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Max en stage 2

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Lue : 544 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 20/03/2020

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« Alors, maintenant tu peux me raconter la suite de ton stage… me demande Aïssata. Comment ça s’est passé ? Est-ce que tu as rebaisé avec Catherine ?
« Ok, je te raconte, mais tu me promets de n’en parler à personne ! 
Oui, me fit-elle de la tête.
Au lendemain de notre aventure, Catherine était devenue très froide. Pas un mot, pas un sourire. Elle se contentait de me donner des ordres : fait ci, range ça !
Toute la journée, elle s’est attachée à me submerger de travail, et m’évitait soigneusement. Je ne savais quoi penser. Je me disais qu’elle m’en voulait, et sans doute à elle-même aussi, de ce que nous avions fait la veille. Je me sentais honteux et coupable. J’avais peur qu’elle en parle à mes parents, ou qu’elle me vire, alors je faisais tout ce qu’elle me demandait sans broncher. Secrètement j’espérais qu’elle redevienne la chienne en chaleur avide de sexe de la veille, sans trop oser y croire.
Le soir venu, j’étais fourbu de cette dure journée de travail. Alors que je rangeais la dernière pile de pulls, Catherine vint se positionner doucement derrière moi. Je sentis son corps chaud se rapprocher du mien, et ses douces mains se poser sur mes hanches. Comme je voulais me retourner, elle m’ordonna d’un ton sec : « Continue de plier les pulls, je ne t’ai pas dit d’arrêter ! » Je me remis donc à ma besogne, et je me laissais faire lorsque ses mains parcoururent mon dos et commencèrent un lent massage.
Puis ce fut le tour de mon torse et je senti le bout de ses seins frotter contre mon dos. Elle souleva mon T shirt de mon pantalon et entrepris de dégrafer la boucle de ma ceinture, puis ouvrit ma braguette.
Mon sexe se leva automatiquement lorsqu’elle descendit mon jeans. Sans la moindre hésitation dans ses gestes, elle tira l’élastique de mon caleçon et en sortit mon pénis déjà tout dur. Je baissais la tête pour regarder ses mains branler délicieusement mon membre en érection. Je lâchais un soupir de plaisir car j’avais attendu ce moment toute la journée. Elle se colla tout contre moi, et je senti quelque chose d’inhabituel entre mes fesses. Elle me susurra langoureusement dans le creux de l’oreille : « Comme tu es mon stagiaire, je vais t’apprendre quelque chose de nouveau aujourd’hui. Ne te retourne pas, laisse-toi faire. »
En disant ces mots, elle se mit à genou tout en faisant glisser avec ses mains mon pantalon et mon caleçon. Puis elle me souleva les pieds un par un pour retirer complètement mes vêtements. Je me retrouvais les fesses à l’air, vêtu seulement de mon T shirt. Toujours sur ses genoux, elle enfouit sa tête entre mes fesses et je sentis sa langue humide lécher mes couilles prêtes à éclater. Puis elle écarta doucement mes fesses et sa langue vint titiller les bords de mon anus. C’était la première fois qu’une femme me faisait cela et la sensation nouvelle était très agréable. Cela me faisait même bander un peu plus. Je me penchais en avant sur la pile de pulls pour mieux lui offrir mon intimité et elle en profita pour enfoncer sa langue un peu plus profondément. Ses mains malaxaient mes couilles et allaient et venaient le long de ma verge tendue à l’extrême. Je goûtais au bonheur, me laissant faire par cette femme experte en la matière qui savait s’y prendre pour donner du plaisir à un homme. Elle s’arrêta de me lécher et prit quelque chose dans ses mains, dont elle s’enduisit. Je senti ensuit un doigt s’insinuer dans mon cul. A ma grande surprise il rentra aisément dans mon petit trou, sans me faire mal, et je compris que c’était grâce au produit dont elle avait dû s’enduire. Un deuxième doigt arriva bientôt sans que cela me dérange plus que ça. Je sentais ses deux doigts explorer mon intérieur et s’attarder sur ma prostate et cela m’excitait au plus haut point. Soudain elle se releva et m’ordonna : « agenouille toi et met-toi à 4 pattes ».
Je m’exécutais, sachant où elle voulait en venir. Je préférais lui obéir, car je voulais aller jusqu’au bout de son phantasme. Je découvris alors à sa taille une ceinture de cuir noir, d’où pendait une énorme verge en plastique. Une fois en position, je lui offrais à sa vue mes fesses que j’écartais moi-même pour lui faire comprendre que j’avais bien compris ses intentions et que j’avais décidé de les accepter, car je voulais franchir le cap de cet interdit. Cela me rendait fou d’excitation et je poussai un long soupir de plaisir lorsque sa bite en plastique entra dans mon cul. Elle s’enfonçait en moi tout en douceur et je fus une fois de plus surpris de ne pas avoir mal. Ma patronne m’enculait tranquillement et j’en bandais d’excitation. Elle s’arrêta un moment de me limer le cul pour me branler et me murmurer des cochonneries à l’oreille : « Alors mon petit stagiaire, tu aimes bien te faire prendre par le cul ! Ça t’excite, hein ? Ça te fait bien bander on dirait. T’avais jamais fait ça avant. T’es bien content maintenant d’avoir choisi ce stage. »
Je lui répondais en la provoquant car ses caresses m’avaient rendu fou : « Oui, vas-y, baises moi. Encule-moi bien à fond, tu vas me faire jouir ». Jamais j’aurai cru prononcer des paroles comme celles-là, mais j’étais totalement libéré de toute retenue et je laissais libre cours à mes idées les plus lubriques.
« Nan, tu ne vas pas jouir de suite, comme ça. C’est maintenant à ton tour de travailler. »
Elle se releva, retira sa robe puis son string et son soutien-gorge. Seul le gode noir cachait son sexe. Je pu quand même l’apercevoir nettement lorsqu’elle se mit à son tour à quatre pattes et écarta la lanière de son gode ceinture, m’invitant à y enfoncer mon dard. Je me rapprochai d’elle et la prenant par hanche, je la pénétrai d’un coup sec, comme pour me venger de ce qu’elle m’avait fait subir.
J’étais devenu un bersek. Je lui ai pilonné la chatte avec une extrême violence tellement j’étais excité par ce qu’elle m’avait fait. Les cris de Catherine retentirent dans toute la boutique et elle ne tarda pas à jouir, mais je ne m’arrêtais pas pour autant. Je bandais tellement que je continuais à la bourrer à grands coups de reins. Un deuxième orgasme arriva, et cette fois elle me demanda de me retirer, ce que je fis.
Elle me regarda et examina ma verge toujours tendue à l’extrême. Je devinais de l’envie dans ses yeux malicieux et elle se remis de nouveau à quatre pattes, et sans un mot, ouvrit largement ses fesses avec ses 2 mains, m’offrant son anus comme je l’avais fait. C’était maintenant mon tour d’aller explorer son fondement, et je ne me fis pas prier. Lorsque j’approchais ma queue de son trou, je me rendis compte qu’il était déjà tout lubrifié. La cochonne avait préparé son coup ! Ce fut donc facile pour moi de m’y enfoncer et de goûter à mon tour à la joie de sodomiser ma partenaire.
Je voulais défoncer son cul comme un sauvage, mais même avec le lubrifiant, mon sexe était serré et ne glissait pas aussi facilement que dans sa chatte. J’en éprouvais plus de plaisir et je ne voulais pas lui faire mal. J’allais donc crescendo en donnant de petits coups de reins qui s’accélérèrent progressivement, au fur et à mesure que les gémissements de Catherine augmentaient. La cochonne en profitait pour se masturber, et même si je ne voyais pas, j’entendais distinctement le bruit de ses doigt (ou de sa main entière ?) glisser dans sa chatte dégoulinante de cyprine.
Je savourais ce pur moment de bonheur. C’était à moi maintenant de dominer ma partenaire, et j’adorais le lui faire sentir : « Alors ma vieille salope, tu aimes te faire ramoner le trou de balle par ton stagiaire ? Espèce de chiennasse, je vais te faire couiner comme une truie ».
A ma grande surprise, mes paroles provocatrices ne la vexèrent pas, mais l’excitèrent encore plus. Elle jouit de nouveau en hurlant : « Oh, oui, vas-y, défonce-moi bien avec ta belle queue. Je jouis !!! »
Je n’en pouvais plus et j’allais éclater en elle. Elle le senti immédiatement et m’interpella : « viens devant moi, je veux ton sperme dans ma bouche. Viens éjaculer sur ma figure. »
J’eus à peine le temps de me retirer et de présenter ma bite devant sa bouche que je giclais à grandes saccades. Mes couilles pleines n’attendaient que ça ! Je fermais les yeux, submergé par l’intensité de ce coït. Je sentis les lèvres chaudes et humides de ma compagne entourer mon sexe et pomper avidement ma semence. Je continuais à me déverser dans sa bouche alors que j’entendais les gloussements de Catherine qui avalait directement mon sperme. Puis elle fit tourner sa langue autour de ma queue pour tout bien nettoyer. C’était un délice. Je la regardais s’activer avec sa bouche. Elle semblait se délecter de mes sécrétions. Elle me caressait tendrement les couilles d’une main, tandis que l’autre glissée entre ses cuisses, faisait des vas et viens. Comme pour la remercier, je saisi délicatement un de ses seins et pressait le mamelon encore tout dur. Nos regards se croisèrent. Elle me sourit tendrement, puis ferma les yeux et laissa échapper un soupir dans un dernier orgasme.
Après quelques caresses, nous nous rhabillâmes en silence, de peur de briser la magie de ce moment. Catherine rassembla ses affaires et moi les miennes, puis juste avant de fermer la boutique, elle m’attrapa vigoureusement et m’embrassa avec fougue et me dit simplement « A demain... »
Tous les jours d’après nous avons refait l’amour, en poussant un peu plus loin nos jeux sexuels, au fur et à mesure que l’on s’habituait l’un à l’autre. Je voyais arriver avec regret la fin de mon stage qui du coup est passé à une vitesse folle, jusqu’à ce que Catherine me fasse une promesse : « Pour ton dernier jour, je te réserve une surprise ! » A suivre...
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