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Mélina

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Lue : 15706 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 17/07/2007

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Il faut absolument que je vous raconte un événement extraordinaire, qui m'est tombé dessus cet été : J'ai 68 ans, suis à la retraite depuis 8 ans déjà, retraite très active, et je manque de temps bien plus que quand je travaillais. Je suis en bonne forme, ai une petite femme bien plus jeune que moi(elle a 40 ans), et qui du coup pourrait très bien être ma fille. Nous faisons l'amour deux ou trois fois par semaine, j'adore ça, et elle aussi. Il paraît que c'est bon pour la santé, et nous ne nous privons pas !! Je prends mon temps, je fais durer les choses, je la masse, la caresse, la léchotte, la tripote. J'adore la faire attendre. Je lui mange la foufoune, glisse mes doigts, ma langue dans les interstices, et quand elle n'en peut plus, qu'elle appelle, je la pénètre très lentement, très profondément. Je me soulève sur les avants bras, elle me caresse les tétons, que j'ai très sensibles, je la regarde jouir, les yeux dans les yeux, et je jouis en elle, longuement ...

Nous habitons dans le Haut Jura, une région magnifique, sauvage, et qui attire bien sûr beaucoup de citadins en quête d'évasion. Et justement, cet été, mon ami de lycée, Daniel, est venu passer deux semaines chez moi, avec sa femme, et sa petite fille (la fille unique de sa fille aînée), Mélina, 23 ans, étudiante à Montpellier, un peu dépressive. On ne s'était pas revus depuis très longtemps, on s'était parfois écrit, mais de moins en moins. Je ne l'aurais pas reconnu. C'était un grand marcheur, mais un peu gras, un peu de bedaine. Nos deux femmes, malgré la différence d'âge, se sont tout de suite plu, deux vieilles copines on aurait dit ...

Et nous avons beaucoup marché, tous ensemble !! Ils étaient venus pour ça, et on n'a pas économisé !! D'abord 2 jours de balades avec pique-nique et retour le soir à la maison, puis on a organisé une plus grande virée de 3 jours, avec 2 arrêts en auberge pour la nuit, les bagages étant pris en charge par les aubergistes. Très beau temps chaud (ce devait être infernal dans la plaine !), très bonne ambiance. Il y avait juste Mélina qui traînait un peu la patte, surtout d'ailleurs le soir de ce fameux 2ème jour.

Eh oui, le soir de ce 2ème jour, tout près de l'arrivée, dans une descente, patatras, une pierre mal fixée qui roule sous mon pied, ma cheville se tord, et moi aussi, de douleur. On était à 1 km de l'auberge, on est venu me chercher en voiture.

Le lendemain matin, cheville enflée, marche un peu trop douloureuse pour que je puisse entreprendre une marche d'une journée, j'ai préféré rentrer à la maison, les autres décidant de continuer selon le plan prévu. L'aubergiste allait me reconduire chez moi, ce n'était pas loin en voiture. --Et voilà que Mélina me demande si elle peut rentrer avec moi. Elle a mal aux pieds, mal aux jambes, et aimerait bien se reposer. Ses grand-parents essaient bien de l'encourager à continuer, non, elle voudrait rentrer aussi.

Et à midi, nous voilà tous les deux à la maison, en tête à tête jusqu'au lendemain soir, moi 68 ans mais bien vert, je vous assure, et une petite gamine de 23 ans, blonde, toute fine, élancée, un peu tristounette, un peu avachie. Oui, je suis bien vert, je la trouve vraiment mignonne, mais je ne vais pas embêter cette petite, elle a la vie devant elle, elle n'a pas besoin de moi, un vieillard pour elle (45 ans d'écart, c'est pas rien !!), c'est sûr, avec sa barbe et ses cheveux tout blancs, un ami de jeunesse de son grand-père !!

Au repas de midi, que j'ai préparé seul, en clopinant, pendant qu'elle restait au soleil, dans la chaise-longue devant la maison, elle s'est un peu confiée : elle a un copain, étudiant en droit comme elle, un peu plus âgé qu'elle, elle prend la pilule (pourquoi elle me dit ça ??). Ils se voient une fois par semaine, dans son studio. Ca marche pas trop fort, elle croit qu'elle va arrêter, il est pas drôle, il s'endort tout de suite ... . Les études ne l'emballent pas, je la sens un peu molle dans ses projets, comme dans son comportement ..., mais par contre, et peut-être justement parce qu'elle est un peu molasse, je la trouve vraiment bandante !!

Après le repas, elle disparaît dans sa chambre, et je ne la revois pas avant 6h du soir. Elle a dormi, elle me dit, puis a pris un bain. De fait, elle sent bon le savon, et est toute fraîche , toute rose, toute appétissante, toute enjouée pour une fois. J'avais allumé un feu de cheminée, comme chaque soir (les vieilles fermes sont fraîches, même en été), le repas était prêt. Elle me demande alors si on va aussi se prendre du crémant en apéro, comme les soirs précédents ? Bien sûr, j'ai ouvert une bouteille, et on a trinqué. Elle a vidé son verre très vite, elle avait soif !! Et m'en a redemandé ! Et au bout d'une dizaine de minutes de conversation anodine, mais où il m'a semblé qu'elle commençait à minauder un peu, elle me dit qu'elle a encore très mal aux pieds et aux jambes, que sa grand-mère l'avait massée la veille déjà, que ça lui avait fait beaucoup de bien, est-ce que je voulais bien aussi la masser un peu ? (Tu parles, oui, grande envie, génial ...).

- Oui, sans problème, je lui réponds, et d'ailleurs j'aime beaucoup masser, je masse souvent Françoise. De manière inconsciente, j'ai fait là référence à la femme qu'elle savait que je baisais régulièrement ...

Et là, tout de suite, elle se met à défaire sa ceinture. Mais je la vois se raviser, elle s'arrête, et me demande :
- ça ne fait rien si j'enlève le jean's ? C'est pas possible autrement.

- Oui, pas de problème, tu sais, j'en ai vu d'autres, que je dis (je ne vois pas, maintenant, ce que ça voulait dire, mais j'ai été tellement surpris !! Si ça ne fait rien ? Je crois vraiment, ma petite, et tu ne sembles pas t'en rendre compte, que ça va faire quelque chose .... ça commence déjà d'ailleurs ... ).

Elle enlève alors ses escarpins, ses socquettes, son jean's, avec peine car il était assez serré, le pose sur la chaise à côté d'elle. La voilà en petite culotte, longues jambes fines, très blanches, et cherche où elle peut s'allonger. Je vais alors chercher un grand coussin-pouf carré au salon, et le pose à côté de la cheminée. Et elle s'allonge en travers, sur le dos !! Elle a un pull, mais, avec la chaleur du feu juste à côté d'elle, elle l'enlève presque aussitôt, et il lui reste un T-shirt. Son dos s'est découvert entièrement quand elle a tiré le pull par dessus sa tête, et elle n'a donc pas de soutif !! Elle est folle cette fille !! Je suis vraiment mal à l'aise, tout chose, très ému quand je m'agenouille à ses pieds.

Tout est très clair pour moi, je vais la masser, avec très grand plaisir, très grande grande envie, mais je vais éviter en fait, et absolument, tout ce qui pourrait être trop sexuel. Je ne toucherai pas aux fesses, aux seins, à sa culotte, c'est une jeune fille confiante, un peu innocente, c'est sûr, et je suis un vieux !! Ce n'est plus pour moi, ces petits tendrons !!

Je me chauffe d'abord les mains en les exposant aux braises, tout en la regardant. Elle a fermé les yeux, les bras sous la tête, ses cheveux longs et blonds dispersés sur le coussin. Son T-shirt un peu relevé laisse voir son nombril, ses tout petits seins à peine visibles sous le tissu. Petite culotte bleu clair, de petite fille, un peu moulante au niveau du pubis, jambes serrées, elle attend, détendue, respiration très calme.

J'ai moi aussi trop chaud, et j'enlève mon pull. Je lui dis que je reviens, que j'ai trop chaud, que je vais mettre un short. Et là elle me scie :

- Pourquoi ? Non, pas besoin de short !! Moi non plus, je n'en ai pas, il fait vraiment bon comme ça !!

Elle est vraiment inconsciente !! Elle croit que parce que je suis un vieux, elle ne risque rien ?? Je me suis redressé, je la vois là sous moi, étendue, belle, et désirable comme c'est pas possible. J'enlève mon pantalon en me détournant, mon état est vraiment trop visible !! et je m'accroupis à ses pieds, prestement.

Je pose alors mes deux mains sur ses deux pieds, et reste ainsi sans bouger quelque temps. Je sens sa chaleur, elle doit sentir la mienne. Ma peau contre sa peau. Contact délicieux, moment inoubliable. Je prends son pied gauche entre les mains, l'enveloppe, le caresse, glisse mes doigts entre les siens, je fais rouler ses petits orteils sous mes doigts. Puis je monte à la cheville et au mollet, que je masse avec vigueur, au genou que j'enveloppe de caresses. Elle grogne de plaisir, elle dit que c'est bon .... Je fais pareil de l'autre côté, pied, cheville, mollet, genou, et commence à monter jusqu'à la cuisse. Alors, pour me permettre de bien progresser vers le haut, elle plie sa jambe, en l'écartant, un peu. Son entrejambe m'apparaît bien, je ne peux m'empêcher de regarder ..... , c'est fascinant. Juste un petit bout de tissu pour cacher sa chatte, sa fente, ses lèvres. Elle a ouvert les yeux, et elle me regarde qui la regarde. Et je suis sûr qu'elle peut voir mon slip tendu, mais tant pis, c'est elle qui me provoque.

Je monte donc vers le haut de la cuisse, que je masse fermement, en prenant toujours soin de ne pas m'approcher trop de sa petite culotte, de sa chatte. Elle a refermé les yeux, tourné sa tête de côté, et même en arrière, montrant son plaisir d'être ainsi malaxée. Quand je passe à sa cuisse droite, elle écarte carrément, et je suis inséré entre ses jambes écartées. Cela devient insupportable. Son minou est là, à quelques centimètres, sous un peu de tissu. Comment sont ses poils, blonds comme ses cheveux, frisés, tout petits ? Ou bien n'y a-t-il aucun poil autour de la fente, de ses lèvres ? Je passe d'une cuisse à l'autre, sans perdre le contact en passant par son ventre, sur sa culotte.

Au bout d'un moment, elle ouvre les yeux, me regarde, dit :

" - Que c'est bon !! C'est beaucoup mieux que ma grand-mère !! Hummmmm ......"

Puis elle me propose, d'un air cajoleur

" - Vous pourriez aussi me masser le dos ?"

Sans attendre la réponse, elle commence à bouger pour se tourner. Je m'extrais d'entre ses cuisses, elle se met sur le ventre, et remonte ton T-shirt. Je n'ai pas d'autre solution que de me mettre à califourchon sur elle, sur le bas de ses fesses. Et là, je commence vraiment à craquer : mes cuisses écartées sont en contact direct avec son corps, mon membre tendu est au niveau de ses fesses .... Et me voilà qui masse, caresse, parcours son dos, de haut en bas, m'arrêtant à la limite de sa culotte. Voilà que je suis presque couché sur elle, elle sent, c'est impossible autrement, mon dard dur dans son dos. Elle ronronne, soupire, se trémousse, quand je longe sa colonne vertébrale, monte aux épaules, masse des deux mains, en l'enveloppant bien, chacune de ses épaules, allant jusqu'aux bras, et même avant-bras, à l'intérieur de son T-shirt, reviens avec une main qui s'attarde à l'aisselle, toute lisse, redescend, les mains à gauche et à droite, le long de son torse, et je sens la naissance de ses seins.

Et là, elle se soulève sur ses avant bras !! Elle m'offre d'aller plus loin, et je vais à ses seins, je les caresse, les prends à pleine main !! Qu'ils sont fermes, durs presque, j'en ai perdu l'habitude ... Quand je reviens à la limite de la culotte, elle chuchote :

" - Les fesses aussi ".

De toutes façons, j'ai oublié déjà mes bonnes résolutions, et j'aurais, de toutes façons été jusqu'à ses fesses. Elle sont fermes, rebondies, pleines, je les malaxe l'une après l'autre, une de mes mains, à chaque fois, s'égarant, et de plus en plus profondément, et avec de moins en moins d'hésitation, dans la raie. Et je vais même jusqu'au sexe, que je masse, avec toute la paume de ma main, à travers le tissu.

Alors, toujours couchée sur le ventre, s'appuyant sur son torse et ses épaules, elle allonge ses bras vers l'arrière, et commence à faire glisser sa culotte vers le bas !!! Ca y est, on va vers une grosse baise, maintenant c'est sûr !! Tout en la massant et la caressant, je l'aide, et elle m'aide en soulevant son derrière : sa culotte progressivement descend vers les cuisses, les genoux. Je la lui enlève alors complètement, sans plus hésiter, obnubilé par le spectacle qui s'offre à moi : Elle a levé son cul, écartant les genoux, écartant tout !! Mon visage est à quelques centimètres de sa vulve. Elle a peu de poils, tout petits, sa fente rose est là, fraîche, ouverte, prête.

Tout en me déshabillant, je plonge mon nez, ma bouche, mon visage dans ce paradis humide et rose. Je mange, je bois, je me régale, je pénètre, et elle gémit, se trémousse, écarte et soulève tout au maximum. Très vite elle éclate quand mon index cherche à entrer dans son petit trou rond, un sanglot rauque, de femelle qui jouit. Elle s'écroule, et se retourne, se met sur le dos. Je lui écarte assez brutalement les cuisses, et après m'être encore une fois roulé dans son vagin tout ouvert, je la pénètre vivement, et après des splendides va-et-vient, je m'éclate à mon tour, le plus loin possible, tout à fait au fond, dans son ventre.

Nous sommes restés longtemps allongés devant le feu, elle dans mes bras, on a même dû s'endormir. Le téléphone nous a réveillés, ma petite femme .... Tout va bien, je lui ai dit ...
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