Salon de coiffure partie 2

SALON DE COIFFURE
PARTIE 2
Deux jours plus tard, j'étais avec Annie, ma dernière copine en date au lit...Elle était allongée et je caressais son sexe avec ma langue. Je me suis soudain interrompu, redressant la tête pour lui demander:
— Dis-moi, c'est bien toi qui m'a envoyé me faire couper les cheveux au salon Coupe et coiffe?
Elle a lâché une sorte de grognement sans conviction.
— Tu sais qu'il s'y passe des choses un peu spéciales?
Elle a eu un petit rire.
— Ca y est, elles t'ont fait rentrer dans la danse. Les filles qui travaillent là sont exceptionnelles. Tu veux m'y accompagner mardi prochain? Tu verras, tu ne seras pas déçu.
C'est comme ça qu'un mardi soir sur le coup de dix-sept heures, je l'ai retrouvée sur la place, pas loin de Coupe et coiffe. Annie était vraiment une jolie fille. Grande, brune, avec des formes pleines. Ce soir-là, elle resplendissait.
— Viens!
— Tu vas te faire couper les cheveux?, je lui ai demandé, sans doute naïvement.
— Non, un soin plus intime. Tu vas voir. Ca va te plaire.
Elle m'a entrainé vers Coupe et coiffe. Il y avait une employée quand on est arrivés, que je ne connaissais pas. J'imaginais bien que les filles avaient des créneaux horaires très différents les uns des autres. Selon les jours, les matins, les après-midis...Là, c'était une belle blonde, grande et bien en chair, avec des formes opulentes. Elle portait une robe noire, courte, qui collait à ses charmes, et laissait la place à des jambes gainées de nylon et des cuissardes un peu plus bas. J'ai senti ma queue se durcir.
— Je viens pour un rasage intime. Annie H...
— Oui, bien sûr, vous êtes sur notre listing de rendez-vous. Venez.
Je ne l'avais pas remarqué les fois précédentes, d'ailleurs comment l'aurais-je pu, mais il y avait un local attenant au salon de coiffure, avec une différence majeure: il bénéficiait d'une surface quasi équivalente, mais les vitrines étaient enduites d'une couche qui les transformaient en glace sans tain. L'occasion d'aller plus loin encore qu'à côté? Oui, c'était effectivement le cas. Allongée sur un fauteuil de coiffure classique, mais avec un long dossier qui s'inclinait, une jeune femme, jolie rousse, se faisait raser la chatte par une petite brune qui pour le moment, enduisait la zone entourant l'ouverture de son sexe de crème à raser, J'ai tout de suite remarqué et compris que le geste était double. C'était à la fois un geste professionnel, pour préparer le rasage, et une caresse. Ses lèvres étaient toutes gonflées, et ses sécrétions coulaient, venant tracer des rigoles dans la crème.
Autour de la cliente et de la fille qui rasait, il y avait deux hommes. Je me suis demandé quel était le lien entre les deux femmes et eux. Est-ce que l'un des hommes était en relation avec la rousse, comme moi avec Annie? Deux clients qui avaient été invités? Difficile de savoir. Ce qui était sûr, en tout cas, c'était que les deux hommes avaient leur queue, en pleine érection, à nu. L'un d'entre eux allait et venait dans le sexe de la barbière, pendant que celle-ci préparait la cliente, prenant plus de temps que nécessaire, beaucoup plus de temps qu'il n'aurait été nécessaire, l'autre offrait à ladite cliente une queue énorme, sur laquelle celle-ci faisait aller et venir sa main. Elle masturbait sans doute trop bien parce que le gars a craché des jets de sperme copieux, qui sont venus s'étaler sur le visage et les cheveux de la fille. Ça l'a fait rire. Le gars n'a pas pour autant débandé et il est venu rapprocher son membre de son visage. Elle a ouvert sa bouche et il a glissé dedans. Elle a sucé sa chair, tandis que, plus bas, la barbière se redressait et attrapait un coupe-chou.
Annie, comme moi, regardait. Fascinée et troublée. Elle ne valait pas mieux que moi à ce moment, voyeuse. Dans un réflexe, elle a attrapé ma main et elle l'a posée à l'endroit où le tissu de son pantalon collait à son sexe. Il était trempé, disant clairement son excitation. Gardant le contrôle de ma main, elle s'est masturbée avec. Je bandais sans doute autant que les deux gars qui exhibaient leur queue en pleine érection.
C'est dans les minutes qui ont suivi que tout s'est cristallisé autour du rasage. Toutes les personnes présentes, hommes comme femmes, fascinées par le spectacle qui s'offrait à elles. Et c'était vrai que c'était troublant que de voir la lame courir sur la crème blanche, retirant celle-ci, et des poils éventuels, dont je n'étais même pas sûr qu'ils existaient. Le gars qui fouillait la vulve de la barbière s'est figé en elle. La fille qui était rasée a recraché la verge qui remplissait sa bouche pour regarder. Le type dont elle suçait la queue a lui aussi posé son regard sur les mouvements, souples et habiles, de la jeune femme. Le crème blanche de rasage rejoignait une serviette posée sur le bord du fauteuil à cette intention. Annie elle aussi était fascinée. J'aurais été prêt à parier que c'était la première fois que la jeune femme venait se faire raser. Et qu'elle était moins motivée par l'idée de se faire faire ce qu'elle aurait pu se faire elle-même, avec de la mousse et un simple rasoir, que d'avoir du plaisir à regarder, comme maintenant, à se faire raser, avec la délicatesse de la lame glissant sur sa chair, et la caressant.
Il y avait un indicateur, en tout cas, qu'elle éprouvait du plaisir: les liquides qui coulaient de son sexe étaient de plus en plus abondants.
La fille elle-même qui la rasait était troublée de voir le sexe féminin apparaître peu à peu, petit à petit, jusqu'à ce qu'il soit révélé dans sa totale nudité, glabre. Elle a attrapé un petit pot qu'elle a ouvert, est venue enduire, la pulpe de ses doigts d'une touche de crème blanche, qu'elle a appliqué sur la chair qu'elle venait de raser. Était-ce la substance, la caresse que représentait son application, ou l'aboutissement du plaisir qu'elle venait d'éprouver? Elle s'est tordue en criant et éjaculant. Une sorte de déclencheur.
Le gars qui était derrière la barbière est revenu se planter en elle et s'est mis à la fouiller avec ardeur, pour une jouissance qui n'a pas tardé. Il s'est retirérapidement, et a craché sa semence sur les fesses et le dos de la fille. Celui dont elle avait pris le sexe dans la bouche n'a même pas eu à subir une caresse. Il a joui tout seul, sans aucun contact, crachant son sperme sur le visage de la jeune femme...La barbière, elle, s'est laissée aller contre le siège, tournée vers nous pour frotter son sexe bien ouvert avec son regard accroché à nous deux. Est-ce que ça renforçait son plaisir que d'avoir notre regard posé sur elle? Ou bien de s'exhiber? Difficile de le savoir. La seule certitude qu'on a eu, ça a été qu'elle a joui, en se cambrant, et en éjaculant elle aussi.
Ca a été comme si le lieu avait été la scène d'une série de sketches avec une mise en scène et des protagonistes différents à chaque fois. La fille rasée s'est rhabillée, le minou glabre, la barbière, encore sous le coup de son orgasme, s'est rajustée, raboutonnant sa blouse, sous laquelle elle n'avait rien. Les hommes ont rengainé leur queue, et tout ce beau monde s'est éclipsé.
Une autre fille a fait son apparition. Une petite brune pas très grande, mais avec des formes très opulentes, visibles sous une blouse transparente, sous laquelle elle était nue. Elle était cambrée par des escarpins à talons aiguille d'une bonne dizaine de centimètres. Désir de compenser sa petite taille? En tout cas, ça la cambrait vraiment bien. Elle a ouvert sa blouse, l'occasion pour nous de profiter un peu mieux de ses charmes, même si la transparence de la blouse nous avait déjà laissé voir une croupe énorme et encore plus excitante, parce que cambrée, et une paire de seins aux tétons tout érigés qui déformait la blouse. Entrebâillée, la blouse donnait à voir ses seins, nus, qui, bien que volumineux étaient parfaitement fermes, et dressés, avec de grandes aréoles, et des tétons qui durcissaient de seconde en seconde. Son pubis était orné d'une toison sombre, taillée en triangle, et en dessous, deux lèvres charnues sortaient d'elle, longues et épaisses. Un jet de mouille a giclé d'elle, et est venu frapper le sol. Ca l'excitait autant de raser Annie que ça pouvait exciter Annie d'être rasée. J'avais la main toujours accrochée au niveau de son sexe, et je sentais parfaitement les tissus se saturer de sa mouille, de plus en plus abondante.
— Madame, si vous voulez bien approcher.
Devant moi, elle a tiré bas le caleçon noir hyper-moulant d'Annie. Il y avait à présent une large tâche au niveau de l’entrejambe du caleçon. Dessous elle avait une culotte blanche, et là, la tâche était encore plus large. La petite brune lui a baissé son slip, et, attrapant son cul à pleines mains, elle est venue donner des coups de langue horizontalement et verticalement, les liquides intimes d'Annie jaillissant et venant couler dans sa bouche.
Annie a glissé sur le fauteuil, se positionnant pour donner son sexe à la barbière. Celle-ci a attrapé la mousse épaisse dans le pot ouvert et elle a commencé à enduire le sexe d'Annie qui s'abandonnait totalement.