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Marion2 - A la maison

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 06/03/2024

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Je vous ai dit que j’ai un frère. Mais je ne vous ai pas dit qu’il a deux ans de plus que moi, qu’il s’appelle Marc et que nous nous entendons très bien. Il n’est pas mon confident, je ne suis pas le sien mais nous partageons beaucoup et aimons passer du temps ensemble aussi bien pour faire du sport que pour être devant un film ou autour d’un jeu de société. J’aime beaucoup dessiner et souvent je vais emprunter un crayon à mon frère qui en possède beaucoup pour ses études en architecture. Souvent il vient les récupérer dans ma chambre en râlant et ça me fait sourire. Pour mon dix-huitième anniversaire, il m’a offert tout un ensemble de dessin ; j’en suis très heureuse mais je crois que je continuerai à lui en prendre de temps en temps pour le voir râler. Le soir, alors que nous sommes dans nos chambres respectives, le premier des deux qui passe à la salle d’eau avant d’aller dormir passe dire bonsoir à l’autre et nous nous faisons un rapide câlin (sans caresses) et un bisou. C’est un rituel entre nous. Quant aux relations avec mes parents, elles sont excellentes. Nous avons un papa tendre et câlin et une maman très attentionnée au bien-être de tous. Lorsqu’il y a un problème, il est toujours abordé directement, sans faux semblant et sans que le ton monte. Mes parents ont une chambre avec leur propre salle d’eau. Marc et moi avons chacun une chambre et une salle de bain commune. Je n’ai jamais vu mes parents nus pas plus que mon frère. Avec lui, s’il vient dans ma chambre pour me dire bonsoir, quand il fait chaud, il est en tee-shirt et en caleçon et moi, au pire je suis dans la même tenue mais avec un tee-shirt long.
Comme je vous l’ai raconté, du jour où j’ai commencé avec Laurent, j’ai retiré mon soutien-gorge. Nul ne semble s’en apercevoir mais, le lendemain, papa me dit que j’ai l’air détendue et me demande si c’est lié au travail. Volubile, je lui raconte mes journées (excepté le coup du soutien-gorge) et le programme à venir. Il voit mon plaisir et me serre contre lui en me disant qu’il est heureux de me voir si rayonnante. Au moment de se coucher, mon frère passe me dire bonsoir et lui aussi me câline en me disant qu’il m’aime quand je suis aussi détendue, que ça me rend plus jolie. Mutine, je lui demande si je suis plus jolie que sa copine du moment. Il rit et, sans doute pour me faire plaisir, il dit que je serai toujours la plus belle pour lui. Bien sûr, tout cela est innocent sans jamais aucun sous-entendu sexuel, j’en suis encore incapable. Cela fait deux semaines que je travaille chez Laurent quand, le vendredi soir, avant que mon frère ne rentre de chez sa copine, je lui pique deux crayons noirs pour dessiner. Après le repas, je ne dessine pas très longtemps, fatiguée que je suis et devant me lever le lendemain pour aller travailler. Je laisse mon dessin en cours sur mon bureau, les crayons de mon frère posés dessus. J’enlève mon short et suis devant ma penderie pour choisir mon tee-shirt du lendemain quand ma porte s’ouvre sans que je m’y attende. Marc rentre, reprend ses crayons et me dit que j’exagère, qu’il en a marre de mes larcins et que si je continue il va me punir. Comme il me voit sourire, contente de mon coup, il s’approche de moi et me met une claque sur la première fesse à sa portée. Cela me surprend, non pas que j’ai mal, et j’en suis tétanisée. Et là il ajoute que si je recommence, ce sera une fessée, une vraie ! Face à mon blocage, il me prend dans ses bras et me dit qu’il m’adore mais que je dois respecter ses affaires. Je me serre contre lui et lui dis que je ne le ferai plus.
Le dimanche matin, je paresse un peu au lit et ne me lève que lorsque mon père et mon frère sont partis faire leur jogging. Lorsque je viens prendre mon petit-déjeuner, vêtue de ma culotte et de mon tee-shirt long de nuit, je suis assise sur un tabouret à la table de la cuisine quand maman m’interpelle en me disant qu’elle a remarqué que je ne porte plus de soutien-gorge. Je suis un peu gênée mais je lui explique que les miens se voient trop sous les tee-shirts et que c’est préférable de ne rien montrer quand on est en boutique. Elle sourit et, en se plaçant derrière moi, elle enserre mes deux seins dans ses mains en me disant qu’il va quand même falloir que je songe à protéger ces deux trésors. Elle me dit qu’elle est contente de me voir évoluer et qu’elle est prête à m’aider à renouveler ma garde-robe en matière de sous-vêtements. Je suis très étonnée de ses caresses sur ma poitrine mais ne la repousse pas et les ressens comme un câlin d’amour (j’apprécie tant ceux de Christian…). Je lui réponds que ce sera volontiers mais seulement un samedi vers 17 h 30. Nous nous fixons le samedi suivant, son dernier avant ses vacances et planifions de nous retrouver dans une boutique du centre-ville.
La semaine passe. Depuis le lundi, je fais quotidiennement l’amour avec Laurent. Le samedi, comme convenu, je retrouve maman en centre-ville et nous entrons dans une boutique de lingerie plutôt chique. Maman m’explique qu’il me faut choisir trois bas pour chaque soutien-gorge. Quant aux couleurs, elle estime qu’une femme chique doit avoir un ensemble beige, un blanc et un noir au minimum ; elle ajoute que si je veux un autre ensemble en plus de ces couleurs, elle est d’accord. Nous commençons par les soutien-gorge. Maman me propose des hauts de son choix pour mieux me guider m’explique-t-elle : un pushup beige, un soutien-gorge blanc en triangles classiques mais tout en dentelle sans que pourtant mes seins aient l’air nus et un noir en tulle transparent avec quelques arabesques beige. Nous partons vers les cabines et en choisissons une grande où elle rentre avec moi. Maintenant, je suis habituée à être nue, j’enlève donc mon tee-shirt sans hésitation et passe le premier soutien-gorge, le chair qui fait ressortir mes seins de façon insolente ; je ne l’aime guère et maman le reprend pour aller en chercher un autre. Pendant ce temps j’essaie les deux autres que je trouve et Seillans et sexys. Elle revient avec un nouveau modèle type bandeau au moment où j’enlève le noir. Elle ne peut s’empêcher de me dire que j’ai l’air rayonnante et tellement épanouie qu’elle soupçonne qu’un homme doit s’occuper de moi. Je rougis un peu et lui avoue que j’ai une liaison sans lendemain avec Christian. Elle sourit et me dit que ça me va bien de devenir femme. Maman me rend heureuse. Je me rhabille pour aller choisir des bas car maman veut absolument que j’aie des ensembles. Alors que je commence à regarder des culottes classiques, elle me dit qu’une femme qui veut plaire doit plutôt essayer strings, tangas et brésiliens. J’avoue à maman que je ne suis pas très attirée par les strings (j’en ai enfilé lors de mes photos en maillots de bain), j’accepte essayer des tangas et demande un shorty pour chaque soutien-gorge. Au passage, je choisis aussi un soutien-gorge rouge accompagné d’une culotte peu couvrante toute en dentelle légère n’ayant qu’un tout petit cache sexe et d’un tanga avec bandeaux de dentelles sur les fesses. Connaissant parfaitement ma taille, je ne fais pas d’essayage. Je lui explique, pendant le trajet jusqu’à la maison, que Christian me trouve très attirante avec mes anciennes culottes et les seins nus. Elle me dit qu’elle comprend mais qu’avec d’autres partenaires ce sera différent. A notre retour, maman passe tous mes sous-vêtements en machine pour que je puisse en disposer rapidement et les étend le soir même. Le lendemain, dimanche, alors que papa et Marc sont partis faire leur jogging hebdomadaire, maman rentre dans la salle d’eau alors que je suis sous la douche et me demande de rester nue car elle veut me voir essayer tous les ensembles en précisant qu’elle m’attend dans ma chambre. Quand j’arrive, elle met la main sur ma toison pubienne et me dit qu’elle est d’accord avec moi pour préserver une vraie toison car c’est diminuer les risques d’infection urinaire mais que, pour mes nouveaux sous-vêtements, il va falloir faire une petite taille sexy. Je souris et commence mes essayages. Maman me fait tourner devant elle et me caresse soit les fesses soit les seins en fonction des divers détails qu’elle veut me montrer. A peine le dernier morceau essayé qu’elle me dit de me déshabiller et qu’elle va me faire le maillot. J’aime sa douceur et je la suis volontiers. Je ne peux m’empêcher de lui demander si, elle aussi, elle porte des dessous sexys. Elle ne me répond pas mais sourit et, en arrivant dans la salle d’eau, elle se déshabille et me révèle des dessous bleu pâle dénudant ses tétons qui me semblent bien dressés et très ajouré au niveau de son string révélant une jolie toison rousse flamboyante (maman est auburn). Je suis admirative. Elle me ramène à la réalité en me faisant asseoir sur le bord de la baignoire, les cuisses bien écartées et s’attaque à ma toison qu’elle dessine de quelques coups de ciseaux avant de passer la tondeuse. Pour finir, elle me met une crème à épiler qu’elle me rince en me caressant après deux minutes de pause. Mon sexe, bien entraîné, est devenu plus sensible et s’est largement ouvert sous tous ces attouchements. Je sors de la baignoire, très excitée. Maman le remarque et me fait de nouveau asseoir, les jambes écartées. Elle s’agenouille devant moi et me prodigue un merveilleux cunni pendant que je lui caresse les épaules en ayant descendu les bretelles de son soutien-gorge. Je jouis fortement mais sans crier et, quand maman se relève, je me pends à son cou et l’embrasse d’un vrai baiser d’amour ; une de mes mains descend sur ses fesses que je trouve très douces. De sentir nos langues se caresser et se chercher me donne à nouveau envie. Je demande à maman de venir dans ma chambre car j’ai envie d’essayer sur elle ce qu’elle vient de me faire. Elle me suit et se dénude en m’allongeant sur le lit puis s’allonge à mes côtés et, passivement, me laisse découvrir son corps. Par quelques paroles, elle guide mes doigts, ma bouche vers ses zones érogènes et je ressens beaucoup de plaisir quand je perçois sa jouissance même si elle à l’air beaucoup moins forte que la mienne. Nous nous embrassons à nouveau et maman me procure un nouveau plaisir à l’aide de ses doigts. Puis, le temps passant, elle m’invite à un rinçage rapide ensemble en m’expliquant qu’elle a pris beaucoup de plaisir mais que ce sera une seule et unique fois. Elle ajoute que si j’ai aimé, rien ne m’empêchera d’explorer ce chemin parallèle avec des amies. Quand je lui demande si elle le fait, elle rit et me répond que ça ne me regarde pas. J’adore maman et comprend fort bien que cet épisode ne puisse qu’être unique mais elle m’a fait découvrir l’amour saphique et j’espère que j’aurai d’autres expériences…
Le samedi suivant, alors que je suis au travail, mes parents sont partis en vacances. En rentrant, vers dix-huit heures, je profite de l’absence de mon frère qui est chez sa copine pour lui piquer deux crayons, ne croyant pas trop à ses menaces de fessée. Je commence à dessiner et m’aperçois que je représente un corps de femme nue… Je repense alors au dimanche précédent avec plaisir mais sans pour autant avoir envie de me caresser, j’ai mon compte de jouissance quotidienne avec Christian. Non, ce qui me vient à l’esprit c’est le regard tendre de maman. Pour me remettre dans l’ambiance, je me déshabille et n’enfile que le tanga blanc si transparent puis je prends un bouquin de poésie que j’ai toujours à ma portée. Allongée sur le ventre avec pour seul vêtement mon tanga, je me plonge dans cette lecture si zénifiante. Je n’entends pas Marc rentrer jusqu’au moment où il arrive dans ma chambre pour récupérer ses crayons en râlant. Prenant conscience de ma quasi nudité, je lui demande de sortir. Au lieu de quoi il arrive rapidement près de mon lit et avant que je n’aie bougé se met à califourchon sur mon dos, ses fesses vers ma tête, et me claque les fesses sans discontinuer. Je hurle et le traite de tous les noms en lui ordonnant d’arrêter. Il me répond de me taire car j’ai mérité une vraie fessée, il m’avait avertie. Bloquée comme je le suis, j’essaye de lui envoyer des coups de pieds et de protéger mes fesses. Il s’arrête un instant, et me dit que si je continue à ruer comme ça il va taper plus fort et plus longtemps. Je le crois et commence à le craindre. J’arrête de remuer et le laisse me fesser en me contentant de sangloter. Après un temps qui me semble infini, il s’arrête, descend de sur mon dos et m’ordonne de ne pas bouger. J’obéis sans comprendre. Il prend mon triple décimètre en plastique sur mon bureau et revient vers moi. Il m’explique qu’il n’a pas à avoir mal aux mains à cause de mes bêtises et m’ordonne de monter mes fesses en pliant les genoux. Je le supplie. Il me dit de me taire et d’obéir. Je le fais. Il baisse mon tanga et recommence à me fesser avec le triple décimètre. Je pleure à chaudes larmes. Quand il s’arrête, je m’effondre. Il me force à me lever, me prend dans ses bras et me dit que c’est fini, qu’il me pardonne mais que je ne dois plus recommencer. Je me serre contre lui. il pose ses mains sur mes fesses en me disant qu’elles sont bien rouges mais que c’est fini. Puis il me laisse pour aller préparer le repas. Je me suis habillée pour aller manger. Quand j’arrive dans la cuisine, il me dit sèchement que mon tanga devrait me suffire. Je ne réponds pas et me déshabille. Il me prend dans ses bras et me caresse un sein en me disant que je suis de plus en plus jolie. Je me serre contre lui, heureuse de le sentir à nouveau tendre. Quand le repas est terminé, nous nous installons dans le canapé pour regarder un film. Il me serre contre lui et me caresse les seins. Le film en est à peine au quart, qu’il me demande si je veux bien retirer mon tanga. Son regard sur mon corps me plait et je le fais en silence. Le film continue, sa main se perd dans mon duvet pubien fourni mais bien taillé et j’aime ce que je ressens. Le film terminé, il me dit de monter dans sa chambre pour qu’il s’occupe de mes fesses. J’ai un peu peur et lui demande de ne plus me taper en lui promettant de ne plus lui prendre ses crayons. Il sourit et me dit qu’il va apaiser mes douleurs et vérifier leur souplesse. Arrivés dans sa chambre, il me positionne sur son lit comme je l’étais sur le mien à la fin de la fessée. J’avoue avoir un peu peur. Puis il se déshabille. Pour la première fois, je le vois nu. Son sexe est tendu mais il me parait moins épais que celui de Christian. Il prend dans son armoire un tube de crème et m’enduit les fesses en m’expliquant qu’il s’agit d’une crème nourrissante. Puis il sort un second tube. Je ne bouge toujours pas. Je ressens un effet de froid sur mon anus. J’ai l’impression qu’il veut me remplir l’intestin de cette pommade. Il me demande de bien écarter les jambes et se positionne derrière moi. Il se penche et me caresse les seins ; je sens da queue frotter sur mes lèvres qui s’ouvrent en bavant. Il fait durer le plaisir jusqu’à ce que je lui demande de me prendre. Il présente alors son sexe humide de ma rosée et de son envie devant ma rosette en poussant. Je lui dis qu’il se trompe de trou. Il rit et me dit qu’il ne compte pas me sauter mais bien me sodomiser. Cela m’effraie et je le luis dis. Il me répond que c’est bien fait pour moi, et que rien ne serait arrivé si je ne lui avais pas pris ses crayons. Tout en parlant, il commence à s’enfoncer en moi. En voulant bouger pour échapper à la brulure que je ressens, je l’aide à s’enfoncer un peu plus. Son gland vient de passer, je pleure. Il attend que j’arrête de geindre et me dit de me préparer. Je ne comprends pas, croyant qu’il ne peut pas faire pire. Il pousse un grand coup et s’enfonce jusqu’à ce que son pubis tape sur mes fesses. J’ai crié de surprise avant de ressentir comme une brulure. Puis il est resté immobile et m’a ordonné de me caresser la chatte. J’obéis. Bientôt, la chaleur de son sexe plus mes caresses commencent à me faire oublier la douleur pour trouver le plaisir. Il commence alors de lents va et vient n’accélérant que quand il entend mon plaisir monter. Les sensations inédites que je ressens font monter mon extase. Ses mouvements s’accélèrent, son pubis tape fortement sur mes fesses toujours endolories m’échauffant encore plus. Je m’entends gémir de plus en plus fort et suis traversée par un orgasme géant lorsqu’il se vide en moi. Tous nos mouvements cessent. Je sens un peu de son jus couler sur mes cuisses pendant que son sexe perd de son volume jusqu’à sortir naturellement de mon cul béant. Il me relève, m’embrasse et me conduis à la salle d’eau. Il me remercie pour ce moment de plaisir. Il m’explique qu’il fait l’amour avec sa copine mais qu’elle lui refuse son cul et me dit qu’il a adoré le mien. Je lui dis que j’ai beaucoup aimé. Il me propose de dormir avec lui et j’accepte. Le lendemain matin, au réveil, je sens son sexe tendu contre mes fesses. Je me tourne en souriant et prend son sexe en main. Il me pose un bisou sur les lèvres et me demande de le sucer. Je ne l’ai pas encore fait à Christian alors je lui dis que je ne sais pas. Il me guide. Je trouve la sensation de son sexe dans ma bouche très agréable mais refuse qu’il jouisse dans ma bouche. Il se lâche sur mes seins. Une nouvelle douche s’impose. Après un petit déjeuner que nous prenons nus, je lui dis d’aller faire son sport et qu’i trouvera le repas de midi prêt à son retour. Il rit, me remercie en m’embrassant et ajoute que si je suis juste en tanga, ce sera parfait. J’éclate de rire, le traite de pervers et le regarde partir. Quand il est rentré, je ne portais que mon tanga rouge rendant mon pubis bien visible. Il ne m’a jamais pénétrée vaginalement mais depuis ce n’est pas très souvent mais régulièrement qu’il me sodomise et j’avoue y trouver un certain plaisir même si je préfère nettement la queue de Christian dans mon vagin. Pendant l’absence des parents, nous avons toujours dormi ensemble sauf les deux ou trois nuits que sa copine est venue passer à la maison. Nous n’avons repris nos nuits solitaires que lorsqu’ils sont rentrés. Il ne m’a plus jamais donné de fessée.
Au retour des parents, Marc est parti en vacances avec sa copine. La vie a repris son cours jusqu’à un vendredi soir un peu spécial. Ce soir-là, maman est partie au théâtre avec ses amies et nous sommes seuls, papa et moi. Pendant le repas, il me demande comment ça va. Je lui dis combien je suis heureuse, combien j’aime mon travail et que je me sens bien. Il rit et me dit, en me caressant la joue, que cela se voit, que je suis rayonnante. A la fin du repas, alors que nous passons dans le salon pour une soirée film, il me demande si je porte les sous-vêtements que maman m’a achetés. Comme je lui dis que non, il me répond en souriant qu’il le regrette car il m’aurait déshabillée pour les voir. Il rajoute qu’il aurait dû se douter que j’étais dans la tenue préférée de Christian. Je ris et lui fais un câlin puis lui dit que, s’il veut la voir, il n’y a pas de problème mais que s’il préfère mes nouveaux sous-vêtements, je veux bien lui faire un essayage. Je suis toujours dans ses bras, il me tapote les fesses en me disant : vas-y jeune fille, je suis impatient de voir mon mannequin préféré. Je file dans ma chambre et reviens en shorty chair avec le soutien-gorge bandeau, je fais un tour devant lui pendant lequel il me caresse les jambes et repars ; deuxième tenue : brésilien noir et soutien-gorge assorti. Il sourit et me dit que cela met mes fesses en valeur. Troisième tenue : l’ensemble rouge avec tanga. Il ne résiste pas à me prendre dans ses bras, une main caressant mes fesses bien découvertes et l’autre un sein très visible qui s’érige rapidement ; il me dit que je deviens torride. J’éclate de rire et repars pour mon dernier essayage. Je passe l’ensemble blanc dans lequel on me découvre le plus. Il est ébahi et me dit que s’il n’était pas mon père, il me violerait immédiatement tant je suis belle et tentante. Je lui souris et lui accorde un câlin qui de nouveau titille mes seins et excite mes fesses. Je retourne me changer et reviens dans ma tenue habituelle. Je me serre dans ses bras en lui disant que j’aime ses câlins et que je ne me sens pas violée quand je sais tout l’amour qu’il me porte. Il sourit et me demande si ma proposition de ‘’tenue Christian’’ tient toujours. Je lui murmure un oui en restant collée à lui. Mon tee-shirt se soulève, je me recule pour qu’il me l’enlève et suis seins nus dans ses bras. Il m’embrasse dans le cou en caressant ma poitrine. Quand il voit l’excitation de mes seins, ses mains descendent sur mon short. Je m’écarte pour lui faciliter la tâche. Voilà, il me tient torse nu et en culotte. Il me chuchote que de petite fille je me suis transformée en femme fatale et que c’est mal d’exciter ainsi son papa, qu’il devrait me fesser. Il m’entraine dans ma chambre, je me couche en travers ses genoux et il claque mes fesses sans force mais très rapidement avec de petites claques sèches. Je sens la chaleur irradier mon postérieur et atteindre très vite mon sexe. Alors que mes jambes s’écartent de plus en plus lui laissant une jolie vue, il me demande si je connais la sodomie. Devant ma réponse affirmative, il semble étonné mais, prenant acte, me demande s’il peut vérifier. Je commence à être bouillante et lui réponds qu’il peut faire ce qu’il veut de moi. Il va rapidement chercher un tube de lubrifiant et me rejoins en se déshabillant. Son sexe est dur ; il n’est pas très long mais très épais, j’ai un peu peur de me faire défoncer. Il m’enduit de lubrifiant et je lui propose de se lubrifier dans ma chatte. Il sourit. Je me mets en levrette et, sans prévenir, me pénètre le sexe d’un seul coup. Cette intromission brutale me surprend et m’échauffe encore plus. J’en veux encore mais il ressort et se présente face à mon anus qu’il perfore en douceur mais sans jamais s’arrêter. Quand il m’a entièrement pénétrée, me sachant très chaude, il me pistonne immédiatement, de plus en plus vite, de plus en plus fort en me tenant par le bassin. Je jouis quand je le sens jouir en moi et m’écroule pantelante. C’est encore meilleur qu’avec Marc. Il retourne au salon et me laisse me remettre. Je le retrouve une demi-heure plus tard, après un court repos et une rapide toilette. Je ne porte que ma culotte, le reste de mes vêtements étant resté sur le canapé. Nous nous sourions et nous câlinons. Nous savons l’un comme l’autre que cet échange sera unique mais qu’il restera entre nous une forte complicité.
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Commentaires du récit : Marion2 - A la maison

Le 03/04/2024 - 01:24 par alexandre8819
hum tu me fais bander j'aimerai beaucoup échanger avec toi tu es magnifique et si excitante 😚 alexandre8819@yahoo.fr

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