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Massage anal huilé

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Lue : 3729 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 14/12/2018

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Depuis le départ de Marion, ma diablesse de petite nièce, jeune femme, rousse, sublime, de près de trente années, seul, dans ma grande maison vide, je retrouve chaque jour les plaisirs solitaires qui étaient mon lot quotidien avant sa venue. Ils se sont enrichis de plusieurs pratiques inspirées par elle ; désormais, entre autres, je m’excite, je me caresse le sexe comme elle me l’a montré avec la louche que j’ai préalablement passée sous un jet d’eau chaude et quand je frôle, j’agite mon sexe, mes testicules bien calés dans sa tiédeur concave j’ai une bonne et agréable bandaison, une tension dans ma verge qui me réjouit.

Je me masturbe alors en me regardant nu, en pied devant le miroir de la salle de bain, dans les plis soyeux de sa culotte de satin, tiédie elle aussi sur le radiateur, ce vêtement intime adorablement souillée qu’elle m’a laissée et j’avoue qu’il m’arrive souvent en prenant mon plaisir de laisser mon odeur se conjuguer avec la sienne. J’ai besoin de toute cette excitation journalière pour conserver malgré mon âge ce à quoi je tiens tant….. ma libido.

Je fus surpris quand je la vis réapparaître comme çà, un beau jour, sans me prévenir ; elle me demanda, pour la forme, si elle pouvait rester chez moi trois ou quatre jours
« Je ne te gênerais pas tu le sais
« Tu sais bien, Marion, que je suis d’accord
« Tu aimes quand je suis là ?
« J’ai beaucoup aimé ta dernière visite !
« Moi aussi, tu sais, je n’en suis pas encore revenue ….tout ce plaisir !... Inattendu ….mais si fort…..avec toi, mon grand-oncle !
Elle s’installa donc et le soir même elle sortit comme la dernière fois, retrouver je ne sais qui, je ne sais où, en boîte sans doute, la nuit entière. Elle n’eut aucun mal à se faire belle avant de partir en chantonnant pour une nuit d’amour.
Je la retrouvais le lendemain, dans la matinée
« Je suis moulu, j’ai mal partout !
« La danse sans doute !
En fait je pensais plutôt aux positions acrobatiques qu’elle avait dû inventer avec son copain du jour, enfin …de nuit
« Tu crois……. il me faudrait un bon massage……tu saurais le faire ?
« Cela dépend
« De quoi ? Je te fais confiance
« D’accord lui dis-je, prépare-toi, je te rejoins, je vais préparer de l’huile de massage parfumée
« De l’huile tonton ! parfumée ! tu me surprends une fois encore, dépêche-toi, je suis impatiente
« Installe-toi dans la pièce, celle où il y a mes accessoires de sport, tu verras il y a une grande table de massage et il y fait bien chaud tu y seras bien.
« Il t’arrive de te faire masser tonton ?
« Oui…je masse aussi à l’occasion
« Tes veuves, comme tu dis
« Parfois !
« Elles aiment ?
« Je fais tout pour
« Et bien tonton il va falloir faire tout pour, pour moi aussi ; je suis curieuse …et excitée par avance.
Elle disparut et j’allais préparer une grande coupe d’huile parfumée que je fis tiédir.

Je crus tomber de stupeur quand je rejoignis Marion, elle s’était installée complètement nue sur ma table de massage, allongée sur le ventre elle avait glissé sous elle le gros traversin rigide de cuir noir que j’utilise à l’occasion, elle ne disait mot et resta silencieuse à mon approche me laissant à ma surprise. Je mis un moment avant de me ressaisir ; Marion était magnifique ainsi allongée de tout son long, cambrée, ses fesses entr’ouvertes, relevées, mises en valeur par la position, son bas ventre, son sexe, visibles, dégagés de la table entre ses jambes entre ouvertes, ses seins écrasés sur la table, son visage tourné vers moi, calé sous ses bras repliés sous elle.

Je m’approchais à ses côtés sur sa gauche en laissant le bol d’huile à portée posé entre ses jambes. Je tremblais comme une feuille en posant mes mains huilées sur ce corps parfait, ma main droite au creux de ses reins au raz de ses fesses et la gauche massant son dos, ses épaules. Le visage de Marion restait impassible, elle fermait les yeux comme indifférente semble-t-il à mes premières caresses.

Je plongeais mes deux mains dans la coupe pour y puiser l’huile odorante et en les remontant dans l’arc de ses jambes ouvertes je laissais des filets d’huile inonder ses cuisses, ses fesses, son dos, ses épaules, un des ruisselets allant se perdre dans la commissure profonde de ses fesses, je le vis glisser sur l’anus, en faire le tour avant, continuant son chemin, d’inonder la balafre de la vulve. Je replongeais plusieurs fois encore pour que mes mains enduisent plus encore ce corps parfait, offert, les fesses abondamment, les cuisses, le dos. Tout était prêt pour le massage, tout était prêt dis-je, sauf moi, incroyablement troublé par cette situation infiniment jouissive.

Des caresses d’abord, anodines si l’on peut dire, mes mains enveloppantes sur le dos, privilégiant les vertèbres, les épaules, le torse, les cuisses en passant furtivement par les fesses, des caresses sages, même les pieds, les orteils furent massés longuement, je sais le bien, l’excitation que cela procure. Dire, en massant alternativement chaque cuisse à deux mains, qu’elles ne remontaient pas un peu trop haut dans l’entre cuisses frôlant l’aine, à deux doigts de son sexe, seule Marion aurait pu le dire, mais elle ne bougeait pas, offerte.

Manon devait se rendre compte de mes caresses de plus en plus intrusives, de plus en plus érotiques, de plus en plus jouissives, c’est ce qu’elle attendait je suppose. Aucun refus, aucune plainte, quand le lui écartais les fesses et que mes deux mains réunies, leurs doigts rivalisèrent d’activité dans ce vallon enchanteur. Trois doigts de ma main gauche massant, pressant en tournant autour de son anus inondé tandis que l’autre passant par-dessous entre ses cuisses avait empaumé sa chatte, sa vulve, ses petites lèvres pour mille façons de caresses, subtiles, huilées.

Plusieurs fois mes mains retournèrent à la source pour y puiser ce nectar odorant qui rendait irréelles, immatérielles mes caresses profondes. Mes doigts glissaient, pinceautaient la vulve, en suivaient le cours, du vagin au clitoris, glissaient dans les plis entre les grandes lèvres et les cuisses, titillaient les pétales de ses petites lèvres qui commençait à bander, à s’ouvrir ; je malaxais la chatte en la prenant à pleine main, avec la pulpe de mon petit doigt inséré dans sa vulve, je pressais le clitoris qui commençait à poindre, à durcir sous son capuchon tandis que de mon pouce relevé allait se perdre sur l’anus.

La caresse de la main droite, d’un coup, pris une forme plus concrète quand bien calée dans la raie des fesses, d’une poussée l’un de mes doigts, le majeur je crois, s’enfonça dans l’étroit conduit de l’anus, à fond avant de commencer par de petites enculettes à conforter sa place. Cela s’était fait tout seul tant sa rosette était préparée à cet assaut par mes caresses. Un petit gémissement de Marion vint ponctuer cette première pénétration, cette première branlette. C’est à peine si elle devait sentir mon doigt en elle tant il était à l’aise, dans son beau petit cul lubrifié, détendu. Tout en continuant cette délicate sodomie de son anus, sa chatte elle aussi fut caressée, triturée, écartelée à deux mains par tous leurs doigts mis à part celui qui continuait de limer allégrement son cul.

Comme une évidence, son vagin lui aussi fut pénétré comme son anus, la main droite seule en action laissant la gauche caresser les fesses. Nouvelle situation jouissive, l’annulaire dans son vagin le majeur dans l’anus, l’index et le petit doigt folâtrant, le premier dans la raie de fesses, le second entre les lèvres de la chatte titillant le clitoris, toute la main droite s’ébranlant pour de lentes et complètes pénétrations.

Là se furent les premiers râles de Marion, les premières ondulations de son corps, l’écartement complice de ses cuisses pour mieux s’offrir, mieux profiter de cette double pénétration, si douce et quand j’augmentais leur cadence ce furent des mots se mariant avec le claquement de la paume de ma main sur ses fesses.
Marion abandonnant sa réserve se mit à jouir, à crier son plaisir, tout son corps tétanisé, en battant des bras en écartant ses cuisses, ses fesses allant au-devant de cette main, la mienne, qui la baisait durement maintenant.
« Oui ……ouiiiiii …….plus vite tonton ……plus fort …… ahhhhouiiiibon ……continue …n’arrête pas ……je jouis…….masse moi les fesses aussi ……ouiiiiii

Je sus la maintenir dans cet état second, cette jouissance extrême, en maintenant les va et viens de ma main, de mes deux doigts qui la pénétraient de concert, jusqu’au moment où elle s’apaisa. Elle resta un instant, écroulée sur la table, avant de se retourner en s’allongeant sur le dos en retirant le traversin.
« Comment fais-tu pour me faire tant jouir tonton ?
« C’est par ce que nous sommes faits pour ça, tous les deux, tu le sais, pour jouir, recevoir, donner, et par ce que surtout nous aimons ça, les plaisirs du sexe
« Oui, je sais, j’en suis folle moi aussi, c’est pour ça que je suis revenue te voir……pour jouir…..tu sais si bien faire !
« Tu as encore envie ?
« Plus que jamais

Je regardais Marion, je pouvais voir son visage engageant, complice, son sourire, ses jolis seins, la douce vallée qui les sépare et en haut de ses cuisses entre ouvertes sa chatte fleurie bien à portée maintenant de mes caresses, son petit cul, lui, caché entre ses fesses au raz de la table de massage. Pour bien la préparer à ce qu’elle attendait de moi je commençais à ouvrir largement ses jambes, ses pieds au bord de la table et après avoir trempé mes mains dans l’huile je la fis couler en bas de son ventre dans la fente de son sexe, je pouvais maintenant observer le visage de Marion et cela me guida pour la conduite à tenir, pour faire monter son plaisir, la mener à son orgasme…. ma récompense !

Un massage presque classique d’abord, sur les jambes, le ventre, les épaules. Je m’étais mis à la tête du tapis derrière Manon pour masser sa poitrine, ses seins en larges caresses enveloppantes, je titillais avec deux doigts ses mamelons qui surpris se dressèrent, je massais son cou, ses oreilles avant de revenir peloter ses seins plus vigoureusement. Manon avait refermé ses yeux mais sa respiration bouche entre ouverte était courte, elle replongeait dans le plaisir, tout son corps en attente semble-t-il !

Je me replaçais à ses côtés, toujours à sa droite et de nouveau, avec mes deux mains entre ses cuisses je lui caressais la vulve, ma main gauche du côté de son pubis bombé caressant, pinçant, pressant son clitoris en le maltraitant tandis que les doigts de ma main droite trituraient ses lèvres, doigtaient l’entrée de son vagin. Mes mains faisaient de nombreux aller et retour vers la coupe odorante et au fil des caresses toute sa chatte, la raie de ses fesses furent inondées, brillantes d’huile.

Pour la première fois depuis qu’elle s’était allongée sur le dos je pénétrais son vagin en douceur, facilement, longuement, profondément, avec un doigt, puis deux, puis trois, j’avais posé ma main gauche sur son ventre en tirant sur son pubis pour relever son clitoris, faire sortir ses petites lèvres et tout en la baisant avec mes doigts en elle la pulpe de mon pouce tendu, dressé entre ses petites lèvres entre ouvertes en corolles massait son petit sexe bandé par l’excitation en tournant autour.

Marion râlait bouche ouverte en soupirant et cela m’encouragea à poursuivre, à continuer en l’inondant d’huile. Ma main droite la pénétrait tandis que la gauche, au bas de son ventre, caressait. Naturellement quatre de mes doigts étaient en elle, à l’aise, en branlant son vagin, ils glissaient et cela devait être jouissif pour Marion, cela se voyait sur son visage et quand j’accélérais la cadence, au bout d’un long moment elle se mit à jouir violemment, son vagin complètement dilaté, détendu, pénétré, son ventre caressé, sa vulve malmenée en tous sens, je la fis jouir jusqu’à ce que son plaisir comme la fin d’un orage s’apaise, les soupirs remplaçant les cris, les râles, les soubresauts de tout son corps.

Alors de nouveau je revins à un massage classique, sur son ventre, ses épaules, ses seins, ses cuisses, ses pieds, mes doigts glissants entre ses orteils. Le calme revint petit à petit, le corps de Marion s’apaisa, son visage retrouva sa sérénité et j’en serais resté là après tant de plaisir donné quand Marion en me regardant d’un coup me dit
« Fais moi jouir encore……tu le fais si bien……jamais je n’ai eu autant de plaisir

Alors oui ! je recommençais, heureux, les caresses entre ses cuisses, les pénétrations avec plusieurs de mes doigts. Pour varier un peu je lui relevais sa jambe, sa cuisse droite en la maintenant en l’air avec mon bras gauche, l’ouvrant ainsi davantage et facilitant mes caresses. Ecartelées, je voyais mieux ses fesses, son anus et plus encore quand je lui relevais l’autre jambe, la chatte bien en vue débordant toute dodue, luisante, entre ses cuisses serrées et son anus décollé du tapis. Manon voulait jouir à nouveau et moi, excité au possible, j’étais prêt, inspiré de nouveau à lui donner du plaisir.

Je lui branlais sa chatte lubrifiée avec trois doigts à l’aise glissant dans son vagin et je tendis mon petit doigt entre ses fesses et naturellement, comme une évidence si j’ose dire, je le fourrais dans son anus, bien à fond lui aussi. A un moment l’idée me vint de ne m’occuper que de lui et en forçant sur l’huile, les uns après les autres c’est un, deux puis trois doigts qui le sodomisèrent, à l’aise, en glissant comme des truites dans la main du pêcheur.

J’alternais les pénétrations, les caresses, en passant mes doigts de l’anus à sa vulve, la pulpe de mon pouce se réservant le capuchon du clitoris qui bandé roulait, petit sexe bandé, sorti de son antre. Tout était possible tant l’anus, la chatte étaient détendus prêts à s’ouvrir sur quatre de mes doigts parfois. Mais c’est quand j’eus l’idée de servir à la fois vagin et anus que Marion recommença à jouir, d’un coup, violemment en criant son plaisir, le corps tétanisé, le souffle court, les mains agrippées sur les bords de la table, le ventre soulevé allant au-devant de mes mains qui implacablement la firent jouir un temps qui me sembla une éternité. Tout ce petit monde agité de mouvements frénétiques, un doigt dans l’anus un autre dans son vagin et le pouce sur sa vulve et son clitoris.

Quel plaisir pour moi, d’en donner à ce point ; bouleversé je regardais le visage de Marion, encadré de sa chevelure rousse, auburn. Qu’il était beau ce visage malgré l’intensité de cette jouissance, je pouvais lire les effets de mes caresses, ses yeux grands ouverts me regardant, sa bouche ouverte, sa respiration bruyante, son ventre arqué, soulevé, ses seins bandés. Elle était dans un autre monde et je m’efforçais de faire durer son plaisir avec les mains, mes doigts en elle, là où elle me montrait par ses réactions, qu’elle aimait.

Je fis mes caresses plus douces moins intrusives quand je vis le calme revenir lentement sur le visage de Marion, laissant mes mains parcourir son corps, ses seins, en mouvements doux, enveloppants et quand un beau sourire complice naquit entre ses lèvres je laissais, immobiles, mes mains posées sur elle, sur son ventre, sur ses seins.
« Merci mon oncle de tout ce plaisir, je crois que je n’ai jamais joui si fort, tu es le diable……..mais toi comment étais tu quand j’étais là où tu as su m’amener ?
« Si tu savais le plaisir que j’ai eu moi aussi de t’amener plusieurs fois à ce niveau de jouissance, tu es belle quand tu jouissais tu sais !
« Merci tonton ….. Mais toi, tu bandais ?
« Je ne sais plus, j’étais bien, heureux
« Moi je ne t’ai rien donné
« Si tu m’as donné ta jeunesse, ta beauté, ton plaisir
« J’aimerai te masser moi aussi ….. tu veux ?……..oui !…… tu en as envie, je le vois….. Aller déshabilles toi …….oui… complètement…mets-toi nu ……. Allonges toi sur le dos ….. écartes un peu tes jambes…oui…comme ça !

Quelle nouvelle aventure ! j’étais là, fébrile quand Marion s’installa nue sur la table à genoux entre mes jambes, je ne bandais pas mais mon sexe était gros, au repos, posé dans l’axe sur mon ventre, je fermais les yeux.
Je me sentis inondé moi aussi et quand un jet d’huile dégoulina sur mon sexe et sur mes testicules entre mes cuisses, ma verge réagit brutalement en se tendant, en devenant dure, longue et grosse en se décollant légèrement de mon ventre tout en pulsant.
« Quel sexe tonton, tu as du prendre bien soin de lui pour conserver cette vigueur

Marion ne le prit pas en main directement, elle caressa à deux mains le haut de mes cuisses, en frôlant mon sexe, puis ses doigts passèrent par-dessous lui en caressant mon ventre. Je ne sais si je vais pouvoir vous décrire la suite tant je l’ai vécue comme si j’étais dans un autre monde, le monde d’une excitation, d’un plaisir extrême que je me remémore en vous écrivant et d’où je ne suis pas encore revenu.

Tout mon ventre, mon sexe, mes bourses, furent inondés avant que Marion ne me saisisse la verge de la main gauche, elle la redressa en la caressant doucement faisant aller ses doigts de haut en bas, je sentis son autre main me saisir mes testicules qui pendouillaient dans leur sac de peau fripée entre mes cuisses ; tout en me branlant le sexe je sentis qu’elle faisait rouler mes roubignoles entre ses doigts, surpris cela me fit pousser une sorte de rugissement avant de la laisser faire.

Jamais on ne m’avait caressé, branlé ainsi, sans relâche, le sexe et les couilles, le sexe à une main ou deux mains serrées sur ma hampe, je sentais la peau de mon sexe aller et venir sur ma tige, mon gland se décalotter avant de se recouvrir de mon prépuce à chaque remontée. On me fit la main chaude une main descendant du gland vers mes testicules et remplacée par l’autre et ainsi de suite. C’est comme si je baisais ses mains, ses doigts lubrifiés serrés sur moi ou plus jouissif encore dans les anneaux de deux doigts de chaque main enroulés autour de mon sexe qui me dépucelaient à chaque descente.

Par moment Marion s’occupait de mon gland et ses mains huileuses firent merveille, encore mieux qu’une bouche, qu’une langue, elle le maintenait nu, sorti de son manteau de peau épaisse, elle l’inondait pour rendre ses caresses douces, moelleuses, les doigts comme des pétales au-dessus de lui , dressé vertical, elle le titillait, le pinceautait avant de s’occuper de la corolle de mon gland . Avec la pulpe de son pouce elle massait l’endroit si sensible où la peau s’accroche au sexe, longuement le temps que duraient mes râles, les avancées de mon ventre marquant le plaisir extrême que j’avais, qu’elle me donnait, ravie.

Je crus qu’elle voulait me faire jouir ainsi par ses caresses, ses branlettes savantes de mon sexe et de mes testicules, je n’en étais pas loin et je ne devais qu’à ma longue expérience ; mon âge aussi sans doute le pouvoir de résister, de ne pas me laisser aller à une éjaculation précoce ; à l’habileté de Marion aussi qui sut où ne pas aller trop loin et pourtant il n’aurait fallu que peu de chose pour que j’éjacule à ces moments-là.

Marion me délaissa un moment, je la lorgnais en coin et je vis qu’elle s’était redressée, toujours à genoux entre mes jambes, elle s’enduisait la poitrine, le ventre d’huile odorante, abondamment, en plusieurs fois et qu’elle l’étalait à plaisir, en se caressant longuement les seins. Avant de s’allonger sur moi elle m’inonda moi aussi, le ventre, le sexe.

De nouveau, en s’avançant, ses genoux hauts entre mes cuisses elle se pencha, s’allongea sur moi, ma verge calée entre ses seins ruisselants et là recommença une masturbation sublime, rien à voir avec une branlette espagnole, non, par des reptations de son buste Marion en glissant sur moi me caressait de mon gland jusqu’à mes testicules. Par moment elle s’aidait de sa main droite pour me saisir, caresser sa poitrine, ses seins, avec mon sexe, avec mon gland décalotté avant de le reloger dans la vallée inondée entre ses seins et continuer ses va et viens incroyablement jouissifs pour moi.

Lors des avancées son visage était proche du mien son regard alors me scrutait et un sourire naissait sur ses lèvres quand elle voyait mon émoi, les rictus de plaisir que je ne pouvais retenir, alors elle s’activait plus encore en étranglant ma verge entre seins écrasés sur elle. J’avais une bandaison incroyable et mon sexe avait une sensibilité extrême, jamais je n’avais connu ce plaisir : douceur et violence

Marion de nouveau m’abandonnait elle replongea ses mains dans la coupe et cette fois après m’avoir inondé de nouveau elle s’enduisit le ventre, les cuisses, sa chatte du liquide visqueux, odorant. A genoux au bord de la table de massage elle se réavança mais cette fois en me chevauchant, en m’enjambant, mes cuisses dans le compas des siennes. Effaré je ne compris son intention que lorsqu’elle s’abaissa moi je sentis que mon sexe était sollicité mais au lieu de se vautrer entre les seins il était maintenant calé dans le sillon de la vulve de Marion, de toute sa longueur dans la boursoufflure de sa chatte, entre ses grandes lèvres, enlisé dans une sorte de marécage tiède, sirupeux, mouvant mais oh combien jouissif.

Alors là, oui pour la première fois de ma vie je perdis conscience de l’espace et du temps. A la sensation s’ajouta le spectacle, celui de voir Marion assise sur moi, sur mon sexe, sur mes parties, spectacle de son corps magnifique, de ses seins gonflés par le plaisir onduler, vibrer ; spectacle surtout de son visage, je pouvais y voir un plaisir partagé, le lire dans ses yeux, sur sa bouche ouverte, au pincement de son nez, à sa respiration haletante.

Le spectacle de mon gland qui émergeait de nos deux ventres, luisant, décalotté avant de s’effacer, lors des avancées de Marion sur moi.. Par moment, au contraire, mon sexe sortait presque en entier arqué en se relevant de mon ventre, pris en main, caressé, masturbé par les doigts de Marion avant de disparaître à nouveau entre les grandes lèvres de sa chatte, le gland caressant au passage son clitoris en pleine érection lui aussi.

Marion ponctuait ses lents va et viens jouissifs pour nous deux de soupirs de petits ….. oui …… ouiiii …discrets , des sortes de feulements surtout quand elle faisait en sorte en s’asseyant plus franchement sur moi de bien se faire ramoner sa vulve, la hampe ronde de mon sexe coulissant presque enfouie en elle, dans la longue balafre de son sexe .
Elle était libre, libre de varier son plaisir en changeant de position, par moment cambrée en arrière, ses deux mains en appui sur mes cuisses, à d’autre au contraire penchée sur moi, son visage proche du mien elle me caressait la poitrine avec la pointe de ses seins tout en continuant de se caresser la chatte sur ma verge plus ou moins fort.

Quand mon sexe émergeait entièrement de nos deux ventres, il était pris en mains, masturbé à une ou deux mains, en me branlant elles faisaient coulisser mon prépuce en décalottant mon gland pour mieux le remmailloter de sa peau épaisse. La main droite de Marion accompagnait souvent mon sexe entre ses cuisses, entre ses fesses ouvertes quand par des avancées de son ventre elle le faisait disparaître ou quand se reculant elle le faisait surgir à nouveau, énorme, érecté, le gland décalotté luisant et parfumé. A un moment restant enfoncée en place ses doigts me saisirent les testicules à pleine main avant de me serrer le sexe à la base pour faire en sorte, lors de ses lents va et vient, de se faire caresser la vulve par mon gland, le faisant aller tel un soc dans sa vulve de son vagin à son clitoris.

Pour la première fois peut être nous partagions le plaisir sexuel, l’excitation ; la mienne, intense, cette caresse jamais ressentie de ma verge coulissant dans cet écrin soyeux, j’étais passif et pourtant prêt à jouir ; la sienne ne dépendant que de sa volonté, de sa manière de s’exciter à son gré, libre sur moi, de la cadence de son ventre, de ses amplitudes, de la pression de sa vulve enroulée sur mon membre. Beauté de cette position, nous pouvions nous regarder, lire le plaisir dans le regard de l’autre.

Marion me regarda intensément quand lors des caresses de mon gland dans sa vulve, quand avancée sur moi sa main entre ses cuisses relevait mon sexe, en essayant de crocher l’entrée de son vagin sur mon gland et au fur et à mesure de chacune de ses avancées, de ses reculs cela ne fit plus de doute elle le voulait en elle, et petit à petit en réduisant l’amplitude de ses mouvements je réalisais que mon gland était en place, le gland seulement, à l’entrée de son vagin.

Alors se fut l’apothéose, un feu d’artifices de plaisir, mon ventre, mon sexe irradié. Marion était bien elle aussi, elle me tenait toujours le sexe, sa main enfouies entre ses, cuisses, entre ses fesses, pour être maîtresse de sa pénétration dans son vagin. Moi j’avais une envie irrésistible de la sabrer, de la baiser bien à fond mais je laissais faire cette lente pénétration si jouissive ; en me tendant je sentais mes couilles pulser dans leur sac de peau fripée et ce n’était pas le moindre de mon plaisir.

Au fur et à mesure de la lente pénétration de mon sexe en elle, l’amplitude des va et viens de ses fesses écartelées s’ajustaient et quand il fut englouti en entier dans le doux écrin du vagin et que mes testicules se perdaient elles aussi entre ses rondeurs jumelles, les vas et viens devinrent énormes, à la longueur de ma verge, mais mon gland toujours en elle et mes parties fouettées en tous sens. Moi je l’avais prise par les fesses, une main sur chaque lobe pour accompagner ces furieuses pénétrations

Marion recommença à jouir, elle se dandinait sur moi tout en tordant mon sexe dans sa chatte en se penchant sur moi ou au contraire en se renversant en arrière. L’orgasme la saisit assise sur moi, le buste droit, ses bras passés en arrière, en appui sur mes cuisses, ses fesses animées de mouvements verticaux rebondissant sur ses jambes pour se branler sur moi de plus en plus vite, mon sexe allant de plus en plus profond en elle. D’un coup elle s’écroula en criant, penchée sur moi, ses seins sur ma poitrine, son visage face au mien, ses lèvres sur les miennes, elle se branlait sur moi en ondulant son bassin.

Sa jouissance durant une éternité et quand l’orgasme s’apaisa, son plaisir perdura si j’en crois les mouvements de son ventre sur le mien, ses gémissements aussi, ses baisers furieux, sa langue entre mes lèvres dans sa bouche, les caresses de ses mains sur moi.

Et moi dans tout ce temps ? j’étais merveilleusement bien, à deux doigts de jouir, heureux de donner tant de plaisir, ma verge bandée tendue au possible, chacune des pores de sa peau comme des antennes envoyant à mon cerveau des messages de bien-être, de satisfaction. Sortant de ma torpeur je me sentis saisi, Marion de retour dans le réel, toujours assise en arrière sur mes cuisses me branlait le sexe d’une main, elle voulait, je le lisais sur son visage me faire jouir enfin, elle voulait voir ma jouissance et je n’avais plus l’intention de me retenir plus longtemps, je sentis le plaisir naître dans mon ventre, dans mes génitoires et d’un coup jaillir par saccades en longs jets nacrés sur les seins de Marion et sur mon ventre.

L’exercice nous avait donné faim, nous nous retrouvèrent devant un bon petit déjeuner. Manon avait renfilé sa nuisette qui ne cachait rien de sa belle poitrine, de ses seins, de ses fesses et moi j’avais remis mon boxer. Manon me regardait manifestement ravie
« Si tu savais comme j’ai bien joui
« J’ai vu Marion, plusieurs fois, moi aussi j’étais bien tu sais
« Entre chaque jouissance, j’étais excitée en attente du prochain orgasme, de ce que tu allais faire pour….
« Moi aussi, si tu savais le plaisir que l’on a quand notre sexe est tendu, érecté, caressé, tu as bien su faire toi aussi
« La dernière position a été ma préférée, tout était bon, facile, excitant, le plaisir était intense, cela était doux et fort à la fois, profond ou plus retenu, les positions des cuisses, l’écartement de mes fesses ont permis des pénétrations incroyablement profondes…….et puis j’étais offerte à ton regard, j’étais heureuse de te montrer mon ventre, mes seins, mon visage, montrer mon plaisir quand tu me faisais jouir, spectacle amoureux, sensuel, se savoir admirée, caressée des yeux, se pétrir les seins, lécher ses doigts pour le plaisir de son amant, juste pour lui offrir ce qu’il aime voir, ce que lui seul peut voir…..dire que j’aime est un euphémisme….j’ai été folle des instants où tu m’a permis de jouir libre, comme je le voulais, comme je le ressentais
« Moi aussi Marion, j’étais incroyablement bien, mon sexe caressé par ta chatte, jamais je n’ai connu un tel plaisir
« Quand j’étais à cheval sur toi, que je me caressais la chatte sur ton sexe avant de le mettre en moi, j’étais parfaitement libre de faire ce qui me plaisait. Je n’aime pas quand on me monte dessus, qu’on m’immobilise, qu’on pèse sur moi. J’avais les cuisses, les fesses écartelées et j’ai pu faire entrer ton gland au plus profond de mon vagin, là j’aurais aimé que tu exploses, que tu m’inondes de ton foutre
« Rassure-toi, j’étais bien, d’une excitation continue, une tension excessive de ma verge qui vaut bien la jouissance et puis ensuite tu m’as fait éjaculer en me branlant
« Oui j’ai été heureuse de te faire jouir entre mes mains, voir ton plaisir gicler sur mes seins, sur ton ventre une quantité incroyable de sperme. Tu sais Tonton je connais plein d’autres positions jouissives
« Tu veux dire que nous pourrions les tester
« J’aimerais
« Si tu reviens et si je suis encore en forme, on verra
« Me mettre à cheval sur toi mais dans l’autre sens pour que tu voies bien mes fesses, mon cul
« Oui çà doit être jouissif aussi
« Toi assis dans un fauteuil et moi suspendue au-dessus de toi, dans un sens ou dans l’autre, les cuisses écartées en appui sur les accoudoirs, ton sexe dressé entre mes fesses…. Ton gland proche de mon cul…..tu imagines ! mes seins à portée de ta bouche…….
« Tu es une diablesse Marion !
« Oui j’ai le feu au cul comme le dis mon grand père et c’est vrai je suis folle du sexe, c’est ma drogue
« Tu pars quand ?
« Là, maintenant, je dois rentrer
« Embrasse-moi une dernière fois Marion
Alors oui ce fut notre au revoir, Marion lovée sur moi qui l’embrassait en lui caressant les seins……… j’avais une bandaison incroyable.
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Histoire de Pierre le Grand

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