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Moi...policière soumise.

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 3 - Histoire postée le 12/04/2023

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Après avoir passé une partie de l’après midi à me faire baiser par mon fiancé, j’ai juste le temps de prendre une douche, et voila que le devoir m’appelle.
Il est dix huit heures, quand je prends la relève au commissariat de police.
A peine partis en patrouille avec Henry, mon coéquipier, que la C-B nous signale une rixe dans le parking désaffecté d’un ancien garage.
Tout proche de la zone, nous faisons un détour pour nous y rendre. Arrivés sur place, c’est le calme. Par précautions, nous décidons d’inspecter les lieux. Nous prenons chacun un côté.
- Sois prudente, Jenny, me dit Henry.
Je lui sourit et m’engage dans le sous-sol. Il est infecté de voiture délabrées, montées sur cales, ou de scooters à moitié démontés, certainement volés.
Je m’apprête à partir, quand un bruit attire mon attention. Je sors mon arme, et me cache derrière un pilier, quand soudain, je sens des bras me soulever par la taille, et me plaquer sur le capot d’une voiture. Je me débat, mais mon agresseur est plus fort. Il parvient à me désarmer, soustraire mes menottes, avec lesquelles il m’attache.
Il s’écarte, et pousse un sifflement admiratif en me détaillant de la tête aux pieds.
- Mais c’est que t’es bien gaulée toi, dit-il en souriant.
- Je vous en prie, laissez-moi partir.
C’est vrai que, d’après mes collègues de travail, je suis canon. Je mesure un mètre soixante douze, une poitrine bien ferme, des hanches bien galbées, des jambes interminables. Je sais que certain m’entraîneraient bien volontiers dans leur lit pour me baiser toute une nuit. Ils disent que j’ai un corps qui pousse au pêché.
Gardant mon sang froid, je le menace de poursuite, lui dit qu’il s’attaque à un agent des forces de l’ordre, et que ça risque de lui coûter cher.
Il me dit s’appeler Rachid, et qu’il n’en a rien à foutre de ce que ça risque de lui coûter.
Il me maintient d’une main sur le capot, et passe l’autre sur mes fesses, à travers mon pantalon, tout en me disant que je mérite une bonne leçon.
Je le somme de me libérer, mais d’un coup, il baisse mon pantalon sur mes chevilles, dévoilant mon petit cul bien ferme, et mon string en dentelles.
Il me dit qu’en plus d’être bonne, je dois être une sacré salope. Je rougis malgré tout de la situation, et des mots qu’il emploie à mon égard.
Il est vrai que j’aime m’habiller sexy, mais seulement devant mon fiancé, étant par nature, très pudique.
Il se penche sur moi, voyant que je suis sur le point de hurler.
- Je te déconseille de crier. Comme tu vois, nous sommes près d’un squat, et ce n’est pas la racaille qui manque, et qui aimerai bien baiser une salope de flic menottée.
Je suis prise au piège, et ne peux contacter Henry, ni la brigade. Mon agresseur sent que je suis troublée. Il claque mon petit cul.
- Avoue que tu es une bonne salope, bien docile…
- Jamais de la vie je n’avouerais un truc pareil.
Il me sourit, et une première claque s’abat sur mes fesses, puis une seconde, une troisième, laissant de belles traces rouges. Je me mors les lèvres au fur et à mesure que mes fesses rougissent, pour éviter de crier. Je sens une larme couler sur ma joue, j’ai mal, mais malgré tout, je sens une agréable chaleur m’envahir.
Il me retourne d’un coup sur le dos. Mes fesses chauffées à blanc, au contact du métal froid du capot, me procure un frisson jusque dans la chatte, que je sens devenir humide.
Il prend les deux pans de mon chemisier, et l’ouvre en deux, dévoilant ma superbe poitrine, prisonnière dans un soutien-gorge assorti au string. Il l’arrache d’un coup, disant que ce n’est pas utile pour une poitrine de salope. Il a la pleine vision sur mes seins aux bourgeons durcis par un début d’excitation. A tel point que lui avoue que oui.
« Je suis une salope ».
Il commence alors à caresser mes seins, fait rouler les bouts durs, et sensibles entre ses doigts. Je me surprends à me cambrer, pour mieux les lui offrir. Je ne peux retenir à ce moment là, un léger gémissement.
Il me dit qu’il est temps que je lui montre comment suce une salope.
Il déboutonne son pantalon, en extrait une imposante bite, en pleine érection. J’ai un mouvement de recul, car je n’ai jamais voulu sucer mon fiancé, malgré ses demandes incessantes, et voila que j’ai devant les yeux, le sexe d’un inconnu tout près de mes lèvres. Il doit jubiler, et cela me donne encore plus envie de sentir sa queue dans ma bouche.
Il frotte son membre sur mon visage, dont les lèvres restent close.
Il perd patience, et me pince le bout d’un sein. Surprise, je pousse un cri, et il profite de ma bouche ouverte, pur s’y engouffrer profondément.
J’essaie de me retirer, mais il prend ma tête entre ses mains, et s’enfonce encore plus dans ma gorge. Je ne peux me soustraire à sa bite que je sens grossir dans ma bouche. Il reste quelques instant à savourer cela, puis ressort pour que je reprenne mon souffle.
- C’est comme cela qu’une salope de flic doit apprendre à sucer, dit-il.
Il s’enfonce à nouveau, repart dans de rapides va et vient. Encore une fois, je me sens humiliée, mais cette situation alimente un feu grandissant dans mon ventre.
Je me maudis d’être ainsi à la merci d’un inconnu, d’en avoir du plaisir, et me mets à penser que peut-être oui...je suis une salope.
Il sent qu’il va venir, et m’ordonne de tout garder en bouche, de ne surtout rien recracher, de tout avaler, sinon, je le regretterais. Il s’’enfonce alors une dernière fois, et je le vois grognant de plaisir. Il se retire, et me demande d’ouvrir la bouche. Je rougis et obéis, montrant son jus déposé sur ma langue. Il me dit que je dois tout avaler.
Je me dois alors de le faire, mais bizarrement, ne ressens aucun dégoût. Moi même ai l’air surprise du goût sucré, et l’avale sans peine. Il m’ordonne de lécher le reste sur son gland, et sans m’en rendre compte, je le prend entre tes lèvres, et le nettoie avec ta langue.
Il me relève alors contre le véhicule, et me dis que je suis vraiment une salope. Je ne veux pas me l’avouer, mais me pose de plus en plus la question. Devant l’absence de réponse, il glisse ses doigts entre mes cuisses, directement dans mon string, et je sens mon clito dur et gonflé, et ma chatte trempée de cyprine, trahissant mon état. Il pince mon petit bouton, m’écoutant pousser un petit gémissement incontrôlé. Il me dit alors avec un sourire.
- Tu es ma salope à présent, et je vais te le prouver. Si je te fais jouir, je te baiserais la chatte, puis ton petit trou, et tu deviendras ma pute. Je ferais ce que je veux de toi..
Je frémis mais ne veux pas perdre la face. Je lui dis que jamais il ne me fera jouir, que je suis fidèle, et que l’amour pour mon fiancé est sans faille.
A peine ai-je formulé ces paroles qu’il reprend ses odieuses caresses sur mon clitoris, et commence à le titiller. Jamais on ne l’avait caressé avec autant de dextérité et je sens le plaisir monter en toi, indéniablement. Je tente en vain de me défaire de ces doigts inquisiteurs, mais il me maintiens de force contre la voiture.
J’essaie de refréner l’orgasme, comprenant que je deviendrais son jouet, si je ne résiste pas. Je le sens également monter en lui, alors qu’il me dis qu’il va adorer baiser une chienne de flic comme moi, par tous les trous et faire de moi sa pute.
Je ferme les yeux, déployant toutes mes forces pour refouler cette boule de feu qui se consume en moi. Puis...
Il rentre d’un coup deux doigts en moi, et en même temps, son pouce fait rouler mon clitoris. Cela est trop intense et je sens un tourbillon m’emporter. J’ouvre la bouche alors que mon corps explose, vibrant et secouée de spasmes, tellement cet orgasme est puissant. Il me regarde avec un air victorieux, me dit que je lui appartient maintenant.
.- Non...pitié...j’ai un fiancé...je veux pas…
Il accélère à nouveau sur mon clito, le branlant de toutes ses forces, et me dit que je suis une salope qui aime jouir. Je me sens partir à nouveau, incapable de résister et je hurle un « Hum...hum...» de défaite, alors qu’un second orgasme me terrasse à nouveau, plus puissant que le précédent, me coupant carrément les forces. Mes jambes se dérobent, et je tombe au sol en tremblant.
Étant à la bonne hauteur, il renfonces sa queue qui a repris de la vigueur, d’un seul coup au fond de ma gorge. J’ai l’impression qu’il adore me voir ainsi, soumise, humiliée, les joues roses de mon plaisir, le regard vaincu.
- Il est temps que tu comprennes que tu es à moi, dit-il.
Il me relève, me demande de le suivre. J’obéis, entièrement nue, telle la soumise que je suis devenu.
On arrive devant une vielle guimbarde toute délabrée. L’intérieur est vidé de toutes garniture. Aucun siège, plus de tableau de bord, par contre, un vieux matelas s’étale sur toute la surface du véhicule. Lieu ou Rachid, et ses potes doivent, ramener leurs victimes, pour les baiser à l’abri des regards indiscrets.
Je pense même, qu’il doit y avoir des jeunes délinquant qui surveillent
Il m’allonge sur le matelas poussiéreux, puis m’attire sur lui. Je me retrouve à cheval sur son corps, et me sens perdue.
- Je veux que tu t’empales sur ma queue, dit-il, et que tu jouisses dessus, que tu baises comme jamais tu l’a fait avec ton fiancé.
Justement, à cet instant, je pense à lui, pense que je vais le tromper. Je proteste faiblement, même si mon corps accepte cette idée.
- Si tu ne m’obéis pas, j’’enverrais une vidéo de toi me suçant et jouissant comme une salope, à ton cocu de fiancé, et à toute ta famille.
Disant cela, il frotte son sexe qui est au niveau du mien, et son gland appuie sur mon clito décalotté, encore hyper sensible. Je me mords les lèvres pour ne pas gémir, mais je n’ai pas le choix, je dois obéir, et prendre sa queue en moi. Moi qui prônais la fidélité, et qui me vantais de n’avoir connu que mon fiancé, voila que je jouis sous les doigts pervers d’un étranger, et que je vais m’empaler sur sa bite.
Il sort son téléphone, et le pose à côté, filmant la scène qu’il veut immortalisé.
Je regarde la caméra, abattue, poussant de petit gémissements incontrôlés, par son sexe qui frotte contre ma chatte humide.
Je me redresse légèrement, bouge pour bien me positionner. Je sens son calibre écarter mes lèvres intimes, et sa queue s’enfoncer en moi lentement. Je suis très serrée et c’est une douce prison qu’il doit sentir se refermer autour de lui. Il me remplis comme jamais, rien à voir avec le sexe de mon fiancé.
J’ai comme l’impression qu’il m’ouvre en deux tellement je suis prise, et ma chatte me trahit en coulant comme une fontaine.
Il est enfin au fond, et il me regarde retenir mon plaisir.
Il doit adorer me voir me battre intérieurement contre moi même, une partie voulant crier de me prendre comme une chienne et me traiter comme la salope que je suis, et l’autre, sage et fidèle qui essaie de réfréner les envies de mon corps.
Il claque un coup sur mes seins, et me fais comprendre que je dois m’activer.
Je commence alors à monter sur son membre tendu, puis redescends. Le plaisir prend le dessus petit à petit, et bien vite, je pousse des gémissements tout en accélérant sans m’en rendre compte, pour mieux le sentir. Je me cambre naturellement, exposant mes seins qui sont à sa merci, il prend les bouts entre ses doigts, et les fais rouler.
Chaque mouvement et chaque torture attise le feu entre mes cuisses. Je sens un nouvel orgasme monter, et me dis folle de ressentir autant de plaisir à être humiliée et soumise. Rachid en rajoute, disant que je suis une belle pute, une chienne qui adore la queue...S’en est trop pour moi, et d’un coup je me sens emportée dans un tourbillon de plaisir incommensurable, et veux crier mon orgasme, mais il est tellement fort, que je reste sans voix, et m’écrase sur lui, à la limite de l’évanouissement. Je suis secouée de spasmes et ma chatte palpite, contractant sa queue. Je suis sure qu’il doit faire un effort considérable pour ne pas jouir dans cet étaux savoureux.
Je reviens difficilement à moi, ne comprends pas ce qu’il m’arrive, moi qui n’ai jamais été vraiment portée sur le sexe, qui était si réservée, pudique et fidèle, voila que je me retrouves baiser en plein parking désaffecté, avec un inconnu, qui me fait jouir quand bon lui semble, et le pire, c’est que mon corps en redemande.
Il se retire et libère mes mains. Il me surveille d’un œil, et ce que j’espère arrive.
Je comprends que je suis libre, et commence à bouger. Je n’ai presque plus de force, et avances à quatre pattes, pour tenter de fuir, me disant que mon salut est peut-être venu. Mais d’un coup, je sens des mains fermes agripper mes hanches, et sa bite me pénétrer d’un coup sec.
Je pousse un cri de surprise et de plaisir mêlé, et il commence à me prendre, sortant intégralement, puis s’enfonçant d’un coup jusqu’au fond de ma chatte. Je ne peux que gémir sous les coups de reins puissant que je ressens. Il me tire par les cheveux, et me retrouve courbée, le cul en arrière, et la poitrine tendue vers l’avant.
Il m’ordonne de dire que je suis sa salope, sa pute, que je veux qu’il me défonce avec son énorme calibre, qu’il est bien mieux monté que mon cocu de fiancé.
Je suis trop emportée par le plaisir, et les mots sortent avant même que je réalise.
- Oui...je suis ta pute, prends-moi...baises ta chienne infidèle...défonce moi. La petite bite de mon fiancé cocu n’est rien à côté de ta grosse queue, qui enfile et déchire la chatte de ta soumise.
Il me souffle à l’oreille que la caméra va adorer cela.
Je réalise alors en voyant le petit objectif, juste en face de toi, ma posture, ses mains caressant mes seins, ma chatte dégoulinante, et sa bite qui s’enfonce entièrement.
A ce moment, il pince avec deux doigts mon clito. C’est l’explosion en moi, et je sens partir un orgasme, les yeux révulsés. Je sais que lui-même, est à la limite de la jouissance, mais veux se réserver pour le final.
Apparemment, l’immeuble désaffecté est vide, car vu les cris que j’ai poussé, j’aurais dû attiré pas mal de délinquants qui rodent dans le coin. Cela aurait pu être intéressant, mais Rachid veux me posséder seul pour le moment.
J’émerge alors doucement, me demandant ce qu’il vient de se passer, et cela me reviens petit à petit. Moi à quatre pattes, sa queue me prenant fort, la caméra, et enfin, ses doigts doigtant mon clitoris si sensible qu’ils m’ont apportaient un orgasme ravageur.
Je le regarde, plongeant mon plus beau regard dans ses yeux. J’y cherche le désir, même si mes joues roses montrent que je suis encore gênée de cette situation. Je sais que cet orgasme m’a fait franchir une barrière et que je suis désormais toute à lui, et qu’il je peut tout te demander.
Il me demande alors de le sucer. J’avance vers lui à quatre pattes, regardant sa bite avec un regard soumis. Je m’approche et la prends en bouche. Je la suce avec passion maintenant, mais il en demande plus.
- Avale là et fait toi jouir, petite chienne.
J’obéis docilement en écartant mes cuisses, portant ma main sur ma chatte. D’un doigt, Je caresse mon petit bouton rouge vif, tellement il a joui, tandis que deux autres doigts me pénètrent. Mes gémissements sont étouffés par la queue, que je rentre en entier au fond de ta gorge. Il me regarde et reste ainsi, gémissant sur mes doigts qui s’activent de plus en plus sur mon bouton, et en moi. Je veux jouir, c’est indéniable. Je ferme doucement les yeux, au bord de la jouissance, mais il m’arrête d’un coup, me repousse, et m’ordonne de sortir de la voiture.
- Mets toi sur le capot, penchée au maximum, et tends ton cul de salope vers moi.
J’obéis, rougissante. Ces mots crus m’excitent beaucoup, et je m’allonge contre le froid de la carrosserie, les seins écrasés, et cambre au maximum mes fesses, dans une posture très suggestive. Il m’ordonne de reprendre mes caresses,
Je glisse une main entre mes jambes, et doigte mon clito. Je veux mon orgasme et halètes de plaisir. La boule en moi remonte en flèche en quelques secondes. Il stoppe ma main, et me vois me retourner avec un regard suppliant. Je suis en feu, et il ne me laisse pas l’éteindre. Il glisse alors sa queue dans le sillon de ma fente, et la frotte contre ton petit bouton gonflé à bloc. Je me cambre encore plus pour mieux le sentir en moi. Je m’active sur sa bite, frottant mon clitoris sur son gland, puis il me pénètre, s’enfonce lentement en moi. C’est un délice, je m’entends dire.
- Pitié...prends-moi...baises-moi...fais moi jouir…
- Tu veux vraiment jouir, sourit-il.
- Oui...je ferais ce que tu veux, mais fais jouir ta salope...pitié…
Il se retire, présente sa bite à l’entrée de mon petit trou. Je frémis, sachant ce qu’il veut.
- S’il te plaît...pas par derrière...tout sauf ça...j’ai promis à mon fiancé de lui offrir ma dernière virginité, à nôtre nuit de noces…
Il me sourit, et me rappelle que je suis sa salope, que je ferais ce qu’il veut, sans limite, et que mon cul lui appartient maintenant. Il glisse un doigt, frôle mon clito, ce qui m’électrise, et me fais pousser un feulement de plaisir. Il recule et empale sa queue d’un seul coup dans mon petit trou de salope. Mon cul embroché sur sa queue, je gémis. Je pousse fort sur mes reins, forçant la pénétration. Je suis serrée et, petit à petit, il doit sentir s’ouvrir mon œillet, mais il résiste. Il claque mon cul a vif et pousse encore plus. Je le veux en moi, c’est maintenant vital, un besoin, je veux jouir coûte que coûte. Je me redresse et d’un coup, je recule. Mon petit trou cède enfin, et je le sens s’enfoncer au deux tiers de moi. Je pousse un cri, le sentant m’ouvrir. Je suis trempée, et du coup, sa queue rentre toute seule. C’est un délice de la sentir contracté en moi. Il reprend sa progression animée par une envie sauvage. Il rentre encore plus profond, jusqu’à ce que ses couilles touchent mes fesses.
A peine arrivé à fond, je me retire entièrement, et m’empale sur son pieux avec des cris de furie. Je me baise littéralement sur sa queue, suis en transe. Il sait que je ne vais pas tenir longtemps, alors il m’ordonne de me caresser. L’envie est trop forte, je veux jouir.
C’est l’apothéose. Je crie alors qu’il s’enfonce entièrement en moi. Nos deux orgasmes se déclenchent à l’unisson et je sens mon petit trou se remplir de son sperme chaud, tandis que ma mouille coule en abondance.
Jamais je n’est connu un plaisir aussi intense, et suis moi-même à la limite de l’évanouissement. Je me retire et d’un coup, le pousse contre la voiture, aspirant sa bite à fond, la suçant comme une folle. Je suis accroupie, les jambes grandes ouvertes. Il rentre deux doigts dans ta chatte, et mon petit trou en même temps.
Il y met tellement de hargne et d’envie, que je me sens repartir, alors que cela ne m’est jamais arrivé. J’ai une folle envie d’avaler sa queue. Je réussis à lécher ses couilles en même temps, et je ne tiens plus, me voyant jouir encore une fois. Il se retire me montrant son jus, me demande de l’avaler avec un regard pervers. Ce que je fais avec gourmandise.
Il sourit et me dit de me rhabiller, mais de laisser mes sous-vêtements.
-Tu n’en auras plus besoin, et tu sais ou me trouver. Ne m’oblige pas à venir de chercher. Ce n’est que le début de ta soumission.
Je pense à mon fiancé, alors qu'une larme coule sur ma joue, mais l’envie était trop forte.
Une fois libérée, je le contacte, bien décidée à discuter d’une éventuelle rupture. Je ne me vois plus baiser avec lui, après ce que je viens de vivre. Comment pourrais-je m’offrir comme ça au lit, sans éveiller des soupçons.
Rachid a su enterrer la femme pudique qui me coinçait, pour réveiller la salope qui sommeillait en moi.
Depuis, je rejoins régulièrement Rachid dans le parking désaffecté, y passe des nuits entières à l’abri d’une carrosserie matelassée...Une vraie salope de flic.












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Histoire de Aurore34

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Commentaires du récit : Moi...policière soumise.

Le 08/09/2023 - 07:13 par Bigben0308
Très excitant, j aurais aimé une suite
Le 14/04/2023 - 14:40 par valeriane
très bien
Le 13/04/2023 - 22:43 par OlgaT
Waouh! Torride!

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