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Milf et auto-stop

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 18/08/2025

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MILF ET AUTO-STOP
Ça s'est passé il y a quelques années déjà, mais ça restera un de mes meilleurs souvenirs. Au moins pour ce qui s'est passé par la suite.
Si je travaillais à l'époque dans la région parisienne, j'enseignais les maths, je venais passer mes vacances dans un petit département du Sud-Ouest où la nature avait encore son mot à dire...Je louais dans de petits villages...
Cette année-là, donc, j'étais dans un petit hameau au dessus de la préfecture F... Plusieurs blocs de maisons en plein milieu de la nature...Idéal pour se détendre, se balader...Des joies simples...
J'avais du amener ma voiture au garage la veille. Un voyant allumé...Le garagiste avait passé la valise électronique, c'était simplement un défaut de voyant...Ca m'avait rassuré...Je devais retourner la chercher. Entre la maison que je louais et F... il y avait 8 kilomètres...Une route étroite y amenait, en traversant d'autres hameaux au noms fleuris.
La veille, j'étais revenu en faisant du stop. Un papy sympa, qui m'avait raconté sa vie, intarissable, il habitait un peu plus bas, j'avais fini à pied.
Donc là, je devais repartir au garage, je me suis mis au centre du hameau, une petite placette, traversée sur la droite par cette petite route étroite et cabossée. Et j'ai levé le pouce.
Ça pouvait paraître saugrenu, comme ça, en pleine campagne, mais, je m'en étais rendu compte, il y avait une circulation régulière.
Et effectivement, cinq minutes après, une grosse berline rouge passe. Qui ralentit, et s'arrête devant moi.
Une vitre baissée.
--Je peux vous emmener quelque part ?
Et là, j'en ai pris plein les mirettes.
Elle devait avoir 50 ans (moi j'en ai 33) et c'était...Une explosion de sensualité. Elle était...Pour reprendre une expression cliché, elle aurait fait bander un mort. Elle avait tout ce qu'une fille de 20 ans n'a pas. La sensualité et l'expérience...La décrire, c'était poser des éléments concrets, mais il est difficile de rendre avec des mots ce qu'elle dégageait. Troublante au possible, on percevait tout ce qui était possible avec elle sur le plan sexe, un monde de possibilités...Blonde, avec des cheveux coupés courts, mais ça lui allait bien, de magnifiques yeux pervenche, un visage bien dessiné, une bouche pulpeuse, un maquillage qui la mettait en valeur, et un corps plein généreusement dévoilé...Une simple robe noire, courte, qui soulignait ses formes, une poitrine qui tendait le tissu, tout comme ses hanches, et une superbe paire de jambes qu'il était difficile d'ignorer, parce que la robe, courte au départ sans aucun doute, était remontée très haut. De la sorte, elle offrait au regard des jambes qui me semblaient bien dessinées, prises jusqu'en dessous du genou par des bottes à talon aiguille, et ensuite enveloppées du nylon de bas stay-up, dont l'attache était bien visible, tellement la robe était haut, de même que sa chair, et une petite culotte blanche qui devait être de plusieurs tailles inférieure à ce qu'elle aurait du porter, qui dessinait son sexe avec une précision infiniment plus troublante que si elle avait été cul nu, le renflement de sa vulve, et la fente au milieu, bien marquée.
Était-ce un indice que de considérer qu'elle ne faisait absolument rien pour descendre sa robe et masquer son intimité? Ou alors qu'elle n'y pensait même pas...
— Je descends au garage V... à F... Si vous pouvez simplement me déposer à l'entrée de la ville, ça me suffirait.
— Je peux aussi vous y déposer.
Je me suis glissé à côté d'elle, dans l'habitacle. Un parfum que je ne connaissais pas m'est monté aux narines. Subtil, et aussi troublant qu'elle.
— C'est la première fois que je vous vois...Je connais quasiment tout le monde ici...Vous êtes en vacances?
— Je suis là depuis un peu plus d'une semaine.
J'éprouvais une sensation particulière. Imagination ou réalité? J'avais l'impression que la chaleur de son corps montait vers moi et m'envahissait. C'était vrai qu'on était très proches. Il y avait juste le frein à main entre nous. Je la regardais, tout en discutant avec elle. Son visage, son corps, ses jambes...Elle était souriante, de bonne humeur, et elle discutait avec moi d'une manière conviviale. Elle m'a parlé d'elle-même, expliqué qu'elle était divorcée, qu'elle vivait seule dans une maison héritée de sa tante, qu'elle avait eu deux enfants, aujourd'hui majeurs, qui poursuivaient leurs études loin d'elle, et qui revenaient certain week-ends.
On descendait cette petite route étroite, et toute cabossée. Elle m'a parlé de son métier, elle était infirmière, moi du mien, avant que tout d'un coup, ça ne bascule, d'une manière surprenante. Elle m'a dit, et je me suis demandé au début si j'avais bien entendu:
— Vous savez, si vous avec envie de toucher, vous pouvez, il n'y a aucun problème....Vous pouvez mettre vos mains partout.
Je me suis dit, ça y est tu as pété un câble, et tu as des hallucinations. En même temps ça n'aurait pas été étonnant. Pas de femme et de sexe depuis longtemps, une femme aussi attirante...
Non, avec quelques secondes de recul, elle avait bien dit ça.
Il y a un côté primaire, animal, qui a été le plus fort. Couplé à la frustration, et à une envie d'un corps de femme.
Je me suis penché, et j'ai posé ma main sur une des bottes. J'aimais la sensation du cuir. Froid et lisse contre ma paume. Agréable, et excitant. Je suis remonté jusqu'à la lisière de la botte. Basculant sur une autre sensation, double, la chaleur de sa chair, une chaleur intense, une chaleur d'enfer, qui est montée dans ma main, puis dans mon avant-bras et s'est répandue dans mon corps, et la sensation douce et électrique à la fois du nylon. Penché, et tourné vers elle, j'ai caressé ses cuisses, comprenant qu'elle me laissait carte blanche. Allant sur une cuisse, sur l'autre, avec, en ligne de mire, le blanc du slip qui soulignait sa vulve d'une manière quasiment obscène. Était-elle excitée, était-ce ma caresse qui la troublait, j'ai vu apparaître au centre de son sexe un point d'humidité, qui a grandi, tâchant la culotte en coton de sombre, et laissant voir, peu à peu, ses lèvres, une chiffonnade de chair.
Je progressais vers le haut de ses cuisses, ses aines. Dépassant l'élastique enveloppé de dentelle qui tenait les bas à mi-cuisses, je suis arrivé sur la chair nue.
— Caresse-moi à travers ma culotte mais sans l'enlever. Le tissu va me rentrer dans la moule, et me frotter à l'intérieur. Ça sera bon.
J'ai eu un rien d'appréhension, de timidité, en remontant sur le tissu de la culotte. Dix minutes plus tôt, je ne la connaissais pas, et on était déjà dans un acte intime. Mais c'est vrai que le sexe, s'il y a un bon contact, ça peut aller très vite.
Elle a poussé un gémissement, quand ma main a glissé de gauche à droite sur son sexe. J'ai été envahi par les sensations et j'ai cru un instant que j'allais me jouir dessus. Le renflement de son sexe, le tissu doux, la sensation d'humidité, forte...
— Il faut qu'on s'arrête un moment. Tu n'as pas rendez-vous pour une heure précise?
— Je dois simplement passer dans l'après-midi.
J'ai commencé à la caresser, percevant le renflement de son sexe, l'humidité qui sourdait d'elle, mais aussi que du liquide coulait et sortait de son sexe, le masse de ses lèvres, et surtout la manière dont son sexe se modifiait au fur et à mesure des caresses. J'ai pensé qu'on devait être aussi frustrés l'un que l'autre. Ma queue était dilatée, tendue à en être douloureuse.
J'ai senti qu'elle ralentissait, je me suis légèrement redressé, regardant autour de moi. Un encochement, sur la droite, une sorte de no man's land, pas vraiment un parking, un espace nu, circulaire, laissé libre devant une zone de forêt. Parfait pour aller un peu plus loin.
— J'ai envie que tu me fasses jouir en me léchant la chatte.
Ce qui pouvait rester de gêne s'était totalement dissous. Il y a eu quelque chose de fluide et naturel par la suite. J'ai tendu les mains pour attraper le haut de son slip et le faire descendre. Elle s'est soulevée pour me permettre d'agir. J'ai glissé mes mains sous ses fesses, et j'ai tiré le tissu vers le bas. Son sexe m'est apparu. Il n'y aucun homme que cela laisse indifférent, ou alors, il est vraiment blasé, que de voir un sexe de fille. J'ai embrassé du regard tout ce qui le faisait. Je détestais les sexes glabres, alors j'ai adoré voir une toison, taillée, mais bien fournie en épaisseur, assortie à ses cheveux. Plus bas il y avait l'ouverture de son sexe, qui béait d'excitation, laissant voir un intérieur tout rose, la vision d'un gland clitoridien décalotté en haut de ses lèvres, des liquides qu'on voyait couler de son intérieur, un ruissellement aussi évident qu'abondant, qui faisait briller ses chairs de manière circulaire.
C'était curieux quand on y réfléchissait, ce n'était pas forcément évident de faire l'amour dans une voiture, il y avait plein d'obstacles, mais, paradoxalement, c'était ces obstacles qui faisaient que c'était agréable de se rapprocher. Là, les obstacles, c'étaient le frein à main, le volant...Mais je me suis contorsionné, et je suis arrivé à son sexe, c'est vrai aussi qu'elle m'a aidé en ouvrant au maximum ses jambes, l'une contre la portière, l'autre en équerre collée au dossier du siège voisin.
Le premier coup de langue, en travers de sa fente, m'a donné un premier aperçu de son goût le plus intime, mais l'a aussi faite gémir. Je lui ai donné autant de plaisir que je le pouvais, soucieux de bien faire, mais éprouvant aussi du plaisir à avoir son sexe à ma portée, à ce qu'elle me l'ait offert, et donné cette possibilité d'y avoir accès et de lui donner du plaisir.
Elle était totalement détendue, s'abandonnant à son plaisir. Dire que nous nous connaissons à peine...
Elle s'est contredite, quand elle m'a déclaré, alors que je glissais ma langue dans la fente de son sexe, pour caresser ce qui m'était accessible de muqueuse:
— Remonte, j'ai envie de voir ta queue et de la toucher...J'ai pas vu de queue depuis trop longtemps.
Elle m'a défait. Sur son visage, dans son regard, dans ses gestes, il y avait une envie aussi intense que l'était sa frustration. Pas facile d'avoir des partenaires, même quand on est une femme aussi attirante qu'elle l'était.
Elle a été chercher ma queue dans mon pantalon. Il y a eu du ravissement sur son visage quand elle l'a récupérée, l'enveloppant de sa main, mais je n'ai pas été indifférent à la sentir autour de moi...La douceur de sa peau, la chaleur de sa paume...Elle m'a dégagé des tissus qui m'enveloppaient.
— Hmmm, tu as une belle queue, longue et dure...
Elle s'est penchée dessus, et a baladé sa langue sur mon gland avec une habileté qui disait clairement qu'elle n'en était pas à sa première fellation. Elle est venue laper le liquide qui coulait de mon méat. Lâchant un :
— C'est bon!
sans équivoque, avant de glisser le long de la verge congestionnée. Elle a fait aller et venir sa bouche sur ma queue, et j'ai été submergé par le plaisir. La dernière fois qu'une fille m'avait fait une fellation, c'était...Il y avait bien trop longtemps.
J'ai remarqué qu'elle se masturbait en même temps, faisant aller et venir deux doigts réunis en elle, dans un mouvement rapide, avec des bruits visqueux, parce qu'elle ruisselait, du liquide sortait d'elle, qui coulait sur le siège. Je pensais qu'elle voulait jouir, et me faire jouir, mais elle s'est interrompue, lâchant ma queue enduite de salive, pour me dire:
— J'ai envie qu'on aille plus loin. Voilà ce que je te propose: Je te dépose au garage, tu récupères ta voiture, et quand tu remontes, tu viens chez moi. J'aurai quelques courses à faire, si je ne suis pas encore arrivée, tu m'attends. Ça te va ?
Si elle n'a pas remis sa culotte, qu'elle a fourré dans son sac à main, me laissant bien la mater le temps de notre descente, son ventre nu, mouillé et dilaté offert à mon regard, j'ai rengainé ma queue.
Elle m'a expliqué où elle créchait. Le hameau juste au dessus, une maison aux murs ocre avec devant un figuier. J'étais descendu, elle m'a fait:
— Hé, regarde. Si tu as un doute quand tu auras fini et que tu te demanderas, avec du recul, si ça vaut vraiment le coup de monter jusque chez moi...
C'était sans doute le type de question que je ne me serais pas posé, mais sa crainte m'a donné l'occasion de l'admirer de manière encore plus intime. Laissant une jambe droite, près des pédales, elle a ramené l'autre contre le siège, et pour s'ouvrir encore plus, alors même qu'elle était encore dilatée d'excitation, elle a plongé deux doigts en elle, me laissant voir beaucoup plus de son intérieur tout rose.
— Tout à l'heure, tu pourras mettre ta queue dedans, mais tu pourras aussi la mettre ailleurs.
Elle a repris une position plus classique, et elle a redémarré me laissant avec mon envie, mes fantasmes, et ma queue dure.
Le temps de tout régler au garage, il a fallu quand même une demi-heure. Je me suis demandé où elle en était...Franchement, c'est ce que je me suis dit en reprenant la route à l'inverse, remontant le long sur cette asphalte qui aurait eu clairement besoin d'être renouvelée par la DDE, je ne me serais pas attendu à trouver une femme comme elle, une belle MILF hyper-sensuelle, et très en manque ici. Finalement, quand on y réfléchissait bien, c'était fou le nombre d'hommes et de femmes à qui il manquait le bonheur de la sexualité, si fort, alors même que certains niaient tout ce que cela pouvait apporter, en termes d'épanouissement.
Au-delà de cette sensualité qui venait te frapper de plein fouet, de cette beauté de femme mûre, il y avait, pour le peu que j'avais pu en voir, pas mal de choses qui me touchaient et me séduisaient en elle, et sans doute, plus que d'autres choses, ce manque qui la rendait fragile.
Plus je montais, passant le long de ces agrégats de maisons, plus j'avais envie d'elle, de la retrouver, de sa chair, plus j'imaginais ce qu'on pourrait faire ensemble, mais j'avais aussi un rien de nervosité. On a toujours un rien d'appréhension, quand les rapports ne sont pas calés, qu'ils soient humains, sentimentaux ou sexuels.
Je suis passé devant le bloc de maisons où je louais pour deux mois, remontant plus haut. Longeant des champs jusqu'au hameau suivant. Oui, difficile de louper la maison, une cour devant, le figuier, et les murs ocres.
J'ai ralenti, et je me suis garé. Au moment où je coupais le moteur, elle l'a entendu et elle a ouvert la porte de sa maison. Restant à l'intérieur sans se poser sur le seuil. Dans l'ombre.
Je suis descendu, et j'ai fermé le véhicule.
Avançant vers elle, poussé, tout entier dans un élan vers elle, Elle avait radicalement changé. Disparues, robe, slip et sans doute soutien-gorge, pour laisser la place à une nudité quasi absolue, sauf pour une belle paire de cuissardes noires, qui enveloppaient ses jambes jusqu'à mi-cuisses et qui avaient remplacé les bottes à talons aiguille, pourtant tout aussi sexy.
Je ne l'avais pas encore touchée, j'étais à quelques centimètres d'elle, mais la chaleur de son corps m'envahissait. Elle s'est plaquée contre moi pour encore plus de chaleur, me faisant sentir ses formes. Elle est venue chercher ma bouche, nos langues se sont accrochées. Quand enfin on s'est légèrement détachés l'un de l'autre, elle m'a attrapé par la main et entraîné vers le living sur la gauche. Il y avait un divan sur lequel elle s'est laissée glisser, à quatre pattes, s'offrant totalement, aussi bien par son corps que par son regard et son expression. Il n'y avait rien à dire, son expression disait tout.
Il y avait une boite de préservatifs sur le divan, près d'elle. J'en ai rapidement gainé ma queue frémissante de désir, et je suis venu coller mon gland contre ses lèvres, gorgées de sang, et couvertes de cyprine. J'ai frotté ma queue contre, sans la pénétrer. Elle a gémi et un torrent de mouille est sorti d'elle.
— Ah, c'est trop bon...Comment on peut vivre sans queue...Ca m'a tellement manqué...J'ai des godes, mais c'est pas pareil...Une queue c'est chaud, et puis ça peut cracher du sperme...
Je me suis glissé très lentement en elle. Je voulais la torturer et lui faire avoir du plaisir en même temps. Et avoir le mien aussi. Celui que me donnait la sensation d'être peu à peu enveloppé et pris par la caresse incomparable d'une vulve féminine. La douceur de soie d'un sexe de femme autour de sa queue, comme une caresse parfaite. J'ai été jusqu'au fond d'elle, avant de revenir en arrière et de commencer à bouger en elle. Elle se tordait de plaisir, gémissant, criant, et commentant en même temps.
— Je veux garder ta queue dans mon ventre pour l'éternité...C'est bon de se faire fouiller comme ça...C'est trop bon...Continue...
Si elle était en transes, je ne valais pas mieux. Moi aussi, je manquais de sexe.
Elle a poussé un cri rauque, et elle s'est mise à jouir. C'est en tout cas ce que plusieurs témoins me disaient, les tressaillements de son corps, ses râles, mais aussi ses éjaculations qui nous ont trempé tous les deux.
Moi, je n'avais pas joui...Je me suis dégagé. Le latex dégoulinait de cyprine. Elle m'a attrapé par la main et m'a dit:
— Viens, on va aller sur le lit...
Il y a eu la soirée...La nuit...Puis le reste des vacances...Et d'autres vacances encore...Le genre de miracle qu'on n'espère pas...Pourquoi on s'entend avec quelqu'un et pas avec quelqu'un d'autre? C'est à la fois inexplicable et fragile.
J'ai fini par demander ma mutation, et m'installer avec elle.
Il y a plus qui nous rapproche que ce qui nous sépare.
Et on aime toujours autant le sexe.



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Histoire de JamesB

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