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Mercédès, suite et fin

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Lue : 5380 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 19/06/2009

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Mercédès suite et fin

Pour Baby

Et notre Baron dans tout cela ? que devenait il ? Gertrude s’était lassée de lui assez rapidement après leur mariage ; c’était un éjaculateur précoce, il ne pouvait résister au feu de son épouse et dés l’introspection il éclatait en elle en une jouissance infinie, irrépressible, malheureusement fulgurante ; après, malgré tous ses efforts il s’amollissait, l’envie surtout disparaissait, quel gâchis, d’autant qu’il devinait en sa femme une amante ardente. Au début elle avait fait des efforts, s’harnachant de dessous excitant, piètre résultat, il lui était même arrivé de jouir avant la possession. Depuis ils s’étaient éloignés l’un de l’autre, faisant chambre à part ; il la soupçonnait de prendre son plaisir solitaire, il l’imaginait se pistonnant la chatte avec des objets les plus divers.

Et puis il y avait l’asiate, une drôle de souris celle là, toute à la dévotion de son Hubert ; une fois il avait essayé de la frôler, découragé par le geste impatient et courroucé de la femme de compagnie. Et Hubert, il l’enviait, surhomme, sûr de lui, il connaissait sa réputation de bandeur, la noblesse du coin planquait leur femme quand il l’invitait ; il lui semblait même que depuis un moment il tournait autour de Gertrude. Enfin peu importait maintenant, lui se consolait par des amours ancillaires, cela convenait à sa nature, aux us et coutumes de ses quartiers de noblesse.

Pour un mot gentil, pour un petit cadeau, les soubrettes, les cuisinières du château se prêtaient à ses ardeurs ; c’était toujours rapide, de peur de se faire remarquer ; dans une soupente, une buanderie, une cave, dans les toilettes même, il les prenait à la hâte retroussant les cotillons, écartant les culottes ; la position de levrette était la plus aisée, tel un cerf, il les emmanchait par derrière et se répandait en elles en grimaçant de plaisir. Les anciennes s’étaient prises d’amitié pour lui et considéraient de leur devoir de le bien servir, une sorte d’honneur qu’il leurs donnait. Quelques unes le sucaient pour un petit billet supplémentaire.
Le Baron chassait également en ville, incognito pour des échanges plus longs, il avait appris petit à petit à se contenir, pour cela il abusait de caresses, il avait découvert le pouvoir érogène de ses mains de ses doigts, l’agressivité de sa bouche, de sa langue ; il avait développé au plus haut point l’art de parler en faisant l’amour. Certaines femmes très réceptives mouillaient à l’entendre parler de leur chatte ; Il leur apprenait à se regarder faire l’amour dans une clarté diffuse, face à d’énormes armoires à glaces. Il pouvait dire maintenant que les femmes qui l’avaient connu gardaient un souvenir de leurs longues, de leurs très longues nuits de caresses. En fait il était le plus sentimental de la famille, le plaisir qu’il donnait comptait plus que le sien ; il gagnait à être connu.
Il était en ce moment sur un coup………….



Au parking de la préfecture la préposée à la caisse venait de changer, l’ancienne sèche et revêche était rebutante, sa remplaçante était tout l’inverse, aimable, bavarde, souriante, elle était aussi opulente que l’autre était maigre et sèche. Le baron en homme averti devinait ses seins, sa croupe comme il les aimait. Désormais il multipliait ses passages dans les sombres souterrains. Sa nature lui interdisait des attaques directes, il fallait que sa tête s’habitue, que l’image désirée lui revienne dans ses fantasmes ; ce n’était que lorsqu’il l’avait chevauché plusieurs fois par la pensée qu’il devenait inévitable d’essayer la séduction. Il avait alors une attitude, un langage, une gentillesse non feinte que peu de donzelles repoussaient.

Depuis bientôt un mois, Viviane avait pris ses fonctions au parking ; le travail lui plaisait malgré les vapeurs nauséeuses des gaz d’échappement. Ce qui lui plaisait c’était le contact avec le public, elle aimait les gens, aimait parler. Elle avait été sevrée de cela depuis la mort de son mari. Depuis dix ans elle vivait recluse, faisant de la confection à domicile pour subsister, enterrée vivante. Les hommes surtout étaient gentils avec elle, elle se sentait revivre, elle s’arrangeait mieux, elle n’aguichait pas mais ne repoussait pas l’espoir d’une liaison amoureuse. C’était une amoureuse, son mari n’avait pas eu à se plaindre de ce côté là. Depuis son décès, cloîtrée qu’elle était elle avait dû se contenter d’expédients. Un jour, pas comme un autre elle avait osé monter à Paris et dans l’anonymat de la grande ville, entrant dans un sex shop quasi désert, seule femme dans ce guignol de l’amour elle avait fait une provision de revues, de livres, d’objets hallucinant sous l’œil goguenard du métèque qui tenait la caisse. Elle avait donné ses deux liasses de billets et sans discuter s’était enfuie, enfuie n’est pas trop fort sans attendre son compte, honteuse. Elle avait eu une peur immense quand on avait essayé de l’entraîner en l’enlaçant au fond du magasin derrière un rideau, elle avait pu se dégager des griffes de ces hommes dont un déjà avait sorti son pénis. Elle bénissait maintenant son audace qui lui permettait de subsister sans amour, de se contenter elle même avec ces postiches au plus profond de son corps.

« Cela me fait plaisir de vous voir..... vous au moins vous êtes gentille.....ce n’est pas comme la porte de prison que vous avez remplacée »

Viviane tressaillit, dans ses pensées elle ne l’avait pas vu s’arrêter et descendre de son cabriolet Mercédès. Elle le reconnu, il venait se garer plusieurs fois par semaine, toujours aimable, c’est la première fois qu’il lui parlait. Il avait l’air gentil, la cinquantaine bien tassée, élégant, la voiture était splendide. Qu’était il donc ? maître ou valet, peu importait après tout, elle bredouilla une réponse

« Il faut être aimable avec la clientèle, mais savez vous cela ne me coûte pas »

« C’est naturel en somme, vous êtes gentille de nature, par les temps qui courent c’est chose rare »

Il ponctuait ses phrases de silences, manifestement il voulait engager la conversation, ce devait être le chauffeur, il avait tout son temps, elle lui sourit pour l’encourager

« Il me semble vous connaître, votre joli minois ne m’est pas inconnu.....pourtant vous êtes plus jeune que moi.... je suis né en 63 et j’ai toujours été dans la région..... je vous connaît c’est certain.....Je vous ai rencontrée, mais où ?....Avez vous fait vos études au lycée Saint Christophe ? »

Viviane pensait qu’il radotait ou alors c’était une manière de l’aborder, fine mouche elle ne le découragea pas

« La différence d’âge est moins grande que vous semblez le dire, j’ai en effet passé quelques années dans cette école renommée ».

C’était faux évidemment, elle était arrivée dans la région à vingt ans après avoir épousé Francis son mari

« C’est formidable » dit il enthousiaste comme un enfant, «j’ai une excellente mémoire visuelle et je me trompe rarement »

Dans son for intérieur le Baron qui n’avait eu que des cours particuliers se félicita de son approche, la caissière intéressée lui souriait aimablement ?
Viviane regardait mieux son interlocuteur qu’elle ne connaissait que de vue et depuis peu ; maintenant qu’elle le regardait mieux depuis qu’il lui causait elle lui trouvait un charme indéfinissable, une grande classe ; sa voix était douce, son sourire engageant, il devait être de bonne compagnie, elle s’entendit lui répondre

« Il serait intéressant de sortir les photos de groupes qui se faisaient à l’époque, je crois que j’en ai tout un assortiment, il faudra que je regarde »

Le charme du Baron opérait, il le sentait
« pourquoi ne les regarderions nous pas ensemble ......? »

« Viviane ! » dit elle répondant à son interrogation muette

« Moi c’est Julien, nos prénoms sont bien de notre époque, le vôtre est joli, charmant ! »

« Merci, le vôtre me plaît beaucoup ! »

« Que diriez vous si un soir.... et pourquoi pas ce soir je vous prenais à la fin de votre service...je vous ramènerais chez vous.....vous me montreriez les photos... nous avons peut être des souvenirs....des amis communs....qu’en pensez vous Viviane ? »

Viviane était prête à céder, mais comment sauver les apparences, ne pas paraître trop facile, au fond de ses entrailles elle tressaillit, elle plaisait encore apparemment, ce Julien lui plaisait également, elle pensait, une petite incartade n’engageait à rien, elle essaya de jouer sur la corde raide

« Me ramener chez moi ! c’est gentil mais que diraient les voisins....et voisines surtout !.....vous connaissez les gens, ils ne penseraient pas un instant que nous sommes des amis d’enfance mais des...... »

Elle avait été trop loin peut être, elle regrettait sa précipitation, mais Julien lui souriait

« Des amants Viviane ! des amants ! je vous ramènerait chez vous pour faire l’amour ? Je n’en ris pas Viviane, ce n’était pas mon propos, mais je ne ris pas de cette hypothèse.....je n’ose espérer que cela soit possible....vous êtes si..... vous êtes tellement..... ! »

« Tellement quoi Julien..... ? »

« .......Tellement désirable Viviane.......Tellement femme »

Un long silence s’établit entre eux, les dés étaient jetés.
« Mais peut être n’es tu pas libre ? » Silence

« Peut être n’aimez vous pas faire l’amour » Idem

« Je ne vous plaît pas.... je suis trop vieux....trop laid ! »

« Oh non » cria presque Viviane troublée au plus haut point « Tutoyons nous, voulez vous mon ami »

Elle craquait s’était visible, le Baron se laissa aller à dire ce qu’il savait affoler les amantes les plus chaudes

« Je saurais te faire jouir si tu voulais, nous pourrions vivre une longue nuit de caresses et de baisers »

« Julien ! » c’était une forme de reproche, en fait c’était une plainte, comme un regret d’évoquer une chose défendues, impossible

« Laisse toi tenter, chère Viviane.....essayons.....ma bouche te couvrirait de baisers......Une bouche.....une langue agile t’a t’elle déjà affolée .....Des lèvres pinçant ton clitoris à le faire bander....cela ne te fait pas envie ? »

Viviane était quelque peu effrayée par le déchaînement verbal qu’elle avait déclenché, mais tout cela était dit si naturellement, Julien la regardait avec une telle franchise que jamais un instant elle pensa avoir affaire à un névrosé, un satyre, un voyeur. De plus elle avait envie de vivre ce qu’il évoquait

« Arrête Julien ! tu m’affoles ! »

« Oui je veux affoler tes sens ! toute la nuit je te ferais gémir de bonheur.....ne dit rien....penses à nous....Je te dénuderais petit à petit....je téterais tes seins....embrasserais ton ventre, tes cuisses.....j’emboucherais ta chatte.....j’écarterais ta croupe opulente......comme dans nos rêves les plus fous je te chevaucherais à cru avant de te posséder dans un spasme d’amour.... »

« Julien ! tu me rends folle....ce n’est pas croyable !.....ce n’est pas possible ... nous nous ignorions il y a un quart d’heure à peine et par la pensée nous fantasmons les pires choses ! »

« Tu fantasmes ! ah chère Viviane ! est ce possible, tu nous vois tous les deux dans la pénombre de ta chambre, face au grand miroir, nus, enlacés et heureux »
« Ah et puis après tout, oui !..... nous le ferons, j’ai une réserve infinie de passion, je suis sevrée de caresses, d’amour depuis trop longtemps, je te rendrais du bonheur....pourrais je moi aussi gober ton membre dans ma bouche en serrant mes lèvres charnues sur ta hampe, je caresserais tes couilles, les emboucherait à en perdre le souffle, je mettrais au propre mes brouillons insipides.... »

Viviane avait craqué, Julien avait réveillé toute sa passion qui sommeillait, elle se sentait toute mouillée, les sens exacerbés, si elle ne s’était pas écoutée elle se serait fait sauter dans sa guitoune

« Je te prends à quelle heure, chère Viviane ? »

« A dix neuve heures » dit elle dans un souffle, il fera nuit !

« A merci ! préparons nous moralement à cette merveilleuse nuit qui nous attends »

Il eut alors un geste qui attendrit Viviane au plus haut point, il prit sa main et la baisa avec naturel et élégance !



Il n’était pas trop tard pour tout annuler. Viviane était prise dans un tourbillon enivrant, mais cet homme, ce Julien, qui était-il ? L’amener chez elle n’était ce pas dangereux ? si c’était un maniaque......mais non ce n’était pas possible....ils étaient faits l’un pour l’autre, il était celui qu’elle attendait depuis si longtemps ... ne pas laisser passer cette chance.....pour une nuit du moins....après ! on verrait. Elle décida de faire comme si oui. Durant l’heure de la coupure elle fit quelques courses et passa chez elle pour voir si rien ne clochait, elle en profita pour se changer. Elle reprit son travail reportant au dernier moment le choix ultime.

Le Baron se félicitait d’avoir bien observé la donzelle, elle était à sa merci semblait il. Elle était comme il les aimait, grosse poitrine bien ferme, il avait vu la naissance de ses seins bien serrés dans un soutien gorge noir brodé. Sa croupe, ah oui sa croupe ! quel volume, quelle ampleur ! il saurait faire vibrer tout cela. Son expérience lui disait sans se tromper qu’il la ferait jouir à en perdre la raison. Pour lui c’était un régal de faire jouir ses partenaires, les dominer, les faire sortir de leur réserve, les rendre folles de plaisir, faire durer leurs orgasmes avec des contorsions, des mouvements incontrôlés, les faire gémir, entendre durant leur jouissance continue des phrases inarticulées. Oui pour lui donner le plaisir était plus important que le sien fulgurant en fin d’une nuit de caresses.

A dix-neuf heures il passa devant la porte du parking et émis un mélodieux appel sonore. Il n’eut pas à attendre, Viviane se présentait, l’instant était important il fallait emporter ses dernières réticences s’il y en avait, envoler ses derniers scrupules, effacer ses craintes. Il lui sourit en disant simplement

« Ah chère Viviane tu es là.... »

Au diable toutes les craintes, les pruderies, l’occasion était trop belle, ce Julien si avenant, si prometteur ; Viviane fit le tour de la belle voiture, ouvrit la portière et dans un éclatement de cuisses s’installa au côtés de son amant. La voiture sentait bon

« Julien ! j’aimerais que tu m’appelles Gréta, c’est plus coquin ! »

« Viviane c’est pourtant très doux, mais tu as raison pour faire l’amour c’est mieux, la croupe de Gréta cela m’excite déjà ! Mais pour toi, Julien te convient il ?»

« Julien oui ça m’excite aussi ! »

Sur cela la voiture s’élança en silence.
Ils se garèrent à une centaine de mètres de son pavillon et entrèrent le plus discrètement possible dans le vestibule

« Nous y voilà » dit Gréta dans un souffle

C’était le moment attendu par le Baron, Viviane allait elle être une amante à la hauteur de son désir ? En la regardant il la trouva mieux que derrière son bureau dans le clair obscur du garage. Elle était presque aussi grande que lui et se penchant très légèrement après l’avoir pris dans ses bras il l’embrassa chastement sur la bouche les lèvres jointes ; c’est elle qui s’ouvrit et il inséra discrètement sa langue entres les lèvres offertes, il y trouva une langue agile qui s’enroula sur la sienne.

Gréta retrouva ce plaisir oublié avec un bonheur indéfinissable, ce long baiser, cette langue qui foyait sa bouche la troublait au plus haut point ; un baiser dans le cou la fit frémir des pieds à la tête, la pointe de la langue au creux de son oreille faillit la faire hurler ; et ces mains qui déjà la caressaient frôlant ses seins et sa taille. Quel amant ce Julien, quelle délicatesse pour lui caresser les fesses sur sa jupe, quelle habileté pour dégrafer son corsage et lui soupeser les seins retenus par son soutien gorge fantaisie. Savait il leur sensibilité, elle pouvait se faire jouir en les caressant, elle ne s’en était pas privé durant ces longues années de solitude mais avec d’autres mains que les siennes la sensation était plus grande encore.

Julien fut heureux et surpris de découvrir les pointes nues émerger par des petites ouvertures du soutien gorge, des tétons bistres raidis. Un après l’autre il les fit rouler entre le bout de ses doigts mouillés, encouragé par les plaintes de son amante qui s’anima en se plaquant sur lui. Pour Julien c’était bon signe, Viviane avait l’air d’apprécier ces caresses sur ses seins, d’expérience cela augurait une sensibilité qu’il comptait bien exacerber. Avant de prendre les tétins entre ses lèvres il lui dit

« Gréta tu as des seins merveilleux ! »

« J’aime qu’on les caresse, ah oui, ouiiii, tu les embrasses, c’est bon, ohhhh ta langue, ouiiiii lèche les bien, ouiiii continue, je suis bien ! »

Julien avait remarqué le changement de toilette de Gréta, son corsage, sa jupe ample de toile légère, en caressant ses fesses il devina les jarretelles et la petite culotte soyeuse ; encore un bon signe, elle s’était faite belle pour lui ; il se félicitait de l’avoir choisi et comptait bien prendre du bon temps avec une amante aussi désireuse de profiter de lui.

« Ne restons pas dans l’entrée cher Julien lui dit elle nous serons mieux ailleurs ! »

« D’accord mais restons un moment, je veux te faire jouir au seuil de ta maison, debout en te caressant la chatte ! »

Gréta se sentit défaillir dans les bras de son amant, sa bouche espiègle qui lui butinait les seins tandis qu’elle était attaqué de toutes parts, sa croupe pétrie d’une main énergique, l’autre main en haut de ses cuisses palpant son ventre sur la robe

« Ecarte tes cuisses chérie ! tu sens ma main qui te frôle, tu sens ta robe qui remonte doucement ? »

Gréta devinait plus qu’elle ne sentait la lente remontée de l’étoffe, les doigts s’agitaient sur son bas ventre, elle ne réalisa que lorsque sa moule fut épousée par la paume de la main et des doigts diaboliques qui maintenant pinçaient les lèvres de sa chatte sous sa robe mais sur sa culotte en un discret frottis décalant ses lèvres en déformant son minou ; déjà un léger mucus facilitait le va et viens d’une lèvre sur l’autre et cela sembla durer une éternité .
Que Julien était doux, sensible, attentif à ses moindres élans, à la houle qui commençait à animer son ventre ; comme naturellement l’autre main passant sous la robe retroussée lui mis la main au cul et prit connaissance de ses volumes

« Ahhh quelle croupe ! Gréta ! quelle chatte ! j’aime te caresser ! tu me plais tu es belle ! tu m’excites »

« Continue Julien, je suis bien moi aussi, je suis prise des deux côtés ! »

Si elle serrait ses cuisses sur sa main un doigt mutin passé sous le fin linon butinait son anus la forçant à s’ouvrir à l’avant ; ses seins étaient tout érectés et bandaient durs et sensibles

« Mais tu as une culotte fendues, charmante gourgandine » miaula Julien

Gréta poussa un petit cri quand il prit sa vulve enfonçant un doigt en vrille dans son minou offert. Julien jubilait, quel calibre de femme ! celui qu’il adorait : des seins gros, fermes, sensibles ; une croupe opulente avec des fesses bien ouvertes, rondes mais longues sans la moindre peau d’orange surmontant des cuisses bien faites ; une grosse chatte enfin, une chatte fruit recouverte d’un fin duvet. Quand il lui donnait du plaisir en la caressant son visage expressif ne cachait rien de son bonheur et le guidait lui sur sa manière de la prendre.

Julien se dégagea, s’éloigna pour mieux la reprendre, il la contourna et se plaqua sur elle de légèrement de profil par l’arrière, il épousa le mieux possible ses formes, son ventre plaqué sur sa fesse droite, ses cuisses légèrement serrées sur la sienne. Il enleva son corsage dégageant ses seins dressés, il l’étreignit en pelotant les deux lobes jumeaux, il les fit vibrer dans l’enveloppe élastique du soutien gorge, il pensa en regardant la merveilleuse vallée qui les séparait et dit

« Ah Gréta quelle belle poitrine, quels nibards ! »

« Tu les aimes hein ! mon homme, attends que je me dégrafe, tu vas voir comme ils sont beaux et fermes, fais moi jouir en les caressant ! »

« Pas encore, soit patiente, je me les réserve pour d’autres assauts »

« Tu vas me rendre folle, chéri, je suis bien ! continue à me surprendre ! »

Il continua donc de lui faire plaisir ainsi en titillant la pointe de ses seins avec les doigts mais aussi avec sa bouche tout en lui caressant la chatte ; Gréta se tordait de plaisir avec par moment des déhanchements brusques lorsqu’elle jouissait. Julien plaqué sur elle pouvait l’embrasser dans le cou, mordiller son épaule, introduire le bout de sa langue au creux de son oreille et quand elle se retournait vers lui, rayonnante il lui baisait la bouche. Gréta embrassait bien ouvrant grande sa bouche, sa langue était enveloppante et détail appréciable elle avait une haleine parfumée. Sa main ne quittait pas la chatte pétrissant sa mangue velue, ses doigts titillant le clito qui eu tôt fait de poindre entre les petites lèvres lubrifiées. Julien savait faire durer cette caresse qui mène ses partenaires à l’orgasme, il senti venir celui de Gréta, des plaintes d’abord, de plus en plus rapides, discrète elle se retenait mais elle ne pouvait maîtriser son corps animés de mouvements désordonnés, d’élancements brusques de son ventre.

Le Baron aimait les femmes qui jouissaient bruyamment, il savait où il en était avec elles ; cela l’excitait toujours de tirer de ses amantes des plaintes, des cris de jouissance. Gréta se retenait par pudeur, seule la hardiesse d'une caresse, une introspection plus profonde, un simple frôlement de sa taille nue lui tirait un petit ahhhh discret

« Ne te retient pas ma chérie, si tu jouis laisse toi aller, ici nous sommes tranquilles, n’est pas honte ! cela m’excite de sentir que tu es bien, que tu t’abandonnes sans retenue à mes caresses, tu peux me le montrer en gémissant de plaisir, crier même, tu verras ! toi aussi tu me feras gueuler de plaisir ! »

« Ah oui Julien je veux te faire jouir, te faire plaisir, merci de me permettre de sortir de ma réserve, Ahhh ahhhhh ouiiii, ahhh que c’est bon de jouir, ouiiiii pistonne moi la chatte, caresse mes seins, ce n’est pas possible ton petit doigt entre mes fesses ahhhhhh ahhh...... »

Elle se débridait maintenant, elle s’offrait davantage, toujours plaqué derrière elle il essayait de suivre cette croupe en furie qui s’animait de puissantes pulsions. Il essayait de la surprendre pour déclencher ses gémissements de joie, de plaisir, de passion. Viviane se demandait comment un inconnu le matin encore avait pu la subjuguer de la sorte, elle jouissait debout dans ses bras ! Ce Julien quel homme était ce ? Sans doute le révélateur de ses envies rentrées, de ses fantasmes qu’elle se forgeait et qu’elle dissipait en se caressant seule.

Seule elle arrivait a se faire jouir avec les quelques gadgets achetés honteusement dans cette arrière boutique mal famée où elle avait manqué de se faire violer ; cela lui avait suffit et lui avait permis de durer jusqu’à aujourd’hui, elle pensait jouir des attributs masculin sans les inconvénients de leur tyrannie.

Comment avait elle pu céder aussi facilement à cet homme alors qu’elle avait résisté plus de dix ans aux assauts masculins qui n’avaient pas manqués. Comment avait il pu la faire mouiller en lui parlant simplement. Et maintenant elle défaillait sous ses caresses, par se attouchement précis il l’amenait aux limites de sa résistance et pudeur délaissée elle criait son plaisir. Il allongeait ses seins en tirant sur leurs pointes, lui baisait les lèvres, la bouche, leurs langues complices et actives. Par dessus tout c’était la variété des caresses qui l’excitait au plus haut point, jusqu’à la pâmoison, jusqu’au vertige, des étoiles pleins les yeux, elle s’entendait crier son plaisir, elle s’agitait en mouvements grotesques, incontrôlés.

Quelles différences avec les plaisirs qu’elle prenait solitaire. Seule elle était maître de son corps, c’est sa pensée qui sans surprise déclenchait les assauts ; quand elle s’enfonçait un gros membre factice dans sa vulve, elle s’attendait à la tension qui suivait l’arrondissage de sa chatte autours de l’objet jouissif ; quand elle serrait ses cuisses sur lui et s’agitait en se pistonnant la vulve, aucun ébranlement n’était surprenant et quand elle se répandait en un spasme de plaisir sa durée n’était du qu’à sa volonté de jouir Et là aujourd’hui, simplement avec ses mains, sa bouche, sa langue Julien provoquait des déhanchements impromptus, des mouvements désordonnés de sa croupe, des plaintes, des cris de bonheur dont elle n’était plus maîtresse.

Avec son homme, autrefois, il avait du en être ainsi, mais elle avait oublié, il devait être moins habile, moins expérimenté, plus égoïste aussi sans doute. Tous les gestes de Julien étaient motivés pour son seul plaisir, saurait elle les lui rendre ? Elle sentait les deux doigts de son amant la pénétrer et s’activer dans son vagin en des points qu’elle même ignorait, les autres doigts de sa main à l’extérieur du vagin amusaient ses lèvres, caressaient l’aine, agaçaient son anus. Chaque pénétration maintenant la faisait gémir, elle allait s’écrouler, ses jambes ne la portaient plus.

Dans un spasme elle sentit Julien se détacher légèrement, sa jupe se retrousser et de nouveau l’accouplement, mais cette fois elle sentait le ventre de Julien sur sa cuisse, elle devinait le long rouleau de son pénis dans la commissure de ses fesses puis elle s’engloutit à nouveau dans une vague de jouissance quand Julien se remit à la branler profondément. Il la soutenait, elle n’était qu’une longue plainte ponctuée de « Julien ! ! » de « Ah ouiii, c’est bon ! » de ouiii et de ahhhh syncopés au rythme du savant et irrégulier branlage de sa chatte.

Julien se régalait, quel morceau de roi, cette croupe qu’il sentait mieux maintenant rouler sur son membre congestionné, ses seins si sensibles, quel tempérament, Gréta réagissait à la moindre de ses initiatives, quelle amante elle allait être ! Il n’avait pas le souvenir d’avoir eu tant de plaisir à ce stade de leur débat amoureux avec ses nombreuses aventures. Son plaisir à lui c’était de faire jouir ses partenaires jusqu’au paroxysme de leur sens, il était un peu voyeur de leur plaisir, il avait pris cette habitude après ses premiers échecs où il avait rejoint trop vite ses amante en pâmoison, il fallait qu’il se garde , qu’il garde sa semence ; il ne fallait pas qu’il se répande sinon comme dans les contes de fées, l’enchantement disparaissait, son membre mollissait ainsi que son envie de faire plaisir.

Jamais auparavant une femelle n’avait réagit si rapidement à ses caresses. Si, peut être ? avec son épouse les premiers temps ; puis cela avait été le fiasco. Certaines femmes ne demandait qu’à avoir son membre dans leur chatte béante, c’était bien mais fulgurant, il explosait en elles, éjaculait puissamment en longs jets nacrés avant de voir sa virilité s’évanouir pour longtemps. Plusieurs fois il avait été insulté par des femelles insatiables, insatisfaites de cette queue si vite amollie, il avait du déguerpir, penaud, vexé ; une fois même il s’était retrouvé en slip sur le palier, ses vêtements épars jetés à terre.

Maintenant il avait une technique qui lui permettait de durer et avec Gréta c’était merveilleux. En retroussant sa robe il avait pu admirer un instant le sex-appel de sa partenaire, elle l’avait gâté, ses bas noirs sustentés par des jarretelles rouges sous une petite culotte du même coloris ornée de broderies noires. Cette culotte était fendue, vous le saviez, détail pratique permettant toutes les folies sans se déculotter. En un éclair il avait aperçu la croupe incendiée et le compas des cuisses ouvertes. Il s’était plaqué sur ces dessous excitants en se centrant cette fois sur ces formes opulentes.

En avançant son ventre il faisait aller et venir son membre encastré entre les fesses offertes, son pantalon d’été ne gâchait en rien la sensation dans son membre durci . Tout en se branlant ainsi avec ses mains libres il continuait de caresser la chatte et les seins sensibles de Gréta qui ne pu résister longtemps, elle se mit à jouir si intensément qu’elle s’effondra, ses jambes ne la soutenait plus et elle ne du qu’à l’attention de son amant de ne pas tomber,

« Viens mon Julien ! Allons dans la chambre, sinon je deviens folle ! mes jambes ne me supportent plus ! Viens mon amour ! continue de me donner du plaisir ! fais moi vibrer ! ah viens !..... »

Julien la suivi, elle l’entraîna dans la chambre

« Gréta cette chambre a t’elle une armoire avec de grandes glaces ? »

« Pourquoi cher amour ? »

« Je veux que tu te voies en train de jouir, que l’on se voit tous les deux enlacés et nus ! que tu vois mon membre s’enfoncer dans ta vulve, mes couilles battre la breloque sur tes grosses lèvres, dans la pénombre nos mêlées ! »

« Ah Julien que vas tu me faire ? »

« N’est pas peur ! tu vas jouir à en hurler ! »

Il y avait de belles glaces, pas de problème de ce côté là, un miroir pivotant d’une bergère qui s’avéra très utile par la suite. La pièce était dans la pénombre, quelques lampes diffusant une image rasante colorée donnaient du relief à la forme de leur corps.
Julien se tenait debout face à Gréta, il l’enveloppait tendrement

« Tu es drôlement sexy ! sais tu ? tu me plais rudement »

Elle murmura
« Merci Julien, tu me plais toi aussi ! je suis bien avec toi !»

« Tu vas être encore mieux, chérie ! je te l’assure ! »

En disant cela il la regardait dans les yeux, la pris par le menton et délicatement lui baisa les lèvres. Ce simple geste attendrit au plus haut point Gréta après la jouissance fulgurante de l’instant précédent. Julien lui quitta délicatement son corsage, il dégrafa sa robe qu’il fit glisser. Gréta complice l’aida à s’en débarrasser.
Il la trouva plus belle, moins grosse, qu’il ne le pensait, elle était gracile, ronde et ferme, ses jambes, ses cuisses parfaites. Le miroir renvoyait leur image, côte à côte au bord du lit dans un clair obscur affolant. Il lui enleva son soutien gorge et ses seins apparurent ronds et durs

« Je me damnerais pour tes seins, je n’en ai jamais vu de plus voluptueux, d’aussi sensibles ! »

« Qui demande de te damner ?Je te les offre, prends en bien soins, tu m’as fais jouir en les caressant »

Tout en lui parlant elle lui ôta sa chemise et dénoua la ceinture de son pantalon, il lui murmura

« Le pantalon seulement ! »

Fiévreusement elle fit glisser l’étroit fuseau, l’enleva et le plia soigneusement sur une chaise comme une bonne femme de maison. Durant ce geste il observa sa démarche, le chaloupé de ses fesses, le modelé de ses cuisses gainées de noir, décidément il avait fait un bon choix

Elle revint vers lui, impatiente de reprendre leurs caresses, elle se jeta dans ses bras, Julien la prit par la taille et sans attendre lui baissa sa culotte ne lui laissant que ses bas et son petit porte jarretelles. Gréta voyait Julien à ses côtés, de sa taille il était plutôt sec et musclé, il portait un slip du genre caleçon court, une sorte de short mais avec une braguette sans bouton. A cet endroit là c’était assez gonflé ; tout à l’heure elle avait senti le long cylindre tout chaud entre ses fesses. Elle eut un long frisson quand Julien après lui avoir prit la taille soupesa ses seins l’un après l’autre, les soulevant pour les porter à sa bouche en un baiser mouillé, elle sentit une main se placer entre ses cuisses et un doigt aller et venir entre les grosses lèvres de sa chatte lubrifiée. Il la mit de profil et lui pelota les fesses les doigts dans la raie de son cul, elle gémit

« Julien, couchons nous, debout c’est trop dur, tu me fais trop jouir, je vais m’écrouler ! »

Julien lui sourit tendrement la tourna le dos au lit, elle devina qu’il disposait un oreiller au bord de la couche, il se plaqua sur elle, poitrine nue contre seins dressés, leurs ventres soudés, il fit pression sur sa taille et elle du se ployer en arrière. Il la soutint jusqu’au lit où elle s’étala cuisses ouvertes, les fesses soulevées par l’oreiller. Julien se coucha sur elle de tout son long et se fut leur premier baiser dans cette confortable position.

Julien se régalait, Gréta se révélait une parfaite partenaire, les caresses semblaient la transporter de bonheur, elle n’était pas du genre impatiente, elle prenait un évident plaisir à tout ces prémices ; sa langue accueillit sa langue mêlée à plaisir en un baiser profond, il lui caressait ses merveilleux seins gros et fermes, il prit tour à tour chacune des pointes les tétant à pleine bouche. Durant son pelotage savant, son bassin, son membre se vautraient dans son entrecuisses offert, sa hampe sous son slip bien centrée allant et venant entre les lèvres de sa chatte. Elle commença à gémir. Que c’était enivrant de faire vibrer cette magnifique femelle, il la bécota dans le cou, lui mordilla le lobe de l’oreille, y introduit le bout de sa langue . Gréta se trémoussait en gloussant, il lui reprit les seins à pleines mains et commença un lent décalage, il lui lécha le dessous de ses bras à petits coups de langue.

C’était trop pour Gréta , elle ne put retenir d’éclater de rire, un rire incontrôlé, hystérique, elle s’agitait en tout sens ; cette caresse ! quelle folie, jamais elle n’avait été si vulnérable, incapable de résister. Julien obstiné continuait de mordiller les chairs tendres de cet endroit érogène, petit à petit sa bouche émigra vers son ventre après une station entre ses seins. Elle tangua quand elle pinça le gras de sa taille, elle fut pétrifiée quand il descendit de son ventre pour l’intérieur de ses jambes ouvertes, le contact était doux, furtif, mouillé, c’était maintenant sa langue seule qui la caressait, elle comprit l’utilité de l’oreiller quand la tête de son amant se plaça entre ses cuisses sur sa vulve offerte. Elle devinait une sorte de chatouillement entre ses grosses lèvres, la langue de Julien lui lapait la chatte, que c’était doux, jamais on ne l’avait assez aimée pour lui procurer ce plaisir si subtil. Julien variait l’action de sa langue, durcie et en pointe elle la sentait s’enfoncer dans son vagin pour l’instant d’après s’étaler pour agacer le pli de l’aine.

Elle ferma ses yeux pour ne se concentrer que sur ces caresses, sa chatte devint complice avec cette langue qu’elle imaginait active entre ses grosses lèvres, elle s’ouvrait pour mieux l’accueillir offrant son clitoris au pointu de cette muqueuse humide qui s’enroulait sur lui. Insensiblement au fil du temps la sensation délicate et agréable qu’elle ressentait entre ses cuisses se répandit, à ses seins d’abord puis dans tout son corps, dans sa tête surtout ; la jouissance éclata d’un coup, formidable, fulgurante, elle ne put s’empêcher de gémir, de pousser des petits cris de surprise et quand sous la langue un doigt puis deux l’enfilèrent elle hurla en s’agitant en tous sens. Jamais elle n’avait jouit si longtemps, si intensément, comment une langue pouvait déclencher un tel plaisir. Elle perdit toute dignité s’abandonnant entièrement à son orgasme elle ne contrôlait plus son corps irradié par le plaisir.

Quel homme ce Julien ! le contraire d’un égoïste, depuis qu’il était chez elle il n’avais pensé qu’à elle et elle en avait profité. Mais lui ? il attendait peut être des initiatives de sa part, elle ne lui avait même pas vu le membre, elle s’entendit dire

« Mon Julien, je suis bien, j’aimerais te rendre un peu de l’immense plaisir que tu me donnes ! »

Elle fut satisfaite car Julien la pria de se relever, il l’aida prévenant

« Oui chérie, agenouille toi.... près de la glace.... oui..... je me mets debout devant toi... qu’en penses tu ? »

« Tu aimerais que je te suce ? »

« Oui Gréta, que tu prennes ma bite dans ta bouche ! que je vois dans le miroir ta langue lécher mon gland avant de s’enrouler sur ma hampe et l’enduire de ta liqueur nacré. Je rêve de baiser ta bouche, de voir tes lèvres serrée sur moi en prendre la plus grande partie ! ah oui c’est mon plus cher désir avant de te refaire jouir encore plus ! »
Jouir encore plus était ce possible ? Gréta connaissait ce fantasme des hommes, son mari lui demandait souvent. Tandis que Julien lui disait son désir elle ouvrit le bouton de son caleçon et le baissa doucement. Elle découvrit un membre honorable, un peu courtaud mais d’une bonne grosseur, il se dressait, très raide au dessus d’une grosse paire de couilles. Il y avait des lustres qu’elle n’avait vu la queue d’un homme et cela la troubla au plus haut point. Quand d’une main elle lui soupesa les parties Julien feulât de plaisir, elle approcha son visage et entrouvrit légèrement ses lèvres, elle se centra sur le bout du gland décalotté, le pinça en l’agaçant avec sa langue.

Elle aussi bénéficiait du spectacle érotique renvoyé par le tain du miroir. Le regard de son amant brûlait la glace ; Julien était comme fasciné, inconscient, absent, le regard vide. Elle s’anima légèrement en s’immisçant un peu plus en dodelinant de la tête. Elle faisait subir au membre bandé maintes flexions, maintes circonvolutions ; Elle sentit la tiédeur de cette bitte, sa douceur, sous la caresse il s’était allongé devenant très long et très gros, elle trouva du plaisir à le sucer. Elle se revit quelques jours en arrière quand elle suçait le godemichet délavé par des assauts précédents, quelle différence avec le membre vivant de Julien, elle le sentait palpiter dans la commissure de ses lèvres, se raidir davantage, se dresser, s’animer, il se dressait arqué , plaqué sur son ventre musclé. Avec sa langue elle lécha cette bitte, la pointe de sa langue sur la grosse veine bleue gorgée de sang, de la base de cette hampe jusqu’au gland décaloté où elle s’attardait à petits coups . Et puis elle redescendait, de plus en plus bas en léchant les couilles, bouche grande ouverte pour les gober, les aspirer l’une après l’autre avant de remonter sa langue enveloppante sur l’énorme phallus.

Elle était encouragé par l’attitude de son amant qui s’animait sous ses caresses en avançant son ventre vers sa bouche, il serrait ses fesses pour mieux s’ouvrir et quand elle se centrait sur ses génitoires ou sur son gland le regard fixe il gémissait comme un gosse. Il y avait leurs sensations il y avait le spectacle, les deux amants fascinés par leurs gestes, leur images, leur posture ; quel tableau érotique ! Gréta était envoûtée par ce qu’elle voyait , les réactions de son amant, la transformation de sa queue devenue énorme sous le simple léchage de sa langue l’encouragea à poursuivre ses caresses, elle s’appliqua en variant ses attaques, souvent elle rentrait sa langue dans sa bouche pour mieux enduire le membre adoré de salive translucide, il reluisait et glissait comme un poisson qu’on sort de l’eau.

Avec un doigt elle avait écarté cette bitte du ventre où elle se plaquait et quand sa langue remontait jusqu’au gland pointé vers elle , ouvrant la bouche elle s’avançait pour le prendre entre ses lèvres et sa langue qui s’agitait autour de lui. Cela sembla plaire au plus haut point à Julien qui manifestait son plaisir par ses plaintes et par des mouvements incontrôlés de son bassin ; si bien qu’elle ne le lâchât plus en branlant le bout de sa queue plantée entre ses lèvres arrondies sur elle. Par contre tout en l’absorbant elle prit ses couilles entre ses doigts et les caressa au rythme des va et viens de sa bouche. Tout en branlant cette queue raidie et lubrifiée elle pensa d’un coup à la sensation qu’elle aurait quand ce phallus pistonnerait sa chatte et surprise elle poussa un long cri étouffé par cette verge qui lui remplissait la bouche.

Cette verge était aussi grosse maintenant que l’énorme membre postiche blafard qu’elle avait acheté à Paris mais elle vibrerait en elle, chaude, souple en des mouvements qu’elle ne contrôlerait pas et qui la surprendrait dans sa jouissance. En fantasmant sur ces moments délicieux qui l’attendaient les mouvements de sa tête devinrent de plus en plus amples, de plus en plus rapides, elle connaissait ses possibilités d’absorption, dans un état second elle allât au delà à en perdre le souffle.

Julien commença à s’agiter, c’est maintenant lui qui se branlait doucement en elle, il sortait sa queue presque complètement de cette bouche accueillante avant de replonger dans des limites raisonnables, son regard brûlait le miroir et leurs reflets ; il commença à murmurer des mots inaudibles puis il se lâchât

« Ahhhhh ouiiiii .....ahhhh c’est bien.... ouiiii c’est bon...ouiiii comme ça avec ta langue.....caresses bien mes couilles...Ohhhhhouiiiiii....Ahhhhh Gréta qu’elle science tu as !....quelle pipe....J’aime ta bouche.....mange moi....quelle profondeur !...ne bouge plus ! c’est moi qui me branle maintenant ! ...regarde chérie cette bitte ! cette bouche, ces lèvres, cette langue qui s’agite... c’est nous.....ahhhh retiens moi... serre bien ma queue....Ahhhh mes couilles.... pétrie les.....doucement...ouiii c’est bien.... avance ta main entre mes fesses.... pense à mon petit cul....oufffff.....j’aime les petites enculettes....c’est pas possible tu vas me faire jouir....je défaille ....Ohhhhouiiiii....mais que fais tu ? Nonnnnn n’aspire pas Ahhhh nonnn c’est trop.....arreeeeete sinon je vais exploser dans ta bouche.....garde mon énergie pour ta chatte....économise mon sperm pour ta vulve .....oui comme ça ! doucement ....c’est bien c’est bon... continue je suis bien »

Gréta comme son amant le désirait avait pris un rythme pour branler le panet luisant de salive. Parfois elle le déglutissait pour mieux l’admirer dans toute sa plénitude, énorme braquemard dressé ; c’était pour mieux le reprendre dans sa bouche. Elle avait prit ses couilles qu’elle flattait tout en en serrant la base de la queue réglant ainsi la longueur qu’elle pouvait absorber sans risques d’étouffement. Julien pouvait maintenant se branler en toute tranquillité son ventre en butée sur les doigts enroulés sur son membre. Il ne s’en privât pas , Gréta voyait dans la glace le spectacle qu’ils se donnaient, son amant se déhanchait pour se vautrer en elle, il ahanait appliqué, entrant et sortant sa verge dans le doux collier de ses lèvres, il était heureux, cela se voyait, son regard perdu, une plainte continue ponctuée de petits cris.

Quel spectacle, fesses serrée il baisait sa bouche, sérieux, elle allait le récompenser, le faire jouir, pour cela sans le prévenir, elle aspira doucement lui pompant le dard pour faire monter la sève de cette branche noueuse, sa langue par dessous épousant la grosse veine bleue gorgée de sang, elle agita ses couilles et dans le temps où elle le pompa plus fort elle l’encula d’un doigt en vrille entre ses fesses. En hurlant il se dégagea en reculant, avec ses mains il serrait son membre, il semblait souffrir le martyr, puis au bout d’un moment, peu à peu il se décontracta et il lui sourit.

« Mon Julien, je t’ai fait mal ? non j’espère, dans ma passion je t’ai peu être mordu ?.... »

« Chère Gréta tu es merveilleusement gentille, tu m’as fait jouir tout simplement et j’allais à une seconde près éjaculer dans ta bouche.... »

« Mais il le fallait, j’aurais aimé que ma bouche te donne l’extase que tu as su déjà me donner, j’aurai gardé ton sperm, j’aurai bu ta vie, ton bonheur »

« Non chérie, tout à l’heure, cette nuit.... »

Elle ne comprenait pas ; il pouvait jouir autant de fois qu’il le voulait, dans sa bouche, dans ses mains, dans sa chatte, dans son........elle arrêta de penser, interdite, elle allait penser dans son derrière, dans son cul ! Elle repoussa ce fantasme infernal ; la sensation de se faire défonçer l’anus l’avait toujours tourmentée, partagée entre l’envie et la peur, la raison et les diaboliques mauvaises pensées.

Julien avait retrouvé son calme, il était reconnaissant de cette merveilleuse pipe en panavision, aucune de ses partenaires habituelles n’y mettait autant d’ardeur, de passion, de gentillesse aussi. Il allait reprendre la longue montée vers la jouissance suprême en guidant Gréta sur le chemin tortueux du plaisir. Il la guida, sans un mot, par de simples pressions de ses mains. Elle comprenait, elle se releva, fit face au lit, s’agenouilla, s’avança un peu à genoux, il la ploya en avant en appui sur la couche par ses avant bras, les genoux s’écartèrent ouvrant largement les cuisses. Elle était en position de levrette, position qu’il adorait faire prendre à ses maîtresses mettant ainsi en évidence l’ampleur de leurs croupes, la minceur des tailles, la mollesse des ventres, la lourdeur des seins

« Es tu bien comme cela ? »

« Oui, mais que vas tu faire ? chéri ! »

Il ne répondit pas, il s’agenouilla dans la rivière entre le lit et l’armoire, sa tête à bonne hauteur en face des fesses de son amante. Quels volumes ! séparés par une gorge profonde bien marquée, quelles magnifiques rondeurs ! Julien commença ses caresses enveloppantes . En mouvements symétriques ses mains prenaient la taille gracile avant d’empaumer les fesses, de rejoindre le ventre et la pointe des seins pantelants, en frôlant l’entrecuisses . En tous ces endroits ses doigts se fermaient sur la chair mole . Quel spectacle excitant que ces fesses blanches dans l’écrin sombre des bas et du porte jarretelles ! Mais il savait ce qu’il voulait, doucement il écartela les oblongs volumes découvrant le fond du vallon.

Il regarda fasciné l’objet de ses plus grands désir, sa passion profonde, ce petit orifice mignon au dessus des grosses lèvres de la chatte , l’extrémité du cloaque le plus intime, cette porte de l’enfer qu’est l’anus, ce centre irrigué de sang, de nerfs, ce centre parfait de la jouissance pour qui sait l’amadouer, le caresser, le perforer, le défoncer, le faire froufrouter. Comment allait réagir son amante si docile jusqu’à présent ? Il avança doucement sa bouche, s’immisçât dans le creux de cette vallée, sortit sa langue, la mit en pointe et délicatement effleura l’orifice mignon pour ce début d’anulingus appelé aussi pétale de rose, rose comme la couleur de la langue, douce comme cette fleur.

Au premier contact, Gréta sursauta en criant de surprise, mais il continua son délicat léchage provoquant un gloussement de rire hystérique et des roulades des fesses qui cherchaient à fuir. Mais Julien était bien trop expérimenté pour se décourager et perdre le contact, il insista jusqu’à ce que Gréta revenu de sa surprise se calme puis peu à peu complice se prête au jeu en s’écartant davantage à la douce caresse. Julien jubilait, la partie était gagnée, certaines femmes ont la pudeur de garder cet endroit vierge de toute familiarité et il est alors impossible de poursuivre une entreprise qui pourtant les mènerait à des orgasmes puissants.

Gréta était manifestement heureuse, épanouie. Après la surprise et les chatouillis du début, elle était maintenant complice de cette caresse anale si subtile, cette sensation nouvelle pour elle ; ce n’était qu’un doux frottement humide. Curieuse elle mit sa main en arrière pour connaître la source de ce plaisir qui commençait à naître au plus profond de ses entrailles, ce n’était pas un doigt comme elle le pensait qui la lutinait, Julien la tête entre ses fesses lui léchait le cul, elle faillit en jouir de surprise, dans sa tête tout bascula et elle imagina le spectacle qu’elle ne pouvait voir. La sensation était minime, la plus douce des caresses, la plus délicate, cette pointe de langue sur son anneau plissé, une onde de bonheur prit naissance de cet endroit si secret, il se révéla la source de sensations nouvelles irradiant tout son corps, elle faillit hurler quand les deux muqueuses s’épousèrent, l’une cherchant à s’insérer dans l’autre, cela semblait impossible mais avec une infatigable persévérance cette langue agaçait le tréma bistre, c’était de grands léchages puis des titillements curieux en bordure du méat.

Curieusement Gréta se décontractait, cette caresse lui semblait même trop superficielle, était ce son fantasme de possession anale mais par un gros membre qui lui faisait penser cela ? Pourtant elle se prêta davantage, elle compris le sens du terme amadoué, elle se détendit, chercha à s’ouvrir, pour cela elle poussa comme pour déféquer, elle ne risquait pas de catastrophe car elle était vide ; elle se félicitait d’avoir pensé à faire une toilette intime durant la coupure. La curiosité de la langue de Julien n’avait pas de bornes, peu à peu elle prenait possession du terrain gagné s’insérant dans l’anus qui s’ouvrait ; plus il s’engageait plus Gréta ouvrait la porte essayant de desserrer au maximum son muscle annulaire puissant.

La langue de Julien devait être très musculeuse car elle sentait la pression augmenter sur son fondement ; il se produisit alors l’incroyable, comme elle poussait pour mieux se prêter à cette caresse jouissive, elle se sentit pénétrée, son anneau venait de céder à l’incroyable insistance de cette langue lubrifiée et pour la première fois de sa vie Gréta sentit une langue dans son anus, une langue vivante plantée profondément dans son cul. Maintenant qu’elle s’était frayée son passage elle s’agitait comme une folle dans l’étroit conduit. Une énorme vague de bonheur la submergea, elle se mit à jouir immédiatement, oui on peut jouir par le cul, elle en avait la preuve mais sa chatte était humide, son clito érecté, ses seins durs, leurs pointes dressée, sa tête en feu.

La langue de Julien se maintenait en elle, Gréta se sentit attaquée de toutes parts, un doigt, le pouce sans doute pénétra sa chatte car les autres doigts palpaient le devant de son minou en serrant ses grosses lèvres sur son clitoris, l’autre main baladeuse de son amant passée entre ses cuisses lui pris ses seins qui pendaient passant de l’un à l’autre les pelotant énergiquement et en pinçant ses tétons. Jamais elle n’avait eu ce sentiment de plénitude ne sachant plus où elle jouissait le plus, des étoiles pleins les yeux , tout son corps dur, irradié de plaisir, sa chatte pétrie, son cul investi, ses seins écartelés. Et cela dura, dura, une éternité ! Quel amant elle n’était qu’une plainte, elle n’était qu’un déhanchement, qu’un écartement jouissif. D’un coup elle perdit tout contrôle et plongea dans le plus puissant orgasme qu’elle n’ait jamais eue.

Puis la vague de sa jouissance diminua d’intensité, le bonheur prit la place de l’hystérie, de la jouissance , Julien se retira et elle s’allongea pantelante et ravie sur le lit, il la rejoint et l’étreignit tendrement, toujours prévenant serré contre elle, il lui prit les lèvres.
« Cela t’as plu ? » lui dit il simplement

« Jamais je n’ai été aussi bien, comment fais tu pour donner tant de bonheur ? »

« Par ce que tu étais complice, j’ai senti ta soif de jouissance, tu es une amante formidable sais tu ? »

« Merci ! Oui j’ai beaucoup de bonheur en retard ! »

« Mais comment as tu fait, seule de si longues années ? »

« Je n’ose te le dire tant ce moyen était approximatif, je m’en suis contentée pourtant ! »

« alors ? »

« Ouvre le tiroir de la table de nuit et tu comprendras ! tu verras les expédients qui m’ont permis de me passer d’hommes ! Je comprends maintenant toutes leurs insuffisances ! »

Curieux Julien regarda et il découvrit, bien alignés dans un écrin un assortiment d’objets imitant plus ou moins bien les attributs masculins, il y en avait de toutes les tailles, certains simples cylindres en plastique de couleur laiteuse se terminaient par une ogive, d’autres plus réalistes, noueux, de couleur chair avec un gland décalotté , enfin, un énorme était complet, couilles comprises ; c’était hallucinant et Julien amusé imagina Gréta se donnant du plaisir avec chacun d’eux.

« Tu dois me prendre pour une mythomane ? »

« Non ma chérie, je te comprends au contraire, tu as bien fait, as tu bien joui avec eux ? »

« Parfois oui, souvent non, il fallait que je m’en contente ! »

« Cela m’excite de t’imaginer avec eux, j’aimerai si tu le veux redonner à ces objets leurs lettres de noblesse, le veux tu ? »

« Je te fais confiance, tu es tellement habile, tu m’as tant fait jouir déjà ; mais toi, ton plaisir ? »

« Rassure toi Gréta je n’ai jamais été aussi excité, tiens je prends celui là, le plus simple, il a la bonne taille, sais tu qu’il vibre si l’on veut »
« Comment il vibre ! »

« Mais oui en tournant plus ou moins cette molette »

« Je ne savais pas, tu sais quand honteuse j’ai acheté ces objets je n’ai pas demandé d’explications, je me suis enfuie ! »

« Regarde ! écoute ! tu entends ce léger ronronnement, regarde je tourne, cela vibre de plus en plus fort »

« Comment ai je pu ignorer cela, tu crois que c’est mieux ! »

« Tu va pouvoir comparer chérie ! rallonge toi.... non dans l’autre sens ! »

Gréta était allongé sur le dos avec Julien sur elle en sens contraire
« Ferme les yeux et guette toutes les sensations je vais m’occuper de ton plaisir ! »

« Je suis toute chose, occupe toi bien de moi »

« Fais moi confiance, je crois que tu vas jouir comme jamais ! »

« Vite Julien, vite, j’en tremble ! »

Julien se redressa pour être à son aise, la croupe de Gréta se reflétait dans le miroir de l’armoire dont il régla soigneusement l’angle d’ouverture de la porte , il déplaça la bergère, la bascula vers le lit de manière à se voir dans une autre posture. Il reprit sa position, bien serré sur son amante, sa tête proche de l’entrecuisses offert dont Il pouvait admirer l’arc parfait ainsi que le léger duvet lumineux qui le tapissait sous la lumière rasante des spots, la chatte était velue à portée de sa bouche, le miroir renvoyait l’image de Gréta vue de dos, les bas noirs de ses jambes mettant en valeur ses cuisses nues zébrées par les attaches rouges de son porte jarretelles accroché aux hanches.

Brusquement il réalisa le sex appel de son amante, de sa Gréta, ah oui il avait fait le bon choix, il pouvait se voir, voir son visage derrière le vé royal des cuisses largement ouvertes il frémit de désir et dans un gémissement se plaqua sur ce corps parfait, son membre érecté s’immisça entre les deux gros seins, et prenant le godemichet il tourna légèrement la molette, un léger ronflement rompit le silence de la chambre.

Gréta concentrée attendait, elle sentit une caresse sur son ventre, c’était une sensation nouvelle, une douce vibration qui se déplaçait sur son corps, c’était agréable, relaxant ; l’ogive passa sur ses jambes des genoux en remontant à l’intérieur des cuisses passant d’une cuisse à l’autre , d’une fesse à l’autre, s’attardant longuement sur les chairs molles. La sensation agréable augmenta comme l’intensité du ronflement, Gréta se surprit à s’offrir à la caresse elle frissonna quand l’objet vibrant s’insérera entre ses fesses, elle sentait l’ogive aller et venir dans la raie de son cul, sans trop s’attarder sur l’anus.

Julien revenait aux mêmes endroits, plusieurs fois passant de l’un à l’autre au gré de son inspiration, il allait partout de plus en plus près de sa chatte, en l’évitant toujours, pourtant il passait tout près quand la vibration gagnait l’aine avant à nouveau d’exciter le haut des cuisses. Par des reptations de son bassin Gréta essayait de présenter son vagin à l’objet jouissif qui se sauvait pour mieux le frôler l’instant d’après. Ce serait devenu un supplice mais comme si l’objet comprenant l’émoi de ce corps était devenu plus insidieux, plus compréhensif ; il s’installa durablement dans la raie des fesses, s’attarda sur l’anus en tournant autour du petit gouffre et doucement revint sur l’avant.

Julien présentait le postiche en l’introduisant par devant, il l’avait enfoncé profondément entre les cuisses, l’ogive coincée au milieu des fesses, il l’animait de petits mouvements de va et viens ; mais doucement il sortit ce vibro en forme de bite si bien qu’il le centra enfin sur la chatte. Moins serré qu’entre les fesses il put frôler les grosses lèvres serrée de ce gros fruit fendu et remonta jusqu’au ventre.

Gloria les yeux fermés était à l’écoute de ses sensations nouvelles, le doux ronronnement du postiche pour le bruit, l’excitation qu’il provoquait aux endroits où il passait, où il s’attardait, mais là où le plaisir commença à naître c’est quand elle sentit sa vulve sujette aux vibrations. C’était immatériel ces allers et retours entre ses cuisses, l’ogive diabolique ne cherchait pas à la pénétrer, par moment elle restait en place et ce n’était pas le moins agréable, son clitoris se mit à vibrer, jamais elle n’avait été si bien, jamais un doigt, un pénis ne lui avait fait cet effet, elle commença à gémir, elle se mit à bander et d’un coup se sentit toute humide, comment avait elle pu ignorer les bienfaits de ses vibrations sur sa chatte ?

Et puis l’objet s’anima, du clito il prit le chemin creux entre les lèvres humides de sa chatte, la sensation devint presque intolérable tant le désir de pénétration devint grand, ce n’était plus la simple ogive qui l’excitait mais le cylindre entier qui se vautrait du clito à l’entrée de sa vulve. Gréta poussa un cri de délivrance quand la vibration gagna l’intérieur de son ventre, elle compris qu’elle était pénétrée, alors d’un coup son orgasme éclata comme une tornade, elle sentait le gode aller et venir, il sortait et replongeait dans sa vulve, elle perdit tout contrôle, toute dignité, elle ne gémissait plus elle gueulait, elle écartait ses cuisses pour se prêter mieux aux caprices du gros cylindre jouissif qui elle le sentait bien la baisait à fond.

Que c’était bon, merci Julien ! qu’elle chance elle avait eu de se laisser entraîner par cet homme si élégant qui lui procurait ces orgasmes puissants. Elle ouvrit les yeux les détourna et le vit, appliqué, le regard fixe sur sa chatte arrondie sur l’objet de tous les plaisirs. En fait son visage était entre les cuisses de son amant, sa bouche en face de ses bourses et de la naissance de sa hampe encastrée entre ses seins, entre deux bonheurs elle extirpa cette queue qui se branlait et la rabattant elle la prit dans sa bouche tout en lui caressant les couilles. Elle comprit que Julien appréciait car il se mit à geindre en s’agitant.

Rien de changea quand il la tourna pour la mettre sur le dos, allongé sur elle il resta dans sa bouche en se branlant entre ses lèvres mais il lui releva les cuisses en calant ses jambes sous ses bras les deux mains libres pour continuer de la faire jouir. Sans trop savoir comment il avait pu faire elle sentit une deuxième vibration se joindre à la première mais sur son anus , autour de son cul puis rapidement centré sur lui. Elle réalisa quand le gland le pénétra que Julien avait pris le gros manche à couilles qu’elle connaissait bien pour s’être longuement branlé avec lui, mais cette fois il s’occupait de son petit trou qui semblait lubrifié par la rosée qui coulait de sa chatte et sans aucun mal, la vibration aidant elle ressentit l’instant où son anneau céda .

La surprise passée ce fut délicieux, Julien jouait de ces deux instruments de plaisir pour renvoyer son amante dans de nombreux orgasmes successifs. Par quel trou la fit elle jouir le plus ? elle ne sut le dire tant les sensations étaient différentes, le paroxysme vint quand Julien se pencha sur elle et ouvrant sa bouche il prit le clitoris délaissé entre ses lèvres et le titilla avec sa langue au rythme alterné des deux godes qui lui pistonnaient la chatte et le cul. Gréta poussa un long cri, perdant conscience, des étoiles pleins les yeux et elle cru mourir de plaisir en s’agitant en tout sens.
Quand elle reprit conscience le visage de Julien était auprès du sien, sa main caressait ses cheveux.

« Baise moi maintenant Chéri, je t’en pris, fais moi jouir encore et rejoints moi enfin dans le plaisir, je veux te rendre heureux mon Julien ! »

Alors Julien lui fit face, il avait les yeux brillants, il lui glissa un oreiller sous les fesses et s’installa à genoux entre ses cuisses ouvertes, il abaissa sa garde et présenta son gland entre les lèvres velues de son amante, il n’eut aucun mal à trouver l’entrée, il glissa ses mains sous l’opulente croupe et d’un coup il s’emmancha dans Gréta qui poussa un cri. Julien savait résister à toutes les caresses, des mains, d’une bouche de ses partenaires mais depuis toujours il était immédiatement vaincu par l’écrin d’une chatte, la tiédeur d’un vagin. Il sentit monter le bonheur nacré, tel un cerf il s’agita en elle, il criait de jouissance, la bouche grande ouverte, les pupilles dilatées

« Ahhhh ouiiii, je jouis ! Ahhhh Gréta j’éjacule ! Ahhhhhh ....... »

Gréta était flattée et inquiète devant cette promptitude à jouir, elle sentait l’énorme membre foyer ses entrailles, le spectacle de son amant déchaîné qui ahanait en elle les yeux fixes la troubla au plus haut point et elle recommença à jouir. La chatte pleine elle allait pouvoir sans retenue atteindre avec une vraie bite cette fois le sommet de l’orgasme que son amant par tant de préliminaires avait si bien su préparer.

D’un coup Julien parut fatigué et s’écroula sur elle, cessant son pistonnage, Gréta sentit son vagin plus libre, moins serré par la hampe en érection. Elle compris qu’ayant fait éjaculer son amant ce dernier s’écroulait pour un instant de répit, de repos. Elle se dégagea, le membre de son amant s’était rapetissé, il était tout rabougri dans son écrin de poils.
Julien devenait piteux, à une question de Gréta il répondit qu’il avait été très bien et qu’il n’avait jamais joui si fort ; Gréta reconnaissante l’enlaça et l’embrassa tendrement

« Merci Julien tu m’as fait jouir souvent et longuement mais toi ? tu dois être déçu, je n’ai pas su faire durer ton plaisir »

Elle continuait de l’embrasser gentiment plaquée sur lui, il sentait les beaux seins de son amante s’écraser sur sa poitrine, elle lui avait prit la tête caressant ses cheveux. Elle dessouda légèrement leurs ventres et il sentit sa main le palper tendrement, elle continuait de lui parler du bonheur qu’elle avait eu grâce à lui.

Incroyablement il se sentit renaître entre ses doigts, le sang, de nouveau envahissait sa hampe turgescente, il se mit à grossir dans sa main, ce fut lent, doux, progressif, inexorable. Gréta retrouvant de la vigueur branlait doucement sa verge, découvrant délicatement son gland en retroussant à l’aide de deux doigts la peau qui le recouvrait, elle lui soupesa ses bourses, ses doigts dans la raie de son cul. Pour elle cela paraissait normal pour un homme de rebander après avoir fait l’amour, quelques caresses coquines pour le remettre en forme suffisaient ; la preuve, de nouveau le membre de Julien se redressait gros, long et dur. Mais lui Julien savait que le désir le fuyait irrémédiablement dés qu’il avait éjaculé, dés qu’il avait joui sans pouvoir se retenir dans une vulve de femme.

Et là ce n’était pas possible, il revivait dans cette main caline, son dard gros et ferme roulait entre les doigts experts de Gréta ; cette confiance en sa virilité qu’elle lui témoignait, c’est cela qui lui avait toujours manqué, la confiance, pas le désir. La Comtesse, sa femme ! au premier ramollissement l’avait délaissé, puis s’était moquée de lui, Gréta, elle, son amante adorée, sa maîtresse avait su ranimer son désir, son membre, il était sûr de pouvoir refaire l’amour.
Gréta ne comprit pas la fougue nouvelle qui animait son amant quand il l’embrassa, cela l’encouragea à quémander ce fantasme refoulé au plus profond d’elle même, elle se surprit à dire

« Julien !....Julien.... »

« Oui chérie ? »

« J’aimerai....si tu voulais.....Ah je n’ose ! »

« Parle mon amour, que désires tu ? »

« J’aimerai que tu , que tu..... m’encules ! »

Elle se tut, interdite, il était trop tard, ce mot vulgaire était lâché, pour qui allait elle passer, pour une pute ? Oui elle était pute quand elle pensait à la sodomie, elle avait essayée avec les godes et savait pouvoir absorber les plus gros des modèles, Julien lui même avec les postiches vibrants avait su la faire jouir par derrière, mais ce qu’elle avait toujours désiré c’était de se faire défoncer mais par une bitte d’homme, bien grosse, bien chaude, bien souple, de sentir son ventre, ses couilles battre ses fesses .

Julien restait perplexe, enculer une femme, cela avait toujours été impossible jusqu’alors ; quand la Comtesse l’avait guidé la première fois dans ce monde des ténèbres, quand ahuri il avait comprit ce que la mâtine attendait de lui, quand son gland avait essayé de s’immiscer dans cette intimité serrée il n’avait pu résister et s’était répandu, salissant tout, souillant les fesses de son épouse ridiculement. Et là Gréta s’offrait confiante en sa rigidité retrouvée. S’il n’avait jamais réussi enculer un beau cul qui s’offrait il en avait toujours eu le plus grand désir.

Frémissant il la fit de nouveau se mettre à genoux en levrette et se plaça derrière elle, il n’eut guère de mal avec ses doigts mouillé de salive à amadouer son anus refermé depuis les assauts du gode, il enduisit également son membre et se présenta à la porte de leurs envies. La croupe de Gréta se présentait sous son plus beau jour, il écarta les deux globes laiteux et centra son gland sur la zone bistre ; une légère pression l’encastra en elle, il était bien, à bonne hauteur, il prit la taille souple et mince et l’attira vers lui, il s’emmancha et rapidement il la força au plus profond d’elle. La glace renvoyait l’image du couple en rut. Il était bien, il était ferme, il résistait à l’immense picotement qui le prenait, de ses bourses à l’extrémité de son noeud, ses mains quittèrent la taille pour prendre à pleine mains les seins par dessous. Gréta commençait à jouir, en silence, concentrée sur ces sensations si attendues.

Julien se branlait maintenant par d’énormes avancées de son bassin écartant les fesses de son amante, qu’il martelait avec son ventre. Ah qu’il était bien, il se sentait un autre homme, puissant, habile, il savait, il sentait qu’il pourrait rejouir quand il le voudrait, mais gros et ferme dans le cul de Gréta il se contrôlait en lui faisant perdre la raison. La souplesse du lit favorisait leurs ébats, il se vit dans le miroir, Gréta regardait également, il avait sous ses yeux un spectacle érotique comme ceux qui étaient dispensés dans les petites salles obscures où il aimait se rendre pour regarder, envieux, les scènes d’orgies d’amants puissants et inventifs. Mais là ! c’était lui qui limait entre les fesses de cette beauté, il la servait durement, il voyait sa grosse queue quand elle sortait du cloaque, luisante des humeurs de sa belle qui se pâmait ; chaque avancée lui tirait un cri, un gémissement qui ponctuait le claquement de ses fesses sur son ventre dur.

Quel amant ce Julien pensait Gréta comblée de réaliser son fantasme refoulé depuis si longtemps. Elle sentait son gros membre coulisser dans son derrière, cela ne faisait pas mal, même à fond. Deux fois déjà elle avait joui comme une folle, orgasmes étranges venant des profondeurs et irradiant tout son corps ; elle se sentait pleine quand il enfonçait à fond son gros membre souple. Elle appréciait l’instant où sortant sa queue il replongeait forçant l’anneau musculeux de son cul. Le plaisir qu’elle ressentait était complètement différent, l’orgasme plus dévastateur et épuisant. Cette situation dont elle rêvait depuis si longtemps était encore plus jouissive qu’elle l’avait pensé et un sentiment de gratitude l’envahit pour celui qui la faisait jouir ainsi, ce Julien !

Pour participer et le remercier elle se serrait sur sa verge en se contractant sur elle, cela tirait un cri de son amant qui semblait apprécier , le pelotage de ses seins devenant plus dur comme elle aimait. Et puis il y avait le spectacle renvoyé par les jeux de glaces, leurs reflets montraient les deux amants sous des angles différents, elle aurait presque oublié que c’étaient eux ces deux êtres qui s’aimaient, qui forniquaient, ses fesses qui s’agitaient, ses cuisses mêlées, cette grosse bite qui retroussait son fondement quand elle sortait énorme, pleine de son foutre. Elle se prêta au jeu de Julien qui tout en continuant servir son cul la dénuda complètement en faisant glisser sa parure, ses jarretelles et ses bas. Quand elle souleva une cuisse pour qu’il enlève ses fins dessous elle se sentit perforer davantage, elle était à poil maintenant comme son amant.

Elle vit le dard de Julien et elle pu admirer la vigueur de ce membre qui lui donnait ce plaisir nouveau, le gland était très gros et violacé, il se hâta de se recentrer sur son anus grand ouvert et quand il s’emmancha un froufroutement d’air expulsé fit une drôle de musique. Cela sembla le troubler et il continua de jouer en sortant sa queue à chaque recul, curieux instrument que ce cul qui chantait, sifflements aigus quand le rythme s’accélérait, longs soupirs quand il ralentissait. Amusée Gréta regarda Julien dans la glace et ils se mirent à rire de bon coeur, si ce n’était la jouissance tenace qui l’envahissait elle serait morte de rire . Ce bruit familier et incongru les rendit complices, une certaine connivence se créa entre eux ; il la fit jouir plusieurs fois de suite, elle prenait du rond avec entrain et Julien pensa qu’elle n’était pas vierge de ce côté là. Quand enfin il se retira, son membre était toujours en pleine forme légèrement maculée.

Gréta le pria de la suivre dans la salle d’eau . La pièce était spacieuse, très claire, il y régnait une moiteur agréable qui sentait bon . Gréta le guida dans la cabine de douche et elle le suivit collée à lui dans l’espace restreint du réceptacle. Délicatement après avoir déversé sur eux l’eau tiède de la douche, prenant une savonnette, délicatement elle entreprit de lui nettoyer la verge, la verge et tout le corps. Julien à son tour l’enduisit de mousse odorante. Serrés l’un contre l’autre ils se caressèrent amoureusement. Celui qui n’a pas connu cette situation ignore le summum le l’érotisme, la sensation extraordinaire de deux corps qui s’épousent qui glissent l’un contre l’autre, la caresse des mains mais surtout le contact des peaux qui se pressent en se mêlant.

Gréta s’était retournée et présentait ses fesses à Julien dont la queue se centra verticale entre les miches de son amante qui se vautrait sur lui. Julien voyait son gland savonneux émerger de la commissure des fesses, le restant de sa grosse queue coulissant bien à fond de la raie du cul. Il ne bougeait pas, c’est cette croupe qui s’agitait sur lui qui lui procurait cette sensation délicieuse, le branlage subtil de sa verge dans l’écrin de son ventre et des fesses allant et venant sur lui. Il crut crier quand il sentit une main saisir ses couilles par dessous et serrer sa verge à la racine. Pour ne pas être en reste il lui caressa la pointe de ses seins les faisant rouler entre le bout de ses doigts. Cela déchaîna son amante qui prit d’agréables initiatives, rabattant son pénis plaqué sur son ventre elle le présenta entre ses cuisses pour le branler d’une autre façon , de temps en temps elle s’avançait et le membre raidi se redressait pour reprendre place entre ses fesses .

Julien se félicitait de la vigueur de son membre qui lui permettait toutes ces fantaisies, il n’avait jamais été si gros, si raide, si bien ; aux réactions de son amante il mesurait le plaisir qu’il lui donnait ; que c’était bon cette paire de fesses qui s’agitait sur lui, encore meilleur l’entrecuisses serré où il se vautrait à plaisir. Quand Gréta écarta ses jambes en posant un pied sur le rebord de la cabine l’accès au plaisir fut plus facile, Julien prenant sa queue en main fit parcourir à son gland le doux chemin qui va sans discontinuer de la chatte à la raie des fesses. A chaque aller et retour il sentait au passage la dépression de l’anus, la vallée profonde entre les grosses lèvres de la vulve, le gouffre de l’entrée du vagin, il s’attardait un peu pour le plus grand plaisir de Gréta qui commença à gémir.

A cet instant Julien pensa qu’il ne pourrait laisser tomber cette femme, si belle, si désirable, si jouisseuse qui lui avait, après tant d’années, tant d’échecs et de rebuffades, révélé ses possibilités. Elle avait par son innocence fait sauter le verrou psychique qui le ridiculisait. Il n’en revenait pas, il bandait , il voyait sa queue raidie dans cette fantastique vallée mousseuse qui s’offrait en s’agitant. Gréta commençait à jouir cela se voyait, sa croupe ondulait, ses gémissement devenaient des plaintes, il fallait la remercier, il n’eut aucun mal malgré la position à se centrer sur son membre grand ouvert et d’une poussée le pénétrer d’un coup, bien à fond, et puis aller et venir dans ce calice lubrifié et profond.

Il la fit jouir plusieurs fois, de plus en plus fort, il devait la maintenir pour lui éviter de s’écrouler. Penchée en avant il la tenait par la taille bien calé derrière elle, ses fesses mis en évidence, il la baisa ainsi d’orgasmes en orgasmes, il savait qu’il pourrait exploser lui aussi quand il le voudrait, il était maître de son plaisir et ne serait ce que pour se tester il résista pour ne pas éjaculer se réservant pour d’autres assauts.


Gloria prépara un petit repas froid qu’ils prirent nus comme des vers dans le petit salon. Sans dire un mot elle lui fit comprendre son désir, il la retourna sur le canapé, cul en l’air et à genoux derrière elle il la reprit, elle était toute humide et il n’eut aucun mal à enfiler son gros dard entre ses fesses. Durant une heure d’horloge il la fit jouir, par la chatte, par l’anus aussi, sous ses assauts les seins de son amantes battaient la mesure, c’était le moment il sentit monter de ses couilles la jouissance, le plaisir et il éclata dans son cul en hurlant de plaisir. Ils n’eurent que la force de se lever et de se jeter sur le lit grand ouvert et de s’endormir d’un puissant sommeil.



Le lendemain était jour férié pour Gloria, pour l’oisif baron c’était tous les jours fête ; ils étaient donc libres et Julien pria son amante de l’accompagner chez lui. Gloria accepta avec une pointe d’appréhension, chez elle elle se sentait en sécurité mais chez lui comment était ce ? . Quand la mercédès pénétra dans l’immense parc en passant sous une grille en fer forgé elle fut sur le point de descendre mais l’enfant qui ouvrit et ferma le portail derrière eux en les saluant la rassura un peu. Comme elle le pensait Julien devait être un chauffeur de maître, elle n’avait rien contre, il était gentil, d’ailleurs son ancien mari ne sortait pas de la cuisse de Jupiter ; et puis Julien baisait bien et jamais elle n’avait joui autant.

Aujourd’hui encore sans aucun doute dans sa chambrette ils allaient se donner du plaisir ; à cette pensée elle frissonna d’aise en serrant ses cuisses, en faite elle sentit l’envie la reprendre. Ils approchèrent d’un château, surprise Gréta reconnu le château du pays. Ils avaient du passer par la porte des fournisseurs ce qui expliquait sa méprise. Dans la cour du château un personnel nombreux s’affairait ce qui finit de la rassurer, l’auto fila vers une aile du corps de bâtiment et tandis qu’elle stoppait un homme se présenta pour ouvrir les deux portières pour les aider à descendre, sur ce il monta dans la voiture et s’éloigna

« Allons ma chère » dit Julien en la prenant tendrement par les épaules « Entrons ! »

De plus en plus perplexe Gloria le suivit le long d’un grand escalier et il la fit entrer dans un immense appartement décoré avec raffinement
« Nous voilà chez nous » dit il, et tirant sur un cordon il s’adressa à la soubrette qui se présenta immédiatement

« Mésange tu nous monte un bon petit repas, nous mourrons de faim ! »

« Bien Monsieur ! et comme boisson ? »

« Champagne ! Mésange ! Champagne ! »

Quand ils furent servis Julien verrouilla la porte en disant qu’ainsi ils seraient tranquilles. Gréta en se promenant dans l’appartement admirait les tapisseries, les tableaux, elle tomba en arrêt devant l’un d’eux, un portrait d’homme, en bas une inscription : Julien Conte de Rouetz , elle se demanda si elle n’avait pas la berlue car immédiatement elle reconnu son amant, Julien vingt ans plus jeune, il était en tenue d’officier et avait fière allure. Elle ressentit un grand trouble et réalisa que celui qu’elle prenait pour un manant, comme elle, en fait était le châtelain du bourg, la personnalité la plus en vue avec le Prince de Cotignac.
Dans sa stupeur elle se sentit caresser par derrière, une main sur sa croupe. Elle s’éloigna

« Nous ne pouvons plus, Monsieur le Conte, Ah Julien comme j’aurai aimé que tu ne sois qu’un simple chauffeur »

« Pourquoi ma chérie ? »

« Mais Julien, ce n’est plus possible »
Gréta était troublée et déçue au plus haut point, Julien s’approcha et l’enlaça
« Et pourtant c’est possible, tu vois, serre toi bien contre moi ! laisse toi aller ! profitons de l’attirance que nous avons l’un envers l’autre »

Tout en parlant, les deux mains sur ses fesses, il la retroussa et une main passa sous son slip en empaumant ses rotondités, un de ses petit doigts pressant son petit anus bien serré . Le courant à nouveau passait entre les deux formidables amants qu’ils étaient il y a simplement quelques heures. Julien se senti palpé à son tour, une main par dessus son pantalon virevoltait sur sa virilité, il sentait les doigts serrer sa verge malgré l’obstacle des épaisseurs d’étoffe, Gréta tira vers le bas pour libérer son membre qui se redressa, elle lui palpa les parties par dessous, elle fit glisser la fermeture éclair, seul le slip séparait sa main de son membre. Julien aimait cette caresse indirecte ou la soie rend plus douce la caresse.

Pour ne pas être en reste il enduisit ses doigts de salive et remettant sa main en place dans la raie du cul de sa maîtresse il força d’un doigt le petit gouffre et le branla doucement, Gréta heureuse commençait à s’agiter en feulant de plaisir.
« Sors mon membre chérie.....oui....les couilles aussi »

« Quel membre ! Je te fais de l’effet...attends tu vas être encore mieux ! »

« Est ce possible ? »

Julien senti une tiédeur humide l’envelopper, il se vautra dans la bouche qui l’accueillait, la corrida de l’amour recommençait. Au bout d’un long moment alors que son phallus superbe et luisant coulissait entre ces lèvres si prévenantes, il lui rendit du plaisir, il la fit se relever, s’agenouiller sur le canapé et relevant simplement sa jupe découvrant une parure des plus coquines il la fourra en levrette en écartant son petit slip. Elle était prête, toute mouillée, grande ouverte, il l’emmancha d’un coup, bien à fond.

« Ecarte toi bien....oui »

Il la prit par la taille et s’activa sur elle en limant de toute la longueur de son pénis, elle se mit à jouir immédiatement en gloussant de plaisir. A plusieurs reprises il la sentit se tendre, à ces instants son vagin durcissait en s’ouvrant en grand, sa bitte à l’aise d’un coup avant qu’à nouveau la chatte se referme en serrant sa hampe. Julien était aux anges, cette liberté qu’il avait maintenant grâce à Gréta de baiser en étant maître de son éjaculation de satisfaire longuement cette maîtresse si confiante en sa virilité, un instant il pensa ce qu’il en serait quand il rebaiserait une autre femme, amusé il pensa à cette folle de sexe insatisfaite qui l’avait insulté, il se promettait de la revoir et de lui roder le cul.

En cet instant il était bien au bord de sa jouissance qu’il dominait. Il se retira, le temps de découvrir les fesses de son amante en baissant sa culotte, prenant en main son engin il monta à l’étage supérieur et avec précaution pressa son gland sur le petit cratère bistre de son cul, halluciné par le spectacle de sa grosse bitte s’enfonçant lentement dans ce joli cloaque. Peu à peu, ils se mirent nus, une culotte par ci, un pantalon par là, une chemise, un soutien gorge qui libère des seins .

Julien allongea Gréta et se plaçant entre ses cuisses il lui fit une langue dans sa chatte, elle appréciait battant des cuisses, insensiblement il se décala en remontant jusqu’à l’embrasser sur la bouche, il n’eut aucun mal à la pénétrer, elle le regardait intensément, il pensa que c’était la première fois qu’ils se baisaient de cette manière, il lu la jouissance dans ces yeux, plusieurs fois, en la prenant il la caressait, les seins ,les fesses, cela la rendait folle il la voyait, il sentait l’agitation de son corps, sa bouche n’était qu’une plainte. Dans une accalmie les rôles s’inversèrent, Julien allongé sur le tapis et Gréta à cheval sur lui, c’est elle qui prit son membre le releva et pliant ses jambes elle se centra et s’engloutit sur lui en une chevauchée fantastique...............



Gertrude avait les yeux révulsés, son regard était fixe, elle avait prit le gros godemichet et elle se défonçait la chatte en énormes allers et retours. Elle avait mit un pied sur un fauteuil pour mieux s’écarteler. Habillée elle avait guidé le gode sous sa culotte, depuis plus de deux heures elle serrait ce membre factice entre les lèvres de sa chatte les yeux fixés sur la petite lucarne de verre dépoli qui donnait sur l’appartement de son époux.

Il y à longtemps qu’elle ne regardait plus les ébats amoureux de son mari, il amenait de temps à autres quelques gourgandines qui pour un billet sans doute, ou simplement flattée de s’envoyer un conte devait subir des heures entières les caresses de Julien . Cela ne se passait pas toujours bien avec certaines femelles qui attendaient de lui des plaisirs plus substantiels avec un membre de feu et non des doigts ou une langue fut elle des plus curieuses. Il les chevauchait alors pour s’écrouler immédiatement souillant leur ventre ou leurs fesses. Certaines le supportaient mais leur mine n’étaient pas toujours réjouit, leur regard indulgent et compatissant.

Pourquoi avait elle regardé aujourd’hui ? Elle avait aperçu le couple sortir de la limousine, était ce le gabarit de cette femelle, la rondeur de sa croupe, la fermeté de ses seins, sa figure avenante ? Elle ne donnait pas cher de la résistance du pénis de son Julien qui adorait, elle le savait les formes généreuses .

Gertrude, bien servie chaque semaine par son gendre Hubert se masturbait de moins en moins. Quand elle avait tiré sur la chaînette pour découvrir le miroir sans tain elle avait été abasourdie, Julien à demi nu ahanant entre les fesses de la drôlesse. Cette croupe ! quel morceau, un cul à damner un saint, des cuisses ! des seins ! La donzelle se trémoussait en levrette sur le dard de Julien et manifestement elle jouissait. Quand Julien sortit son membre luisant elle remarqua sa vigueur, il se dressait énorme, le gland décalotté avant de replonger dans les entrailles de sa nouvelle maîtresse qui se pâmait en hurlant son plaisir.

Ma parole il enculait la peu farouche femelle qui prenait du rond avec délices ; Julien lui écartait les miches pour mieux l’introduire, quelle salope ! elle jouissait par le cul et avait l’air d’aimer ça. Dans son va et viens au moment du recul Gertrude pouvait voir l’anus fracturé arrondi autour de la bite énorme de son mari. Comment était ce possible où avait il acquis cette providentielle résistance ?

En observant son mari, nu maintenant elle remarqua son corps, quel changement là aussi !des muscles, des attaches fines, plus de ventre, une poitrine bombée, des abdos ! Elle n’avait pas vu sa métamorphose. Excitée par le spectacle où elle n’était que voyeuse, elle avait rapidement prit le postiche dans son écrin et l’avait sucé quand la gourgandine avait sucé le membre de Julien puis elle avait glissé l’engin dans sa culotte pour se masturber. Pour une fois le gode qui l’avait toujours satisfaite lui sembla froid et rigide comparé à cette bitte frémissante gorgée de sang et de foutre.

Infatigable le couple variait les positions à genoux entre les cuisses de son amante Julien lui lécha la chatte mais ne s’attarda pas comme à son habitude et quand ils se baisèrent face à face Gertrude eut le spectacle des fesses de Julien qui s’agitaient en tous sens. A ce moment là malgré sa fureur elle de mit à jouir elle aussi, orgasme puissant et dévastateur qui la laissa épuisée.

Les jambes en appui sur ses épaules il la baisait encore, il se penchait de temps à autre pour l’embrasser et pour lui peloter les seins, elle avait l’air d’aimer ça la pute ! Il s’y prenait bien, comment pouvait il résister ? D’un coup les corps s’agitèrent, leurs mouvements erratiques, les plaintes devinrent cris, Julien les yeux perdus la queue bien à fond eut un rictus, il jouissait enfin, la poule semblait heureuse de prendre la giclée de sperm dans sa chatte et le rejoignit dans son orgasme, ils restèrent ainsi immobiles soudés par leur bas ventre la queue plantée bien à fond.
Enfin il allait s’écrouler ce n’était pas trop tôt. Julien se retira, incroyablement il bandait encore, il se fit sucer, elle savait y faire la salope ! manifestement cela lui plaisait, on pouvait voir sa langue tourner autour du gland et quand elle reprenait le membre dans sa bouche ses joues se creusaient, elle pompait le dard de Julien qui d’un air béat se laissait faire. Quand il se retira se fut pour se branler entre les seins qu’elle serra sur son membre, on pouvait voir le gland violacé émerger des deux lobes, dans un cri Julien éjacula à nouveau et chacun pu voir le jet puissant de sperm inonder la bouche penchée sur le gland.

Les deux amant semblaient satisfaits d’eux, ils avaient bien jouis, ils se réajustèrent, goûtèrent du bout des lèvres les mets servis par Mésange. Julien sonna deux fois et par l’hygiaphone commanda la voiture. La pute sortit seule après un baiser passionné bouches ouvertes. Il lui glissa un mot à l’oreille, un rancart sans doute et elle sortit.

Quelques secondes après Mésange entra en s’excusant de venir si tôt pour dégager les reliefs du repas. Elle ne sembla pas surprise quand le conte l’enlaça, la retroussa, la bascula sur le dos cuisses ouvertes sur le sofa , et sans enlever quoi que ce soit, écartant simplement le petit cache membre et sortant sa grosse queue il se planta dans sa vulve juvénile. Le conte se vautra un grand moment dans la délicieuse jeune fille qui sembla surprise, le conte contre toute attente n’explosant pas tout de suite au premier va et viens de sa queue.

Gertrude était éberluée et furieuse, depuis quand son mari avait acquis cette puissance, cette endurance, ce savoir faire qui faisait jouir ses partenaires alors qu’elle, sa femme n’avait rien deviné, et se desséchait la chatte vide. Julien face à la soubrette lui avait relevé les cuisses pour mieux la servir, de nouveau la comtesse du se branler avec le gode tant son désir était intense, elle entendit Mésange se pâmer

« Ahhhhhh Ohhhhh, Monsieur le Comte Ahhhhh ! »

« Que t’arrive t’il petite Mésange ? Je te fais mal ? »

« Oh non ! ahhhhhh ouiiiii ! »

« Tu as mal ? »

« Non au contraire je suis bien, jamais encore je n’avais eu cette sensation avec vous, Ohhhhh ahhhh que m’arrive t’il ? »

« Avec moi ? mais avec d’autres ? »
« Il n’y à que vous monsieur ! Ahhhh je suis bien, je sens votre grosse queue dans ma chatte, d’habitude elle est moins grosse et moins dure, Ahhhh continuez n’arrêtez pas comme l’autre soir, ohhhh c’est bon, c’est bon, pourquoi monsieur ? »

« C’est simple petite, tu jouis ! »

« C’est la première fois, c’est bon ! pourquoi aujourd’hui ?ahhh ce n’est pas possible, je suis de mieux en mieux »

« Tu vas voir, bientôt tu ne pourras plus parler quand l’orgasme va venir ! »

« L’orgasme ? Ahhhhhh ouiiiii c’est bon, plus vite ! plus profond ! Ahhh elle est grosse, je la sens bien, mais que faîtes vous ? nonnnnn, siiiiii c’est bon aussi ! »

« Tu sens mon petit doigt dans ton joli petit cul ? tu le sens qui te branle par derrière comme mon membre par devant ? c’est bon, je le sais, Ahhh je suis bien moi aussi »

« Vous allez jouir vous aussi ? »

« Oui quand je t’aurais fait jouir plusieurs fois ! »

« Ahhhhhh ouiiiiii ahhhh c’est bon ! je suis bien, merci, encore ! plus vite, Ahhhhhhh ! »

Mésange jouissait très fort, cela se voyait, elle ne parlait plus, elle gémissait en remuant ses fesses ; Gertrude scrutait son regard perdu, la bave à la commissure de ses lèvres, Julien semblait heureux, infatigable il la fit jouir plusieurs fois, qu’elle était belle cette jeune Mésange dans le plaisir, Julien la prit de plusieurs façons, elle se laissait faire tout à son plaisir, quand il l’abandonnait pour quelques secondes Gertrude lorgnait son membre, énorme, dressé, décaloté ; elle était en levrette, allait t’il l’enculer le salaud ? Non apparemment il replongea dans la petite chatte et Mésange recommença à jouir, dans cette position Gertrude devinait la profondeur des pénétrations et ne fut pas étonné d’entendre la soubrette crier sa jouissance, à un moment elle s’écroula et il se retira.

« Comment vous remercier pour tout le plaisir que vous m’avez donné ? »

« Mon plaisir c’est de t’avoir fait découvrir la jouissance, tu es une femme maintenant ! »

« Merci , mais vous ? »
« Puisque tu insistes, caresse moi, attend je baisse ma culotte ! »

« Elle est grosse ! »

« C’est parce que tu m’excites, oui laisse toi aller, devine ce qui me fait du bien, ouais ! tu t’y prends bien ! soupèse mes couilles en même temps, ouiiii c’est bon ! »

« J’imagine votre verge dans ma chatte, j’étais bien ! et vous ? »

« Très bien ! suce ma queue si tu veux ! »

« Vous voulez que je la prenne dans ma bouche ? »

« Oui ma belle, pour en prendre le plus long possible ! »

« Comme çà ? »

« Ouiiii très bien, lèche mon gland aussi......ahhhh ouiiiiii.....tu suces bien ! Prends mes couilles aussi.....aspire......prends l’autre..... »

« Je vous fais jouir ? »

« Pas encore, mais cela viens....j’aimerais jouir en restant dans ta bouche »

« Comme vous voudrez ! je veux que vous soyez aussi bien que moi tout à l’heure !»

« Quand je jouirais j’éclaterais dans ta bouche et la remplir de mon sperm ; tu le veux ? ...... oui ? alors reprends ma queue.... oui.... palpe moi les couilles....parfait... mais que fais tu ?»

« Vous sentez mon doigt dans votre cul, je sais que c’est bon ! »

« Oui c’est bon, je baise ta bouche.....Ouiiiiii.....ahhhhhh..... aspire......ahhhh je jouis....j’éjacule entre tes lèvres.....ouiiiiiiiiiiiii....... »

Manifestement Mésange était heureuse de faire jouir le comte, elle continua de le branler pour extraire la dernière goutte de plaisir. Ils se relevèrent et il s’embrassèrent, bizarrement, chastement.

« Nous recommencerons j’espère Monsieur le Comte ! »

« Simplement si tu le désires ! »

« Je le désire déjà ! »

« Tu ne regrettes rien alors ! »

« Oh non ! merci ! »

« Et bien si tu veux, pense s’y, la prochaine fois, en plus de ce que nous venons de faire, je glisserais ma bitte dans ton petit cul, tu verras comme c’est bon quand c’est fait avec délicatesse ! »

Mésange lorgnait vers le membre du Comte qui avait gardé sa vigueur
« Cela ne me semble pas possible ! »

« Et pourtant si, tu verras si tu le veux, entraînes toi si tu as peur ! »

« M’entraîner ? »

« Tout à l’heure as tu eu mal quand je t’ai enculé avec mon doigt ? »

« Enculé, cela se dit ainsi ? »

« Oui Mésange ! »

« Un doigt, et votre queue ce n’est pas le même format, je vais avoir mal ! »

« Non crois moi ; tu vas jouir encore plus fort ! »

« C’est incroyable, mais vous parliez d’entraînement ? »

« Fais le toi même, avec un doigt, quand tu te douche et que ton cul et ton doigt sont bien savonneux »

« Et puis, ce n’est pas tout je suppose ! »

« Choisit des objet plus gros, tu verras avec quelle facilité tu te pénètreras, surtout si tu penses à moi, à ma grosse bite ! »

« Quels objets, j’en frémit en y pensant, il me tarde d’essayer »

« Prends cela si tu veux, tu vois les deux bouts arrondis n’ont pas la même grosseur, commence par le plus petit »
« Le plus gros est bien gros ! »

« Tu verras avec du savon... »

« Monsieur le Comte vous me faîte découvrir un monde nouveau.... c’est quoi ce membre en plastique rose ? »

« On dit un godemichet, un gode....un sex toy aussi, tu le prends....oui «

« Cache le, tu me le rendras.....peut être même qu’il te suffira et que tu n’auras plus besoin de moi »

« Je vais m’entraîner, quand je serais prête je viendrais comme tous les jours à votre service, ce jour là vous comprendrez que je suis prête. »

« A bientôt petite Mésange j’ai été très content de toi, nous avons bien joui »
Mésange s’éclipsa discrètement en tortillant sa jeune croupe magnifique.


Ainsi apparemment tout le monde profitait de la nouvelle vigueur de son mari, et elle sa femme qui l’avait délaissé à cause de son infirmité à jouir trop vite elle était réduite à se masturber solitaire. Ah non ! impossible, elle se rajusta et se fit annoncer . Le Comte l’accueillit gentiment un léger sourire aux lèvres comme on accueillerait une soeur.

« Qu’arrive t’il, chère Gertrude, ta présence est rare dans mes murs, il n’est rien arrivé de grave j’espère ? »

« Non rassure toi c’est moi qui ne vas pas ! »

« Cela a l’air grave, tu es toute pâle ! parle, »

Gertrude se sentait défaillir, elle allait tomber quand elle se sentit soutenue, relevée, serrée, Julien lui releva son visage et sa bouche pris la sienne. Gertrude tremblait comme une feuille, elle se laissa aller , il la guida vers le divan, la mis à genoux, croupe en l’air, sans un mot il retroussa sa jupe de cuir découvrant ses fesses qu’il dénuda en baissant sa culotte. Il était tout ému lui aussi derrière celle qu’il désirait le plus au monde, il attendait cet instant depuis si longtemps, il connaissait son tempérament ; il allait l’enculer directement sans préparation, il avait baissé son pantalon, simplement il enduisit son gland de salive et avec son doigt mouillé il chercha son chemin.

Comme électrisée il sentit sa femme frémir mais il la sentit prête, écartant les deux lobes divins le gland remplaça le doigt et d’une poussée il s’enlisa à fond de toute la longueur de son gros dard, son ventre claquant les fesses royales. Ainsi emmanché il la souleva pour la coincer la tête dans l’angle du sofa. Brutalement il lui arracha son slip arachnéen qui génait pour ouvrir grand ses cuisses et la folle sarabande commença. Au premier va et viens il cru qu’il allait éclater de plaisir mais il pensa à son amante Gréta il résista pour ne pas éjaculer dans cet écrin serré.

Maintenant il la servait durement, Gertrude aimait çà il le savait, déjà elle se pâmait en gémissant. Durant plus d’une heure il la fit jouir en d’énormes aller et retour de son membre en faisant froufrouter le sphincter dilaté, son ventre battant la cadence sur les fesses rebondies. Cinq ou six fois il la transporta dans un autre monde ; lui parfaitement maître de la situation, il ne bougeait plus mais tenant sa femme par les poignées d’amour c’est elle qui s’empalait sur son membre.

Gertrude mourrait de plaisir, elle ouvrait son cul au maximum pour recevoir l’énorme membre de feu de son mari enfin retrouvé. Une mauvaise pensée l’assaillait et parfois pour le faire faillir à sa résistance elle se serrait puissamment sur la hampe, mais la bitte emprisonnée résistait et ravageait son fondement elle devait battre en retraite désespérant de vaincre la maîtrise de son époux. Il lui faisait mal par moment et c’était délicieux. Saurait-elle récupérer son mari pour profiter de sa puissance alors qu’elle l’avait congédié quand il jouissait trop vite.

Il la fit jouir dans toutes les positions, il la suça , elle fit de même, il la fit jouir avec ses doigts, sa bouche, sa langue, avec sa queue, dans la chatte, dans son cul, dans sa bouche, entre ses seins ; elle n’était plus qu’une loque entre ses mains et elle en redemandait. Mais lui jouissait il ? Il semblait prendre plaisir à rester maître de lui, gros, bandé, mais sec, était il asséché par tous les assauts dont elle avait été témoin. Il lui prouva que non mais c’est lui qui se fit jouir quand anéantie elle s’écroula ivre de tant jouir. Il s’avança vers son visage, la bitte à la main et il se branla devant elle, elle voyait sa main retrousser son gland avant de le recouvrir de la peau de son zob, ce fut rapide, quand il voulut il éclata et un jet puissant de sperm l’inonda salissant son visage, prouvant ainsi que le maître maintenant c’était lui.

Ils discutèrent un long moment, ils allaient retrouver une vie de couple, il la baiserait souvent mais se gardait le droit de contenter d’autres femmes. C’était à prendre ou à laisser. Ce fut à prendre et tous les deux furent satisfaits de ce marché.
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Histoire de Pierre le Grand

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