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Mes chéries

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Lue : 1036 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 12/01/2014

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Nous étions fais l’un pour l’autre. J’étais vicieux, Andrée l’était aussi. Nos amours étaient des combats à la recherche du plaisir maximum. Tout nous était permis. Nous prenions régulièrement de courtes vacances vers le soleil. Nous aimions nous montrer fréquemment pendant que nous nous aimions : surtout elle qui voulait que les gens la voient jouir. La dernière fois que nous avons, pardon qu’elle m’a fait l’amour c’était divin. Elle voulait que je sois couché sur le dos, les cuisses bien ouvertes. Sa tête entre mes jambes. Je sentais sa langue envahir mes cuisses pour arriver doucement sur l’anus. Elle posait juste le bout de la langue sur le cul, la forçait un peu pour la rentrer. Je me faisais enculer par mon épouse. Elle me le payait quand je lui mettais ma bite dans son petit trou.

En plus de nos étreintes, Andrée aimait se caresser soit seule, soit devant moi. J’aimais voir sa main naviguer sur sa chatte. Elle commençait immanquablement par caresser le clitoris, puis ayant jouit une fois, entrait le gode soit dans le sexe soit dans son cul. Je lui demandais souvent de baiser avec une autre fille : pas question.

Et puis elle a eu un accident. Bloquée des mois à l’hôpital, elle était à jeun d’orgasme. Moi, comme elle j’attendais son retour. Elle me demandait, après y avoir réfléchi de chercher une autre femme pour mon plaisir.

Je n’osais pas le lui dire non : elle insistait : il fallait même que je la lui présente. Son hospitalisation se prolongeait.

Je me masturbais presque tous les jours. Une fois même c’est elle qui a voulu me le faire.

Un jour un couple d’amis a divorcé. Plusieurs semaines plus tard je rencontrais Anne, la divorcée. Nous étions assez libres, assez pour qu’elle me dise qu’il lui manquait de faire l’amour, pas seulement en se masturbant. J’avais l’occasion de trouver avec Anne une femme comme maitresse par surprise : elle répondait parfaitement. Je l’emmenais chez moi sans rien dire. Elle savait se que je désirais, elle en voulait autant. Dès l’entrée chez moi, elle se collait contre moi, sortait ma bite. Elle allait bien plus vite que moi. Je pensais, j’espérais qu’elle allait prendre ma queue dans la bouche. Elle l’a prise, mais dans son vagin. Je jouissais trop vite, normal pour une première fois. Elle a su me laisser en érection. Elle me reprenant encore dans son vagin. Cette fois elle jouissait comme moi. En huit jours nous avons fait l’amour je ne sais combien de fois. Quand je lui parlais de ma femme, de son désir de la connaitre, elle ne disait pas non.

Un après midi, j’allais voir Andrée à l’hosto avec Anne. Elles se connaissaient un peu. Elle était satisfaite que j’ai enfin un autre corps que le sien. Son souhait : que nous baisions bien l’un et l’autre.
Plusieurs mois ont passée : Andrée est sortie de sa maladie. Elle me désirait encore. Je me trouvais, sans trop le vouloir avec une femme et une maîtresse. Je m’arrangeais pour baiser au moins deux fois par semaine avec Anne. J’en parlais un peu à Andrée qui ne semblait pas jalouse.

Je savais que ni Andrée, ni Anne n’avaient eu de relations saphiques, ce que je voulais qu’elles fassent. Je ne savais pas trop comment débloquer ma situation. C’est Andrée qui invitait un soir Anne, pour me faire plaisir. Elle devait avoir une idée en tête.

C’était un été chaud : nous étions en petite tenue : les deux femmes en robe légère : moi sans sous vêtement. Je me sentais fier avec ses deux femmes sexy. J’espérais que la situation allait évoluer.

C’est ma femme, Andrée qui s’y est mise la première : elle m’embrassait profondément, passait sa main sur le pantalon, presque à sortir ma queue. Anne surveillait tout. Savoir que ma femme me cherchait me faisait bander. Elle se tournait vers Ane, comme pour l’informer. Elle sortait ma queue devant mon amante. J’aurais voulu être nu, j’aurais voulu que les deux femmes réunies me caressent partout.

Je me levais raide, le pantalon aux pieds. J’étais l’image du mâle triomphant. C’est vrai que ma bite était énorme. Je bandais tant que le gland sortait seul de son étui. Je tendais ma queue vers ma femme et ensuite ver ma maîtresse. Je voulais les baiser les deux. Je prenais ma femme dans les bras : elle tenait ma queue, j’arrivais à faire lever Anne qui se mettait à caresser mes couilles.

La suite a eu lieu dans la chambre. J’étais entre les deux femmes nues. Elles me caressaient partout une vers le haut, l’autre vers le bas. Je pouvais assez facilement leur passer la main sur le clitoris pour les faire jouir, ensemble, peut-être. C’est ma femme la première qui avait un orgasme assez violent. Je me consacrais avec ma langue à la chatte d’Anne. J’arrivais à lui donner son plaisir. Elles se sont mises à deux : une tenait la queue, l’autre la léchait. Je ne sais plus qui faisait quoi.

Je sais qu’à un moment les deux langues se sont croisées sur ma bite. Ma femme sans doute posait sa bouche sur celle d’Anne. A partir de là, elles ont commencé à se caresser, comme de vrais lesbiennes. Je les encourageais à se lécher ensemble. Je n’ai pas eu besoin de leur expliquer comment faire : elles trouvaient la meilleure position.

Deux femmes dans son lit qui se font un 69, quoi de plus excitant. Elles y prenaient gout, elles jouissaient plusieurs fois de suite. Je bandais trop, je me suis mis sur celle qui était dessus. Je crois bien que Andrée menait la danse en prenant ma queue pour la mettre sur le petit trou d’Anne. J’enculais une fille aidée par l’autre. Je sentais ce cul s’ouvrir doucement, je mettais toute ma pine en elle. Je sentais les spasmes de jouissance d’Anne. J’étais obligé de sortir mon engin pour honorer le cul de ma femme. Il était plus serré que celui d’Anne. Andrée écartait ses fesses à deux mains : elle ouvrait son anus, elle me faisait entrer dans son intimité.

Je sentais sur mes couilles quelque chose : le visage d’Anne. Je le sens encore quand nous baisons : nous vivons ensemble : les deux femmes sont heureuses en ménage à trois. Elles ne se contentent plus seules, il leur faut des godes spéciaux pour se baiser à deux femmes. Des fois j’ai droit de recevoir moi aussi le gode dans le cul pendant que je baise une des deux. Finalement la vie est parfaite à trois.
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Histoire de baiserjouir

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