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Max en vacances

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Lue : 1245 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 29/01/2019

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Je m’appelle Max et j’ai 31 ans. Je travaille dans une petite PME informatique dans la Région Parisienne. Célibataire depuis plusieurs années, je profite de ma liberté pour réaliser mes phantasmes, avant de trouver ma moitié et de m’assagir pour de bon.
Pourtant en dépit de tous les plans dragues que je me procure volontairement, il m’est arrivée une drôle d’aventure par inadvertance.
Pour pouvoir draguer, j’entretiens mon corps régulièrement en faisant du sport. J’aime bien cette activité. Après le sexe c’est celle que je préfère le plus. Je fais un peu tous les sports d’endurance, dont particulièrement du vélo.
Cette année pour mes vacances d’été, je suis parti faire du vélo sur l’île de Noirmoutier, en camping avec quelques amis. C’était sympa, mais cette fois-ci je n’étais pas à mon aise dans le groupe. Il y avait de jolies filles, mignonnes et sympas mais je n’arrêtais pas de penser à Aissata, que j’avais rencontrée quelques semaines plutôt avant de partir. Je l’avais laissée toute seule à Paris, pendant que moi de mon côté je profitais du soleil et de la plage comme un égoïste. J’étais aussi un peu effrayé de mes sentiments. Je m’apercevais qu’elle me manquait. Je ne voulais pas tomber amoureux d’elle. Ce n’était qu’une gamine, à peine majeure. La liaison qu’on avait ne devait être que purement physique. Je savais qu’il ne fallait pas que je m’attache, cependant je ne pouvais m’empêcher de penser à elle, et à son petit cul. J’aimais bien la sodomiser, mais j’aurai aussi voulu la prendre par la chatte. Elle était si mignonne, et surtout encore vierge. Mais pour cela il fallait que je l’épouse !
Je me promenais à vélo le long des dunes avec toutes ces pensées en tête, lorsque tout d’un coup, je ressenti une violente douleur dans la fesse droite ! Je poussai un cri déchirant. C’était comme une décharge électrique qui me traversait la fesse, et j’ai vu un insecte volant passer à côté de moi. Je n’ai pas pu l’identifier, mais c’était gros, une guêpe ou un truc du genre !
Les autres du groupe s’arrêtèrent et me demandèrent : « Max, ça va ? »
_ Oui, oui, tout va bien. Continuez, je vais vous rejoindre ! ». Je n’osais avouer la piqûre à cause de l’endroit sensible où elle avait eu lieu. Et puis j’avais déjà eu une piqûre d’abeille, et c’était vite passé.
Je reprenais donc ma route, en me disant que la douleur allait disparaître, mais en fait c’était tout l’inverse. La douleur se répandait, et tétanisait tout le muscle. Elle était insupportable. Je ne pouvais pas continuer comme ça. Je n’arrivais même pas à remonter sur selle. J’avais entendu dire qu’il y avait des frelons asiatiques dans cette région. Si c’en était un, il me fallait voir un docteur rapidement, mais où ?
Alors il me vint une idée : j’apercevais à quelques centaines de mètres la grande plage de l’île. Avec un peu de chance il devait y avoir des sauveteurs.
Prenant mon courage à 2 mains, je remontais sur mon vélo, et malgré la douleur, j’arrivais jusqu’à la plage. Heureusement pour moi, il y avait bien un poste de sauveteur, et il était ouvert.
J’avais honte d’aller les voir. Je serai obligé de montrer mes fesses à quelqu’un que je ne connais pas, et puis j’avais peur que l’on se moque de moi, mais j’avais trop mal.
Je posai mon vélo et m’approchai en boitant.
A l’entrée du bloc, il y avait une superbe sauveteuse. Elle était en maillot de bain 2 pièces, avec son blouson orange ouvert, laissant à découvert des seins pulpeux sous son maillot de bain. Avec de longs cheveux châtains, elle était sublime. Elle m’aperçue et vint au-devant de moi : « Monsieur, ça va ? » « Non, lui répondis-je en grimaçant de douleur, je me suis fait piqué par une bête ! ».
«Venez à l’intérieur, je vais regarder ça ! » Elle me prit par le bras et m’entraîna dans la cahute.
C’était un petit caisson métallique rectangulaire, dans lequel il y avait des tas d’affaires, et aux deux extrémités, deux canapés en mauvais état.
« Où est-ce que vous avez mal, et est-ce que vous savez ce qui vous a piqué ? »
« J’ai été piqué derrière la cuisse, par un insecte volant. Je n’ai pas vu ce que c’était exactement, une guêpe ou un frelon… ».
« Montrez-moi me dit-elle ! » -Euh, c’est que c’est un peu délicat…
Elle comprit, et ferma la porte de la cahute, car des curieux commençaient à se rapprocher. Je me retrouvais seul avec cet ange presque irréel ! Elle se mit derrière moi et s’agenouilla pour examiner ma cuisse : « je ne vois rien me dit-elle  _ C’est parce que c’est un peu plus haut !
Elle commença à relever mon cuissard de cycliste, mais ne vit toujours rien. « Ben c’est sur la fesse, lui avouais-je finalement, un peu honteux ».
Cette fois-ci elle descendit carrément mon cuissard au lieu de le remonter, jusqu’au bas des fesses. Comme je ne mets jamais rien sous mon cuissard, j’étais en train de montrer mon cul à cette superbe créature.
« Hou-là, dit-elle, Ah, oui, je vois. Ça devait être un frelon !  Attendez, je vais chercher de quoi vous soigner !»
Elle alla chercher quelque chose dans les tiroirs : « Je vais vous mettre de la crème apaisante, cela va soulager la douleur. »
Elle commença à me masser les fesses, avec ses mains toutes douces et si je n’avais pas eu aussi mal j’aurais pu trouver cela agréable. « Cela va mieux maintenant, me demanda-t-elle ?
_ C’est mieux, mais ça fait toujours mal !
_ C’est normal, le dard est toujours là. Je vais vous le retirer. »
Elle alla chercher des outils, et revint avec une pince à épiler : « ne bougez pas, je vais essayer de l’avoir ». Elle s’était rapprochée de mes fesses pour mieux voir, et je sentais son souffle contre ma peau. Après un essai, je l’entendis râler. « J’y arrive pas ». Alors elle baissa encore plus mon cuissard, libérant ma bite et mes couilles.
Je la sentais travailler sur ma fesse. Elle m’agrippait fermement et cela commençait à m’exciter. Je me concentrais pour ne pas y penser, mais ma queue commençait à gonfler tout doucement malgré moi.
« Ah zut, c’est trop petit, j’y arrive pas avec la pince. Je vais essayer avec les dents. » Je sentis alors immédiatement sa bouche collée contre ma fesse, et mon érection se confirma. Elle me mordillait la fesse en tâtonnant, puis elle tira, et je senti une douleur : « Aie, criais-je »
« Ca y est, je l’ai eue, me dit-elle d’un air joyeux. Maintenant, je vais aspirer le venin » Elle plaqua de nouveau sa bouche contre ma fesse. Une de ses mains passa entre mes jambes, et remonta jusqu’à mes couilles, qu’elle caressa doucement. De son autre main, elle saisit ma queue qui était maintenant en érection totale, et commençait tout délicatement à me branler. Je n’en revenais pas.
« Ça va mieux comme ça, me demanda-t-elle d’une voix toute coquine ? _ Oh, la douleur est en train de passer. Alors sa bouche glissa dans le creux de mes fesses. Elle y enfourna sa tête pour parvenir jusqu’à mon anus, qu’elle lécha goulûment. Instinctivement, j’écartais les jambes et me pencha en avant, pour qu’elle puisse prodiguer ses soins plus facilement. Elle enfourna sa langue aussi profondément dans mon cul qu’elle le pu. C’était divin.
Puis sa bouche se dirigea vers mes couilles, qu’elle lécha par de petits coups de langues.
Sa main rabattit ma queue vers sa bouche. Elle se retourna et avança sa tête pour me lécher le bout de mon sexe.
Je pouvais maintenant voir son visage, et elle me sourit malicieusement, avant de m’embrasser sur le bout du gland. Puis elle commença à me pomper la queue. Elle donnait de grands coups de tête le long de ma verge, en se tenant par une de mes fesses. Son autre main avait disparu, mais j’entendais des frottements moites, qui en disant long sur ce qu’elle était en train de se faire.
D’ailleurs elle lâcha ma queue pour gémir. J’en profitais pour me retourner et vint sa main profondément enfoncée dans son bikini, qui s’activait. Je m’agenouillai sur elle, la forçant à s’allonger complètement, en lui présentant mon sexe devant sa bouche, puis je me penchai à mon tour ver son petit triangle orange. Elle retira d’elle-même son maillot, et je découvris son petit abricot, tout rasé et complètement mouillé. Sa chatte était merveilleusement belle, et je la recouvris complètement de salive avec ma langue, de haut en bas. De son côté elle remis ma queue dans sa bouche et recommença le pompage. Je présentai mon majeure devant l’entrée de son tendre vagin, pendant que ma langue tournait sur son clitoris. Ses gémissements m’encouragèrent en j’enfonçais mon doigt dans son orifice complètement trempé. J’explorai sa cavité à la recherche de son point G. Au moins, à la différence d’Aissata, je pouvais y aller sans avoir peur de briser son fragile hymen. J’entendis des couinements étouffés de sa part, car elle avait toujours ma queue jusqu’au fond de la gorge. Je voulais explorer plus. Je sorti donc mon doigt maintenant tout lubrifié, et le glissa jusqu’à son petit œillet rose. Mon doigt fit le tour de son anus, tandis que mon pouce repris la place laissé libre dans son vagin. Elle émit un grognement de plaisir et rapprocha elle aussi ses doigts de mon cul. C’était le signal que j’attendais. Quasi simultanément, nous enfonçâmes chacun un doigt dans le cul de l’autre. Je le mis à fond, et elle en fit de même. Je le fis tournoyer, et elle aussi. Elle reproduisait chacun de mes gestes, et j’étais au comble de l’excitation et me retenais pour ne pas éjaculer.
Heureusement, un bip me déconcentra et me fit penser à autre chose. C’était le talkie-walkie :
« Ici Vigie à PC central, tout va bien Jennifer ? » Elle sorti ma bite de sa bouche et attrapa l’appareil : « ici PC central, tout va bien.
_Ah bon, je voyais la porte fermée, dit la voix masculine.
_ Code 23, répondit-elle.
-Ahaha, alors amuses-toi bien mas belle !
C’était un code entre eux, et elle devait avoir l’habitude de ce genre de situation, la petite cochonne.
Elle rajouta : « Rappelle les filles, je suis tombée sur un gros morceau dit-elle en riant.
Ah, bon ? Ok, je les préviens de suite ! »
Qu’est-ce que c’était cette histoire ! Je bandais tellement que j’allais presque éjaculer sur la bouche de Jennifer, et il allait falloir que j’assure avec plusieurs filles ?
Je me relevais, en disant : « Ecoute Jennifer, je ne peux pas rester, je dois partir, on m’attend. »
Elle se releva aussi, plaqua ses mains sur la porte en me tournant le dos et remua son arrière train de manière provocatrice : « Alors il faudra que tu me passes dessus pour sortir, dit-elle d’une voix charmeuse. »
Je voyais sa croupe sublime danser devant moi. Elle avait des fesses fermes et rondes, surplombées par un petit tatouage dans le creux des reins. Sa chatte juteuse était ouverte : « prends-moi maintenant, j’ai envie, me dit-elle !».
J’étais subjugué par la vue de son sexe offert. Je m’approchais d’elle, avec la furieuse envie de la baiser en levrette. J’étais tellement excité que je ne m’étais même pas aperçu que ma petite ingénue, qui avait de la suite dans les idées, m’avait enfilé un préservatif. Je la pris par les hanches et présenta ma queue devant l’entrée de son vagin. Elle glissa une main entre ses jambes, et guida ma bite dans sa chatte, qui la pénétra d’un coup ! C’était trop bon ! Cela faisait si longtemps que je n’avais plus bourré une petite chatte. J’aimais bien le cul d’Aissata, mais la chatte me manquait. Surtout que celle-ci était toute fine et enserrait parfaitement bien mon sexe, qui glissait dedans avec aisance.
« Oh, oui, c’est bon, baise moi comme ça, soupira Jennifer. »
Tout en lui défonçant le fion, j’essayais de garder mon calme. La douleur à ma fesse revenait à chaque coup de rein, mais la crème avait fait son effet, et c’était tout à fait supportable. Ma main alla chercher ses seins, que je n’avais pas encore touchés. Là encore cela valait le détour. J’empoignais un sein énorme et ferme, que je malaxais tout en donnant des coups de bites.
Une des mains de Jennifer lâcha le mur et alla se poser sur sa chatte, pour caresser son clitoris : « Vas-y, fait-moi jouir !»
Alors mes deux mains saisirent fermement ses hanches, et brutalement je lui donnai de grands coups de bite. Elle commença à crier, et à remuer sa tête dans tous les sens. Je continuais en accélérant le rythme. Je sentais son plaisir monter, et cela m’excitait au plus haut point. Ses petits cris s’accélérèrent et je compris qu’elle avait un orgasme. Je fermai les yeux pour penser à autre choses et pour pouvoir garder le rythme sans éjaculer, lorsque j’entendis frapper à la porte :
« Jennifer, c’est nous, Marie et Charlotte. T’as fini ? On peut entrer ? » dit une petite voix féminine.
Jennifer se redressa et leva le verrou de la porte. Ma bite était toujours en elle, et de mes mains je plaquai Jennifer sur moi, pour me protéger, comme avec un bouclier, de deux personnes de dehors. La porte s’entrouvrit et deux autres superbes nanas entrèrent : une petite brune rondelette avec des cheveux frisée et une grande blonde avec des cheveux qui lui descendaient jusqu’en bas du dos. Elles étaient toutes les deux en maillot de bain orange, avec leur blouson de sauveteur.
Jennifer les accueillie avec un grand sourire : « C’est bon les filles vous pouvez rentrer, je viens juste de jouir. » « Ah ça oui, on s’en est aperçu. On t’a entendu couiner comme une chienne à travers la porte. Heureusement qu’il y a plein de bruit sur la plage ! ».
Ma queue frétillait toujours dans le vagin de Jennifer. Je me sentais si bien en elle. La petite coquine, tout en parlant, sans bouger, exerçait des pressions avec les parois de son sexe. C’était on ne peut plus agréable. Mes mains avaient lâché ses hanches et plotaient tendrement les énormes obus de ma geôlière. Les deux nouvelles arrivantes me dévisagèrent en me souriant : « Wah ! t’avais raison, il est plutôt mignon, et beau gosse. Ca à l’air d’être un bon coup ! ». _C’en est un répondit Jennifer. Il m’a fait jouir en deux minutes.
_ Oui, on s’en était aperçu répondit la blonde avec un petit sourire timide. C’est pour ça qu’on est rentrée !
_ On peut voir ta bite, demanda la brune, ou elle est coincée dans la petite chatte de Jennifer ?
Les trois filles éclatèrent de rire en même temps. Jennifer se retira doucement, et les rirent firent place à un « Wah ! » d’admiration des deux nouvelles venues : « C’est un bel engin, je comprends pourquoi il t’a fait jouir comme une folle, dit la brune. T’es forte pour dénicher les bons coups. »
« Oui réplica Jennifer, maintenant j’ai plus l’habitude qu’au début ».
« Ca veut rien dire, dit la blonde. Ni la taille, ni la forme n’ont d’importance. Ce qui compte c’est la technique. »
Jennifer alla s’assoir dans le canapé, visiblement épuisée. La brune s’agenouilla devant mon engin, et entreprit d’enlever délicatement la capote sur ma queue. La blonde se rapprocha de moi, et m’embrassa délicatement dans le cou. Je sentais son parfum, la caresse de ses cheveux sur mon corps et cela m’enivra. Je me tournai vers elle et la pris dans mes bras. Nous bouches se rencontrèrent et je lui roulai une pelle. La brune, qui s’appelait Charlotte, avait déjà mis mon sexe dans sa bouche et me limait la queue goulûment. J’entendais aussi des « splatch » provenant du côté. Je tournais les yeux et vit Jennifer affalée sur le canapé, entièrement nue, les cuisses grandes ouvertes. Elle se masturbait et nos regards se croisèrent. Elle leva le ventre pour que je puisse bien observer les deux doigts qui rentraient et sortaient violemment de son vagin. C’était une grosse vislarde, sous ses airs de petite jeunette toute innocente.
« Laisse-moi y goûter un peu aussi, dit Marie, la blonde. »
Charlotte s’écarta et Marie prit sa place. Sa fine bouche me lécha le pourtour du gland, puis elle me prit en entier dans sa bouche. J’étais aux anges.
Charlotte se remis debout et commença à se déshabiller, juste à côté de moi, avec des gestes lents. Elle me faisait un strip tease des plus érotiques, et je découvrais avec ravissement son superbe corps d’athlète. Une fois entièrement nue, elle se caressa lentement tout le corps, les seins, les hanches et les jambes. Tout comme Jennifer, elle était soigneusement épilée, et je me réjouissais déjà de pouvoir lui lécher son sexe sans poils. Elle posa délicatement ses mains sur mes épaules et se plaça derrière moi. Elle s’accroupi et écarta mes fesses de ses mains : « aie, fis-je. » « Ah désolée fit-elle surprise.
Jennifer rigola : Oui, j’avais oubli de te prévenir, il a été piqué par un frelon, juste sur la fesse droite !
Marie continuait sa délicieuse fellation en caressant aussi mes couilles. Charlotte reprit l’exploration de mon arrière train, et glissa sa langue dans mon trou du cul. « Hum, ton petit trou est déjà tout mouillé et grand ouvert, c’est Jennifer qui t’a fait ça ?
_ Oui, répondit Jennifer d’une voix sensuelle. Je lui ai mis deux doigts dans le cul, et Max a bien apprécié !
_ Peut-être qu’il aimerait une sodomie ? renchérit Charlotte.
Je regardais Jennifer en faisant une horrible grimasse et fis non de la tête.
Elle rigola, « Ne t’inquiète pas, on ne va pas t’enculer si tu n’es pas d’accord ! »
« Tu crois qu’il va assurer encore pour nous deux ? demanda Charlotte.
_ Pour nous trois dit Jennifer, je crois que j’ai de nouveau envie !!
_ On ne devrait pas appeler Gérôme pour nous satisfaire ?
Jennifer, qui semblait être la chef malgré son jeune âge, regarda sa montre en réfléchit : « Non, sa garde n’est pas encore finie. Et puis tel qu’on le connaît, il voudra enculer Max, et je ne crois pas que c’est ce qu’il veut.
_ Non, pas trop répondis-je. Je peux assurer, mais dans ce cas il faut arrêter de me pomper comme ça, sinon je vais finir de suite dans ta bouche.
Marie arrêta immédiatement de me pomper. Elle me regarda l’air surprise : « Ah bon, c’était si bon que ça ?
_ C’était trop top. J’ai cru que j’allais éjaculer mille fois tellement tu suces bien. Je me baissais pour l’embrasser sur la bouche.
Charlotte, comme une grosse cochonne, en profita pour m’enfiler un doigt dans le cul, jusqu’au fond.
« Doucement, lui dis-je, c’est sensible !
Elle le retira et sourit : Passons maintenant aux choses sérieuses. Moi aussi j’ai envie de me faire prendre en levrette, comme Jennifer.
Elle se retourna, à quatre pattes, et me présenta ses fesses rebondies. J’hésitais, lorsque que Marie me présenta un nouveau préservatif en me souriant de toutes ses belles dents blanches.
« Vas-y, défonce là bien », me susurra-t-elle à l’oreille, visiblement ravie d’être complice de ma pénétration. Elle se baissa et m’enfila la capote avec une dextérité remarquable. Puis elle attira ma bite vers la chatte de sa copine.
Charlotte attendais, les cuisses ouvertes et sa belle fente dégoulina de son jus intime.
Je la pris par les hanches et l’enfila d’un trait.
Elle couina tandis que ses deux collègues applaudirent et rigolèrent nerveusement.
J’allais jusqu’au fond d’elle, et touchais presque son utérus. C’était trop bon !
En moins d’une demi-heure, j’enfilais une deuxième chatte avec ma queue, et il y en avait une troisième qui m’attendait, alors que je n’en n’avais pas eu une seule depuis plus d’un mois !
Je profitais donc pleinement de ce moment en limant lentement le tendre vagin de Charlotte, qui enserrait ma bite. Je massais ses fesses, puis entrepris de lui glisser un pouce dans le cul, certain qu’elle aimerait ça. « Oh, oui, j’aime bien ça aussi, me confia-t-elle doucement. »
Mon pouce explorait son petit trou, et ma bite son sexe, pendant que mon autre main s’agrippait à un de ses gros sein qui pendouillait au rythme de mes coups de hanche. La douleur dans ma fesse persistait, mais je m’en fichais, vu la situation dans laquelle j’étais.
Absorbé par mon travail sur Charlotte, je n’avais pas remarqué que la belle Marie s’était elle aussi entièrement dénudée. En tournant la tête, je l’aperçus à quatre pattes, les fesses à l’air, en train de brouter le minou de Jennifer, qui se plotait les seins en m’observant de manière impudique.
Tout comme ses deux copines, son minou était entièrement épilé, si bien que je pouvais admirer son anatomie dans les moindres détails. La vue de la vulve grande ouverte de Marie m’excita au plus haut point.
« Tu aimes le spectacle, me demanda Jennifer d’un air provocateur ? 
_ Oui, ce n’est pas souvent que je tombe sur trois bombes comme vous. »
Machinalement, avec l’excitation j’avais accéléré mes coups de bite dans la chatte de Charlotte, qui commençait à couiner de plaisir. Je décidai d’accélérer pour en finir avec elle, car j’étais impatient de m’occuper de la belle Marie.
Ses fesses toutes bronzées, avec la marque du maillot était tout ce que je désirai.
Je donnais donc de grands coups de bites dans le minou de Charlotte, qui m’encourageait avec des mots crus : « Vas-y, c’est bon, baise-moi bien…, comme ça, je vais jouir… »
Jennifer aussi se mis à couiner, car Marie s’activait sur son sexe comme une dingue. Leurs cris voluptueux se joignirent et Charlotte et Jennifer eurent un orgasme presque simultanément. Il ne restait plus que la timide Marie qui n’avait pas encore joui, mais j’allais m’occuper d’elle.
« Vas-y, encules-moi maintenant, m’ordonna Charlotte, plus en rut que jamais  _ Attends, lui répondis-je, en me retirant de sa chatte, j’ai quelque chose d’autre à faire avant. »
Je retirais la capote, ruisselante de la cyprine de Charlotte, pour la remplacer par une propre, puis je m’approchais de Marie.
« Vas-y, me dit Jennifer. Baise-la bien et fais la jouir ! »
Je m’agenouillais derrière Marie et rentrais facilement ma grosse queue dans sa chatte ouverte, qui était toute mouillée d’excitation. Elle avait vu ses deux copines jouir et devait être impatiente. Elle accueilli mon sexe avec un long soupir de plaisir. C’était délicieux de savourer ce troisième vagin, qui était le plus large des trois que j’avais enfilé. J’allais pouvoir profiter pleinement du plaisir de la pénétrer.
Pendant que je la limais tendrement, Marie continuait de masturber Jennifer avec deux doigts enfoncés dans sa chatte. Jennifer me regardai fixement, visiblement très excitée de me voir baiser sa partenaire. Elle avait les yeux mi-clos, et ses mains n’arrêtaient pas de caresser ses deux gros seins blancs, et de pincer ses tétons. Ce spectacle érotique vint s’enrichir par l’arrivée de Charlotte. Elle grimpa sur le vieux canapé et s’installa juste à côté de Jennifer. Elle se mit à califourchon et je la voyais de dos. Elle se baissa, mettant ses fesses en évidence, ainsi que sa jolie croupe que je venais juste de défoncer. Elle avait un gode noir à la main, qu’elle avait pris la peine de huiler.
« Puisque tu n’as pas voulu m’enculer, je vais le faire moi-même, me dit-elle. »
Elle approcha le gode près de son cul, puis se l’enfonça doucement en le faisant tourner. Elle le retira ensuite, et je pu admirer pendant un court instant son trou du cul grand ouvert, avant que la bite en plastique ne viennent reprendre sa place dans son cul.
La main de Jennifer vint rapidement trifouiller la chatte de Charlotte, lui caressant le clitoris et toute sa fente. Charlotte enfonçait son gode de plus en plus profondément et de plus en plus vite.
J’en faisais de même avec ma bite dans la chatte de Marie, qui criait de plus en plus. Elle aussi, de plus en plus excitée, masturbait de plus en plus Jennifer avec ses doigts, et ainsi de suite…
Le plaisir montait graduellement pour tous les quatre. J’avais décidé de finir dans la chatte de Marie. Parce que c’était la plus belle (j’ai toujours eu un faible pour les blondes) et parce que je n’en pouvais plus. Mes couilles étaient plus que pleine et il était grand temps pour moi de les vider. Quel plus beau réceptacle pouvais-trouver que la jolie croupe qui m’était offerte ?
« Argh, je vais bientôt jouir, lâchais-je entre deux râles ». A ce signale les filles s’activèrent encore plus jusqu’à atteindre l’orgasme. De mon côté je donnais d’ultimes coups de bite, avant de lâcher tout le sperme qui montait dans ma verge. Je me répandais délicieusement entre ses fesses, pendant que mes trois compagnes gémissaient toutes de plaisir. C’était vraiment génial d’avoir tous les quatre un orgasme simultanément.
Je m’écrouais sur le dos de Marie, ma bite toujours profondément enfoncée en elle. Elle contractait son vagin, enserrant tendrement ma queue. C’était sa manière à elle de me remercier intimement de lui avoir donné du plaisir et de l’avoir choisie pour mon éjaculation.
Jennifer et Charlotte s’étaient elles aussi arrêtées de se masturber et reprenaient leur souffle.
C’est Jennifer qui revint à elle la première et brisa le silence : « Ca va être l’heure de ma garde. Je vais aller remplacer Gérôme. Faut se rhabiller avant qu’il n’arrive. S’il nous trouve dans cet état, il voudra tous nos enculer, tous les quatre, me dit-elle en me regardant, un sourire en coin. »
Je me retirais avec regrets de Marie. La capote était remplie de sperme. Je la retirai délicatement, et la jetai dans la poubelle, qui était bien remplie d’autres préservatifs. Décidément, se filles devaient bien s’amuser !!
Chacun se rhabilla rapidement et je retrouvais mes trois superbes sirènes dans leur tenue sexy de secouriste. J’étais encore tout émoustillé par ce qu’il venait de m’arriver. Baiser trois filles d’un coup, trois bombes hyper canons ! J’en étais tout fier.
« Tu vois, me dit Jennifer, tu t’es débrouillé comme un chef. Je savais que tu allais y arriver, me dit-elle en déposant une bise sur la bouche du bout des lèvres. Puis elle ouvrit la porte et sortie de la cahute.
« Je dois y aller, me dit-elle. Tu reviens quand tu veux. Tu sais où nous trouver… ». Puis elle partit en courant vers la mer, prendre sa garde.
Charlotte et Marie étaient restées dans la baraque. Je glissais un coup d’œil pour leur dire au revoir et les trouvais collées bouche contre bouche. Visiblement elles n’avaient pas fini leurs ébats. N’osant les déranger, je pris mon vélo et reparti, satisfait de mes péripéties sexuelles.
Toute la nuit je repassais dans ma tête ce merveilleux moment passé avec mes trois anges lubriques. Ça avait été du pur bonheur, mais d’un autre côté j’étais rongé par les remords vis-à-vis d’Aissata. Même si je ne lui avais rien promis, même si je savais qu’avec son ouverture d’esprit Aissata ne m’en voudrai pas, j’étais inquiet. J’avais trop facilement succombé. Ce qui me faisait culpabiliser c’est que j’avais pris mon pied comme jamais et que j’avais adoré baiser ces trois filles à la fois.
Par honnêteté vis-à-vis d’Aissata, je décidais de ne pas retourner voir les filles, qui de toute manière m’avaient certainement déjà oublié. Je savais qu’Aissata pensait à moi, et je me promis de tout lui raconter, dans les moindres détails, dès que je la reverrai. J’étais sûr qu’elle me comprendrait, et peut-être même qu’elle se masturberait pendant mon récit ?
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Histoire de Malefices

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