ACCUEIL > En groupe > Récit : Mathilde - 1

Mathilde - 1

+25

Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 4 - Histoire postée le 02/01/2024

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

Pour Mathilde la vie était d’une simplicité et d’une redondance remarquable, après bien des épreuves , comme se retrouver veuve très jeune suite à un accident de voiture de son mari, deux enfants à élever cela n’avait pas été vraiment facile.
Heureusement que son mari avait une petit contrat d’assurance décès ce qui lui avait permis d acheter ce bel appartement de 80 mètres carré, et d’assurer du mieux qu’elle pouvait l éducation de ses deux enfants. ceux ci avaient bien réussi et se trouvait l’un au USA et l’autre à l autre bout de la France avec de belles situations.
Et maintenant à 46 ans à force de travail d’abnégation elle se retrouvait Agent de maitrise dans une entreprise d’assemblage de composants électroniques. Ce n était ni une grosse situation ni une pire, ni un gros salaire, ni un modeste, mais cela lui permettait de vivre correctement ,et même de mettre de l’argent de coté.

Pour ce qui de ces loisirs, elle se confondait dans les lectures de parutions féminines, , le ciné club du lundi soir dans son quartier, et les sorties de marche nordique .Et la vie se passait ainsi de semaine en semaine , les rencontres du lundi, dans lesquelles on discutait du film à voir et ou l’on échangeait après la séance des avis sur le scénario, les acteurs. beaucoup de femmes seules dans ces rassemblements, quelques hommes parfois, mais souvent surveillés et gardés de prêt par leurs compagnes.
Quand à la marche nordique, c’était pour elle une manière de garder un peu la forme, mais bizarrement elle n’adhérait au groupe que pour le sport, beaucoup de femmes là encore toutes adeptes du legging bien moulant , ou l’on devine la culotte en dessous, dans des couleurs chatoyantes, pour Mathilde c’était pantalon de survêtement sans forme et teeshirt plus ou moins assorti, quelques hommes là aussi accompagnés de leur cerbères. C’est ainsi que Mathilde se faisait une vie sans homme et sa seule passion était finalement son chat Félix.
Hala ce chat qui l’attendait patiemment , venait se loger sur son ventre pendant qu’elle regardait la télé , cela lui faisait chaud à l intérieur à Mathilde et une belle compagnie.

Sa voisine lui passait des journaux féminins, qu’elle trouvait sur son palier, , elles se faisaient des échanges comme cela,

Alors qu’elle feuilletait un de ces magazines elle fut interloquée par un article intitulé « L’orgasme à coup sur ». La des femmes témoignait de leur découverte de l’orgasme vrai, fort destructeur, en terme seyant bien à la gente féminine. Mathilde finit par se demander si elle avait connu cela ou pas, Il est vrai que de ce coté là sa vie se bornait à se caresser le sexe deux ou trois fois par mois, jusqu’à le sentir humide , puis habilement remonter sur son clitoris , et le masturber , jusque jouir enfin pensait elle jouir . Cette nuit là , elle fit plus , elle se caressa le corps , les seins , longuement en s’interdisant de toucher à son sexe, doucement longtemps, elle fit rouler ses tétons entre ses doigts, s’aperçut qu’elle pouvait les pincer très fort, les tirer , et que le douleur supposée était aussi un plaisir, et que son ventre se réveillait , alors d’une main elle se pénétra le vagin avec deux doigts , tenta de faire des aller et retour dedans et de l autre elle attrapa son clitoris , le résultat ne se fit pas attendre très vitre , comme une convulsion , elle s’arc-bouta et jouis avec un ‘OOOOooooo » à bout de souffle elle se dit que c‘était bien meilleur que d’habitude.

Quelques temps plus tard dans un autre revue un autre article « As t’on besoin d’aimer pour faire l amour ».L’article détaillant l’histoire de femmes qui aimaient faire l’amour avec de quasi inconnus juste pour le plaisir de faire l’amour. Mathilde resta longtemps songeuse , s’imaginant dans les bras d’hommes qu’elle connaissait à peine. Cette nuit là elle se mit nue sur son lit , avec la lumière, passât encore plus de temps à se caresser , Félix le Chat la regardait et se sentant vue elle imaginait une homme avec elle sur elle, et c’est avec un halètement et des gémissements qu’elle finit par exploser. Félix le chat miaulait et vint se rouler sur son ventre en ronronnant.

Vendredi soir c’est course pour la semaine à Carrouff, le supermarché du coin, c’est vite fait toujours la même liste qu’il n’y as pas besoin d’écrire, surtout pour les boites pour Félix. Mathilde passe à la caisse, paie, et alors qu’elle se dirige vers la sorti deux vigiles l’encadre, Madame, voulez vous bien nous suivre à l accueil. Surprise….
-Messieurs je n’ai rien volé je vous assure , je fais mes courses ici tous les vendredis soir , j’ai ma carte de fidélité.
-Justement madame, c’est de cela qu’il s’agit
Alors qu’elle arrive à l accueil une musique de fête retentit, un animateur micro à la main se dirige vers elle,
-Et bien je suis ravi d’annoncer que Mathilde fidèle cliente de notre établissement viens de gagner un séjour d’une semaine tout compris en Tunisie.
-Mathilde êtes vous contente.
-Euh oui

Et c’est ainsi que Mathilde se retrouve sur la plage en Tunisie, dans un luxueux hotel , tout compris. Allongé sur la plage, elle profite du sable chaud, des vagues , alors qu’elle est allongée sur le ventre , elle entend deux femmes discuter entre elle non loin de là.
l’une
-Il sont beaux les tunisiens
L’autre
-Oui et il paraît que ce sont de très bons amants , intarissable.
et l autre de continuer
-Je voudrais bien essayer.

Mathilde sent son ventre se contracter à ces paroles.

La visite du souk est un must dans ces pays, alors qu’elle déambule, il y as l’inévitable marchand de tapis qui accoste Mathilde, il est jeune dans les 20 ans, il la fait entrer , lui offre le thé , un vieux monsieur très digne , barbe blanche se tiens là aussi.
on discute , on rigole , le jeune à brule pourpoint lui dit
Viens derrière dans la réserve je vais te montrer des tapis, fais main, ton chat vas adorer se rouler dessus. Une pensée émue la traverse, ce pauvre Félix seul cher la voisine, il sera content d’avoir un beau tapis pour se faire les griffes.
Le jeune sort des tapis et des tapis, à n’en plus finir et celui ci et celui là, les tapis s’amoncellent devant la porte de la réserve menant au magasin qui finalement est presque à moitié bouchée.

-Alors Madame, lequel tu veux ou lesquels?
un silence s’installe, le ton change
-Tu es très belle Madame
Mathilde lui sourit
-C’est gentil merci.
et soudain le jeune se lance.
Je ne suis pas marié, ici c’est trop cher, la dot tout cela tu comprends Madame.
-Appelle moi Mathilde si tu veux.
-Merci
Et il lui touche le genoux, Mathilde le regarde, elle n’as plus l’habitude des hommes, mais elle sent cette tension qui existe quand un homme manifeste intérieurement son envie, et elle sent son ventre se contracter.
et le jeune de s’expliquer.
-Mathilde, je n’ai jamais eu de femme, tu comprends, je ne veux pas t’offenser, mais je te trouve très belle , et si tu voulais …
Son air attendri, presque larmoyant, son visage suppliciant, Mathilde se trouve très émue, sans réfléchir elle lui prend la main et la serre.
Mais une main dans la main ce n’est pas assez , elle sent que c’est un moment de décision , libre à elle de se retirer , de s’en aller, son esprit rentre dans une confusion terrible finalement devant tant d’arguments contradictoires se mêlant en elle , elle lui prend son autre main.
-C’est sur que tu n’as jamais eu de femmes? Je vais m'en rendre compte tu sais.
Ce disant elle se rend compte qu’elle vient de dire oui et une douce chaleur l’envahit.
-Oui madame je le jure.
-Viens tiens touche et elle lui pose la main sur ses seins.
Effectivement il était gauche dans ses geste, elle déboutonna son chemisier, dégrafa son soutien gorge, le jeune avait un visage émerveillé, il osait à peine toucher .
-Vas y touche , embrasse,
Petit à petit il s’enhardit , caressa doucement d’abord puis se mit à pétrir les seins, et finit par les embrasser, ils roulèrent sur les tapis soyeux, en gesticulant , il se retrouvât nu , il était maigre, sec, sa queue jeune frêle encore très raide , il dégrafait le short de Mathilde comme s’il ouvrait une caisse pleine de trésor , alors qu’il découvrit toison soyeuse de l’entrejambe , il poussa une exclamation en arabe
Son envie était trop forte elle ouvrit les cuisse pour l’accueillir, et là elle s’aperçût vraiment que c’était la première fois il poussait elle le sentait mais pas au bon endroit, , il ne trouvait pas l entrée de sa chatte, , il ne savait pas , elle le repoussa, lui pris son sexe dans la main et le dirige ou il fallait . il la pénétra en une seconde, et cria elle le senti se vider, il jouissait déjà .
il se redressa et cria ‘Le Paradis «  je suis au Paradis.
Il bandait toujours , elle s’ouvrit il revint à la charge , cette fois il tenta quelques aller et retour et déchargea encore une fois en criant.
Comme il bandait encore , Mathilde se dit c est vrai qu’il sont intarissable, , elle le redirigea en elle , Croisant ses jambe dans son dos elle le maintint fermement en elle , lui pris le visage
-Tu es heureux
-Le paradis Madame, eu non Mathilde.
Aller vas y fais des aller retours doucement prend ton temps. il commença à s’appliquer comme un élève qui veut réussir ses devoirs, , du coté de Mathilde, elle senti une chaleur dans son ventre qui commençait à monter . mais il cria encore une fois et elle le senti jouir en elle. Il se dégageait,
Mince se dit elle trois fois en un quart d’heure , c est vrai qu’ils ont la forme.

Son regard fut attirer par un mouvement , le vieux monsieur était dans un coin à regarder , elle vit nettement sous sa djellaba qu’il se masturbait, sont premier geste , fut de se couvrir.

Le jeune , lui prit la main.

-Madame, Mathilde, c’est mon grand père , il est veuf, il n’as pas eu de femme depuis très longtemps, il est veuf, s’il vous plait , s’il vous plait, Dieu vous rendra votre bonté, j’en suis sur. Déjà le vieux , s’avançait à quatre pattes vers elle toujours couvert de sa djellaba , elle pensa à son chat, elle écarta les jambes .il venait sur elle , releva sa djellaba , mais elle ne put rien voir.
Par contre elle senti, lui il savait déjà il était à l’entrée, de sa chatte, tout d’abord elle ne se rendit pas aisément compte, mais quand elle senti ses première lèvres s’ouvrir , s’ouvrir encore, puis sentir qu’elle se distendait à la limite de la douleur , elle se rendit compte que ce n était pas la jeune queue presque pubère d’un garçon , mais une vrai bite de mâle , elle fit un « Oooooh Doucement »
Millimètres par millimètres le vieux prenait possession , elle se sentait étirée, agrandie, ses émotions commençait à se chevaucher. et finalement il s’enfonçât à fond en elle elle cria , et ne se rendit pas compte qu’elle jouissait. alors qu’elle reprenait ses esprit le vieux était fiché en elle immobile et lui souriait.
Le garçon de dire
-Madame, Madame, mon grand père est très fort, il faisait crier sa femme toute le nuit , on l’ entendait .
Le vieux ressorti complètement , Mathilde se sentait complètement ouverte.
-Regarde petit fils comment il faut faire
et Il se planta très violemment de toutes ses forces , Mathilde cria .
-Regarde petit fils comment il faut faire, il faut faire sortir la femme d’elle même , quand elle commence à crier c’est bon signe , ensuite il faut arriver à la faire sortir d’elle même , elle crie elle hurle , parfois elle parle, quand tu arrive à la mettre dans cet état, , alors c’est gagner , elle est à toi tu peut faire ce que tu veux, la faire jouir jusqu’à ce qu’elle perde la raison.
Mathilde s’entendit dire
-Oh non je veux pas .
mais trop tard le vieux commença à la limer, très régulièrement.
Mathilde disait Ooo Non, Oooh non , oooh non, mais elle sentait toutes ses barrières physiques et mentales s’écrouler à une vitesse surprenante.
-C’est trop tard ma belle , tu es à moi je te tiens, vas y jouis maintenant
et à ces mots contre son gré , elle se sentie remplie , elle explosa d’un organe tremblant en criant Oooh OUIIIII
-Elle est parfaite cette gazelle dis le vieux.
-Alors qu’il ralentissait le rythme, il lui dit, Alors Gazelle dis moi ce que tu veux , tu veux que j arrête, tu vas voir petit fils en faisant mine de ressortir.
Mathilde, s’entendit dire
Encore, Encore s’il te plait
Tu vois petit fils je la possède , elle est à moi elle est obligée de se donner.
-Oui Vas y .
Le vieux lui mis un série de coups très violents , très puissants,
-Regarde petit fils, regarde bien ou elle vas aller,
Mathilde se mit à bredouiller des mot sans suite, crier, pleurer, gémissant des encore, encore.
Le vieux n’arrêtait pas , pour Mathilde le temps s était arrêté . Elle n‘était plus qu’un corps de femme dans un orgasme permanent. Parfois elle voulait se retirer , reculer se dégager , mais son corps lui se tendait face à la grosse bite du grand père , et s’offrait contre son gré et elle succombait alors dans un nouvel orgasme.

Le vieux reprit son souffle. Mathilde aussi.
Il dit au jeune ,
-Met toi derrière elle , prend lui les chevilles , tire en arrière en l’ouvrant bien , je vais gagner un centimètre et je vais la finir.
Ainsi écartelée les jambes en l’air, , elle le vit se mettre bien en place , entre ses jambes, elle ne sentait plus sa chatte , mais une douleur lors qu’il lui touchait le fond de la chatte.
-Aller ma belle , tu vas voir , tu vas aimer, de très grands mouvement à chaque fois il lui toucha le fond, très vite la douleur se transformait en éclair de chaleur à chaque fois qu’il la percutait, puis tout se brouillas dans sa conscience, il l’envoya dans un océan de bonheur, un monde qui’ na appartient qu’aux femmes quand elle sont vraiment possédées. Son souvenir le plus net fut la langue du vieux qui rentrait dans sa bouche et la sienne qui cherchait aussi cette langue. puis ce truc en elle qui lui mettait le feu qui grossit encore et encore, et le vieux qui hurlait dans sa bouche , en réponse à ses propre hurlements, , et elle sentait qu’il la remplissait . Puis ce fut le silence , l oubli , Jamais elle ne sut si elle s’était évanouie ou avait dormi. Un léger bruit de tasses à coté d’elle, le jeune était là rhabillé, elle se regardait ses vêtements posés sur elle , cachait sa nudité, elle sentait des flots de sperme s’écouler de son sexe et c’était délicieux.

-Tiens madame, bois le thé , très sucré cela vas te faire du bien. Le vieux n’était plus là, elle but le thé lentement, chaque muscle de son corps lui rappelait l’épreuve quelle venait de subir.

En elle même elle se disait , c’est cela, alors c’est cela l’orgasme le vrai, le fort, comment ai je pu passer à coté de cela aussi longtemps , et elle se mit à pleurer.

-Faut pas pleurer , madame, au contraire faut rire, mon grand-père as dit que tu es une femme exceptionnelle, qui prend l’homme comme il faut , que c’était très bien. et moi je peut dire que tu m’as emmené au paradis, c’est vrai je te le jure, au paradis, tiens bois le thé, sois heureuse .

Elle se mit a rire de tout d’elle même de la vie,
Et il as dit quoi d’autre ton phénomène de grand père .

Il as dit que après demain tu vas revenir , que tu ne pourras pas résister à l’envie et qu’il vas te montrer d’autre choses encore mieux, parce que tu es faite pour cela, tu as un don.

-Oh je ne suis pas sure d’elle en se rhabillant.

Alors quelle sortait le grand père assis devant sa boutique joignit les mains et lui dit

-Tu es bénie de dieu , mon petit fils vas te raccompagner à ton hotel, A bientôt.

A l’hotel elle se fit un bain , très chaud, et eu juste la force d’aller au lit et s’endormit de suite.


Elle se réveilla le lendemain en fin de matinée, quelques courbatures, mais se sentant dans une forme extraordinaire, heureuse souriante, , passant devant les deux femmes qui des jours auparavant était à coté d’elle elle les gratifia d’un énorme sourire et alors qu’elle descendait les marches menant à la mer, elle entendit l’une dire à l autre , « Tiens celle là elle as le sourire d’une qui s’est fait exploser »

Ce fut une journée nonchalante son ventre lui rappelant par moment avec délices , la veille. Elle se promit de ne pas y retourner, et vaqua à des occupations de vacancière sage.

Le lendemain matin alors qu’elle se levait elle constata que le ciel était couvert, au petit déjeuner, elle entendit parler de possibilité de pluie , bref de mauvais temps. Que faire
retourner à la chambre , lire quelques livres, tourner en rond, commander un whisky, essayer de penser , penser à ne pas y aller, chasser l’envie de retourner au souk qui revenait sans cesse , boire son whisky tranquillement. Sentir sa poitrine se gonfler, son ventre se creuser , son sexe s’humidifier, et puis finalement craquer, descendre à la réception demander un taxi pour le souk.

-Je suis folle, je suis folle pensai elle, j ai envie, j ai envie pensai t’elle.

-Arrivée au souk elle essaya de marcher normalement , faire semblant de ne pas être intéressé, en passant devant la boutique.

-Ha Mathilde, Mathilde , ma belle amie heureux de te voir , viens viens viens boire le thé, elle rentrait cherchant le grand père .
-Mon grand père n est pas là , mais buvons le thé .
-Une immense déception lui envahissait le corps et l esprit,
-Buvons le thé, doucement nous avons le temps aujourd'hui il fais mauvais, pas de business, pas de touriste.

Une fois le thé fini, le jeune dit
-Nous sommes invité cher mon grand père si tu veux venir, je ferme le magasin et nous prenons un taxi.

Aussitôt dit aussitôt fais et après un vingtaine de minute en taxi, il se trouvait devant une grande porte en bois, le jeune dis quelques mots en arabe et une femme vint ouvrir , ils entrèrent et elle disparut.

La prenant par la main le jeune la conduit par un dédale de couloir et d’escalier à une pièce relativement grande, couverte de multiples tapis et coussins de toute sortes et de toutes fermeté .

-Sois la bienvenue cher moi dis le grand père alors que le jeune fermait la porte silencieusement.
ceci est un pièce d’amour, elle est faite pour cela, tu, nous allons pouvoir jouer et s’amuser, comme nous le voulons , elle est insonorisée, nous serons tranquille je te le promet, enfin si tu le veux, si tu ne veux pas nous pouvons boire le thé et tu peux renter cher toi sans mauvaise pensées ni de notre part ni de la tienne.
-elle s’entendit dire »je pense que je vais rester un moment »
-Le grand père , de suivre « nous allons te faire beaucoup de choses, que tu n’as certainement pas l habitude mais qui te seras tellement agréable que tu en redemanderas, est tu prête?
-Je ne sais pas , je suis bien avec vous.
A ces mots le grand père ôta sa djellaba , il bandait sa queue était énorme, le gland circoncis, épais rugueux, la colonne striée de veine, le jeune nu également avais une assez joli queue qui manquait encore de volonté de diamètre, mais munis d’un également joli gland.
Allonge toi mon petit fil Mustapha veut te gouter . Va y Mustapha
Le jeune se glissa entre les cuisses de Mathilde, y fourra sa tête , et commença à embrasser le minou de Mathilde.
C est le meilleur moyen pour un jeune d’apprendre comment est faite une femme, Vas y Mustapha lèche, suce embrasse découvre comment elle est. Ecarte bien Mathilde qu’il puisse voir, ce qu’il fait, et regarde le bien cela vas te faire plaisir.
Effectivement de voir la tête du jeune qui fourrageait entre ses cuisses, elle se sentit de plus en plus mouillée, elle rigolait amusée. Mais d’un seul coup elle se tendit, le jeune petit montait et fini par trouvé par hasard son clitoris, intrigué par cet appendice il le léchait consciencieusement.
-C est bien Mustapha dis le vieux, tu viens de trouver une porte du bonheur, voyons comment tu vas t ‘en servir.
Mathilde ne rigolait plus , elle respirait de plus en plus profondément , cherchant à se calmer.
D’instinct Mustapha s’emparât du bouton entre ses lèvres , en l aspirant, Mathilde fit un Oooooh, et essaya de reprendre sa respiration normale.
C est bien Mustapha dis Le vieux, tu es sur le chemin de la vérité , laisse faire l’instinct, Mustapha devint un petit fauve s’acharnant sur le bouton, le mordit elle cria, le suça elle gémit, l’excitât avec la langue, elle fit oui , et finalement grâce à un tour de langue autour , Mathilde se contracta en levant le bassin et jouis.
Ne t’arrête pas dis le vieux, surtout ne t’arrête pas , elle vas avoir mal, essayer de se dégager, tiens la bien et retourne y, ce qui fut fait illico presto, le jeune se battit avec les cuisses que Matilde voulait refermer , réussi à s’infiltrer entre les cuisses et à reprendre sa succion, le vieux se jeta sur le torse de Mathilde, la contraignis à rester bras au sol et lui mordit un sein très fort, sous l effet de la douleur elle relâcha l emprise des cuisses ce qui permit à Mustapha de se remparer de son bouton , et de recommencer son travail, Mathilde se débattait encore un peu et puis soudainement se rendit, s’ouvrant de nouveau au travail de Mustapha. Le vieux la lâcha, pris la tête de Mathilde et lui soulevant , lui dit
-Regarde Mathilde dis moi ce qu’il vas te faire , dis le.
-Il vas me manger
-et tu as envie de quoi Mathilde dis le
-elle hoquetas, et lâcha « je veux qu’il me mange »
Tu vois Mustapha , c est une vrai femme qui n’as pas peur du mâle, , vas y achève là
Mustapha se concentra sur le bouton, et Mathilde, s’arc-boutât lui offrant son intimité en jouissant.

Il y as une grande bataille dis le vieux, souvent la femme a peur de jouir , peur d’elle même, c est pour cela qu’elle se défend , c est au mâle de se faire accepter , par la violence douce , de s’imposer et à un moment la femme s’ouvre comme une fleur , et tu peut en disposer comme tu veux pour son plaisir et le tien. » Met toi à quatre patte Mathilde, et se faisant le vieux se glissa sous elle et lui tendit sa queue à sucer, vas y Mathilde suce. Toi Mustapha , puisqu’elle te tend ses fesses prend là, vas y. Alors que Mathilde suçait le jeune la pris en levrette, il jouit quasiment tout de suite, alors qu’il ressortait le vieux lui dis vas y recommence, il recommence rejouait en à peine une minute, , vas y recommence il recommence et cette fois il tint un bon cinq minutes avant de s’exclamer encore une fois , le sperme s’écoulait de la chatte de Mathilde qui avait l’impression de sucer un bout de bois , le vieux restait de marbre sans broncher. Alors que Mustapha regardait son sexe qui avait débandé , et semblait dite au vieux , c est fini, le Vieux se fâcha »
Sorti une cravache , le frappa très fort, Mustapha tu dois rependre cette femme tout de suite , vas y, c est un ordre. Mustapha réussi a remettre sa queue molle dans l entrée de la chatte de Mathilde, qui s’était mise sur le dos et écartait les jambes, elle le sentait, un nouveau coup de cravache lui cingla les fesses.
Mustapha tu ne peut décevoir cette femme , tu dois y arriver, prend là, il se remis à bouger et petit à petit , Mathilde senti son sexe qui reprenait de plus en plus de force . C était une situation surprenante , elle senti le jeune désorienté, ne sachant plus très bien quoi faire, alors elle prit la parole
-Vas y Mustapha, vas y
et le vieux de rajouter
Aller Mustapha , tu dois trouver la porte d’entrée du plaisir de cette femme, il faut que tu cherche, changer de rythme, plus fort, moins fort, essaie ,
Il essayait , mais Mathilde , ne sentait que des aller et venue en elle, du plaisir, mais rien qui ne laisse présager un orgasme a venir.
Elle le regarda , lui sourit, il était concentré , comme un garçon qui est en train de rater un devoir.
Elle lui dit
Cool Mustapha, cool, relax, souri sois heureux, pense à moi.
Il changea de rythme , plus lent , plus harmonieux, plus ample, Mathilde senti un picotement dans son ventre , « ça y est pensa t’elle il me trouve »
Mustapha aussi senti l harmonie qui s’installait, Il s’écria Je te tiens, Grand Père regarde , regarde je la tiens elle vas venir.
Mathilde haletait, il ne changeait pas de rythme , l’orgasme était là pas loin mais il manquait quelques choses , pour qu’il éclate.
C est bon, c est bien dis le grand père , elle veut jouir, mais surtout ne change rien, il faut qu’elle attende , qu’elle supplie , qu’elle demande et ce seras meilleur.
Mathilde n y tenait plus, elle haletait de toute ses forces, cet orgasme en elle qui ne voulait pas démarrer, c’était comme une douleur dans son bas ventre.
-Vas y Mustapha , fais moi jouir je t’en supplie, et elle se mit a pleurer, s’offrant au maximum.
-Le jeune apprenait très vite , il continuait sur son rythme imperturbable , se penchant il l embrassa, et lui chuchota , « Tu vas jouir quand je te le dirai » et pas avant.
-Mathilde tenta de reprendre son souffle de se calmer.
-C est bon dis le Grand père , tu peux l’avoir comme tu veux.
-Vas y Mathilde jouis, elle n’en cru pas ses yeux, son corps, ses oreilles, le fais qu’il lui donne l’ordre de jouir, elle explosa, avec un feulement son bassin se soulevant par spasme, le jeune cria de victoire, et continua de plus belle, il l ‘emmenait tel un conquérant d’orgasme en orgasme, .
-Elle senti un main passer sous son bassin et un doigts inquisiteur, se glisse dans son sillon complètement imprégné de sperme et de mouille. Bientôt ce doigt s’infiltrait dans son anus, elle cria « Non »
-Vas y Mustapha dis le vieux , Vas y emmène là hors d’elle même elle vas se préparer toute seule. Effectivement maintenant Mustapha martelait comme un métronome , Mathilde s’en allait d’organe en orgasme soulevant son bassin frénétiquement se faisant elle s’empalait un peu plus a chaque fois sur maintenant les deux doigts du vieux, et ma foi cela lui plaisait beaucoup.
Mustapha cria comme un bête , en pilonnant Mathilde de toute ses forces et elle le senti au milieu de son délire se déverser en elle encore une fois. Il se dégagent, a bout de souffle , se jeta sur elle et l embrassa , elle lui répondit , elle était heureuse, roulant sur les tapis elle se retrouva sur lui. Elle ne saurait dire comment cela se fit, des mains la pressait partout , lui prenait les jambes les replaçait , elle se retrouve à quatre pattes , Mustapha sous elle lui enserrait la taille en ciseau avec ses jambes , lui tenait les bras et la serrait contre lui. Ainsi positionnée, elle se retrouvait les fesses en l’air , la poitrine serrée sur Mustapha , bloquée par le ciseau des jambes du jeune .

C est alors qu’elle compris en sentant les deux doigts du vieux , pénétrer son anus.
Ce n était pas totalement désagréable, mais elle n’avait jamais été sodomisée.
-Non dis t ‘elle pas ça , je n’ai jamais fait.
-Chutttt lui dis Mustapha , calme toi respire bien tranquille. Grand père sait très bien faire.
-Mais il en as une trop grosse dit elle.
Ce n est pas grave dis Mustapha , tu vas voir, tu vas avoir très mal , vraiment très mal, et ensuite ce sera extraordinaire, et pour les restant de tes jours tu vas en redemander.
Méthodiquement le vieux récupérai du sperme qui coulait de sa chatte , en badigeonnait l anus de Mathilde et y enfonçait ses doigts en les tournant, ce n ‘était pas désagréable.
Je ne te met que deux doigts en préparation, car je veux que tu sente bien ma bite quad je te prend, je vais essayer de ne pas te faire trop mal , et je veux t’entendre demander que je t’encule.

Il avança sa grosse bite sur l’anus de Mathilde et commença à pousser, le début ne fut pas si désagréable, se dit Mathilde, mais très vite une sensation de déchirement, la fit crier
-J ai mal
-C est normal lui dis Mustapha , la première fois c est normal , tu es vierge, moi aussi la première fois j ai eu très mal, mais souvent maintenant je me fais enculer ou j’encule des copains , et c’est beaucoup de plaisir.
-Tiens la bien dis le vieux, elle vas chercher a se dégager.
-Elle hurla de douleur, pensant être déchirée de l ‘intérieur,
-C est bon dis le vieux le gland est passé, je ne bouge plus qu’elle s’habitue .

La douleur allait et venait puis se calmait , elle reprit son souffle, elle se sentait écartelée, mais quelques chose en elle s’ouvrait .
Elle essaya de toutes ses forces de se dégager , le vieux lui dit
Bouge pas Mathilde , sinon je vais être obligé de tout te mettre d’un coup et là ça vas pas être sympathique du tout . Calme toi respire, laisse faire, bientôt tu vas sentir quelques chose de nouveau.
Le vieux commença a faire des micro mouvements d’avant en arrière , de quelques quelques millimètres .
Mustapha commentait, Il t’as ouvert la première porte , il reste la deuxième , cela vas être dur aussi , mais moins .
Effectivement elle senti une deuxième déchirure qui commençait.
-Tu me fais mal cria t’elle
il poussait toujours à petit coup .
Soudain elle sentit qu’elle abandonnait toute résistance , ses muscles et son esprit cédaient , avec tant d’expérience le vieux le sentais.
-C est à toi Mathilde de parler, je te sens prête
elle s’entendit dire sans s’en rendre compte »Vas y encule moi » et le répéter comme un machine le vieux attendit un peu et l enfourna complètement. Il se mis la ramoner tranquillement.
Elle pleurait , elle geignait , elle sanglotait, « Il m’encule, putain ,il m’encule , il me casse le cul, il me déchire.
Mais elle fut surprise par son corps , celui ci se rendit complètement elle s’ouvrît au maximum contre son gré , et un orgasme anal terrible la secoua . Elle cria Ooo OUIIIIIIIIII.
Tu peut la lâcher Mustapha , c est bon , et le mieux se mit à l’enculer gaillardement .
Il la fit jouir plusieurs fois , et à chaque fois cela la prenait presque par surprise.
Une fois elle dit ,
- Ah putain, cela revient, cela revient et elle jouit encore .

Le vieux agrippa ses hanches ferment lui mis une série impitoyable , qui la soulevait du sol a chaque fois et se ficha au plus profond en elle en grognant, elle senti parfaitement le jet chaud au fond de son intestin.
Joui et cria , putain c est bon qu’est ce que c ‘est bon


Elle reprit ses esprits , allongé entre les deux hommes, qui la regardait, ils lui souriait , elle caressa le vieux, sa peau était lisse , il était assez poilu, elle descendit un regard vers le ventre et vis le sexe de cette homme au repos, , Mustapha se leva enfila sa djellaba et revint avec du thé et des gâteaux, le vieux s’habilla de même.

-Nous te remercions beaucoup dis-le vieux, donne nous ton adresse en France, nous allons t’envoyer de très beau tapis , mais lui tendant une carte , tu nous enverra par mail les dimensions que tu veux, nous sommes très honoré de ta confiance , et avons essayé de te donner le meilleur de nous même.
-Est tu heureuse??
-Oui je suis heureuse et bouleversée dit elle en versant une larme.
-Il ne faut pas pleurer, tu es une très belle femme, très forte devant l’homme, la vie ne t ‘avais pas conduit sur ces chemins, maintenant tu y es , tu vas voir ta vie vas s’illuminer grâce à ton corps.
-Oui dit elle peut être, en attendant j ai mal au derrière.
-C est normal dis le vieux , tu vas avoir un peu mal quelques jours, ensuite tu auras envie que cela recommence, le plaisir appelle le plaisir , c est un puits sans fond , et cela tu vas le découvrir.
Si tu veux nous allons appeler un taxi et Mustapha vas te raccompagner à l hotel.

Le vieux lui fis une bise sur les deux joues, elle se rhabilla, et s’en retourna à l hôtel. En rentrant dans l’hôtel elle senti du sperme s’écouler de son vagin et son anus , d’abord honteuse , elle se rappela les paroles du vieux, « Très forte devant l’homme » , elle se redressa, forte et fière, adressa un sourire éclatant au personnel de la réception , et marcha très droite à l aise vers l ascenseur, chaque suintement de sperme entre ses jambes , lui procurant un bonheur intellectuel inconnu d’elle jusqu’à présent.

Et c ‘est comme cela que se finit ses vacances en Tunisie, et que la vie reprit son cours normal, le travail, le ciné club, le sport, et Felix qui lui voyait bien qu’elle avait changée et se faisait de plus en plus câlin.

Elle prit les dimensions de son séjour et pensant à Félix , imagina aussi un autre tapis pour lui , elle fit un mail et l’envoya fiévreusement, , elle reçu une réponse quelques jours plus tard , lui assurant que tout le monde allait bien en Tunisie, qu’il la recevrait comme une reine quand elle le voudrait, et que les tapis allait être livré directement cher elle dans le courant de l hiver.

Certaines nuit était longues , c’était l hiver, son corps lui demandait de plus en plus souvent a jouir, elle se caressait souvent, essayant d’imaginer, de nouvelles manières, mais elle s’aperçut qu’elle avait envie d’hommes. Le problème est que dans son relationnel autour d’elle aucun homme ne la regardait .

Un jour elle reçut un sms « Nous sommes les cousins de Youseff et Mustapha, nous avons deux tapis à vous livrer , quand cela est il possible?? »

-Mince pensa t’elle avec émotion , ils tiennent parole .
-Quelques contact téléphoniques plus tard , rendez vous fut pris pour un samedi fin d’après midi.
Tout d’abord pour Mathilde ce fut simple, les cousins de Youseff viennent me livrer des tapis, c ‘est bien. Puis sa tête se mit en route et son corps suivi, comment sont ils, que vais je leur offrir, et elle se mit à acheter des gâteaux, du thé, .

Le jour venu trouva Mathilde très fébrile , des souvenirs lui remontait , très vifs aussi bien dans sa tête que dans son corps , quand la sonnette de son appartement sonna , elle ne savait plus trop comment se comporter .
Il y avait Ahmed , grand costaud, large d’épaule et Ibrahim plus petit très large d’épaule , il portait un très grand tapis , et un autre plus petit ., Ils entrèrent dans l’appartement .
Bonjour, nous sommes les cousins de Youseff et Mustapha , ils nous ont beaucoup parlé de vous
Mathilde se senti rougir comme une pivoine
-On peut se faire la bise
et sans lui demander ils lui firent la bise tous les deux.
-Bon alors ce grand tapis Ou ???
très vite il levèrent la table du séjour, posèrent le tapis avec grand soin, , vérifier les angles , Il était magnifique.
Puis il fallut choisir une petit place pour le tapis de Félix, d’abord circonspect Felix, se hasardait sur le tapis commençant à le gratter et finalement avec un miaulement de satisfaction se fit les griffes dedans et se roula dessus.
Les deux hommes éclatèrent de rire .
-C est bien cela, Félix aime les tapis tunisien.
et l autre de rajouter
-Parce que Mathilde aime les tunisiens , et tous y compris Mathilde se mirent à rire . Un silence profond s’en suivit
Mathilde se rendit compte alors , qu’elle était seule avec deux hommes dans la force de l’âge , qu’il savaient des choses sur elle, et elle pensa « Putain je vais y passer « 
Elle bredouilla
-Je vous remercie beaucoup, c est vraiment très gentils, et tremblante rajouta « Je peux vous offrir quelques choses qui vous ferait plaisir??
A ces mots elle pensa « Quelle conne je les allumes »
Oui dis Ahmed en s’approchant d’elle nous aussi nous allons t’offrir quelques choses qui vas te faire plaisir.
« Je suis cuites pensa Mathilde alors qu’Ahmed était à quelques centimètres d’elle, , elle leva la tête , elle tendit sa bouche , Ahmed s’en empara et lui enfourna une grosse langue qu’elle accepta et lui répondit , dans le même temps Ibrahim se plaqua à elle par derrière lui embrassant le cou , et elle se trouva enserré dans un étau entre les deux hommes.
-Youseff nous as dit beaucoup de bien de toi, que tu étais une très belle femme, et nous as dit de bien s’occupé de toi.
Ibrahim rajouta
-Youseff a aussi dit que tu faisais très bien l’amour, et nous as demandé de te donner beaucoup de plaisir, est ce que c est cela que tu veux Mathilde, dis nous??
Elle s’entendit répondre dans un souffle.
-Emmener moi dans la chambre, j ai envie, j ai envie de vous, je suis à vous, vite, maintenant, je n en peux plus.
Déjà il la poussait vers la chambre, Son chemisier volait, elle dégrafant elle même son soutien gorge , alors qu’elle tombait sur le lit, Ahmed lui dégrafait son pantalon elle se retrouvât nue sur le lit, Dans une situation folle , elle remarquas Ibrahim déjà nu , large costaud, couvert de poils, un sexe de taille normale , mais d’une largeur impressionnante, alors qu’elle tombait sur le lit sur le dos, Ahmed s’allongeât à coté d’elle et l’embrassa goulument,
-Vas y Ibrahim , il faut vite calmer ce feu, alors que la langue d’Ahmed s’imposait dans sa bouche , elle senti Ibrahim lui écarter les jambes , poser son sexe sur le sien et s’introduire en elle .
Elle cria..
-Ohh oui c est cela , c’est cela que je veux, vas y .
-Youseff nous as dit que tu étais une femme forte devant l homme , Vas y Ibrahim et Ibrahim se mit à une allure de métronome à taper de toutes ses forces .
Mathilde exultait .
Ahmed lui triturait les seins, en l’embrassant , dirigeant la main de Mathilde vers son sexe, elle s’en empara, c’était long , Gros dur .
Très vite elle commençât à jouir, les orgasme montaient les uns après les autres comme le métronome Ibrahim .
Ibrahim se dégagent , à toi mon frère , là ce fut autre chose déjà élargie par le sexe d’Ibrahim au début elle ne senti pas grand chose , mais très vite il fut au fond d’elle et commença a lui taper le fond, ce fut un délire pour elle .
Il la prirent dans tous les sens , pendant de heures, elle était en nage , par moment complètement partie , en gémissement , en cris, en jouissance, par moment maître d’elle même alors elle les provoquait.
-Alors les garçons , vous faiblissez, elle les raillait , cela gonflait leur libido, et il retournait à la charge. Ils avaient jouis je ne sais combien de fois en elle, mais n’arrêtait pas , elle dégoulinait de sperme .
-Elle cria
-Je suis une femme vous êtes des mâles , faites de moi une femelle .

Ibrahim n’y tint plus , il la chope l’amenât au salon , bouscula la petit table du salon s’allongeât sur le dos sur le tapis , l’amena sur elle et la força a s’empaler sur lui.

Celle là on l’as promis à notre oncle , tu vas voir.
il la tint ferment , Ahmed se mit derrière

Elle comprit mais trop tard ,
Non tous les deux vous êtes trop gros
Trop tard l énorme gland d’Ahmed était sur son anus.

-Tu veux être femelle , tu vas l’être lui dit Ibrahim, rend toi, rend, toi accepte le mâle .

Elle reçut une volée magistrale de claque sur les fesses.

Dis le femelle , dis ce que tu veux, réclame, aller femelle ,

Elle craqua , en pleur, se relâchant elle s’empalât complètement sur le gros sexe d’Ibrahim , la chant ses mains du sol, elle les tendit vers ses fesses, les écarta.
J attend dis Ahmed en la frappant de nouveau.
Elle écarta ses fesses au maximum pour lui montrer son anus offert . et finalement les paroles réussirent a venir.
-Je suis à vous, je suis votre femelle , encule moi, vas y encule moi, baisez moi tous les deux, je me rends aller y , défoncer moi.
Ahmed ne lui fit pas de cadeau , il se ficha dans son cul d’en seul trait , elle ne cria même pas sous la douleur , elle se sentait écartelée , pleine ,
-Elle se mit à les encourager comme une folle ,
Il la défoncèrent de toute leurs forces , Mathilde n était plus là,
on l entendait dire de temps temps entre deux orgasmes
-Femelle , femelle, je suis votre femelle, votre reine.
Puis elle réussit à se reprendre , et son souffle et sa raison, elle les sentait venir.
-Vous êtes à moi les mâles, vous êtes à moi, je vous veux tous les deux, aller y , aller y soyez des mâles, Remplissez moi, aller y.
Juste revanche de celle qui jouissait sur ordre avec Youseff , elle leur intimait l’ordre de jouir , et elle les sentais venir.
-Aller les gars , aller je vais y aller avec vous , aller , aller putain aller y.
-Un truc terrible grossissait dans son ventre et dans son anus prise de tous les cotés,
Elle leur criait,
-C est bon on y vas , j y vais avec vous , Il crièrent tous les trois en même temps, ils lui remplissaient le cul , la chatte en gémissant, elle leur donnait tout ce qu’elle avait , offerte comme jamais , saisi d’une extase figée, dans un océan de lumière.

Ils tombèrent en tas sur le tapis , à bout de souffle , au bout d’eux même .



C est elle qui revint sur terre la première ,

Je vais vous faire du thé pendant que vous venez la douche .

Il prirent la douche, se rhabillèrent, elle revêtit seulement un peignoir, et leur servit le thé et les petits gâteaux

-Putain vous m’avez défoncée….
-Toi aussi Mathilde tu nous as défoncé tu nous as tout pris, tu es une femme exceptionnelle , Youseff avait raison.
-Combien je dois pour les tapis?
-Youseff a dit que c est cadeau, et que tu es la bienvenue en Tunisie, nous repartons la semaine prochaine la bas, .

en éclatant de rire
Mathilde leur dit
-Si vous avez une autre livraison dans le quartier , faite moi signe , je sais faire le thé.

Ils éclatèrent de rire tous ensemble et se séparèrent.









25 vote(s)


Histoire de micchel1954

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : Mathilde - 1

Le 13/01/2024 - 03:29 par adriankolleman
J'ai adoré, j'en ai lu de bons sur tabbboo.com
Le 07/01/2024 - 11:00 par valeriane
Ouah quelle fougue, j'aime
Le 07/01/2024 - 10:58 par michelle2
j'adore
Le 02/01/2024 - 12:26 par OlgaT
Excellent!

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :