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Max en vélo

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Lue : 2290 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 12/10/2018

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Je m’appelle Max et j’ai 31 ans. Je travaille dans une petite PME informatique dans la Région Parisienne. Célibataire depuis plusieurs années, je profite de ma liberté pour réaliser mes phantasmes, avant de trouver ma moitié et de m’assagir pour de bon.
Pourtant en dépit de tous les plans dragues que je me procure volontairement, il m’est arrivée une drôle d’aventure par inadvertance.
Pour pouvoir draguer, j’entretiens mon corps régulièrement en faisant du sport. J’aime bien cette activité. Après le sexe c’est celle que je préfère le plus. Je fais un peu tous les sports d’endurance, dont particulièrement du vélo.
Un dimanche après-midi de juillet, alors que je rentrai d’une virée de plusieurs dizaines de km, juste en arrivant près de chez-moi, je me suis pris un piéton. C’était la fin de mon parcours, j’étais juste à côté de mon appart et j’étais crevé. Un moment d’inattention et Ping, je tape dans un piéton. C’était une fille qui traversait sans regarder, ses écouteurs dans les oreilles. J’ai essayé de m’écarter mais trop tard ! On s’est frappés sur le côté. J’ai été déporté et mon vélo est tombé sur le sol, mais j’ai réussi à retomber sur mes pieds, indemne. Je me retournai vers la fille. Elle était tombée aussi et je la trouvai assise au sol, en train de pleurer en se massant la cheville, qui visiblement lui faisait très mal.
Ma colère contre cette imprudente qui traverse sans regarder fut instantanément écrasée par le sentiment de culpabilité en voyant la fille pleurer. Je m’approchai d’elle, ne trouvant pas les mots pour m’excuser. « Je suis désolé, je ne vous avais pas vu. Vraiment, je m’excuse… »
Elle me regarda et je m’aperçus qu’elle était très belle. D’origine maghrébine, elle était plutôt mignonne, avec ses grands yeux marron. Elle arrêta de pleurer, essuya son visage, et essaya péniblement de se relever. « Je vais vous aider, lui dis-je ». Je lui pris le bras. Elle était toute légère, et se laissa faire, si bien que je pu passer son bras autour de mon coup et l’aider à marcher.
« Aie ! » dit-elle en posait son pied droit sur le sol.
« Je pense que votre cheville est foulée. Si vous voulez, j’habite juste à côté. Je peux vous aider à venir jusqu’à chez moi et vous mettre de la glace sur le pied. » Elle me regarda, avec son regard toujours aussi désespéré. « J’ai l’habitude de soigner les foulures, ne craignez rien, rajoutais-je en lui faisant mon plus beau sourire.
Elle réfléchit et me dit « d’accord, si c’est pas loin et si vous m’aider à marcher ».
« Ok, on va y aller doucement ». Je pris mon vélo d’une mai, et de l’autre la taille de la fille qui mit son bras autour de mon cou, et s’appuya de tout son poids. Heureusement, elle était toute légère, et sa taille était fine. Je sentais la chaleur de son corps, et me dit qu’elle devait sentir ma sueur de cycliste.
« Je m’appelle Max, et vous ? _Je m’appelle Aissata. _ Aissata, c’est joli comme prénom.
Nous échangeâmes quelques paroles banales durant le trajet. Je lui parlais pour briser la glace et la faire patienter durant le trajet, car je sentais bien qu’elle avait mal. Elle me dit qu’elle habitait dans une des tours juste à côté, avec ses parents et ses frères. Elle avait aussi une grande sœur qui venait juste de quitter le foyer parce qu’elle venait de se marier et je sentis que cela lui pesait.
Nous entrâmes dans mon appartement. Je l’installai sur le canapé. «Mets-toi là. Installe-toi confortablement » Je m’agenouillai à ses pieds, et entrepris d’enlever sa sandale. Son pieds était enflé, mais pas aussi gravement que je ne le pensais. Elle remonta légèrement sa robe pour que je puisse mieux regarder sa cheville.
« Je vais chercher un gant et de la glace, ne bouge pas ». Elle rigola en me répondant : « de toute manière, je n’irai pas très loin avec ma cheville. »
Sa blague me rassura. Je compris qu’elle allait mieux et était rassurée. Je revins avec de la glace dans un gant de toilette. Je m’aperçus qu’elle avait relevé sa robe, qui était maintenant remontée jusqu’au genou.
Je m’agenouillai à ses pieds et posa le gant sur sa cheville. Puis entrepris de lui masser le pied.
« Cela va mieux, lui demandais-je en relevant la tête ? » Elle avait les cuisses écartées, et mon regard se posa sur sa culotte maintenant visible. Elle semblait mouillée, et des poils s’en échappaient. Ma protégée me fit son plus grand sourire et je me retrouvai sans voix. La petite ingénue rabattit alors son pied gauche et le fit glisser entre mes cuisses. Elle se pencha afin que son pied vienne caresser mon sexe, qui commença aussitôt à gonfler son mon cuissard de cycliste. Bien évidemment, sous un vêtement aussi léger, cela devint tout de suite visible, et elle s’en amusa. Son pied devint plus insistant sur ma bite, qui atteint presque ainsi sa taille maximum. Il sortait quasiment de mon cuissard, et son orteil réussi à toucher le bout de mon gland. Je la laissai faire. Ma bouche se colla contre son genou. Ma main remonta sur sa jambe, et glissa sous ses fesses. Je lui tripotais ses fesses, tandis qu’elle me triturait le gland avec son pied valide.
Alors elle se laissa glisser à terre avec une aisance surprenante. Elle se retrouva assise en face de moi, et m’embrassa vigoureusement. Encore une fois je fus surpris par sa dextérité. Elle entra sa langue dans ma bouche et me roula une pelle comme une pro. Pour une jeune de son âge, elle savait s’y prendre !
Un de ses bras était autour de mon coup, mais son autre main se glissa contre mon ventre et entra dans mon cuissard pour attraper ma queue. Elle la sortit et commença à me branler. De mon côté, une de mes mains saisie un de ses seins. Il était petit et tenait entièrement dans ma main. A travers son soutient gorge, je sentais son téton durcir.
Elle mit fin à notre baiser, pour se baisser vers ma queue, qu’elle enfourna sans hésitation dans sa bouche. J’en étais époustouflé. Cette fille était en fait une ingénue dévergondée qui n’avait pas froid aux yeux. Sa pipe n’était pas d’aussi bonne qualité que ses baisers. Je dus l’arrêter plusieurs fois, car elle me faisait mal. Je compris qu’elle était débutante de ce point de vue et entrepris de lui expliquer comment faire. En bonne élève très appliquée, sa fellation devint rapidement un vrai délice !
Pendant ce temps j’entrepris de remonter sa robe, et interrompis sa fellation pour la lui enlever. Elle reprit sa besogne de pompage sans plus tarder. Comme j’avais accès à son dos, je dégrafai son soutient gorge et libéra ses seins. Puis je les malaxai doucement, pendant qu’elle continuait à me pomper la queue. Ils étaient petits, mais d’une douceur inimaginable. Alors une de mes mains lui massa le dos et glissa jusqu’à la culotte. J’y introduis ma main et un doigt se glissa entre ses fesses. Elle ne réagit pas et continua de me sucer. Je poursuivi donc mon chemin jusqu’à atteindre son petit anus. Mon doigt effleura le pourtour de son tendre œillet. Au lieu de protester, ses mains lâchèrent mes couilles et elle les utilisa pour écarter au maximum ses fesses. Le message était clair, et j’introduisis mon doigt dans son cul. D’abord une phalange, puis le doigt en entier. Elle redressa la tête, et pour la première fois poussa un soupir de plaisir. J’avais visiblement touché son point sensible.
Elle se redressa, forçant mon doigt à sortir. Assise en face de moi, elle me sourit en me dévisageant. J’observais ses deux petits seins, superbes, tout blanc. Elle bascula sur son dos, ramena ses genoux sur son ventre et souleva ses fesses pour faire glisser sa petite culotte en coton. Elle resta dans cette position, offrant sans aucune pudeur la vue de son petit minou poilu. Sa chatte était grande ouverte et toute humide. « Lèche-moi, me dit-elle d’un air de défi ».
Je n’avais pas l’habitude d’avoir des partenaires aussi jeunes. D’habitude, je baisais avec des filles environs de mon âge. Cette fois-ci, j’étais désemparé par tant de confiance et de maturité dans cette jeune fille. J’étais comme ensorcelé par sa jeunesse. Je me penchais donc, approchant irrésistiblement ma bouche vers sa chatte. Ma langue se posa au bas de son pubis. Elle remonta lentement entre ses lèvres roses grandes ouvertes, goûta à son jus délicieux et s’arrêta à son con. De nouveau un soupir de plaisir s’échappa de sa bouche. « Hum, c’est trop de la balle. Vas-y lèche mon clito ! me lança-t-elle.
Mon majeur effleura son tendre vagin et j’introduisis une première phalange lorsqu’elle m’arrêta net en criant : « Stop ! » « Il faut que tu saches, je suis vierge ! » « Je dois rester vierge jusqu’à mon mariage. Tu peux me caresser les bords du vagin, mais pas y mettre un doigt. Sinon… tu peux me mettre un doigt dans le cul, j’adore ça ! Même deux si tu veux, me dit-elle en retrouvant son air ingénu.
Ma petite Aissata était donc encore pucelle. Pourtant elle en savait un rayon d’un point de vue sexe. C’était même une sacrée cochonne à ce que je pu en juger.
Je repris donc de lui lécher son clito. Comme le jus coulait de son sexe sur son cul, je lui introduisis mon majeure, comme elle me l’avait demandé, suivi de mon index. A ma grande surprise, mes deux doigts entrèrent facilement. Son anus s’était dilaté avec une rapidité surprenante. Elle n’en était pas à son coup d’essai, la garce. Ma langue roulait sur son petit con, en même temps que mes deux doigts ravageaient son anus violemment. Mon autre main s’occupait de ses seins, qui étaient si petits que je pouvais atteindre ses deux tétons en écartant les doigts. Comme je savais que je ne pourrais pas la pénétrer, je décidais d’activer mes stimulus jusqu’à la faire jouir. Elle commença à élever la voix. C’était une voix douce qui m’excita encore plus. Je m’activais encore plus violemment et l’orgasme fini par arriver. Elle poussa de petits cris saccadés, presque étouffés et crispant tout son corps, puis relâcha son souffle en soupirant.
Mes sentiments étaient partagés. D’un côté j’avais honte de faire ce que je venais de faire avec une fille certes majeure, mais beaucoup plus jeune que moi. Je ne suis pas un pédophile et j’étais assailli par la culpabilité. D’un autre côté j’éprouvais un sentiment de fierté et de réconfort, car dans un sens je venais de réparer le mal que je lui avais fait en lui rentrant dedans avec mon vélo. Je venais de la faire jouir avec ma langue et mes doigts.
Mes pensées furent interrompues par sa douce voix « Est-ce que t’as des capotes ? » me demanda-t-elle. La petite garce venait de reprendre ses esprits et n’avait pas perdu le nord. Elle avait encore un coup tordu en tête, car elle ajouta : « maintenant, c’est à moi de m’occuper de toi ».
Je me levai et allai chercher mes préservatifs dans ma chambre. J’en profitais pour me déshabiller complètement. A mon retour, je découvrais ma petite coquine qui n’avait pas bougé. Elle était assise sur la moquette, au pied de mon canapé, les jambes grandes ouvertes. Elle se masturbait calmement par de petits gestes de la main sur son clitoris, et je pu admirer une fois de plus son entrejambe qui s’offrait à ma vue sans aucune pudeur. Devant ce spectacle ma queue se durcit un peu plus et elle le remarqua, car son regard était fixé à cet endroit. Visiblement, elle la voulait. Je m’approchais d’elle et lui tendit le préservatif qu’elle prit dans sa main, toujours avec son sourire d’ange en guise de réponse. J’approchais ma bite de sa bouche, attendant la fellation qui allait m’amener jusqu’à l’orgasme. Effectivement elle me prit dans sa bouche, délicatement. Elle lécha le pourtour de mon gland, puis l’avala entièrement. Une de ses main vint tâter mes couilles, pendant qu’elle commença à me limer la verge avec de lents va et vient de sa tête. C’était un vrai délice. Je m’apprêtais à éjaculer dans sa bouche, mais je me trompais. Elle avait un autre plan en tête. Elle sorti la capote de sa pochette et entrepris de l’installer sur ma queue. Je vis bien qu’elle ne savait pas comment s’y prendre, aussi je l’aidai à dérouler le préservatif le long de ma bite. Puis elle me prit les mains et me força à me baisser. Je me mis donc à genou en face d’elle, la queue toute dressée. Alors elle mit ses mains sur mes épaules et s’appuya fortement dessus pour se relever. Elle se rapprocha tout prêt de moi et une main saisi ma queue fermement, pendant qu’elle se rasseyait dessus. Je senti mon gland s’enfoncer en elle. Je cru d’abord que je rentrai dans son vagin, mais vu le crissement de douleur qu’elle fit, je compris vite que c’était dans son cul. Elle s’empalait elle-même sur ma bite. Elle descendit lentement et s’assit complètement sur moi, si bien que mon sexe entra complètement dans son cul. Je n’y croyais pas. J’étais entièrement en elle. Ma queue frétillait à l’intérieure de son fondement. C’était délicieux. Mes deux mains saisirent ses magnifiques seins blancs, que je me mis à mordiller.
« Hum, c’est trop bon, me dit-elle. J’adore quand tu remues ta queue en moi. »
D’habitude les filles que j’enculais n’aimaient pas trop ça. Elle le faisait pour me faire plaisir, mais pas pour leur propre plaisir. Avec Aissata, je me rendis compte que c’était l’inverse.
Ses bras et son torse poussèrent sur moi pour me faire allonger. Elle replia ses genoux et s’allongea sur moi, m’agrippant fermement par les épaules. Elle souleva légèrement ses fesses, afin que je devienne libre de mes mouvements.
« Vas-y, montres-moi ce que tu sais faire avec ta bite. Fais-toi plaisir, encule-moi aussi fort que tu peux ! » Ses mots crus eurent l’effet d’un électrochoc. Je lui donnai un grand coup de reins et senti ma queue s’enfoncer encore plus profond en elle.
Elle cria. Je recommençai, de plus en plus fort, et chacun de mes coups était accompagné de ses petits cris de douleurs, qui me rendaient fou. Une de ses mains se glissa entre nous, et je devinai qu’elle vint se loger sur sa chatte et qu’elle se caressait le clito pendant que je l’enculais.
« Oh, oui, c’est trop bon d’avoir une vraie queue dans le cul. Vas-y, défonce-moi ». C’en était trop pour moi et mon sexe, gonflé de désir, cracha son sperme pendant que je gémissais. « Vas-y mon chéri, vas-y, éjacule dans mon cul ! Je te sens, chacun de tes jets, je les sens bien en moi ». Mon orgasme était violent. Jamais je n’avais baisé une cochonne pareille, ni aussi jeune. Je me vidais les couilles dans son cul, jusqu’à la dernière goutte, puis relâcha mon étreinte pour reprendre ma respiration.
Le temps que je reprenne mes esprits, elle sorti ma bite qui commençait à se dégonfler de se cul. Elle se mit à côté de moi et retira délicatement le préservatif, en prenant bien soin de ne pas perdre une goutte de mon sperme. Elle se baissa et prit rapidement ma bite dans sa bouche. Elle me lécha, me suça, comme un chat qui fait sa toilette. Elle nettoya ma queue, devenue à sa taille normale, en savourant chaque goutte de sperme. « Hum, c’est trop bon, me dit-elle ».
Puis elle me montra la capote remplie de mon sperme, qu’elle avait gardé fermé dans sa main. Avant que je ne puisse dire quoi que ce soit, elle déversa tout le contenu dans sa bouche. Elle but mon sperme, comme si elle savourait un cocktail fruité. « Hum, c’est trop bon ! » Puis elle sauta dans mes bras et m’embrassa violemment. Je senti le goût de ma semence dans sa bouche, que nous partageâmes langoureusement.
« C’était trop bien, me confia-t-elle. Je savais du premier coup d’œil que tu étais un bon coup. »
« J’ai un secret à te confier, me dit-elle, mais tu me jures de ne le dire à personne. » _ Ah personne lui répondis-je en croisant mes doigts ». « C’est la première fois que je fais l’amour avec un garçon. Tu es le premier ! » « Vraiment, la première fois ? _ Oui, t’es le premier à me toucher. _ Pourtant tu as l’air d’y connaître un rayon en sexe, pour une débutante. _ Oh, mais je ne suis pas une débutante, ça fait longtemps que je baise, mais pas avec des garçons !
Cette fille n’en finissait pas de me surprendre. J’étais vraiment tombé, c’est le cas de le dire, sur quelqu’un de spécial.
Puis elle essaya de se relever en me disant : « je dois y aller. Mes parents vont s’inquiéter et me chercher ». Je l’aidai. Elle était tellement légère que je la décollai du sol. Alors elle m’embrassa de nouveau violemment sur la bouche, visiblement troublée par ma force physique masculine.
Puis elle renfila rapidement ses vêtements, bien qu’handicapée par sa cheville douloureuse.
«Je crois que la glace a fait son effet, lui dis-je, au vue de sa cheville qui avait pas mal dégonflée » _ Oui, me répondit-elle, le même effet que mes fesses sur ta queue, me lança-t-elle en tapotant de la main ma bite pendouillant entre mes jambes. On rigola en même temps.
Nous échangeâmes nos numéros de portable, puis elle se sauva de l’appartement en me donnant un dernier baiser fougueux.
Une fois partie, je pris une douche pour me remettre de mes émotions, encore tout étourdit par cet épisode inattendu. Je venais d’enculer une fille de 18 ans, que je ne connaissais pas il y a à peine 2 heures ! Une cochonne qui adorait le sexe et ne lésinait pas sur la sodomie !!!
Le soir venu, je me couchai de bonne heure, épuisé par toutes les activités physiques de la journée, et la tête pleine de toutes les émotions de l’après-midi. J’étais à peine sous mes draps, lorsque mon téléphone vibra. C’était un SMS d’Aissata : « Mon Chéri, tu fais quoi ? _ Je lui répondis : je pense tendrement à toi, et toi ? _ Moi aussi, je pense à toi. Je me masturbe, en me rappelant tout ce que tu m’as fait cet après-midi.
Je me dis : décidément, c’est une chaudasse à la libido démesurée. Une nymphomane à l’appétit insatiable.
Je lui menti : « moi aussi, je me branle la queue en pensant à ton corps sublime. »
Elle me répondit : « Je m’encule avec une banane, mais c’est moins bon que ta grosse bite ».
J’étais épuisé par l’après-midi de baise, et toute autre femme qui se serait faite enculée comme elle aurait mal à l’anus, mais pas elle. Elle en redemandait encore.
« C’est pas pareille. Je préférais sentir ta grosse queue bouger dans mon cul. » _ Moi aussi tu sais, je préfère être à la place de la banane, lui répondis-je en joignant un smiley ! Elle me renvoya un cœur !
Puis : « Ca y est, je joui comme une folle en pensant à ta queue. Dommage que tu ne sois pas là.
_ Moi aussi, j’ai éjaculé en pensant à ton petit trou du cul ! Il y en a de partout !
_ Gardes-moi z’en. Je t’aime.
_ Moi aussi je t’aime.
_ Quand est-ce qu’on se revoit ? Je suis en vacances, dispo tous les jours. J’ai le droit de sortie de 9h à 17h.
Je réfléchi. J’avais adoré la baiser, mais d’un autre côté, entretenir une relation continue, c’était pas pareil. Etant célibataire, je niquais régulièrement d’autres filles. Je n’étais pas en manque de sexe. Par contre, toutes les autres filles que je baisais en ce moment, et même toutes celles que j’avais baisées, n’étaient pas aussi accro au sexe qu’elle, et encore moins à la sodomie. Aissata était une bombe sexuelle. Je ne retrouverai jamais une partenaire pareille, une vierge qui plus est. Je lui répondis :
« Je travaille toute la semaine, mais je suis en RTT vendredi après-midi. Tu peux passer chez moi vers 14h. »
_ Parfait, c’est noté, 14h, chez toi vendredi. Trop long, mais je serai là. Bisous partout, ta petite Aissata. »
_ Bisous mon amour, à vendredi.
J’éteignis mon téléphone, et m’endormis avec l’idée agréable de pouvoir retrouver ma petite ingénue dans 5 jours…
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Histoire de Malefices

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