Mon mari m'a lâchée

Je suis au lit avec mon mari, en plein préliminaires. Il est en train de doigter mon clito, bien décalotté, quand le téléphone sonne. Une urgence. Marc, mon époux, travaille au SAMU.

-Oh non, dis-je, pas ça.
-Désolé ma chérie, on remet ça à ce soir.

Une fois que Marc est parti, je m’allonge sur le lit, pour finir ce que mon mari à commencer.
La poisse, j’allais atteindre l’orgasme, quand on sonne à la porte. Décidément, c’est pas le jour. Marc a-t-il oublié quelque chose ?
J’enfile une nuisette transparente, et vais ouvrir.
Un homme, soixante dix ans bien sonnée, se tient sur le pas de la porte. Il me demande si je peux le dépanner en sel…

-Bonjour madame, je m’appelle Firmin, vôtre nouveau voisin. Désolé, mais je vois que vous êtes en tenue légère. Je n’ai rien interrompu d’important au moins.
-Non, non, rentrez, moi c’est Audrey...mais asseyez-vous. Je vais passer un peignoir.
-Mais non, je sais ce que c’est, vous êtes ravissante dans vôtre nuisette. On voit bien vos seins, et vôtre petite chatte, toute épilée. Par transparence, c’est très excitant.
-Heu...ça se voit tant que ça...je passe un vêtement, et vous offre un verre.
-mais non, vous êtes belle comme ça. Mais j’accepte le verre. M, dites moi, ais je ne voudrais pas être indiscret. Je ne vous ai pas interrompu dans vos ébats amoureux j’espère...
-Ben disons que...nous étions en train de faire un gros câlin, mais mon mari a était appelé.
-A oui, désolé...et que vous faisait-il.
-Heu...il caressait ma petite chatte.
-Mon dieu...je peux continuer si vous voulez. Je sais faire vous savez.

Je n’ai pas par habitude de m’offrir à un étranger, d’autant que je n’ai jamais trompé mon mari. Mais l’envie d’un câlin est telle, que je ne peux résister à la proposition du vieil homme.

-C’est vrai, vous feriez ça.
-Mais bien sur...venez vous asseoir sur mes genoux. Otez vôtre nuisette, vous serez mieux toute nue. Voilà, comme ça. Maintenant, écartez bien vos jambes...parfait. C’est vôtre mari qui vous demande de raser vôtre chatte.
-Oui, il dit que c’est mieux pour voir mon clito.

C’est vrai que je suis mieux toute nue. Les seins dressés, les bouts saillants, et ma petite chatte, toute mouillée, qui attend qu’on la caresse.
L’inconnu sait y faire. Il décalotte mon clitoris, le doigte. Je commence à gémir de plaisir, à onduler sur ses genoux. Il est vraiment doué.

-Oh oui monsieur...c’est bon ce que vous faites à mon petit bouton...je vais jouir...j’ai honte…
-Mais non, allez-y, détendez-vous...ne vous retenez pas. Je sais ce que c’est vous savez. J’ai fait jouir bon nombre de femmes dans cette position. Elles aimaient bien que je branle leur petite chatte.

Je me cambre sur la pointe des pieds, quand j’atteins l’orgasme. Le voisin me retient, pour que je ne tombe pas.

-C’est bon hein? Vous avez aimé.
-Oh oui, monsieur, c’était bon. Mon mari ne me caresse pas comme ça.
-Soulevez-vous, que je sorte ma queue, dit-il. Vous allez voir comme elle est belle..
-Ouah...c’est vrai qu’elle est belle, plus grosse que celle de mon Marc...

L’inconnu me saisit par les hanchez, et me guide doucement vers sa bite en érection.

-Dans quel trou vous la voulez, me demande-t-il. Le gros, ou le petit.
-Mon mari n’a jamais voulu me prendre au petit. Pourquoi pas essayer.

Après avoir barbouillé sa bite avec ma mouille, je m’empale doucement sur le calibre.

-Oh putain...elle est énorme.
-Alors, c’est pas bon de se faire prendre par le petit trou ?
-Oh si...c’est bon de se faire enculer par une bonne queue. Allez-y Monsieur, défoncez moi le cul. Oh putain...je jouis...oui...je jouis...vous aussi salaud…

Je sens le liquide chaud de son sperme, envahir mon ventre. Cet enfoiré est en train de me remplir le cul.
Le septuagénaire me demande de me mettre à genoux sur le fauteuil. A tous les coups, il veut me prendre en levrette…c’est bien ça.
Je sens sa queue taquiner ma chatte, avec son gland décalotté. Lentement, sa bite prend possession des lieux, et se met en branle. Le plaisir monte rapidement en moi, il sait que je ne vais pas tarder à venir.

-C’est bon de se faire baiser la petite chatte, salope...vous aimez bien...elle est bonne ma queue. Si ça vous plaît, on peut recommencer.
-Oh oui...j’ai tout l’après midi de libre. Tant pis pour mon mari, il n’avait qu’a rester là...c’est lui qui en aurait profiter...mais je ne regrette pas que vous soyez venu, c’est mieux avec vous.

Sur ces mots, j’atteins le troisièmes orgasmes. Ce salaud rit de m’entendre crier de plaisir. Quand il se retire, je m’affale sur le fauteuil. Avant de partir, il me demande de lui tailler une pipe, pour le remercier de m’avoir donner du plaisir. Ce que je prend plaisir à faire, au point d’en avaler son sperme. Malgré les souillures sur mes lèvres, il me donne un tendre baiser, et quitte l’appartement…
Il a oublié le sel…

je ne vais quand même pas pousser la plaisanterai, d’aller le lui apporter. S’il en a vraiment besoin, il reviendra...demain peut être
Il est dix huit heures, quand Marc rentre de son intervention. Il jette carrément ses vêtements, et me demande de le rejoindre au lit.
Devant mon refus, il se pose des questions.

-Mais...Audrey, que se passe-t-il. T’as plus envie?
-Ben...figures toi, que le voisin est passé. Tu sais, le papy. Si tu savais ce qu’il m’a fait...comme il m’a mis le compte...quel salaud.
-Quoi, tu t’es tapé le voisin. Mais il pourrait être ton père. Et puis, on est marié...et il t’a fait quoi?
-Il m’a demandé d’enlever ma nuisette. Je me suis retrouvée entièrement nue, assise sur ses genoux. Il a caressé ma petite chatte, décalotté mon clitoris, et me l’a doigté. Comme il m’a fait jouir ce vicieux. Tu veux que je continue mon chéri ?
-Heu...oui, vas-y.
-Hé bien...il m’a baisée en levrette, sur la chaise, et surtout, il a fait ce que tu as toujours refusé de faire...il m’a enculée avec sa grosse queue. Il m’a fait jouir trois fois, t’imagines. Il m’a fait crier de plaisir.

Mon mari est sidéré, abattu. Il vient d’apprendre que, non seulement sa femme l’a trompé, mais surtout, de se rendre compte de quoi est capable de faire une épouse en manque de sexe.