, lippées ponctuées d’affolement de la pointe de ma langue sur les bords de l’anus fracturé.

Le plaisir, le plaisir par le cul devait commencer à naître car d’un coup les fesses de Manon s’animèrent d’une lente houle, d’avancées et de reculs pour bien conforter les pénétrations, les caresses de ma langue ; rapidement la houle devint tempêtueuse, la croupe animée de soubresauts apparemment incontrôlés avec toujours ma langue toujours plantée profond dans son anus s’agitant comme une folle.

C’étaient des cris maintenant, des cris de jouissance à la mesure des soubresauts anarchiques des fesses, et cela devint cataclysmique quand rassuré sur le plaisir possible , donc, par le cul, ma langue s’efforçant de rester plantée dans ce puits mouvant , d’une main passée sous ses fesses entre le vé des cuisses ouvertes je tripotais la chatte de Marion en resserrant ses grandes lèvres lubrifiées de son plaisir, en les faisant glisser onctueusement l’une contre l’autre, et quand je la pénétrais avec un puis plusieurs de mes doigts tout en titillant son clitoris avec la pulpe de mon pouce ce fut de la folie, des vociférations sans nom, incompréhensives !

Que j’étais heureux de donner tant de plaisir à Marion, ma petite nièce cette jeune femme si expérimentée qui avait dû en voir de belles depuis toujours et que j’arrivais à tant faire jouir. Sans m’en être rendu compte je m’aperçus que j’avais une bandaison incroyable, ce qui est rare chez moi quand mon esprit est occupé à donner du plaisir, alors je me levais, ma bouche quittant les lieux où elle se complaisait, Marion poussa un soupir de frustration mais quand je la replaçais dans le sens du lit et qu’installé à genoux derrière elle entre ses cuisses je centrais mon gland décalotté entre ses fesses c’est elle qui dans un cri s’empala sur mon sexe, d’un seul coup ………dans son anus !

C’est elle, oui, qui se donna du plaisir comme elle l’entendait en remuant ses fesses, en les avançant et reculant pour se branler l’anus sur ma verge , moi , passif, je la laissais faire j’étais heureux du plaisir qu’elle prenait sur moi, ma verge malmenée, agitée, broyée n’avait jamais été aussi grosse aussi raide Manon se mit à jouir et c’était presque inquiétant de voir l’intensité de son orgasme, les circonvolutions erratiques de sa croupe .

Le soleil du faire son apparition au dehors car d’un coup ses fesses furent illuminées, zébrées de raies lumineuses filtrants des persiennes, vous voyez ? comme la nudité des danseuses du Crazy Horse. Le tableau sous mes yeux devint sublime, fantasmagorique, je voyais mon sexe comme un bâton de feu aller et venir, entrer et sortir d’entre ses fesses mouvantes, lumineuses ; en me penchant je pouvais voir mon gland quand il sortait se recentrer tout seul sur l’anus dilaté avant qu’il ne disparaître en lui en s’enfonçant, mes testicules en butée au fond de ses fesses.
Alors oui, cette fois c’est moi qui devint comme fou, pour pimenter nos ébats je me penchais sur elle mon torse dans son dos et passant mes deux mains par devant je lui pris ses seins qui dodelinaient au gré de ses embardées. Je sentis qu’elle passait une main entre ses cuisses et quand elle caressa en alternance sa chatte et mes parties je ne pus résister et mon râle s’unit à son cri quand je me répandis en elle.

Calmés, nous étions en train de nous câliner allongés nus, côte à côte, satisfaits des moments intenses que nous venions de vivre ; j’étais en pleine forme, la jeunesse, les envies de Marion me revigoraient. Elle me regardait tendrement
« Embrasse-moi me dit-elle, et ce fut notre premier vrai baiser qui contrairement à nos ébats…..fut très chaste…très doux, langues lovées l’une dans l’autre
« Tonton j’ai encore envie
« De moi ?
« Oui d’une certaine façon mais cela me parait une envie impossible
« Dis toujours
« J’ai vu que tu avais un lot de godes ceinture, j’aimerais m’équiper avec celui que tu choisirais pour moi, j’aimerais m’exhiber devant le miroir avec ce sexe, comme un homme, comme toi le matin quand tu bandes, tu sais c’est un de mes fantasmes, un des plus forts, avoir la possibilité de pénétration que vous avez, vous, les mâles ; je veux en être l’espace d’un instant !....tu comprends ?
« C’est facile Marion suis moi

Nous étions nus tous les deux dans la salle d’eau examinant les trois ou quatre godes dont j’avais fait l’acquisition au fil du temps, elle opta pour un gode très réaliste, assez gros, long, souple, avec un beau gland décalotté et une belle paire de testicules. Je lui expliquais le rôle des ceintures en insistant sur celle qui comportait une sorte d’appendice recourbé, long et assez gros pourtant.
« C’est pour le glisser dans la chatte, il donne des sensations quand tu baiseras avec le gode de la ceinture.
« Quand je baiserais !.....Des sensations, explique- moi mon oncle, je t’en prie !

Je laissais sa question sans réponse et je l’aidais à s’harnacher et se fut assez jouissif pour nous deux quand je lui passais les deux courroies souples, élastiques entre ses fesses, calées de part et d’autre de ses grandes lèvres et que j’arrimais le gode qu’elle avait choisi. Marion s’éclaffa quand elle se vit devant la grande glace de l’armoire
« Tonton, je devrais avoir honte mais je suis heureuse, excitée au possible grâce à toi, je mouille déjà, je mouille encore….
« Branle toi un peu…oui…doucement ……tu sens le rôle du petit sexe que j’ai glissé dans ton vagin
« Oui je le sens, je comprends son rôle maintenant, il bouge en moi, les courroies me caressent aussi, c’est bon ! ! et son petit appendice frôle mon clitoris, le caresse !
« C’est étudié pour, comme on dit, pour bien jouir mais pourquoi ce fantasme Marion ?

« Tu sais, j’ai fait, on m’a fait tout ce qui est possible de faire à une femme qui aime jouir, mais ce que je n’ai jamais connu et que j’envie à vous, les hommes c’est ce pouvoir de pénétration que vous avez avec votre sexe, sexe dont je suis équipé !
« Tu veux que je te suce
« Tu le ferais !
« Pour toi, oui, et plus même
« Plus tonton ! je n’ose y croire, je n’ose comprendre
Je la laissais à ces interrogations et à genoux devant elle je pris le gode dans ma bouche et je m’appliquais en aspirant en l’attirant vers moi pour qu’elle sente le petit gode aller et venir en elle
« Que voulais tu dire avec plus ?…….tu me laisserais m’exciter entre tes cuisses ;
« Entre mes fesses aussi, pourquoi pas

Et en me relevant et en me penchant sur la baignoire je lui présentais mes fesses, un des endroits les plus sexy de mon anatomie, mes veuves en sont folles. Manon était interdite, comme sonnée, le miroir lui envoyait l’image de son sexe factice dressé dans mon dos
« Si tu veux prends le flacon de lubrifiant pour que çà glisse bien……oui…….mets en plus dans la raie de mes fesses ………aller viens !
« Je peux vraiment Tonton
« Oui allez viens

Alors oui, elle glissa le gode entre mes cuisses, sous mes fesses, le gland sous mes testicules et elle commença à se branler sur moi, elle m’avait saisi à la taille et elle m’attirait vers son ventre. Moi le serrais mes fesses pour qu’elle se sente branlée elle aussi, en retour.
Marion se regardait me posséder, elle ne perdait rien du spectacle de son sexe luisant, lubrifié aller et venir, glisser entre mes fesses , elle était dans un autre monde, celui de son fantasme enfin réalisé, celui de la pénétration ; j’étais heureux de lui faire ce cadeau et je savais moi que j’allais lui donner plus encore !
« Marion
« Oui
« Tu es bien ?
« Je jouis depuis le début, merci
« Tout à l’heure je t’ai dit que je pouvais t’offrir plus, tu t’en souviens ?
« Oui
« Tu n’as pas envie de mon anus, de mon cul,

« Je n’y pensais pas, c’est impossible !
« Si c’est possible, Marion, je veux que ton désir de possession se réalise vraiment, toi, d’un coup comme un homme, me faire jouir avec ton sexe par le cul, tu veux, j’en ai envie moi aussi
« Tu ferais çà pour moi
« Oui pour toi et pour moi, pour la fraicheur de ton corps pour ta jeunesse mais faisons çà bien, prend le tube de lubrifiant épais….oui……mets en sur ton doigt et glisse le….oui tu as compris où ! mets en un peu plus, plus profond ..oui.. ; aller tout est prêt je te laisse faire, mais tu peux me parler…m’insulter même si cela peut t’exciter davantage, je n’en prendrais pas ombrage

« Ah tonton, quel cadeau, je n’arrête pas d’être bien depuis le début…tu sens mon gland sur ta rosette…….je m’appuis dessus…juste le bout……je te presse…..çà résiste…..Ahhh tu t’ouvres…Oui…ouiiiii…je n’en crois pas mes yeux…j’entre…c’est facile…..je te possède…je t’encule tonton…….je suis à fond…mon ventre , mes testicules qui claquent sur tes fesses…….tu me baises toi aussi dans ma chatte….quelle bonne idée ce gode androgyne qui fouille mon vagin quand je m’agite……ahhh…. Que c’est bon…c’est boooomnn… et toi , je te fais jouir hein…..salope …..dans ton cul de gouine…je mouille…je jouis comme je n’ai jamais jouis……tu en veux de la bite tonton !……tiens…tiens …..prends en…prends la queue de ta petite salope de Marion avec son gros dard ….. aller glisse ta main entre tes cuisses caresse les couilles les tiennes et les miennes… c’est bon …….tu jouis toi aussi…...j’accélère la cadence …….attend je te prends le sexe et je te branle moi aussi…quel verge tu as Tonton… aller rejoins moi…jouis toi aussi…….par le cul ! par ton sexe….oui ..tu jutes, enfin, tu éjacules, oouuuiiiii

Nous venions d’aller au bout de nos fantasmes, de nos envies rentrées et après ce tumulte de plaisir sans contraintes, sans tabou, hors normes, la suite ne fut que tendresse, dans les bras l’un de l’autre ce ne fut que des tendres baisers, des regards amourachés de reconnaissance, des caresses chastes.

Elle devait repartir le lendemain, je fourgonnais dans la maison quand j’entendis un bruit venant de sa chambre, prudemment je m’approchais en silence et par l’entrebâillement de la porte je vis un spectacle qui m’émut au plus haut point avant de m’exciter comme jamais.

Marion presque nue, assise sur le lit cuisses écartées examinait attentivement le gode Rabbit et essayait en jouant sur les commandes de voir tout ce dont il était capable et il lui en fit voir, le bougre. Elle semblait fascinée par les vas et viens du gland et ses mouvements erratiques, par la rotation de ce collier de billes ; elle faisait vibrer les deux petites oreilles translucides et le petit sexe pointu à l’opposé, elle devait sentir son odeur attirante de bonbon anglais que j’avais choisie. Manifestement elle n’osait lui faire jouer son rôle qu’elle pressentait., qu’elle imaginait.

Elle écartait le tissu de sa culotte dévoilant sa chatte, quand je commençais à m’exciter en me caressant, je n’en pouvais plus, j’avais une érection incroyable et quand je vis qu’elle présentait le gland entre ses grandes lèvres j’entrais dans la chambre. Marionne ne sembla pas gênée de ma présence, au contraire, elle me fit un grand sourire quand m’asseyant sur le fauteuil, face à elle je baissais la culotte de mon pyjama dévoilant mon érection.
« Fais toi plaisir Marion, je te regarde
Marion faisait aller et venir le gland du gode sur sa vulve inondée, de son vagin jusqu’au haut de ses petites lèvres, à frôler le capuchon de son clitoris
« Alors , lui demandais je, la gorge serrée
« C’est particulier mon oncle
« Joue avec……pénètre toi…….doucement…..tu le sens
« ahhhh c’est bon déjà
« Avance bien les petites oreilles sur ton clito
« Oui
« Fais les vibrer tu entends leurs chuintements ?
« je les sens surtout……ahhh putain c’est bon
« Jamais même une langue la plus agile ne peux rivaliser avec elles
« non jamais……si tu voyais comme je mouille
« Je le vois Manon……Branle toi bien…….mets les billes en route
« Ohhhhhh….ce n’est pas possible
« Si Manon….laisse toi aller….oublie moi…pense à toi…à ton plaisir
« Branle toi bien toi aussi ……..soyons bien ensemble
Je laissais Marion se faire jouir, elle criait presque quand l’orgasme la saisissait, elle était comme paralysée, tétanisée, dans un autre monde et moi je voyais la sarabande des petites lèvres souples sur sa vulve
« Aide moi tonton,…….je jouis trop…….cela devient trop fort
Alors oui je pris les commandes puisqu’elle n’en avait plus la force ; Je la baisais avec le gode, j’avais mis en route la rotation des billes dans son vagin. Je m’efforçais de la caresser le mieux possible avec les petites oreilles, de partout, là où les petites lèvres se rejoignent, sur son clito qui bandé était sorti de son antre comme un petit sexe, si sensible que cela la faisait hurler. Je m’arrangeais à frôler son anus avec le petit sexe vibrant. Mais le mieux pour elle c’était quand je laissais le gode en place bien enfoncé, agité dans son vagin et que le laissais les petites lamelles souples vibratiles faire leur œuvre sur le capuchon du clitoris

Moi, tout en contribuant à son plaisir j’avais recommencé à me masturber et Marion le voyais, heureuse de voir mon incroyable bandaison, elle aurait voulu, je le sentais me saisir avec sa menotte mais sa jouissance par moment était trop forte . Je la laissais pourtant s’exciter seule et rejoignant mon fauteuil je la regardais faire, je la regardais se faire jouir….qu’elle était belle. Elle savait elle ce qui lui donnait le plus de plaisir et je le mesurais par ses cris, ses râles, ses contorsions quand elle se pâmait.

Elle s’arrêta d’elle-même, morte de fatigue
« Merci tonton pour tout ce plaisir que nous avons pris ensemble
Alors avançant sa menotte elle saisit ma verge dressée et en quelques aller et retour de sa main serrée sur moi elle me fit jouir à mon tour me faisant éjaculer, juter en longs jets nacrés.

Le lendemain Marion repartit chez elle, heureuse de cette expérience nouvelle et en faisant sa chambre je me rendis compte qu’elle avait emporté le gode Rabbit, à la place elle avait laissé une de ses mignonnes petites culottes en satin avec un petit mot :
« Tonton, je reviens bientôt la chercher, excite toi en te caressant avec en pensant à moi.
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Histoire de Pierre le Grand

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