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Une nuit, sur un rond point

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Lue : 1870 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 29/01/2019

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Bonjour, je m’appelle Carole, vingt huit ans, mariée depuis deux ans à Arnaud, âgé de trente ans. D’après mes amis, hommes ou femmes, je suis super canon. Le matin, quand je suis nue dans la salle de bains, je me contemple dans la glace, et me trouve très belle. Je me dis même, que si j’étais un mec, je me baiserais.
Hélas, je me contente de quelques caresses intimes, qui m’emmènent généralement jusqu’à l’orgasme.
Je vais vous raconter l’histoire qu’il m’est arrivé.

Ca fait quelques temps que je dis à mon mari, que j’aimerais participer au mouvement des gilets jaunes. A force de harcèlement, et de petites gâteries, il me donne enfin son accord.
Je contacte, via les réseaux sociaux, un groupe qui occupe un rond point à la sortie de la ville. Après avoir étudié mon profil, ils me répondent qu’il manque des manifestants, surtout la nuit, pour surveiller, nettoyer le local, ou entretenir le feu.
Arnaud, de nature méfiant, accepte malgré le risque de me faire virer par les forces de l’ordre.
Pour me protéger du froid, j’enfile une courte jupe, sur des collants en laine, un gros pull, et une épaisse doudoune.

Il est vingt et une heures quand mon mari me dépose sur le rond point. Il doit me récupérer le lendemain matin.
Je suis accueillie par trois gilets jaunes, deux hommes et une femme. Parmi eux, il y a Marc, qui, de meilleur pote, est devenu le pire ennemi de mon mari, depuis que celui-ci l’a trouvé au lit avec sa première femme. Ca à été un coup dur pour lui. Du reste, au début de nôtre relation, il lui arrivait de faire des cauchemars. Il revoyait son épouse hurler de plaisir entre les bras de ce monstre.
Je dois avouer que Marc est un homme assez séduisant, la cinquantaine, cheveux grisonnant, dégageant une virilité hors norme. On ne compte plus les femmes, qui on fini dans son lit. Surtout celles qui sont mariées, histoire d’humilier leur mari.
C’est lui qui fait les présentations.

-Tiens, Carole, je ne pensais te voir ici. Viens que je te présente. Voici Djamel, et Emma.
-Enchantée, que je réponds.

L’accueil est chaleureux. Marc me propose un verre de vin chaud.
Le début de la nuit est réservé au nettoyage, à l’alimentation en bois de l’énorme brasero qui orne le centre du local…et aux coups à boire.
Vers minuit, Emma et Djamel vont se reposer derrière un semblant de cloison, faite de palettes de bois et autres toiles de jute. Je me retrouve seule à boire des grogs avec Marc.
Petit à petit, les doses de rhum font leur effet, et profitant de mon état d’ébriété naissant, Marc, assis sur un siège pliant, me prend par la taille, m’attire à lui. Pour ne pas perdre l’équilibre, je prends appuie sur ses épaules. Une main fait glisser la fermeture éclair de ma doudoune. Il glisse ses mains sous mon pull, saisit mes seins, qu’il pelote allègrement. Les mains descendent le long de mes hanches, agrippent l’élastique de mon collant, et le fait glisser au sol. Puis il me demande d’ôter ma doudoune, mon pull et mon soutien gorge, quitte à me faire geler.
Je me retrouve entièrement nue, devant le pire ennemi de mon mari. Pour pimenter la scène, il me demande de remettre mon gilet jaune. Le petit vêtement couvre à peine mes seins et mon ventre, quant à ma petite chatte, elle est à l’air libre, et facile d’accès.
Je suis gênée quand une main lisse mon fin duvet, et qu’un doigt court sur mes lèvres intimes. Telle une invitation, mes cuisses s’ouvrent d’elles même.
Je ferme les yeux sous la douce caresse, ondule des hanches quand ses doigts pénètrent ma chatte. Oh mon dieu, mais que m’arrive-t-il.

-Que dirai ton mari s’il apprenait que je branle la petite chatte de sa femme.
-Tais-toi salaud…hum…qu’est-ce que tu fais à mon clito...
-Chut, détend toi…t’aimes pas ?

Mes jambes se mettent à trembler quand les va et vient s’accélèrent. Marc sait que je vais jouir, en sentant la cyprine couler sur ses doigts. J’étouffe un cri quand j’atteins l’orgasme.

-T’as aimé, hein, salope.
-Oh oui j’ai aimé…mais on devrait en rester là, s’il te plait. Si mon mari apprend ça.
-Mais il n’en saura rien, ma chérie, nous sommes seul…tu ne voudrais pas me sucer un peu.
-Quoi, mais tu es fou, je ne le fais pas à mon mari…encore moins à toi.
-Sa première femme disait pareil, jusqu’au jour ou elle a vu ma queue. Elle n’a pas pu s’empêcher de la prendre en bouche.
-A bon, mais c’était une vraie salope celle la. Faire ça à son mari.

Soudain, Marc ouvre sa braguette, libère une queue dantesque, rien à voir avec les modestes mensurations d’Arnaud. Je reste scotchée devant ce calibre, qui, je dois l’avouer, m’attire énormément. Et si c’était elle, la première queue que j’allais sucer.
Marc semble lire dans mes pensées. Il me prend la tête, m’oblige à m’incliner, afin que je puisse prendre son sexe en bouche. Ce que je fais avec plaisir. J’en profite aussi, pour lui soupeser les couilles, que je devine pleine. A moi de les vider maintenant.
Tailler une pipe est nouveau moi, je risque d’être maladroite. Pas tant que ça. Je n’ai pas le temps de me retirer, quand un jet puissant de jus épais gicle au fond de ma gorge. Je me penche pour cracher le surplus de sperme.
Marc se déshabille à son tour. On se retrouve tous les deux enlacés devant le feu, se donnant de féroces baisers. Je veux enlever mon gilet jaune, pour être nue moi aussi. Mais il refuse, me trouve plus excitante dans cette tenue.

Puis il roule sur moi, s’encastre entre mes jambes entièrement ouvertes. Il prend la position du missionnaire. Aidé par mon abondante mouille, sa queue n’a aucune difficulté à pénétrer ma chatte. Tout en me baisant, il doigte mon petit bouton.

-Il dirait quoi ton mari s’il savait qu’une autre queue que la sienne pénètre la petite chatte de sa femme, ironise Marc.
-Ben, il ne serait pas content, surtout s’il savait que c’est la tienne. Déjà qu’il t’a surpris au lit en train de baiser sa première femme, imagine s’il apprenant que tu niques sa deuxième.
-Et alors, sourit Marc, pourquoi ses femmes le trompent, elles préfèrent un vrai mâle.
- C’est vrai Arnaud n’assure pas trop au lit…il n’est pas doué…tandis que toi…
-Tu comprends maintenant pourquoi sa femme a fini dans mon lit, parce qu’elle était insatisfaite. Elle se régalait quand je la baisé. Un peu comme toi maintenant.
-A oui…enfoiré…et tu l’as faisait crier, comme tu me fais crier…tu aimais la voir jouir, comme moi en ce moment… oh oui…c’est bon, vas-y, t’arrêtes pas…

Marc est un phénomène, un baiseur de première. Sa réputation d’homme à femmes, n’est pas usurpée. Il joue avec moi, veut que je me soumette pour humilier mon mari, le cocufier.

-Une petite levrette, ça te dis, me propose-t-il.
-Qu’importe, du moment que j’ai ta grosse queue dans ma chatte.

Marc me pilonne en s’amarrant à mes hanches. Sa bite pénètre ma chatte jusqu’aux couilles. Les coups de queue résonnent jusque dans mes tempes. Il sait qu’il a réveillé la cochonne qui sommeillé en moi, comme il a certainement réveillé celle qui dormait dans le corps de la première femme de mon mari. Il me fait avouer des choses obscènes sur mon époux.
« Qu’il n’a pas de couille, qu’il est beaucoup moins monté que lui…etc…etc… »

Certainement attiré par mes divagations et gémissements de plaisir, Djamel pointe sa tête à travers la cloison.

-Oh la, c’est quoi ce bordel…pas moyen de dormir.
-Viens Djamel, l’invite Marc, viens te faire sucer…elle est bonne tu sais. Elle taille des pipes d’enfer.

Même à moitié endormi, Djamel ne se fait pas prier. Il saisit l’opportunité que lui tend Marc. Il s’agenouille devant moi, extrait une bite qui n’a rien à envier à celle de Marc.
C’est à se demandé si mon époux est normal.
Je saisis la queue du jeune beur, la prend en bouche, et entame une lente fellation. Djamel se tend en avant, comme s’il voulait que j’avale ses couilles. Mais au bout de quelques minutes, c’est un foutre épais que je reçois dans la bouche, et que j’avale.

-Oh putain, j’y crois pas…elle a tout avalé la chienne…ouah…quelle pute…
-Je t’avais dit qu’elle était bonne, dit Marc. Bon, ce n’est pas le tout, mais Daniel doit nous prendre dans cinq minutes pour aller chercher du bois. Habillons-nous.
-Attend, reprend Djamel, j’aimerais bien la niquer moi aussi.
-D’accord, mais vite fait, répond Marc.

Djamel se met en place, et n’hésite pas une seconde. Il me prend directement par le petit trou, me bourre le cul. Je mords mes lèvres pour ne pas crier.
Djamel avait une grosse envie. Cinq minutes après avoir éjaculé dans ma bouche, voila qu’il vide ses couilles dans mon ventre. Quelle équipe de salauds.

Je me retrouve seule, entièrement nue sur, allongée sur la moquette. Je cherche une couverture pour me couvrir, quand une voix m’interpelle.

-Viens, m’invite Emma, viens te coucher ma chérie, je te réchaufferais.
-Avec plaisir, dis-je.

La gilet jaune m’ouvre son lit de fortune. Je m’empresse de me blottir contre elle. Je sens la douce laine de son collant, de son pull. Puis je sens une main envelopper ma poitrine. La main caresse le bout de mes seins, durcit par le froid, puis descend entre mes cuisses.

-Mais…ma chérie, ta chatte est toute mouillée. Ils t’ont fait quoi les garçons.
-Si tu savais comme ils se sont amusés avec moi, ils m’ont baisé comme une chienne. Djamel m’a même enculé cet enfoiré.
-Oh…les polissons, et tu t’es laissé faire je pari, poursuit Emma, ça ne m’étonne pas d’eux.
-C’était tellement bon, puis ma chatte avait tellement envie d’avaler un gros rat.
-Petite vilaine va, dit Emma. Allez, écarte tes jambes que je vois ça.

Emma sort mon clito de sa capuche, le doigte, pénètre ma chatte. C’est la première fois que je me fais caresser par une femme, et je trouve ça très agréable.
Je jouis encore et encore. Elle aussi profite de ma faiblesse, tire le maximum de mon corps.
Après une nuit faite de sexe, je me m’habille enfin. Emma me donne un long baiser.

-T’inquiète pas, ma chérie, d’habitude, c’est moi qui me fait baiser. Et moi aussi je suis mariée. Du devrez venir un vendredi, Marc organise des soirées libertines chez lui. Je dis à mon mari que je vais sur un rond point, en fait, je vais me faire baiser toute la nuit, par des mecs hyper montés, gouiner par des femmes aussi. Surtout la copine de Marc, Angélina, une superbe italienne, vicieuse jusqu’au bout des ongles. C’est elle qui ma donné gout aux plaisirs lesbiens.
Tu m’appelles, je viens te chercher, pas la peine que ton mari sache ou tu vas.

Il est sept heures du matin quand Arnaud vient me récupérer. On en profite pour déposer Emma chez elle. Tout au long du trajet, elle me murmurait à l’oreille de passer derrière avec elle. Elle n’a cessé de caresser mon épaule.

Je rendre chez moi, et après une bonne douche, je me glisse dans mes draps douillets, et m’endors assez rapidement.
Je me lève vers midi, la tête enfumée de questions.
Dois-je accepter la proposition d’Emma. Mon corps me dit oui, mais…

-Alors ma chérie, demande mon mari, ta nuit c’est bien passé.
-Ca va, mais c’est long, il n’y a pas trop de passage.
-Tu y retournes ce soir ?
-Non, c’est une autre équipe. Mais on m’a demandé pour vendredi, mais je ne sais pas.
-Mais va-y mon amour, si ça te fait plaisir.

En fait, c’est mon mari qui prend la décision que j’hésitais à prendre. Je vais appeler Emma.
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Histoire de Aurore34

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