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Mylène 2 - L’éducation se poursuit par une mise en bouche

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Lue : 3391 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 30/10/2020

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Quelques jours après ma première leçon avec Mylène et quelques SMS d’échanges banals pour savoir si elle avait fait un break avec son copain ou comment fonctionnait son pc, je décidais qu’il était temps de la motiver davantage pour notre prochaine rencontre. Je lui demandais donc si elle avait suivi mes instructions concernant sa garde-robe et son maquillage.
Elle me répondit que pour la première chose, elle allait justement faire du shopping dans l’après-midi grâce à de l’argent économisé et que pour la seconde, sa mère Lola, avait était ravie de lui apprendre à se faire belle en lui achetant tout un nécessaire à maquillage.
J’avais déjà hâte de voir le résultat de visu même si elle m’avait envoyé quelques selfies encourageant au fil des jours. Et j’avais même reçu un coup de fil de la part de son père, Régis, me demandant ce que j’avais bien pu dire à sa fille pour qu’elle se décide enfin à devenir une femme. Je lui avais menti en lui affirmant que je lui avais parlé du boulot, de la vie avec un homme, de ses copines, de son copain ou de sa mère pour lui montrer la voie. Il m‘avait remercié en me disant espérer que notre prochaine rencontre pourrait la faire sortir encore davantage de son cocon. Je lui disais que je lui avais tout dit ou presque et que je savais pas si je pourrais en faire plus mais que j’essaierais encore si je le pouvais. Lola avait aussi parlé à ma femme qui m’avait dit que j’avais dû amener une baguette magique avec moi le jour où j’étais passé chez son oncle, tellement le couple semblait ravi pour leur fille. Là encore, j’avais joué le modeste en me disant intérieurement qu’elle ne pensait pas si bien dire.
Elle m’avait déjà envoyé ses choix de tenues via internet en provenance de chez H&M pour ses habits et Etam pour sa lingerie et je lui avais renvoyé mes choix pour qu’elle voie si ça lui plaisait, lui signalant que si elle choisissait les miens je lui ferais un petit cadeau la prochaine fois. J’étais resté assez soft pour ce premier shopping alors qu’elle voulait sans doute déjà m’impressionner en choisissant des tops un peu transparents en mousseline et des body’s un peu trop sexy pour les dessous. Le temps n’était pas encore venu de lui demander d’aller dans un sex-shop chercher une tenue de petite chienne en chaleur.
Alors que j’étais en train de déjeuner avec mes collègues, je reçus son premier selfie qu’elle venait de faire dans la cabine d’essayage en me montrant sa tenue choisie chez H&M. Et là comme prévu, elle franchissait non pas un mais deux caps d’un coup. Mes potes avaient maté en voyant mon visage sur mon téléphone mais je leur avais dit que je ne pouvais pas leur montrer ma femme en petite tenue quand même. Ils m’avaient charrié un peu mais avaient lâché l’affaire lorsque je reçus un autre SMS et que je gardais la même attitude secrète. Il s’agissait de ma tenue composée d’une jupe courte trapèze en jean et d’un top sans manches avec une fente montante sur le côté qui laissait apparaître une partie de son soutien-gorge. Très féminine mais moins provocante que sa dentelle transparente, elle me dit opté pour cette dernière et je la féliciter pour son choix.
Quelques minutes plus tard, je reçus ses autres selfies et là encore elle opta finalement pour mes choix d’un ensemble en dentelle bleue composée d’un soutif ampliforme avec un petit nœud au milieu avec un tanga assorti qui faisait aussi bien honneur à son 95D qu’à ses jolies miches fermes. Je me dis que ses parents ne seront pas trop outrés du changement au final. Je me rassurais aussi en me disant qu’elle avait obéi à mes exigences. J’espèraos juste qu’elle ait pensé à acheter une jolie paire de talons.
Nous avons finalement convenu que je passe la voir le samedi midi pour déjeuner en famille et que je verrais son pc (et tout le reste) l’après-midi lorsque ses parents iraient faire leurs courses hebdomadaires. Je profitais aussi alors que ma femme sera en séminaire pour son boulot.
Au fil que la semaine s’égrène, elle m’envoie quelques textos quotidiens pour me signaler qu’elle est un peu nerveuse pour sa nouvelle leçon mais qu’elle a hâte d’y être tout comme moi. De mon côté, je lui confirme que j’ai gardé ma sève pour elle depuis plusieurs jours en espérant qu’elle se montrera à la hauteur de mes espérances.
Le jour venu je me prépare comme il se faut et je me décide à mettre un jean avec des souliers en daim et une petite chemisette sous ma veste. J’arrive à destination pour midi et je sonne à la porte un peu tendu malgré tout, mais déjà terriblement excitée parce que je vais lui faire.
La porte s’ouvre et je vois Mylène devant moi dans la tenue convenue que je ne me prive pas de regarder attentivement de haut en bas. Je lui souris en remarquant de suite les petits talons compensés en cuir qu’elle porte et ma main se pose sur sa hanche pour lui faire la bise.
Son teint laiteux et ses petites taches de rousseur sont parfaitement mis en valeur par un maquillage simple mais très efficace. Le gris de ses yeux ressort merveilleusement et son rouge à lèvres un peu pâle donne une dernière touche excellente à son maquillage.
Je la félicite aussitôt pour tout cet effort et lui demande comment elle se sent.
Elle me dit être heureuse et plus épanouie que la dernière fois, que ses parents sont heureux et qu’elle a hâte d’avoir sa nouvelle leçon.
Je hoche la tête en souriant et lui dit de passer devant. Elle s’exécute et tourne les talons pour aller rejoindre ses parents sur la terrasse. Je la vois encore un peu empruntée sur ses talons mais elle fait l’effort de marcher doucement pour que je puisse bien mater son joli cul ferme et rebondi.
Je viens faire la bise à Lola et serrer la main de Régis qui me congratulent encore pour le changement chez leur fille. Que j’aurais dû venir la dépanner plus tôt et qu’ils veulent bien que je leur prête ma baguette magique. Mylène rougit un peu en baissant la tête à ses mots alors que je me nourris de leurs compliments. Nous profiterons ensuite d’un bon repas arrosé, concocté par la mère et la fille, sur une terrasse ensoleillée parfaitement au calme et à l’abri des voisins partis en week-end.
Le soleil tape déjà fort en cette fin juin alors que durant le repas, Mylène s’est faite discrète comme à son habitude mais toujours très intéressée par ce que j’avais à dire qu’il s’agisse d’une petite blague salace à destination de Régis ou des compliments sur le repas de Lola. Pour ma part, je remarque qu’elle n’a pas bu énormément mais qu’elle semble déjà un peu pompette tout comme sa mère.
Le moment que nous attendions arrive enfin lorsque ces parents quittent la maison pour partir en courses. Je leur signale que je ne serais peut-être plus là à leur retour mais que je verrais avec leur fille si elle veut passer à la maison prochainement si je n’arrive pas à finir de tout lui montrer aujourd’hui des programmes qu’elle m’a demandés. Ils acceptent volontiers et espèrent que je pourrais encore aider un peu leur fille cet après-midi à se décoincer encore un peu. Je leur souris en leur disant que je ferais mon maximum avant qu’ils ne partent et que je puisse enfin repartir sur la terrasse où m’attend Mylène qui finit de débarrasser la table.
Je lui signale que je me suis arrangé avec ses parents pour qu’elle puisse venir à la maison une prochaine fois et que je vais l’attendre dans un fauteuil du salon. Je lui demande aussi si elle pourra m’amener un petit digestif lorsqu’elle aura fini la vaisselle et le reste. Elle me regarde droit dans les yeux en me disant « Oui monsieur ».
C’est vrai que ces quelques jours entre nos deux rendez-vous lui avaient été vraiment bénéfiques et je la sentais plus à l’aise avec moi, prête à continuer son éducation et enfin ressemblante à une vraie femme qui ne se dévalorise plus.
Je m’installais dans un fauteuil pour souffler à l’abri de la chaleur estivale et cuver un peu mon vin tranquillement en ouvrant quelques boutons de ma chemisette. J’ai aussi retiré mes chaussures et profitais de ce moment de calme pour finir d’installer les derniers programmes que Mylène m’avait demandé pour son pc portable laissé poser sur la table basse du salon. Je remarque de suite le dossier « Images pour Monsieur » au milieu du bureau et esquisse un sourire. Je me décidais à ne l’ouvrir que lorsque j’en aurai enfin fini.
Un quart d’heure plus tard environ j’ouvre enfin le dossier sans avoir préalablement oublié de copier le contenu sur ma clé USB et la première image apparaît.
Il s’agit de Mylène dans sa nouvelle tenue posant sur son canapé souriante. Je passe rapidement les clichés où je la vois prendre différentes poses à la manière d’une mannequin débutant, dans sa chambre pour la voir enfin en petite tenue sur son lit. Je me félicite qu’elle sache tout de même bien prendre la pose et je continue pour arriver au meilleur à savoir quelques clichés d’elle où elle se découvre entièrement les jambes plus ou moins ouvertes. À la lumière plus ou moins prononcée sur les images je constate qu’elle a dû y consacrer plusieurs séances pour arriver à ce résultat. Le dernier cliché arrive malheureusement trop vite à mon goût. Elle est sur le rebord du lit jambes bien ouvertes sur une magnifique vue de son intimité rousse toujours aussi bien entretenue, les mains tenant chaque côté du rebord la tête baissée sur le côté. Hummm, je sens déjà mon anatomie me rappeler mes instincts de mâle et remarque qu’elle a bien progressé depuis l’autre jour. J’ai trouvé mon prochain fond d’écran me dis-je intérieurement ravi et je regarde la photo soudain devenue affamé de profiter de son jeune corps superbe.
Et on peut dire que son timing est parfait car elle apparaît soudain devant moi portant un plateau où une petite bouteille de Cointreau est posée avec un verre et quelques glaçons. Je la regarde le mettre sur la table basse et me servir à la manière d’une serveuse très professionnelle. Je profite enfin de ses formes devant moi en refermant le portable et en tendant le bras pour prendre mon verre. Elle me regarde les mains croisées sur le ventre comme pour attendre la suite. Elle apprend vite me dis-je, ravi.
- Merci ma petite chérie. Avant de commencer, je voudrais te remercier pour les images que tu m’as laissées et te féliciter car elles sont beaucoup plus réussies que les premières que tu m’avais montrées. Tu as fait beaucoup d’efforts depuis la dernière fois et j’espère que tu continueras.
- Oh oui bien sûr. Merci. Elle rougit sans oser me regarder fixement.
- Tu aimes ta nouvelle tenue ? Pas trop féminine, tu sortiras avec, la semaine prochaine ?
- Oh oui beaucoup. J’ai hâte de la montrer à mes copines. Elle réagit excessivement telle une gamine mais me réchauffe le cœur malgré moi.
- Bien. Je suis content. Avant de commencer ta deuxième leçon, j’aimerais que tu enlèves ton haut et ta jupe pour que je puisse enfin t’admirer en petite tenue, tu es d’accord ? Je bois une gorgée d’alcool et lui sourit.
- Oui d’accord. Elle n’hésite que quelques instants, ce qui est bon signe et pose donc son top sur l’autre fauteuil et déboutonne sa jupe pour la faire glisser au sol sans me regarder.
- Mmmm bien. Tu es magnifique ma petite chérie. Tourne sur toi-même. Pour ma part, je ne rate pas une miette de ses gestes et son corps très blanc taché de petits points est vraiment magnifiquement proportionné. Ses seins lourds sont bien mis en valeur alors que ses fesses sont un régal qui ne demande qu’à être croqué. Je la vois se plier pour enlever les lacets de ses talons mais je l’arrête de suite.
- Non non, garde-les et viens t’asseoir. J’écarte et tapote ma cuisse d’une main pour qu’elle vienne sur moi.
Elle s’exécute et mon désir augmente sentant la chaleur de son corps et son doux parfum enivrer mes marines. Je passe ma main dans son dos pour sentir sa douce peau et je descends progressivement le long de sa colonne vertébrale pour arriver sur le haut de ses fesses encore disponible au toucher. Elle est parcourue d’un frisson. Je bois à nouveau une gorgée d’alcool et porte ensuite le verre à ses lèvres. Elle boit à son tour une gorgée avant de tousser légèrement.
- Oui je sais c’est fort mais ça va bien te préparer la gorge. Bois encore.
Elle obéit et vide pratiquement le verre en me souriant. Je lui demande alors de me resservir en y ajoutant le reste de glaçons. Je la regarde faire avant qu’elle n’essaie de reprendre sa place.
- Je t’ai dit de te rasseoir ? dis-je d’un ton bref.
- Oh non je pensais… Elle a un petit mouvement de recul et rougit aussitôt.
- Ce n’est rien ma petite chérie. Enlève ton soutien-gorge et vient plus près de moi ce sera plus agréable.
Je me plaque complètement dans le fauteuil en souriant écartant mes jambes au maximum de chaque côté. Elle retire son soutif et vient se positionner de dos sur la place qu’il reste sur le fauteuil.
- Voilà cambre toi bien et mets tes cuisses contre les miennes. Pose tes mains en arrière là, oui, parfait.
Je bois une lampée et sens de suite la chaleur de son corps me prodiguer un bien-être évident. Mon entrejambe commence à se réveiller dangereusement alors que je pose ma main libre sur son ventre. Je hume son cou parfumé et je la sens à nouveau réceptive à ma caresse. Ma main remonte dans le creux de sa poitrine et vient ensuite prendre en main son sein le plus proche. Je commence à le malaxer fermement et elle pousse un petit gémissement de satisfaction en se cambrant encore davantage. Je tourne ma main sur sa chair bien ferme et mon pouce roule sur le téton naissant. Je le pince délicatement avec deux doigts et elle gémit longuement lorsque je prends mon temps avant d’arrêter ma petite pression. Je recommence plusieurs fois pour faire monter son excitation (et la mienne) avant de porter mon verre à sa bouche entrouverte. Elle boit une petite quantité d’alcool sans broncher alors que ma main entière exerce une pression sur son sein. Je la laisse respirer un instant avant de serrer davantage mon étreinte sur son globe laiteux et lui propose à nouveau mon verre.
- Sors ta langue et lèche-le doucement.
Elle fait ce que je lui demande alors que je joue un peu avec mon verre en le faisant tourner. Elle bave un peu mais sa langue tourne avec délice dans le liquide alcoolisé. Je relâche finalement la pression sur son sein et elle pousse un petit soupir. Lorsque je constate que le verre est presque vide, je le penche davantage pour qu’elle le termine. Elle laisse échapper un peu de liquide mêlé de bave sur le creux de ses seins. Cette vision ne fait qu’encourager le réveil de mon sexe.
- Tu es parfaite ma chérie… Elle rougit un peu même si son teint a un peu viré au rosé depuis tout à l’heure. Dis-moi, tu t’es masturbée depuis la dernière fois ?
- Mmoui un peu.
- Ah oui, dis-moi en plus, s’il te plaît ?
- Je… Elle cherche sans doute comment me raconter en restant « soft » pour raconter cette situation. Quoi qu’il en soit, ma main libre décide de descendre vers le bas de son ventre et de titiller sa toison pubienne visible sur sa fine dentelle.
- Allez dis-moi n’est pas peur. Tout reste entre nous, ne l’oublie pas.
- Oui je sais. Je… Une fois sur mon lit ou dans mon bain…
- Mmm d’accord. Tu pensais à quoi en te touchant le bouton ?
- À l’autre fois…
- Ah oui, humm ok, et c’est tout, tu n’as pas regardé de vidéos pornos ? Ma main commence à faire des va-et-vient de haut en bas sur sa fente que je commence à sentir humide. Elle se cambre davantage pour m’aider à y accéder et doit bien sentir mon chibre se gonfler entre sa raie des fesses.
- Non, mais une autre fois en entendant les parents dans le salon…
- Ah oui, ils savaient que tu étais là pourtant…
- Oui, ils devaient croire que j’étais encore sous la douche.
- Mmm ok, et alors tu étais où toi ?
- En haut des escaliers. C’était… Je la coupe.
- Bizarre, excitant… Elle me coupe à son tour.
- Oui, excitant. Ma main s’aventure sous le tissu et lui tapote le clitoris.
- Mmm petite cochonne, continue.
- J’ai entendu Papa dire des choses à maman qui rigolait et gémissais.
- Elle lui a dit quoi comme choses ?
Elle baisse la tête en rougissant davantage alors que ma main commence à faire des ronds autour de son bouton gonflé.
- Qu’il aimait ça, que c’était bon.
- Ok et c’est tout ? Utilisant un ton déçu, cela ne m’empêche pas de continuer à jouer avec son clito faisant progressivement monter son excitation.
- Je crois qu’il lui a aussi dit que c’était une grosse vicieuse et qu’il aimait son trou humide en la prenant comme une coquine.
- Mmm et toi, tu te touchais comme je fais là en les entendant, hein petite cochonne ? Je lui donne une petite tape sur son intimité.
- Hen oui… hummmm….
- Et tu es restée jusqu’à ce qu’ils aient fini ?
- Presque, quand j’ai entendu Papa poussé des grands râles, j’ai filé dans ma chambre.
- Très bien, enlève ta culotte maintenant.
Elle se soulève un peu pour faire descendre son tanga et le faire coulisser entre ses pieds avant de reprendre sa place sans que je lui demande. J’en ai profité pour enlever ma chemisette et ouvrir ma ceinture, le bouton de mon jean et descendre ma braguette. Je passe ma main à nouveau sur sa fente pour l’ouvrir davantage et ressentir sa moiteur. J’accélère un peu mes mouvements pour amplifier ses gémissements et je finis mon verre d’une traite. Je tire un peu sur ses lèvres et les tapote encore un instant avant de retirer ma main. J’y dépose alors mon verre froid et humide. Sa réaction est immédiate et elle a un petit mouvement de recul en poussant un petit cri « Oh c’est froid ».
- Oui je sais. Mais il faut aussi savoir goûter à différentes sensations pour mieux les connaître et les apprécier. On est d’accord ma petite cochonne ?
- Heu… oui Monsieur. Me lâche-t-elle alors que sa température corporelle a continué de grimper depuis tout à l’heure, l’effet de l’alcool conjugué à son excitation à n’en point douter.
- Bien, ouvre la bouche, et tire la langue, il est temps de commencer vraiment.
Je prends alors un glaçon à moitié fondu dans le verre et commence à le remonter progressivement sur son ventre et le creux de ses seins avant de le porter à sa bouche. Elle le lèche sans attendre et quelques gouttes perlent. Elle a quelques contractions dues au froid mais continue alors que je l’enfonce un peu dans sa cavité buccale. Elle semble apprécier cette différence de température alors qu’en retirant mes doigts elle finit par croquer le petit carré d’eau congelée. J’en reprends un autre et joue avec sur tout son corps jusqu’à ce qu’il est disparu complètement. Sans un mot je récupère le dernier encore exploitable et viens le poster sur l’un de ses tétons pointés. Je roule autour alors qu’elle gémit beaucoup plus à ce traitement. Je le lâche lorsqu’il devient inutile et sans attendre, je lui pince fortement sa tétine refroidie. Elle pousse un petit cri aigu en relevant la tête alors que je ne relâche pas la pression. Elle commence à grimacer et à se mordre la lèvre lorsque je me décide enfin à arrêter. Elle soupire de soulagement mais je n’attends pas pour tirer sur la pointe tendue avec trois doigts et voir jusqu’à où je peux aller. Son sein lourd se soulève difficilement mais j’ai plus de force dans les bras que lui et je constate que son élasticité est tout de même étonnante. Je remarque alors qu’elle a posé une main sur son autre sein et le malaxe plus délicatement que moi. Elle penche la tête en arrière pour s’appuyer sur mon épaule et nous jouons réciproquement avec chacun de ses deux gros globes à notre manière.
- Tes seins sont sensibles. Tu aimes les caresser hein ma chérie ?
- Mmmmoui… hen… j’aime me… les toucher…
- Laisse-moi faire alors et touche-toi plutôt le minou petite cochonne, lui dis-je soudain sur un ton ferme.
Elle obéit et commence à se masturber en faisant de grands mouvements circulaires. J’ai pris ses gros lolos à pleine main et je les malaxe en les pinçant parfois sur toute leur hauteur. Sentant son désir encore monté, je viens lui susurrer à l’oreille ; « Vas-y… Laisse-toi aller ma cochonne… J’ai envie de t’entendre jouir ».
À ces mots, elle accélère encore ses mouvements et fait des petits déhanchés avec son bassin. Je sens ses fesses me frotter le sexe et les boules de plus en plus vite alors que je la pelote sans ménagement. Ses petits feulements se font de plus en plus irréguliers lorsque soudain elle se crispe et qu’elle est parcourue de soubresauts électriques. Elle se pince les lèvres en gémissant « Mouiiii.. ..ahh mmmm ».
- Et bien, tu en avais envie hein ?
- Oh oui beaucoup. Elle ouvre des yeux pétillants et je viens l’embrasser à pleine bouche.
- Il est temps de s’occuper de moi, tu ne penses pas ?
- Oh si bien sûr.
- Bien, aide-moi à retirer mon pantalon.
Elle se relève pour me faire face et me permet donc d’enlever enfin mes fringues devenues beaucoup trop gênantes. Je la laisse admirer ma verge totalement pointée vers le ciel quelques secondes. Elle a toujours le même effet sur elle et je sens déjà son désir de me prendre en bouche la dévorer.
- Avant d’y goûter, il faut que tu saches utiliser ta langue sur tous les recoins d’un homme.
Faisant une petite moue déçue avec ses lèvres, elle hoche pourtant de la tête pour me faire comprendre qu’elle est d’accord.
Je me remets alors sur mes jambes et lui demande d’embrasser mon torse imberbe. Elle y dépose quelques baisers avant de lui dire de me lécher aussi les tétons. Notre petite différence de taille, à peine cinq centimètres avec ses talons aux pieds, lui permet de jouer de la langue facilement sur mon anatomie. Je passe alors l’une de mes mains derrière mon cou et lui demande de m’embrasser la base de mes côtes. Je lui montre mon aisselle du regard et elle vient déposer quelques baisers en son creux. Je pousse un petit râle de contentement et reste surpris lorsque je sens sa langue me laper les poils naissants qui s’y trouvent. Elle semble apprécier le goût salé/amer qui doit s’en dégager car j’ai du mal à l’arrêter. Je décide alors de lui montrer mon autre aisselle et elle vient rapidement me prodiguer le même traitement. J’approuve et décide de tester ses limites.
Je lui demande de se mettre à genoux et me recule en lui demandant de m’embrasser les pieds. Elle s’exécute et se met à quatre pattes pour y parvenir.
- Humm tu es parfaite ma chérie. Continue.
Dopée par mes encouragements elle continue d’embrasser mes pieds pendant de longues secondes alternant de l’un à l’autre. Je soulève mon gros orteil lorsqu’elle revient sur l’un et le prend immédiatement à pleine bouche.
- Humm oui, tourne ta langue autour. Nettoie-le bien. Écarte plus tes fesses et tes jambes en même. Hummm oui, j’aime.
Son visage est presque au sol pour y parvenir et elle doit se cambrer honteusement pour y parvenir mais cela ne l’a fait pas reculer pour autant. Elle me lèche ensuite le dessus des quatre autres orteils comme affamée. Je lui ordonne de faire pareil avec mon autre pied et elle gémit de la nouvelle en exécutant à nouvelle sa besogne avec plaisir.
- C’est bien, remonte doucement sur mes jambes maintenant et vient me lécher les couilles !
Là encore, elle exécute à la lettre mon ordre et je sens sa salive se déposer progressivement sur mes deux boules bien pleines.
- Vient te mettre dos au fauteuil maintenant et pose ta tête en arrière. Je veux voir ta langue.
Elle continue de ne rien dire en faisant ce que je lui demande et ne s’effraie pas lorsque je viens me positionner au-dessus d’elle. J’exerce alors une pression sur mes deux boules d’une main et les lui présente en pliant les jambes. Elle me lèche une fois de plus avec plaisir et à chaque fois que je me relève pour garder un peu l’équilibre, elle fait un mouvement vers moi comme pour essayer de suivre mes parties génitales.
- Tu aimes, on continue ?
- Oui j’aime beaucoup.
Je lâche finalement mes deux couilles bien rouges et fais un mouvement du bassin vers l’avant pour lui montrer ma raie des fesses. Sa langue semble déjà bougée avant même le contact avec ma rondelle et je pousse un long râle de plaisir. Je bouge maintenant mon bassin d’avant en arrière et elle continue ma toilette en gémissant à nouveau plus fort. Je vois qu’elle en a aussi profité pour descendre ses deux mains vers sa fente humide.
- Hummm oui, continue encore cochonne.
J’accentue encore la pression de mes fesses sur son visage jusqu’à l’étouffer un bref instant. Et je remonte en prenant mon sexe en main. Je regarde son doux visage un peu rosé, sa bouche encore ouverte et sa langue toujours avide. J’enfonce alors ma tige bien droite dans ce trou humide et chaud qui s’offre à moi. Sa langue tourne immédiatement dessus et je ne peux m’empêcher de pencher la tête en arrière mon désir ayant encore monté d’un cran. Je fais encore quelques mouvements de jambes pour profiter pleinement de sa pipe et me relève enfin le sourire aux lèvres.
- T’en veux encore hein ma petite salope ?
- Mmmm oui encore. C’est trop bon. Je la sens enfin totalement submergée par ses envies alors que je lui demande de grimper sur le fauteuil et d’ouvrir la bouche en grand en fermant les yeux.
Je viens mettre une main à l’arrière de son crâne et en tenant ma queue de l’autre, je lui enfourne à nouveau mon sexe dans la bouche. Je vois une de ses minimes s’agitait à nouveau entre ses cuisses alors qu’elle tient l’équilibre de l’autre. Je fais plusieurs allez et retours dans son palais qui commence à saliver abondamment et à émettre des bruits obscènes. Cela décuple encore mon désir et j’accélère mes mouvements. Elle rouvre enfin ses yeux pour regarder droit dans les miens. Je lâche alors mon sexe vient lui prendre le menton pour encore mieux lui tenir la tête. Je pousse encore mon sexe plus loin dans sa cavité buccale et les bruits de succion deviennent de plus en plus forts. De la bave sort de sa bouche lorsque je retire ma bite et lui tapote la langue avec. Cela coule sur ses seins qui ballottent aussi à chacun de mes mouvements de hanches.
- Humm ma cochonne, tu aimes ma bite, hein, tu la veux encore ?
Elle parvient à acquiescer lorsque je la laisse respirer un instant. Je viens plisser sa bouche en cul de poule d’une main et lui tapote les lèvres de l’autre. Elle réagit en me suppliant presque du regard de recommencer. Ce que je ne me prive pas de faire en ajoutant :
- Tu apprends vite. J’adore te voir te donner à fond. Je vais te récompenser maintenant ma belle. Tu veux, hein ?
Je relâche pour entendre sa confirmation et je viens lui tenir la tête avec mes deux mains alors que je recommence mes mouvements d’avant en arrière. De plus en plus vite, de plus en plus fort.
Je sens que je vais gicler mon jus dans quelques secondes alors je lui plaque davantage le visage vers moi. Lorsque soudain je suis pris de soubresauts. Ma queue ne répond plus. Elle expulse mon fluide chaud vers sa glotte. Je sens que ma semence est abondante car cela fait plusieurs jours que je me suis retenu d’éjaculer. Mes mains se font plus mollettes alors que j’esquisse encore quelques coups de reins pour vider complètement mon chargement. Elle n’est toujours pas décidée à arrêter de faire ventouse avec ses lèvres mais elle décide malgré tout de le faire lorsqu’elle sent que je me suis totalement vidé de mon foutre.
Je retire mon bâton de joie et le presse à la base du gland pour essayer malgré tout d’en sortir encore quelques gouttes. Elle me regarde la bave aux lèvres mais encore demandeuse. Elle a le visage rougi perlant de sueur. Elle me lèche le bout du gland pour aspirer mes dernières gouttes et me demande pour la première fois :
- J’en veux encore Monsieur s’il vous plaît ?
- Qu’est-ce que tu veux encore petite cochonne ?
- J’ai encore envie de boire votre sperme Monsieur.
Je lui souris car c’est la première fois qu’elle devient enfin demandeuse, utilisant un langage fleuri. Je décide d’en profiter.
- Tu n’en as pas eu assez ? Pourtant j’ai giclé beaucoup là.
- Non j’en veux encore. Il trop bon.
- Humm okay tu l’as bien méritée (et il faut bien dire que j’en ai encore en magasin). Tu as été parfaite aujourd’hui et on va en profiter pour faire quelques révisions. Mais avant cela, relève-toi et va t’allonger où tu veux dans la maison.
- Où je veux ?
- Oui c’est ça, où tu veux. Je veux que tu sois le plus à l’aise pour finir ta leçon.
- Hummmmm… D’accord. Elle me sourit en se relevant et me prend le bras pour m’emmener.
Je ne me fais pas prier et la suis en matant son cul parfaitement arrondi et son corps sans un poil de cellulite ou de graisse superflue, musclé juste comme il faut. Nous montons à l’étage et je me doute que l’on va se retrouver rapidement sur son lit. Eh bien non, elle choisit celui de ses parents et grimpe dessus en me lâchant la main.
- Ah oui, tu es sûre qu’ici ?…
- Oui s’il vous plaît, j’aime aussi venir ici pour me toucher parfois.
- Mmm cochonne, j’adore, mais il ne faudra pas laisser une seule goutte de mon jus sur les draps okay ?
- Oui bien sûr.
- Bien. Écarte les jambes pour moi et passe ta langue sur tes lèvres.
Je la regarde faire et je grimpe à mon tour sur le lit qui a déjà dû en voir bien d’autres. Je me positionne au-dessus de sa tête et elle commence déjà à attraper mon sexe avec une main me prenant un peu au dépourvu. Elle aime vraiment utiliser sa bouche car elle l’y a déjà enfoncé mon membre à moitié dur. J’espère qu’il en sera pareil de ses autres trous prochainement.
Je me positionne à mon tour pour humer son odeur féminine et constate que sa chatte est littéralement dégoulinante de mouille. Je l’avale alors goulûment et commence à goûter son jus intime pendant qu’elle s’active comme une grande sur ma queue.
Je reprends rapidement de ma superbe alors que je lui demande de malaxer mes couilles avec une main. Je me relève un instant pour admirer la superbe vue qui s’offre à moi. Je passe ma main sur sa fente ouverte pour la voir onduler de plaisir et décide de lui cracher pour voir ma salive dégouliner le long de sa raie. Je recommence puis viens lui positionner mon pouce à l’entrée de son petit orifice bien fermé. Je le pousse délicatement à l’intérieur et elle lâche enfin mon sexe pour pousser un petit cri. Je force un peu puis le retire avant de cracher à nouveau dessus. Mon sexe me fait un peu mal alors je lui demande de se mettre de côté pendant que je me positionne derrière elle pour souffler un instant. Sa jeunesse est un vrai cadeau du ciel et elle semble insatiable, infatigable et je compte bien en profiter encore un peu avant de me décharger du fardeau qui pèse entre mes jambes.
Je positionne bien ses jambes pour avoir une vue imprenable sur ses deux trous et lui écarte encore davantage le cul avec une main que je fais coulisser doucement entre ses orifices. Elle apprécie et ses gémissements deviennent plus intenses. Je tapote mon sexe sur son sein de mon autre main et lui fourre un doigt puis deux dans son antre humide. Elle pousse de petits cris en plongeant la tête dans un oreiller. Mon pouce décide alors de reprendre sa tâche et coulisse à nouveau dans sa rondelle doucement mais sûrement. Elle se crispe un peu mais je n’arrête pas pour autant. Enfin en position je le fais bouger progressivement au rythme de mes autres doigts et ce que j’avais pris d’abord pour de la douleur est en fait tout le contraire. J’accélère mes mouvements et mon pouce coulisse enfin librement dans sa cavité serrée. Je le fais tourner un instant en elle et je constate qu’elle est proche de l’orgasme.
Je viens lui prendre les cheveux pour la tirer vers moi et la cambrer davantage. Un peu réticente, presque une première, je force davantage sur sa crinière et constate qu’en fait elle voulait davantage me cacher son visage déformé par le plaisir qu’autre chose. Un filet de bave coule de sa lèvre à l’oreiller.
Cette vision me fait redoubler d’efforts et je lui martèle alors violemment les deux trous.
- Alors tu aimes ça hein ma cochonne ?
- Oui… hen…mmmmoui… C’est bon.
- Dis-le encore, petite cochonne, je veux t’entendre dire que t’aimes ça ! Je tire encore sur ses cheveux alors que mon autre bras commence à me faire mal.
- OuOui… hen… Encore. Ha oui, j’aime ça….
Au même moment son bas ventre est pris de convulsions et je libère ses cheveux pour qu’elle puisse baisser la tête en poussant de petits cris, ses deux mains crispées sur l’oreiller. Mes doigts se retirent d’eux même peu après et elle se retourne pour venir les nettoyer avec sa bouche.
- Hummm oui, tu apprends vite. Nettoie les bien et ensuite je vais te gicler mon foutre à la gueule.
Je m’allonge comme je peux alors qu’elle s’est positionnée entre mes jambes pour prendre ma bite en bouche.
- Mets-la entre tes seins et serre-les fort pour que je bouge entre eux.
Elle essaie de faire comme elle peut pour y parvenir et je donne quelques coups de bassins pour bien sentir ses lourds obus maintenir mon sexe au chaud.
- Mouui, tire la langue en même temps pour la lécher aussi.
Elle a encore des progrès à faire dans ce domaine-là mais sa peau est si douce, ses seins si fermes que je sens que je vais exploser.
- Oh oui ça y est, je vais décharger dessus, oh putain que c’est bon…
Elle essaie de relâcher ses seins pour venir me prendre en bouche mais elle n’est pas assez rapide et un premier jet vient toucher son visage et ses lolos. Elle me prend en main et descend la tête alors que le second suit en partie le même chemin. Je continue d’expulser mon sperme violemment entre ses dents et les draps conjugaux. Je penche ma tête en arrière en disant :
- Oh dieu que c’est bon. Arfff… Tu m’as complètement vidée p’tite cochonne…
Je finis par ne plus avoir de fluide à lui donner. Je la vois s’essuyer un peu le visage avec un doigt et le porter à sa bouche à chaque fois qu’une petite goutte gluante s’y trouve. Je regarde les draps un peu maculés par mon sperme.
- Pardon, pour les draps il va falloir un sopalin ou une serviette pour essuyer.
- Oh non pas la peine. Regardez.
Je reste bouche bée en la voyant se cambrer pour poser sa bouche et aspirer chaque petite goûte laisser à quelques endroits. Je lui souris malgré tout en lui lançant :
- La vache quelle pipeuse tu fais.
- Oh merci Monsieur, j’espère que vous êtes aussi satisfait que moi de cette nouvelle leçon apprise.
- Oui bien sûr. Tu as été parfaite encore une fois. Mais ce n’est qu’un début j’ai encore pleins d’autres choses à t’apprendre.
- J’ai déjà envie d’être à ma leçon suivante. Me dit-elle en faisant une petite moue mutine qui ferait craquer n’importe quel mâle.
- Ne t’inquiète pas elle viendra vite, viens un instant dans mes bras que je t’embrasse.
Elle ne se fait pas prier et me saute pratiquement dessus pour venir fourrer sa langue dans ma bouche. Nous profitons encore quelques instants de nos caresses mutuelles et il est temps de rejoindre le salon pour nous rhabiller.
Quelques minutes plus tard, le moment est venu pour moi de rejoindre mon chez-moi.
Je lui dis être satisfaisait par sa superbe mise en bouche et qu’elle me rend fier de m’avoir choisi pour l’éduquer. Je lui souffle un dernier mot au creux de l’oreille :
- La prochaine fois nous nous occuperons de ton petit oignon ma petite cochonne. Et j’aurais un petit cadeau pour toi comme promis.
- Ohhh oui… mmmm…
- D’ici là, J’ai envie que tu m’envoies moi quelques liens de vidéos pornos excitantes, d’accord.
- Oui Monsieur je n’oublierais pas !
- Parfait.
Je passe ma main une dernière fois sur ses fesses et lui fais un dernier sourire avant de m’éclipser.
En revenant chez moi, heureux de ma journée, elle m’envoie un petit SMS amusant :
« Cette leçon était encore parfaite, Monsieur. Je suis heureuse de voir que vous êtes aussi satisfaite de moi et j’espère que mon éducation continuera encore très bientôt. J’ai encore soif de découverte et je continuerais de tout faire pour ne pas vous décevoir. Mylène votre petite cochonne. »
À Suivre…
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Histoire de Sammy

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Commentaires du récit : Mylène 2 - L’éducation se poursuit par une mise en bouche

Le 11/11/2020 - 17:46 par HappyGirl16
Je suis ravie de découvrir votre récit, je ne m'y attendais pas et ce fut une agréable surprise. Etant assez vorace en lecture j'espère que la suite ne tardera pas trop ;) .

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