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Me regarde pas jouir

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Lue : 1322 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 04/03/2022

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A peine arrivés, qu’une charmante hôtesse, nous accueille chaleureusement. Elle nous décrit un peu le club, parle des diverse activités qui s’y pratiquent. Mais je ne l’écoute pas réellement. Mes yeux vont du bar, à la piste de danse, et m’aperçois que ma tenue, que je croyais sexy, est en fait, ridicule. Ici, les femme portent des jupes au ras de la chatte, et des hauts très décolletés.
L’hôtesse nous dirige au bar pour nous offrir une boisson de bienvenue.
Voilà maintenant plus d’une heure, que nous sommes accoudés au bar, à regarder passer les couples se dirigeant vers l’escalier, qui mène au sous sol.
Nous sommes tout simplement, dans une boîte échangistes.
Cela faisait un moment que mon mari insistait pour m’y emmener, mais j’ai toujours refusé. Je ne suis pas le genre de femmes à m’offrir au premier inconnu qui passe.
Mon mari l’a très bien compris, aussi m’a-t-il promis, qu’en aucun cas, il était question qu’il me partage, avec qui que ce soit. J’étais donc rassurée.
Je n’ai pas l’habitude de boire, mais je sens qu’il me faut ingurgiter quelque chose de fort pour essayer de me libérer de mon anxiété. À la grande surprise de mon mari, je commande un whisky, et le bois presque d’un trait. Ça m’a fait l’effet d’un feu intérieur et en même temps ça me rassérène.
Sur la piste les corps enlacés se frottent les uns aux autres. Avec audace, les hommes tripotent le cul de leurs compagnes, retroussant même leurs bouts d’étoffes et dévoilant par-ci par-là le rebondi de leurs fesses.
Les femmes quant à elle n’étaient pas en reste. L’une d’elles, effrontément, branlait même son compagnon à la vue de tout le monde.
Un jeune couple de nôtre âges nous observait depuis un moment déjà. L’homme me fixait intensément. Visiblement, je lui plaisais. Ils se sont présentés...Marie et Yann.
Des habitués des lieux. Ils se sont proposés pour nous guider. Je les voyais venir. La jeune femme était aussi peu vêtue que possible, pour le plaisir des yeux de mon mari. Le coquin se serait bien laissé faire.
J’ai coupé court en entraînant mon époux vers la piste de danse. J’avais besoin de le sentir contre moi, de me serrer contre lui. Malgré mes réticences, l’ambiance du lieu me rendait toute drôle. Je lui proposais de quitter cet endroit mal famés.
Mon chéri m’a serrée dans ses bras et, sans doute en voyant ce qui se passait autour de nous, sa virilité dressée s’est frottée contre mon ventre. Ça me faisait du bien de ressentir son désir pour moi. J’avais une envie folle d’être prise par lui, et je crois que, s’il avait insisté, je me serais laissé faire, enivrée par l’atmosphère du lieu. Mon mari lui même se permettait quelques audaces. Il se comportait comme si nous étions seul sur la piste. J’avais l’impression, que tous les regards étaient fixés sur nous.
Je lui suggérais de rentrer à la maison.
Étant contre un départ anticipé, il me proposa à boire.
J’avais encore besoin d’un remontant, je le sentais. Il a été chercher nos boissons au bar et j’en ai profité pour me rendre aux toilettes. J’avais besoin de me rafraîchir.
À mon retour et à ma grande surprise, il y avait un homme installé à notre table, en conversation avec mon mari. Même si l’intrus est très courtois, je n’apprécie guère sa présence à nôtre table. Je le fais savoir à mon mari, en le foudroyant du regard. L’homme s’est levé pour me saluer et s’excuser. Toutes les tables étaient occupées, et seule la nôtre proposé une place, il avait obtenu l’autorisation de mon mari, et cela ne le gênait pas. Il devait avoisiner la cinquantaine, grand, brun, très séduisant.
Dans l’état d’excitation où j’étais, suite au deuxième whisky, la présence d’un autre mâle n’était pas pour me déplaire.
Il s’appelait Alain, sa femme et lui fréquentaient le milieu libertin depuis six ans déjà.
Pour mettre fin à toute équivoque, j’ai précisé que nous étions là pour voir comment ça se passé. Il approuva, recommandant aux nouveaux couples, de procéder ainsi. Il nous encourageait, à agir prudemment. Nous avons continuer à parler un bout de temps
L’ambiance dans la salle de danse devenait de plus en plus torride. Une femme, la cinquantaine, se faisait lécher par une jeune blonde et manifestait un plaisir bruyamment. On voyait le sexe rigide d’un homme coulisser profondément dans la gorge d’une coquine, tandis qu’un autre la prenait en levrette.
Mon mari demanda alors à l’intrus, s’il était venu seul.
Il répondit que sa femme était à l’étage, certainement en train de se faire baiser, et que lui préférait danser, et mater les couples parader dans des jeux érotiques.
Me sentant troublée par ces propos obscènes, Alain commanda une autre tournée.
Puis il s’était tourner vers mon mari, et lui demandait s’il pouvait m’inviter à danser. Bien évidemment, mon mari donna son aval.
Lucide, je n’aurai jamais accepté, mais me sentir encore séduisante m’a convaincu. En réalité je me méfiais de ce ténébreux personnage. Pour sûr, il allait vouloir abuser de la situation, me convaincre de me lâcher. De partenaire respectueux, il se transforma vite en dragueur invertébré. Il me serrait de plus en plus, me murmurait des mots coquins à l’oreille, qui me faisait rire malgré moi. Je sentais mes seins s’écraser contre sa poitrine virile. En même temps, je sentais mes bourgeons se dresser. Il aurait voulu que je me laisse aller contre lui, mais je résistais. Au détour d’un pas de danse, je ressentis l’état de sa virilité. Petit à petit, je me rapprochais des ses joues, sentais son souffle dans mon cou. J’eus un mal fou à le repousser, quand il essaya de prendre mes lèvres.
J’avais l’esprit embué. J’étais partagée entre l’envie de me laisser aller, et ma morale de femme honnête. Ses mains baladeuses, insensiblement, se portaient de mon dos à mes fesses. Une force intérieure me poussait à me cambrer davantage sous la caresse, de la solliciter même. La tête me tournait. Je ne devais absolument pas céder. Voilà qu’il avait glissé sa main entre nos ventres et qu’il s’apprêtait à extirper son sexe ! Le salaud ! Par chance pour moi, un slow ne dure que quelques minutes. La musique venait juste de cesser. Je me suis brusquement détaché de lui.
Un petit remerciement glacial et je l’ai laissé en plan pour rejoindre mon mari. J’étais rouge de confusion et de colère. La scène n’avait pas dû échapper à mon époux car un petit sourire flottait sur ses lèvres. Il avait l’air de s’être amusé de ma mésaventure.

- Oh ! c’était chaud ! Quel collé serré !
- C’est tout ce que tu trouves à me dire ! Il m’a quasiment violée.
- Tu exagères ! Il se frottait tout au plus.
- Il avait presque sorti son sexe !
- Tu ne t’attendais pas à ça en acceptant de danser avec lui dans un lieu pareil ?
- Eh bien non !
- Tu es drôlement naïve, ma chérie.
- Sans doute, ai-je répondu, agacée.
Il a vu que j’étais énervée, il m’a attirée vers lui pour me rassurer et m’a embrassée. Puis il a insisté pour monter à l’étage, que c’est beaucoup plus chaud, selon l’hôtesse. J’ai refusé l’invitation, laissant mon mari y aller tout seul.
J’ai commandé un autre verre au bar, et j’ai repris ma séance de voyeurisme, bien décidé à profiter du spectacle, qui, au fil des minutes, devenait torride. A deux pas de ma table, une quadragénaire se faisait prendre en levrette, sous les encouragements de son mari, alors qu’un autre homme se branlait dans sa bouche.
Soudain une voix familière s’est fait entendre. Celle de mon cavalier, un brin moqueur. Il était face à moi presque nu. Du coin de l’œil, j’ai vu qu’il avait baissé son caleçon et sa main aller et venir sur son sexe tendu. Un beau spécimen de mâle. Tout en muscles avec une merveilleuse queue longue, épaisse et rigide.
Mon cœur s’est mis à battre plus fort. Un trouble exquis a envahi mon corps. Je désirais l’ignorer, mais une attraction irrésistible me poussait à fixer cette bite dressée. D’autant qu’insensiblement, il s’était rapproché de moi. Comme j’étais assise et qu’il demeurait debout, son membre se situait pratiquement à la hauteur de mon visage. Une trentaine de centimètres le séparait de mes lèvres tant il s’était rapproché. Il m’a ordonné de le sucer. J’ai fait mine de ne pas entendre, tout en détournant ma tête.
C’est alors que j’ai remarqué qu’une jeune femme nous observait. Nos regards se sont croisés. Elle m’a souri puis passa sa langue sur ses lèvres comme pour me dire…
Lèches-la.
Le gland congestionné du coquin effleurait presque mes lèvres. Il me tentait, le salaud.
Mes yeux se sont portés vers ma conseillère improvisée et j’ai distinctement lu comme une injection...suces-la.
Finies les fermes résolutions ! Je me suis penchée et je l’ai prise en bouche. Elle était bonne ! Longue, épaisse, rigide. Elle avait un bon goût de mâle. Elle emplissait bien ma gorge. Avant mon mariage j’en avais goûté quelques-unes, mais celle-là me semblait particulièrement agréable. Je l’avalai, la léchai, la mordillai, me l’enfournai jusqu’à la garde, les yeux clos pour mieux en apprécier le velouté. Il geignait, je haletais. Il l’enfonçait au plus profond de mon palais jusqu’à m’étouffer. Je ne m’en plaignais pas. C’est un plaisir tout cérébral que d’être forcée ainsi, baisée par la bouche.
D’une main adroite, il a ouvert mon chemisier, extirpé mes seins. Sa main était douce en les malaxant, et il faisait rouler mes bouts d’une manière experte. Malgré moi, j’avais écarté mes cuisses.
Prestement, j’ai baissé ma jupe sur mes cuisses, rouge de honte et de colère.
Je m’étais contenue jusque-là, mais soudain un besoin irrépressible de me toucher m’envahit. Après tout, pourquoi ne pas ajouter ma part au spectacle.
Il m’ordonna de remonter ma jupe le plus haut possible pour voir ma chatte, me demanda de me branler. J’ai obtempéré, impudique, la bouche remplie de sa grosse queue.
Je me sentais délicieusement salope. Mes doigts s’activaient sans la moindre gêne, frénétiquement, dans ma fente en ébullition. Et quand ses doigts ont replacé les miens, ça a été l’explosion. Une onde de plaisir intense m’a secouée comme un déchirement.
J’ai conscience d’avoir crié mon orgasme fulgurant. D’avoir même perdu conscience quelques instants. Il avait pris ma tête à deux mains et me baisait la bouche frénétiquement. Son gland s’enfonçait du plus profond qu’il pouvait. Je pressentais l’imminence de sa jouissance et j’appréciais le goût âcre et suave de son sperme.
Il a joui fort, en un long cri rauque. Il a déversé son jus épais et goûteux en longs jets saccadés. Je l’ai perçu comme une gratification. Une partie de sa semence perlait à la commissure de mes lèvres. J’ai porté mon regard vers la jeune femme qui m’avait encouragée à sucer. Elle me souriait amicalement et a pointé son pouce vers le haut comme pour me signifier « Bravo ! »
Mon partenaire, quant à lui, s’était éclipsé sans le moindre remerciement. Je ne m’en formalisais point. Il m’avait utilisée pour son plaisir égoïste de mâle et cela me convenait. Le sentiment de m’être comportée comme une salope me remplissait de fierté.
Mon époux n’était toujours pas redescendu fort heureusement.
Je n’aurais pas voulu qu’il me voit jouir sous le joug d’un autre homme.
J’ai vidé mon fond de whisky puis me suis rendue aux toilettes. Le besoin de me soulager, de laver les mains, rincer ma chatte et ma bouche urgeait. En un mot, de me rafraîchir pour reprendre mes esprits. Mon mari semblait m’avoir cherchée.
Il m’a trouvé au bar, en train de trinquer avec deux hommes, plein d’attention pour moi.
L'un d'eux ma pris par la taille, m'a entraîné sur la piste de danse, suivi de près par son copain. Ils me serraient contre eux, plaquant leurs hanches contre mes fesses et mon ventre. Je pouvais sentir leurs sexes durcir au rythme lancinant de la musique.
Leurs mains expertes épousaient les reliefs de mon corps. J’acceptais quand ils me proposaient de monter à l’étage, devant les yeux ahuris de mon mari.
Ils m’entraînèrent dans un box, ou déjà des couples s’adonnaient aux plaisirs de la chair. Une femme, la quarantaine, et une jeune métisse, se faisaient prendre en levrette par deux vigoureux mâles. L’une suçait l’énorme queue d’un troisième larron.
L’un des hommes ôta un à un mes vêtements, puis se dévêtirent à leur tour. Il me présentèrent leur énorme queue, bien grosse, bien épaisse. Je tombais à genoux, les prirent en bouche en alternance. J’étais dégoulinante de mouille. Mon bouton s’était durci comme une petite bite. Une bouche s’est immiscée entre mes fesses. Une langue s’est mise à humecter délicieusement ma rondelle. On me palpait ouvertement. Mes seins, mon ventre mes trous étaient explorés de toutes parts. Quelqu’un a pris ma tête à deux mains et l’a guidée vers sa queue bandée. Pour la seconde fois cette nuit j’ai embouché un gland turgescent, goulûment, avec délice, je l’ai parcouru de ma langue avide. À l’image des deux dévergondées, je m’abandonnais à des sensations insoupçonnées. Je me sentais salope et à la fois, fière de l’être. Je donnais du plaisir et en étais récompensée au centuple. Une voix a soufflé à mon oreille, m’ordonnant de me courber. Il m’a prise par les hanches, m’a ajustée et j’ai senti sa queue en érection écarter les lèvres gonflées de ma fente, et s’insinuer sans la moindre résistance dans ma chatte enflammée.
C’était la première fois qu’un homme autre que mon époux me prenait depuis notre mariage. C’était délicieusement pervers, avec beaucoup de mal je restreignais mes gémissements. Il me pénétrait sans ménagement cependant que je sentais une montée inéluctable de mon plaisir. Un orgasme intense m’a submergée. Mon corps entier a été pris de convulsions. Mes jambes se sont dérobées et je me serais affalée si des mains puissantes qui me palpaient ne m’avaient soutenue. J’avais bien perçu fugacement que mon amant avait joui lui aussi, que ma bouche emplie de sperme était à nouveau envahie d’un sexe conséquent. Je ne compte plus le nombre de fois où j’ai été abusée ni le nombre de fois que j’ai joui.
Mes seuls instants de lucidité, je les passais à observer mon mari qui venait de me rejoindre. Le malheureux avait essayé de me voir jouir, mais en bon époux, il avait respecté mon choix, et tira le rideau du box, au moment ou j’atteignais l’orgasme.
Pour ma part, vidée de toutes forces, une fois abandonnée comme une moins que rien, j’ai à nouveau été me nettoyer de toutes mes souillures. Je finis de me rhabiller, rejoint mon mari.
Je me suis collée contre lui, lui ai offert ma langue, pour lui faire goûter le sperme, que j’avais délicatement conservé pour lui, à son insu.
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Histoire de Aurore34

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