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Momo le Plombier

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Lue : 4887 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 07/12/2017

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Plombier quel beau métier ! En plus d’être rémunérateur il peut être très divertissant parfois……

C’est une jeune et belle femme qui m’ouvre sa porte
« Vous avez fait vite, merci, je suis dans l’embarras depuis hier soir
« Je suis à votre service, que vous arrive-t-il ?
« Une fuite, importante, sous l’évier

Je l’observe, elle est magnifique et je cherche à voir à qui j’ai affaire, j’ai l’habitude, l’instinct, depuis le temps. Dans mon métier j’en vois de toutes les couleurs, déjà le fait que ce soit une femme seule qui m’appelle et un signe encourageant ! Elle est grande, les cheveux blonds, mi courts, avec des mèches, elle porte des lunettes et ce n’est pas pour me déplaire, vous connaissez le dicton….
« Voyons voir

Penchée elle me montre d’où vient la fuite, debout derrière elle je reluque ses cuisses, ses fesses légèrement découvertes mises en valeur au raz de sa jupe retroussée par la position. Je suis incorrigible, j’ai vite fait de me faire un cinéma, d’espérer qu’aujourd’hui encore je vais conclure, comme dit l’autre. Je ne fais jamais rien de répréhensible, j’attends de voir comment les choses se présentent ; le plus souvent il s’agit d’une femme éplorée, je fais tout alors pour la dépanner au moindre coût, mais heureusement pour moi il y a d’autres cas plus réjouissant pour nous, pour ma cliente et pour moi.

« Oui je vois la fuite
« Vous avez une idée de ce que cela va me couter ? je viens d’emménager et je n’ai pas encore contacté mon assurance, je suis un peu juste en ce moment …. financièrement !
Elle me regarde intensément, elle aussi me sonde semble-t-il ? Dieu qu’elle est désirable, ses seins qui débordent du décolleté de son corsage sombre, ses longues jambes gainées de bas noirs montant haut sur ses cuisses à peine cachées par sa jupe rose ultra courte qui moule ses hanches, ses fesses, comme un gant ; elle porte des escarpins à hauts talons ce qui affine sa silhouette. Me jouerait-elle un scénario que je connais ? Alors moi aussi je joue mon rôle pour voir…, j’invente des travaux que je sais inutiles et qu’en aucun cas je ne facturerais…… j’ai bien dit en aucun cas !
« Changer le syphon ….. l’écrou … le joint…. le déplacement…mon travail…la TVA, cela monte vite…….
En fait, il n’y a rien de tout çà ! Juste un écrou de plastique à resserrer
« Combien ?
« 250 euros environ !

Elle a l’air désappointée, je scrute son visage pour deviner sa pensée, son regard me transperce, elle est silencieuse, hésitante. Je sais d’expérience que le moment est venu de savoir.

« Nous pourrions peut-être nous arranger……autrement
Mon cœur trésaille ; elle m’a dit çà d’un coup, avec un petit sourire mutin, une légère interrogation que je peux lire, deviner dans son regard. Son visage s’est légèrement empourpré d’un coup. Je veux savoir de quel arrangement il s’agit :
« Comment ? pour la TVA, pour les pièces ? ……
Je veux être sûr ; je veux que ce soit elle qui m’en parle
« Pour tout !
« Comment pour tout ?
« En nature………

Elle est devant moi, elle me sourit, semble soulagée, me toise au travers de ses lunettes de myope ; inquiète malgré tout se demandant si elle peut me suborner avec ses charmes ?...... Si elle savait comme je le suis vénal ! Je la regarde semblant l’inspecter faire comme si j’hésitais alors que mon cœur bat la breloque ! Mon sexe n’en parlons pas !
« Je ne vous plais pas ?
« Si vous êtes très belle
« Alors…c’est oui ?
« Il faut voir lui fis je, faux cul que je suis

Alors elle ouvre son corsage sur un soutien-gorge fantaisie bien rempli, et remonte sa jupe en la coinçant sur sa taille découvrant son string assorti, noir avec des motifs blancs en forme de petits cœurs ne cachant rien de ses cuisses, de ses fesses somptueuses.
« Alors je vous plais ?
« Vous me troublez, je l’avoue…… allez……… oui on va s’arranger

Ah que c’est bon d’être Plombier, que d’occasions ! Que va-t-elle me permettre de faire ? Je m’avance et je glisse une main par devant, entre ses cuisses, sur son slip, empaumant son sexe, sa chatte en bougeant mes doigts. Je me rends compte qu’elle aime mes caresses, elle me le fait savoir en gémissant, en ondulant, en serrant ses cuisses pour mieux me sentir. Mais peut être fait elle semblant ? Qui sait ? Pourquoi ? Pour me convaincre, flatter mon égo ? M’en donner pour son argent ? Je continue de caresser sa chatte et je sens que sa culotte est humide, elle mouille et çà dégouline un peu sur ses cuisses ! J’en suis sûr maintenant, elle ne fait pas semblant, elle est de celles qui en besoin de sexe font venir des hommes chez elle pour différents prétextes ; ce serait elle qui aurait dévissé légèrement l’écrou du syphon que cela ne m’étonnerait pas.

Je l’enlace ; je remonte bien sa jupe pour lui caresser les fesses, je l’embrasse et elle se laisse faire, dans le cou, sur ses lèvres entre ouvertes, ce qui est rare, entre ses seins ; je mordille la chair tendre entre son cou et ses épaules, ce qui est un test, tout son corps se tétanise, se cambre en se collant à moi, je suis sûr que j’ai affaire à une femme folle de sexe. Tandis que je la caresse sa main est sur moi, par devant sur mon pantalon je sens ses doigts qui l’ouvrent, le baissent. Elle s’agenouille devant moi, elle descend mon boxer pour libérer ma verge qu’elle prend à pleine main. Elle est du genre gourmande car elle me prend dans sa bouche en me branlant, en tripotant mes testicules. Elle s’y prend bien, elle aime ça, cela se voit, elle fait coulisser la peau épaisse de mon prépuce pour branler mon gland ; en rien de temps je bande comme un cerf
« Comment la trouvez-vous ? lui dis-je bêtement d’un ton un peu rauque tant je suis ému
« Beau calibre dit- elle en me suçant et en m’astiquant de plus belle, le regard levé vers moi elle me jauge au travers des verres épais de ses lunettes.

Elle y met du cœur, je lui enlève délicatement ses lunettes que je dépose sur la table et je la laisse faire, elle a une manière bien à elle de me sucer une main sur ma hampe et l’autre sous mes testicules qu’elle agite en les faisant rouler entre ses doigts. Elle est bien elle aussi, excitée autant que moi et je vois que par moment, libérant une de ses mains elle se caresse, les doigts entre ses cuisses

Je participe aussi en faisant mine de baiser sa bouche entre ses lèvres serrées sur ma verge. En avançant mon ventre je me branle en m’enfonçant raisonnablement. Joues creusées elle m’aspire et cela renforce ma bandaison, le sang doit commencer à irriguer mon sexe qui se dresse énorme en attente de la montée de mon foutre ? Elle me lèche aussi, sa langue déployée, virevoltante allant et venant de mes parties à mon gland décalotté qu’elle enfourne avec gourmandise à chaque remontée de ses lèvres sur ma hampe.

J’en suis sur maintenant c’est elle l’instigatrice de notre rencontre, c’est elle qui avait envie de baiser, elle m’a trouvé à son goût et tout se déroule comme dans son fantasme …et le mien, j’avoue. Je ne dois pas être le premier artisan à être invité ainsi chez elle. Sérieuse, appliquée, elle me regarde de près, avec son regard de myope son visage collé à mon ventre, à mes cuisses, mon sexe, mes testicules aussi ; elle me branle, me suce, me pompe, jamais fellation ne m’avait fait cet effet jouissif, je bande comme il n’est pas possible………


Mais elle me parle « Je vous propose d’aller sur le canapé, nous serons mieux …… vous voulez ?
« Oui ce sera mieux ! je me rajuste et je vous suis
Et comme elle se relève je pense que je vais avoir droit à plus qu’une gâterie,
« Momo ! allons- y c’est par là……. je passe devant
Elle m’a appelé par mon surnom, je commence à comprendre, on a dû lui parler de moi, d’anciennes clientes sans doute et elle veut vérifier ma réputation, profiter de moi. Je n’ai plus à m’en faire, je suis en terrain conquis
« Vous vous occuperez de ma tuyauterie après, me dit-elle d’un air coquin, l’air libéré de quelqu’un qui est arrivé à ses fins.
« Vous avez dit Momo mais vous comment dire ?
« Vous m’appelez comme vous voulez du moment que cela vous excite
« Bonne idée je verrai le moment venu, mais vous savez je n’ai pas besoin de ça pour être excité
« Je le sais, je le vois bien, me dit-elle en me reluquant

Ainsi elle attend plus de moi, elle veut plus qu’une pipe. Dans le salon je m’assois sur le divan et tandis que je me mets à l’aise en ne gardant que ma chemise je la vois qui fait de même en ne gardant sur elle que son string, Dieu qu’elle a de beaux seins ! elle s’avance vers moi, face à moi et elle s’agenouille sur les coussins du sofa, ses cuisses ce part et d’autre des miennes et doucement elle s’assoit, ses fesses en appui sur moi.

Mon sexe dressé depuis en bon moment se cale vertical entre nos ventres. Je l’enlace en lui caressant son dos nu et ma bouche plonge entre ses seins, ma langue virevoltant sur leurs pointes. Je suis heureux de me rendre compte qu’elle est sensible à ce genre de caresses ; j’adore les amantes qui peuvent jouir par leurs seins et j’ai alors une imagination sans bornes, un jeu de bouche, de doigts et de langue sur les merveilleux volumes J’aime les voir gonfler , devenir durs en rougissant, j’aime titiller les tétons avec la pointe de ma langue, j’aime les soupirs , les petits cris de surprise lors d’une caresse inattendue, j’aime prendre les seins à pleine main et les pétrir fermement en les malmenant, en les remontant serrés l’un contre l’autre ; certaines amantes m’ont dit l’effet que cela leur faisait et comment dire, ma cliente à l’air d’aimer aussi cela si j’en juge par les soubresauts de tout son corps collé au mien.

C’est elle maintenant qui se serre sur moi, elle semble vouloir être active à son tour, elle place mes mains au repos sur ses cuisses et je la laisse faire sans bouger, elle m’embrasse en me prenant la bouche, nos langues se mêlent tandis qu’elle me caresse le visage, la nuque, ses doigts se perdent dans mes cheveux, elle ouvre ma chemise, plaquant ses seins sur ma poitrine. Elle se dérobe, je la sens glisser, descendre, elle m’embrasse le ventre, les cuisses, elle est à genoux sur la moquette, face à moi, son visage entre mes cuisses ouvertes.

Elle me regarde intensément comme si elle voulait mon assentiment, troublé je lui souris quand de nouveau elle me prend le sexe et qu’elle se met à me branler, j’avance mon ventre, mes fesses au bord du divan et après ses menottes sur ma verge et sous mes testicules c’est son visage qui s’enlise entre mes fesses et je pousse un petit cri d’aise et de plaisir quand je sens la pointe de sa langue frôler mon anus.

Je me mets en bonne position pour profiter pleinement de cette caresse subtile sur ma rosette et de cette savante branlette ; jamais je crois je n’avais eu cette sensation de plénitude et mon sexe me le confirme en se dressant gros et raide comme jamais. Je la laisse faire, c’est ce qu’elle veut apparemment, elle a son idée quand elle me suggère par ses gestes de m’allonger de tout mon long sur le dos et qu’elle s’installe sur moi en s’avançant face à moi, cuisses écartées. Je comprends alors ce qu’elle attend de moi quand elle fait mine de s’assoir sur mon visage, ses fesses ouvertes, offertes. Je n’ai aucun effort à faire pour relever ma tête, avancer ma bouche et commencer avec ma langue à lui lécher la chatte. Une belle chatte que je peux voir quand elle se soulève légèrement avant se vautrer de nouveau, de se dandiner, s’écraser sur moi d’avant en arrière pour profiter de ma bouche et curieusement de mon nez.


Je sais jouer de ces deux appendices que sont ma langue et mon nez et tout en lui pétrissant les seins je la fais jouir comme elle le désirait si j’en juge par les mouvements incontrôlés de tout son corps et par ses cris, ses soupirs je les entends quand ma langue fourre son vagin inondé de sa mouille et de ma salive. Entre deux soubresauts, entre deux chevauchées, entre deux cris, quand elle ne se branle plus la vulve sur mon visage je peux voir son anus et cela me donne des idées, des envies, entre-autres celles de reprendre le pouvoir.

Je me dégage et lui laisse la place sur le divan en l’allongeant, moi à genoux sur la moquette idéalement placé entre ses cuisses pour ce que le lui réserve, une envie folle de la faire jouir d’une autre façon. Je vois sa chatte, elle est prête, ses chevauchements sur mon visage ont laissé des marques, elle est toute humide de sa mouille pleine de bulles, ouverte, bandée, rougie, par les précédents assauts ; je vois son périnée et son anus entre ses fesses serrées.

Je commence à la caresser avec la pointe de ma langue, à l’entrée de son vagin entre ses petites lèvres congestionnées, elle n’a aucun mal à retrouver son chemin et je la baise ainsi avec ma muqueuse rose qui s’enlise en douceur et qui va et viens de plus en plus loin en elle. Le ventre s’anime, se soulève, ondule pour faciliter mon intrusion et quand pour varier je monte jusqu’au capuchon de son clitoris c’est un vrai séisme et j’ai presque peine à garder le contact bouche grande ouverte sur son sexe en folie.

Langue déployée je lèche tout son entre cuisses que je mordille, je mâchonne sa vulve, pince entre mes lèvres son clitoris que je sens bandé sous son joli manteau mais surtout je m’occupe de son joli petit cul. Je sais l’effet de ces caresses en cet endroit secret, intime mais je ne m’attendais pas à une réaction aussi volcanique, à ces cris, à ces circonvolutions anarchiques de cette croupe magnifique, à cette crispation de tout son corps, à ses injonctions impératives
« Oui……. Momo bouffe moi le cul ……. oui…ah c’est bon ! …..attend je me retourne à genoux devant toi …… tu me vois bien comme çà…tu vois mes fesses, tu vois mon cul ?
« Oui Frida je vois tout, tes fesses de reine, ton anus mignon au-dessus de ton sexe, je vois tes cuisses ouvertes, laisse-moi profiter de toi, tu veux ?
« Pourquoi Momo tu en doutes encore, fais bien jouir ta jolie Frida si c’est elle qui t’excite si c’est moi
« Oui Frida c’est toi qui m’excites au plus haut point

Oui je vois son anus ! Oui je vois ses fesses ! et comment ! des fesses comme je les aime, assez grosses, bien rondes, ouvertes, une raie bien dessinée ponctuée du petit gouffre, il faut que je me surpasse, c’est la première fois que l’on m’offre un tel, comment dire, un tel matériel pour le faire jouir et pour assouvir mon fantasme le plus puissant, le plus enfoui au fond de moi, faire jouir une femme avec ma langue et son cul.

Avec les deux mains j’écarte ses fesses, ces deux merveilles jumelles pointée de son anus et je fais jouer le bout de ma langue sur l’entrée de ce méat, je tourne autour de ce petit gouffre tout gentil, ; il est discret, tout rose, légèrement plissé au fond d’une petite dépression, déjà il est enduit de ma salive et de quelques bulles. Je pointe ma langue à l’entrée et je force un peu pour voir, je continue, me retire, revient après avoir caressé, léché la peau fine et rose qui l’entoure, plusieurs fois de suite, besogneusement, je m’attarde longuement, les fesses ne bougent plus comme en attente, mais l’anus commence à s’amadouer inondé qu’il est, il devient plus tendre, il s’offre, il commence à pulser, à s’ouvrir et ma langue en pointe en profite pour s’insérer dans la délicate embrasure. Je pousse, chaque millimètre gagné est un millimètre conquis, ma langue est dure, lubrifiée, elle glisse. Je peux me retirer pour voir mais quand je reviens je m’infiltre de plus en plus loin, de plus en plus profond tout le bout de ma langue est en elle dans ce petit cul mignon, je reste et je m’agite, comme les fesses qui elles aussi commencent à se mouvoir.

Lentement au rythme de mes pénétrations, je pousse, je pousse, bouche grande ouverte dans le sillon de ses fesses, langue sortie et cela arrive, l’anneau vient de céder et ma langue entière est en lui, dans ce puits sans fond. Je reste en place pour conforter cette position jouissive, juste des petits mouvements de ma langue mais quand je me retire je n’ai plus aucun mal en me rapprochant de nouveau de cette merveille à forcer l’entrée de ce monde des ténèbres, même quand je lui laisse le temps de se refermer, l’anus est assez souple ; plein de mousse pour me permettre d’entrer de nouveau et c’est ce qui rend folle mon amante cet anulingus de rêve dans des conditions de confort idéales pour nous deux. Entre deux pénétrations de ma langue, en prenant du champ je vois les bords de sa rosette toute dilatée, et avant de replonger dans la fournaise béante, rougeoyante j’en caresse le tour, les bords avec la pointe de ma langue et cela a pour effet de faire hurler Frida

D’une main passée sous son ventre Frida se caresse la chatte, elle se branle le clitoris convulsivement, le titille entre deux de ses doigts, de plus en plus vite au même rythme que les pénétrations de ma langue dans son cul et d’un coup, dans un grand cri elle se met à jouir, à hurler, ma langue toujours plantée dans son anus suit la houle de ses fesses, son orgasme est presque effrayant et quand avec le pouce de ma main droite passée par devant entre ses cuisses je baise son vagin, c’est de la folie. D’un coup, épuisée semble t’il Frida s’écroule en criant des mots incompréhensibles, tout le corps animé de mouvements erratiques incontrôlés. Que c’est beau une femme qui jouit ainsi, je la regarde jouir jusqu’au moment où elle semble émerger de ce plaisir infini de l’orgasme.

« Momo encule moi maintenant
Oui c’est le moment, moi aussi j’ai envie d’elle, je suis excité au possible, je me relève debout derrière elle, le ventre sur ses fesses, mon sexe dressé à bonne hauteur je dois le plier et avant de présenter mon gland au fond de ses fesses ouvertes, je vois le fruit de ma convoitise, son anus mignon, tout rose, refermé au fond de cette petite dépression, il est lubrifié à souhait de ma salive translucide qui va m’aider à la sodomiser car mon gland en bonne place maintenant est beaucoup plus imposant que ma langue. J’ai une telle envie de son cul que j’avoue, l’envie de la sabrer d’un coup m’a effleuré, mais je pense à son plaisir.

Alors doucement j’entre en elle, mon gland décalotté d’abord jusqu’à sa corolle, tout va bien. Frida ondule et vient à la rencontre de mon sexe, gros et dur, peu à peu, complices il commence à s’enfoncer à disparaître de moitié, le plus dur reste à venir alors je me retire et je vais et je viens, je laisse couler un filet de salive sur mon sexe sorti avant de replonger et de m’enfoncer de plus en plus. Frida est silencieuse durant ce moment délicat d’introspection, une petite grimace par moment
« Frida tu veux que j’arrête ?
« Surtout pas Momo, je suis bien

Mon ventre est maintenant contre ses fesses, j’ai réussi à être entièrement en elle et nous restons ainsi un moment pour que tout prenne sa place, mon gros sexe dans son anus arrondi serré autour de lui
« Je suis bien Momo, viens et surtout quand tu vas jouir comme je l’espère ne te retire pas

Alors rasséréné je peux me livrer à toute mes envies, mes mains sur ses fesses je vais et je viens en elle par de larges mouvements de mon bassin en sortant mon sexe avant de la prendre, de la sabrer maintenant sans retenue pour son plus grand plaisir, j’ai passé une main entre ses cuisses pour lui caresser la chatte tandis que l’autre se perd par-dessous entre ses seins qui dodelinent aux rythmes de mes embardées de mes reins. Je me retiens de ne pas jouir de suite, pourtant j’en ai envie mais je pense à elle qui est repartie dans le plaisir, elle me le montre en ondulant, en geignant, en criant. A chaque possession un froufroutement d’air vient ponctuer nos ébats et cela rajoute à notre excitation.

Je n’en peux plus, Frida me hurle de venir alors je ne me retiens plus et c’est bon, mon foutre qui monte de mes entrailles, qui draine ma verge avant de fuser de mon gland dans ce cul divin. Je jouis comme je n’ai jamais jouis en longues giclées , mon sexe lubrifié coulisse librement maintenant le sperme sous pression gicle et nous inonde et je l’étale sur les fesses de Frida qui ronronne de plaisir.

Au bout d’un moment nous nous regardons, heureux, repus, comblés, relevés, nous nous faisons face, reconnaissants du plaisir que nous nous sommes donné l’un pour l’autre ? nous sommes nus tous les deux, je la prends dans mes bras pour un baiser sans fin……….
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Histoire de Pierre le Grand

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